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Anne pour sa présence en face de moi, son écoute et sa complicité quotidiennes, et
Janine, le rayon de soleil de mes journées et désormais une véritable amie.
Je tiens également à adresser de sincères remerciements à Lisa Rutström et Glenn
Harrison qui ont encadré mon travail durant les quelques mois de mon séjour à
l’université de Central Florida, et dont l’accueil a largement dépassé le cadre
professionnel.
Me voilà donc au terme de cette thèse qui représente un chapitre important de ma
vie, avec ses hauts et ses bas, ses rires et ses larmes, ses souffrances et ses satisfactions,
ses rencontres, ses départs. Ce chemin, jamais linéaire, aux embranchements multiples
et aux détours nombreux, est celui d’un apprentissage professionnel, mais surtout
personnel. J’ai la chance d’avoir été accompagnée à chaque étape de ce périple et
d’avoir avancé avec les personnes que j’aime. Je dédie cette thèse à ma famille, avec
tout mon cœur, en particulier à ma grande sœur, la belle étoile qui veille sur moi et qui
me manque encore plus dans les étapes importantes de ma vie telles qu’aujourd’hui, à
ma maman, qui plus qu’une mère est mon amie et ma confidente, ainsi qu’à mon père
et mon petit frère, pour leur amour et leur soutien discret et essentiel. Je pense
également à ma grand-mère qui m’a toujours encouragée dans ce travail et avec
laquelle j’aurais aimé partagé l’aboutissement de cette thèse. Je remercie enfin ma
marraine Thésy pour son écoute et sa sensibilité pleine de compréhension, ainsi que
l’ensemble des membres de ma famille qu’il serait trop long de citer ici, mais qui ont,
chacun à leur manière, enrichi et embelli ces dernières années.
Je souhaite pour finir exprimer mes plus grands remerciements à mon « autre
famille », mes amis les plus chers, Simon le Maestro, Tarik mon grand frère
« d’adoption » ainsi qu’Anne-Vio pour leur amitié inconditionnelle et sans fard, pour
tous les moments partagés. Ils ont su, savent et sauront encore longtemps, donner des
couleurs à ma vie. Merci également à Carine dont l’amitié et le soutien, même à l’autre
bout du monde, n’ont jamais défailli. Je pense également à tous ces amis précieux
rencontrés en chemin, Giovany, Aura, François et Carine en France, mais aussi
Shabori, Tara et Mireya à Orlando. Je souhaite, pour finir, dédier ce travail à la vie et
ses nouveaux venus, Richa, Jules et Dahia dont les naissances et les sourires sont venus
apporter innocence, sens et espoir à ces belles années de thèse.