LES PATIENTS ATTEINTS D’UN CANCER DU
POUMON DOIVENT AVOIR UN ACCÈS ÉGAL
AUX ANALYSES MOLÉCULAIRES
Découvrir que vous présentez un de ces
biomarqueurs peut améliorer le pronostic de la
maladie et votre qualité de vie.
Chaque jour, 73 Canadiens ont reçu un diagnostic de cancer du poumon.
Des traitements ciblés existent pour deux de ces
biomarqueurs, les gènes ALK et EGFR*, qui sont identifiés
au moyen d’une analyse moléculaire.
Le cancer du poumon constitue la principale cause de mortalité par cancer,
causant plus de décès chez les Canadiens que les trois autres
principaux types de cancer combinés.
En 2015, 20 900
Canadiens ont
succombé au cancer
du poumon.
Tandis que 5 100
Canadiens sont morts
du cancer du sein.
Les médecins sont d’accord
à 93 % pour que les patients
atteints d’un cancer du
poumon bénéficient du
même accès aux analyses
moléculaires que ceux atteints
d’un autre type de cancer.
Les médecins sont d’accord
à 94 % pour dire que l’analyse
moléculaire devrait être
réalisée au moment du
diagnostic chez les patients
présentant un cancer
du poumon.
VOUS DEVRIEZ TOUJOURS VOUS RENSEIGNER
AU SUJET DE L’ANALYSE MOLÉCULAIRE.
En 2015, 26 600 nouveaux cas de cancer du poumon ont été diagnostiqués.
Le saviez-vous...
Il existe différents types de cancer du poumon?
Au moins 15 biomarqueurs moléculaires ont été recensés.
Passez un test pour décider du meilleur traitement pour
le type de cancer du poumon dont vous êtes atteint
En ce qui concerne le traitement, 1 Canadien sur 5
croit que la chimiothérapie classique est la seule option.
MAIS CE N’EST PAS LE CAS!
La possibilité de subir une analyse moléculaire au bon moment n’est
pas offerte à tout le monde – les patients doivent le demander!
Pour les patients atteints d’un cancer du poumon,
le délai pour effectuer l’analyse moléculaire est souvent influencé
par de nombreux facteurs et peut être imprécis.
Le scénario
idéal L’expérience de
nombreux patients
On suspecte la
présence d’un cancer
du poumon; une
biopsie de la tumeur
est réalisée.
On suspecte la
présence d’un cancer
du poumon; une
biopsie de la tumeur
est réalisée.
Aucune analyse
moléculaire n’est
demandée.
Le patient
commence un
traitement
sous-optimal.
Les Canadiens qui ont reçu récemment un diagnostic de cancer du
poumon doivent parler de l’analyse moléculaire avec leur médecin.
Le pathologiste
confirme le diagnostic,
mais aucune analyse
moléculaire n’est
demandée.
À la lumière des
résultats de l’analyse,
l’oncologue médical
détermine le
traitement à
entreprendre.
L’oncologue médical
rencontre le patient
pour déterminer le
traitement à
entreprendre.
L’oncologue
médical demande
qu’une analyse moléculaire
soit réalisée sur
l’échantillon
de la biopsie.
Il faut de 3 à 4
semaines pour obtenir
les résultats.
Dans les cas plus
avancés, il se peut
que le patient entreprenne
un traitement sous-optimal
en attendant les
résultats de
l’analyse.
À la lumière des
résultats de l’analyse,
l’oncologue médical
détermine le traitement
à entreprendre.
Le pathologiste
confirme le diagnostic
et demande que
l’échantillon de la
biopsie soit soumis
à une analyse
moléculaire.
1. Société canadienne du cancer. Statistiques canadiennes sur le cancer 2015, p. 25. 2. Société canadienne du cancer. « Statistiques sur le cancer du poumon ». En ligne : http://www.cancer.ca/-
fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/statistics/?region=on. Consulté en octobre 2015. 3. Société canadienne du cancer. « Statistiques sur le cancer du poumon ». En ligne : http://www.can-
cer.ca/fr-ca/cancer-information/cancer-type/lung/statistics/?region=on. Consulté en octobre 2015. 4. Société canadienne du cancer. Statistiques canadiennes sur le cancer 2015, p. 47. 5. Société
canadienne du cancer. Statistiques canadiennes sur le cancer 2015, p. 47. 6. My Cancer Genome. “Molecular Profiling of Lung Cancer.” En ligne : http://www.mycancergenome.org/content/dis-
ease/lung-cancer/. Consulté en octobre 2015. 7. 2015 Lung Cancer and Molecular Testing Awareness Poll. Table 2_1 8. 2015 Lung Cancer and Molecular Testing Awareness Poll. Table 3_2.
9. 2015 Lung Cancer and Molecular Testing Awareness Poll. Table 3_1.
* Récepteur de la tyrosine kinase exprimé par le lymphome anaplasique (ALK) et le récepteur du facteur de croissance épidermique (EGFR )
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