La Fondation des pompiers du Québec donne 1,3 million de dollars

Envoi de poste-publication, numéro de convention : 40051592
La Fondation des pompiers du Q uébec donne
1,3 million de dollars pour les grands brûlés
Mars 2010
Volume 3, numéro 1
« Cette chirurgienne plasticienne m’a sauvé la peau ! »
Au cours des dix dernières années, la
Fondation des pompiers du Québec pour les
grands brûlés a donné 1,3 million de dollars
à la Fondation du CHUM afin de soutenir les
soins aux victimes de brûlures graves et la
recherche visant à améliorer la qualité de vie
de ces personnes.
Profitant de l’occasion, la D
re
Alexis Armour,
chirurgienne plasticienne au CHUM, chercheuse
et directrice du Centre d’expertise pour les
personnes victimes de brûlures graves de l’ouest
du Québec, a insisté sur le nécessaire apport
de ce grand donateur : « C’est largement grâce
aux dons et au soutien continu de la Fondation
des pompiers que la recherche fondamentale
et la recherche clinique sont possibles dans
notre Centre. »
Plus de 80 % des dons reçus à ce jour ont été
consacrés à la recherche. Les travaux ont porté
notamment sur l’application clinique de la peau
cultivée, l’amélioration des connaissances sur
le traitement des cicatrices, les changements
Le 2 janvier 2009, Janic Rousseau échappe in
extremis aux flammes qui dévastent sa demeure.
Brûlée sur 39 % de son corps au deuxième
et au troisième degré, elle est transférée de
Saint-Jérôme au Centre des grands brûlés du
CHUM, qui reçoit 65 % de la clientèle de la
province depuis qu’il a été accrédité Centre
d’expertise pour les personnes victimes de
brûlures graves de l’ouest du Québec, en 2004.
D’abord maintenue dans un coma artificiel
pendant trois semaines, elle subit ensuite une
série de greffes au visage, au cou, au thorax,
aux épaules, au dos, aux mains et à un pied.
La tête et les oreilles sont également brûlées,
et elle perd 30 % de sa chevelure. Modèle de
courage, Mme Rousseau ne tarit pas d’éloges
à l’endroit de la Dre Alexis Armour qui, dit-elle,
lui a littéralement sauvé la peau.
La D
re
Alexis Armour; Claude Lebrun, président du conseil d’administration de la Fondation des
pompiers du Québec pour les grands brûlés; et Gilles Dulude, président du conseil d’administration
de la Fondation du CHUM, présentent la plaque souvenir installée au Centre des grands brûlés.
pourvue de tout l’équipement nécessaire pour
prendre en charge le patient dès son arrivée :
installation de cathéters, débridement des plaies
et monitorage cardiaque.
« Jam ais nous
n’exprim erons assez
notre reconnaissance
aux pom piers qui,
par leur engagem ent,
contribuent à
l’am élioration des
soins aux grands
brûlés. »
— Ékram Antoine Rabbat
président-directeur général
de la Fondation du CHUM
immunologiques à la suite de brûlures graves et
les traitements psychologiques aux survivants.
Le soutien de la Fondation des pompiers
a aussi permis de doter le Centre des grands
brûlés du CHUM d’une salle d’admission
Photo : Production Multimédia – CHUM

Prochaines
activités-bénéfice
Les plaisirs de Bordeaux
Participez au Dîner gastronomique 2010 de la
Fondation, le 9 juin prochain, au Centre CDP Capital,
et découvrez de grands crus des terres bordelaises.
Réservez une place ou une table complète dès
aujourd’hui au 514 890-8077, poste 35211, ou encore,
consultez fondationduchum.com, sous l’onglet
« Activités de financement ».
Le Défi CRCHUM :
courir pour la recherche
Le dimanche 18 avril, chaussez vos espadrilles et
venez courir ou marcher pour le Défi CRCHUM! Cette
activité, organisée avec l’appui de la Fondation du
CHUM, aura lieu au parc Jean-Drapeau dans le cadre
du Défi Caritatif Banque Scotia.
Vous avez le choix entre marcher ou courir 5 km,
ou encore faire le demi-marathon (21 km) dans un
temps limite de trois heures. Vous pouvez aussi
encourager un de nos coureurs en faisant un don.
Pour en savoir plus : fondationduchum.com.
Le CHUM organise régulièrement des
journées de sensibilisation sur la place publique
dans le but de faire la promotion de la santé.
Pour la première fois, les 4 et 5 novembre 2009,
cardiologues, kinésiologues, nutritionnistes et
infirmières de l’établissement étaient sur la
Grande-Place du Complexe Desjardins afin de
faire le point sur les maladies cardiovasculaires.
Près de 4000 personnes les ont consultés
aux kiosques d’information; 450 d’entre elles
ont fait dresser le bilan de leur santé
cardiovasculaire en suivant un parcours
où poids, tour de taille, cholestérol, tension
artérielle, bref tous les facteurs de risque étaient
mesurés. Des médecins du CHUM ont donné
des conférences-midi et des professionnels de
la santé ont animé un quiz santé.
L’accent était mis sur l’importance de manger
sainement, de faire de l’exercice et d’arrêter de
fumer. « Je souhaiterais que les patients changent
leurs habitudes de vie bien avant de se trouver
dans une unité coronarienne, à la suite d’une
crise cardiaque », lance le Dr George Honos.
Le cogestionnaire médical du regroupement
cardiovasculaire et chef du Service de cardiologie
du CHUM souligne que l’épidémie d’embonpoint et
d’obésité favorise l’apparition du diabète de type 2
dès la vingtaine. Or, 80 % des diabétiques risquent
de développer des maladies cardiovasculaires.
Le Dr Honos soutient que le diabète a supplanté
le tabagisme comme principale cause de ce fléau.
Vous pouvez visionner un reportage sur
l’événement à youtube.com/user/chumontreal.
« La prévention devrait
comm encer à un jeune
âge, par les exercices
physiques à l’école,
la bonne nutrition et
le bon exemple que
donnent les parents. »
— Le Dr George Honos
Journées de sensibilisation
aux maladies cardiovasculaires
Une avant-prem ière
bénéfique
La Fondation du CHUM compte parmi les cinq
fondations hospitalières qui se partagent les 361 119,24 $
amassés le 14 janvier dernier, dans le cadre de l’Avant-
Première Bénéfice du Salon International de l’Auto 2010 de
Montréal (SIAM). Il s’agit d’une hausse de plus de 17 000 $
par rapport à l’an dernier. L’argent recueilli servira à
l’acquisition d’équipements de pointe pour le CHUM, ainsi
qu’au soutien d’activités de promotion de la santé, de
recherche et d’enseignement. Merci à nos partenaires :
CIMA +, CIM — Conseil en immobilisation, le Service de
cardiologie du CHUM et SITQ.
De gauche à droite, Normand Rinfret, Fondation du Centre
universitaire de santé McGill; Gilles Dulude, président du conseil
d’administration de la Fondation du CHUM; Rémy L. Rousseau,
Fondation de l’Hôpital Pierre-Boucher; Nicolas Di Tempora, Fondation
Santa Cabrini; Robert Bastien, Fondation de l’Hôpital du Sacré-Cœur
de Montréal; Carole Leblanc, présidente du Salon International de
l’Auto de Montréal 2010; Marc Tremblay, président-directeur général
du Palais des congrès de Montréal; Raymond Bouchard, porte-parole
de la soirée Avant-Première Bénéfice du SIAM
Le D
r
George Honos et un passant qui s’informe à propos des maladies cardiovasculaires
Photo : Production Multimédia – CHUM
Rassurante télésurveillance
Il suffit d’un bracelet ou d’un pendentif lié à un système de
télésurveillance pour rassurer la personne âgée, malade ou vivant seule.
Le service d’alerte médicale Philips Lifeline lui permet en effet d’être
secourue 24 heures sur 24, sept jours sur sept. Dès que le bouton intégré
au bijou est actionné, le téléphoniste envoie les services d’urgence
même si la personne en détresse n’est pas en mesure de parler.
Pour plus de renseignements,
composez le 514 344-2171 ou le 1 877 461-0988.
Une partie des profits est versée à la Fondation du CHUM.

Bien manger, faire de l’exercice et cesser de
fumer. Ce sont les préceptes de base que les
membres de l’équipe du Centre de cardiologie
préventive (CCP) du CHUM tentent d’inculquer à
leurs patients, tant en prévention primaire auprès
de ceux qui n’ont jamais eu de malaises cardiaques,
qu’en prévention secondaire auprès des personnes
qui, par exemple, ont fait un infarctus ou subi des
pontages coronariens. « On sait qu’un patient qui
participe à un programme de réadaptation réduit
de beaucoup les risques de récidive », explique la
Dre Sylvie Legault, cardiologue et directrice du CCP.
Au gymnase de l’Hôtel-Dieu du CHUM, les
patients ont accès à des appareils d’entraînement
cardiovasculaire et de musculation. Ils bénéficient
en outre des conseils de quatre kinésiologues
spécialement formés pour intervenir auprès
de la population cardiaque. Des appareils de
télémétrie permettent de surveiller les patients
les plus à risque. Deux nutritionnistes leur
expliquent les bienfaits d’une saine alimentation.
Une psychologue est également à leur service.
Une infirmière praticienne, qui se joindra sous
peu à l’équipe, aura pour tâche d’enseigner
aux patients les facteurs de risque et la façon
de modifier leurs habitudes de vie. Enfin, cinq
cardiologues travaillent au CCP. De concert avec
les médecins traitants, ils peuvent modifier la
médication au besoin et assurer le suivi entre
les visites médicales.
L’équipe du D
r
Bernard Brais, neurogénéticien
au Centre de recherche du CHUM, a réussi un
véritable tour de force. En effet, les chercheurs
ont non seulement décrit cliniquement une
nouvelle forme de dystrophie musculaire, mais
ont découvert où se situe le gène responsable
et identifié les mutations pathogéniques. C’est
la première fois au Québec qu’une même équipe
réussit à effectuer ces trois étapes dans le
domaine des dystrophies musculaires. Avec l’aide
de collaborateurs européens, les chercheurs
québécois ont identifié les premières mutations
récessives dans le gène Anoctamine 5 (ANO5).
Les malades sont porteurs de deux mutations,
l’une venant de leur père, l’autre de leur mère.
« Une meilleure compréhension du rôle de la
protéine ANO5, absente chez ces malades,
pourrait mener à des découvertes ayant un
impact sur le traitement de plusieurs dystrophies
musculaires où la réparation de la membrane des
fibres musculaires est défectueuse », explique le
D
r
Brais. Selon l’organisme Dystrophie musculaire
Canada, ces maladies neuromusculaires sont
caractérisées par une faiblesse et une atrophie
progressives des muscles volontaires qui
contrôlent les mouvements du corps.
Une affaire de cœur
Un pas de plus vers le traitement
des dystrophies musculaires
La D
re
Sylvie Legault (au centre) et l’équipe du Centre de cardiologie préventive du CHUM
Une patiente organise
un concert-bénéfice
Danielle Lepage (troisième à partir de la gauche)
est atteinte de la neuropathie héréditaire sensitive et
autonomique de type 2 (NHSAII), une maladie qui rend
son corps extrêmement fragile. Le concert-bénéfice
qu’elle a organisé dans la région de Lanaudière lui
a permis d’amasser 6 515 $ au profit du laboratoire
de neurogénétique de son médecin traitant, le
D
r
Bernard Brais. Mme Lepage est entourée de
Nathalie Nahmiash (à l’extrême gauche), directrice
du développement philanthropique de la Fondation
du CHUM, de Carmen Desjardins, membre du comité
organisateur du concert-bénéfice, et du D
r
Brais.
Photo : Hernan Vietri
Photo : Production Multimédia – CHUM

Le Prix international de médecine 2010 du
roi Fayçal a été accordé aux D
rs
Jean-Pierre
Pelletier et Johanne Martel-Pelletier, médecins
chercheurs du Centre de recherche du CHUM
et professeurs à la Faculté de médecine de
l’Université de Montréal. Ils partagent cet
honneur avec le professeur Reinhold Ganz, de
l’Université de Berne, en Suisse. Depuis bientôt
30 ans, les D
rs
Pelletier et Martel-Pelletier
consacrent leurs travaux à la compréhension
de l’arthrose, l’une des maladies dégénératives
les plus débilitantes. À la fois surpris et
honorés, ces derniers souhaitent que d’une
telle reconnaissance découle une véritable
compréhension vis-à-vis de l’importance
de la recherche en tant qu’outil essentiel
pour la prévention et le traitement des
maladies. La cérémonie de remise des prix
aura lieu en mars prochain à Riyadh sous les
auspices du roi d’Arabie saoudite, Abdallah
ben Abdelaziz Al Saoud, et de la Fondation
du roi Fayçal, créée en 1976.
Persuadé que les gens sont sensibles à
l’art, le D
r
Robert Provencher a fait don d’un
tableau de l’artiste peintre Gilles Bossé, afin
qu’il soit accroché au Département de radio-
oncologie. L’omnipraticien et spécialiste en
médecine de voyage à la Clinique Santé-voyage
de la Fondation du CHUM estime que la toile
intitulée « L’été indien » saura apaiser les
souffrances des patients et de leurs proches.
Les dons de biens immobiliers et d’œuvres
d’art, communément appelés « dons
en nature », constituent une autre
façon d’aider la Fondation à soutenir
le CHUM. La somme d’argent
admissible pour déduction fiscale est
établie par un expert indépendant,
qui remet un rapport écrit à la
Fondation.
Deux chercheurs montréalais
mondialement reconnus
L’art peut apaiser les souffrances
Les D
rs
Jean-Pierre Pelletier et Johanne Martel-Pelletier
Le D
r
Robert Provencher; le D
r
Jean-Pierre Guay,
chef par intérim du Département de radio-oncologie
du CHUM; Jean-Pierre Brunet, directeur de la
campagne annuelle de la Fondation du CHUM
Photo : Production Multimédia – CHUM
Photo : Hernan Vietri
Convaincu que les gens d’affaires doivent unir
leurs efforts pour que l’installation du CHUM au
centre-ville se concrétise, André Cyr a décidé de
donner l’exemple. C’est ainsi qu’en 2008 et 2009,
le président de Fisc-Cap services conseils inc.
a accepté l’invitation de son bon ami Luigi
Liberatore d’investir temps et argent pour que le
Dîner gastronomique de la Fondation du CHUM
soit une réussite. Ensemble, ils ont réussi à
amasser plus d’un million de dollars pour ces
deux événements. André Cyr a également mis à
profit son vaste réseau de connaissances pour
l’Avant-Première Bénéfice du Salon de l’Auto
de Montréal 2009.
Même si son emploi du temps demeure
chargé, l’homme d’affaires membre de la
plus prestigieuse association internationale
d’assureurs, la Million Dollar Round Table, se
fait un devoir de toujours encourager son
entourage à donner à la Fondation du CHUM.
« Les médecins et les chercheurs du CHUM
ont besoin d’appuis financiers pour continuer
à guérir les patients et faire des découvertes. Il
faut que ceux qui connaissent des gens d’affaires
influents les poussent à l’action afin qu’ils soient
partie prenante du projet du CHUM. Ça prend
des donateurs généreux, qui contribuent à
plusieurs reprises! »
Un appel aux
gens d’affaires
Photo : Production Multimédia – CHUM
André Cyr

Le 23 janvier 2010, le Dr Alain Bouthillier,
neurochirurgien au CHUM, a accompli un double
exploit : atteindre le sommet de l’Aconcagua
et amasser la rondelette somme de 65 695 $
pour la recherche sur l’épilepsie.
Le Dr Bouthillier se classe parmi les 20 %
des grimpeurs qui réussissent chaque année
l’ascension des 6962 mètres du plus haut
sommet de la cordillère des Andes — une
expédition d’une durée de trois semaines! Mais
pour lui, il s’agissait de beaucoup plus qu’un
défi sportif. Il voulait également sensibiliser
la population à l’épilepsie et recueillir des
fonds pour soutenir la recherche sur cette
maladie. Pendant qu’il affrontait le « Colosse
des Amériques », collègues, patients et gens
d’affaires se sont mobilisés pour l’aider à
réussir sa collecte de fonds, organisée avec
l’appui de la Fondation.
Le D
r
Bouthillier fait partie de l’équipe dédiée
au traitement de l’épilepsie au CHUM, l’un
des principaux regroupements de cliniciens
et de professionnels au Québec qui traitent
les personnes atteintes de cette maladie.
Avec le D
r
Dang Khoa Nguyen, neurologue, le
D
r
Bouthillier est l’un des investigateurs d’une
étude publiée en juin dernier à la une du Journal
of Neurosurgery, portant sur la chirurgie de
l’insula pour les patients souffrant d’épilepsie
réfractaire à la médication. Cette chirurgie, mise
de côté depuis les années 1950, a récemment
été utilisée à nouveau avec succès grâce à une
technique de microchirurgie de pointe combinée
à une meilleure connaissance de l’anatomie du
cerveau. Le D
r
Bouthillier a notamment opéré
une jeune femme qui faisait régulièrement des
épisodes épileptiques et qui, en raison de la
lourde médication qu’elle devait prendre, avait dû
renoncer à devenir enceinte. Depuis sa chirurgie,
elle a cessé de prendre des anti-convulsants;
non seulement elle n’a plus eu de crises, mais
elle a pu mettre au monde son premier enfant.
Au Québec, on estime qu’environ 70 000
personnes souffrent d’épilepsie. Heureusement,
il existe plusieurs traitements. « Il reste toutefois
encore beaucoup à faire, déclare le D
r
Bouthillier.
La recherche permet de découvrir de nouveaux
traitements et d’améliorer la qualité de vie des
patients atteints d’épilepsie. »
Ascension de l’Aconcagua : 65 695 $
amassés pour la recherche sur l’épilepsie
Le D
r
Bouthillier et Isabelle Tremblay, infirmière à la salle de réveil au CHUM, posent fièrement au sommet de l’Aconcagua.
Grâce à la chirurgie de l’insula, Tanya a pu cesser de prendre des
anti-convulsants et donner naissance à son premier enfant.
Photo : Berg Adventures International
Photo : Production Multimédia – CHUM
Photo : Jocelyn Malette – Journal de Montréal
À mon arrivée au CHUM, j’ai pris la mesure
de l’importance de notre fondation et de
sa synergie avec le CHUM. C’est donc avec
beaucoup d’enthousiasme que je signe cette
première chronique dans Le donataire.
D’ores et déjà, nous le savons, la contribution
de la Fondation du CHUM permet d’améliorer
la qualité de l’environnement hospitalier et de
disposer d’équipements de pointe.
Des grandes initiatives qui soutiennent le
financement d’importants travaux de recherche
aux petits gestes qui contribuent à offrir les
meilleures conditions d’hospitalisation, l’appui
de la Fondation permet d’en faire plus. Plus de
formation, notamment par l’attribution de
bourses d’étude dans des secteurs très pointus.
Plus de recherche, parce que c’est le domaine
d’excellence d’un hôpital académique comme
le CHUM. Et une plus grande qualité de vie,
tant pour les patients que pour le personnel.
Je pense ici notamment au Fonds de qualité
de vie des employés.
La Fondation, par son action exemplaire,
accompagne donc le CHUM dans sa quadruple
mission de soins, d’enseignement, de recherche
et de promotion de la santé. Elle est un des
leviers de la dynamique du CHUM.
Dans les mois qui viennent, la Fondation
jouera aussi un rôle crucial dans la réalisation
d’un projet qui me tient beaucoup à cœur : la
construction du nouveau Centre de recherche du
CHUM (CRCHUM), un centre de calibre mondial
qui répondra aux besoins de nos chercheurs
actuels et futurs. Dans une prochaine chronique,
j’aborderai plus largement les enjeux de la
recherche et l’importance de la Fondation du
CHUM dans la réalisation de ce volet essentiel
de notre mission.
Chronique de
Christian Paire
Directeur général
du CHUM
Billet