novembre 2oo9
MAR 10 - MER 11 - JEU 12 - VEN 13
valse-Fantasie
Chorégraphie
Alexeï Ratmansky (2009)
Musique
Mikhaïl Glinka
Valse-Fantasie, version pour orchestre
Lumières
Jennifer Tipton
Costume
Deanna Berg MacLean
Interprété par Mikhaïl Baryshnikov
Solo créé le 2 mai 2009 par Mikhaïl Baryshnikov
à l’Opéra national de Riga (Lettonie).
Durée : 9’
solo For two (extrait)
Chorégraphie Mats Ek (1996)
Musique Arvo Pärt
(Für Alina, Für Arinushka, Spiegel im Spiegel)
Lumières Erik Berglund
Décor et costumes Peter Freiij
Interprété par Ana Laguna
avec Mikhaïl Baryshnikov
Pas de deux créé pour la Télévision suédoise (sous le
titre de Smoke) et repris à la scène le 29 mars 1996
par le Ballet Cullberg à Ljusdal (Suède). Dansé égale-
ment par le Ballet de l’Opéra de Lyon, depuis 1998.
Durée : 8’
years later
Chorégraphie Benjamin Millepied (2006-09)
Musique Philip Glass
(Mélodies for Saxophones nos 10, 2, 13 et 12)
Lumières Jennifer Tipton
Images (film et vidéo) Asa Mader
Concept vidéographique original
Olivier Simola
Directeur de la photographie
Ghasem Ebrahimian
Costume Marc Happel
Interprété par Mikhaïl Baryshnikov
Solo créé le 8 juin 2006 par Mikhaïl Baryshnikov
à l’Université de Buffalo (état de New York/ USA).
Nouvelle version le 2 mai 2009 à Riga (Lettonie).
Cette reprise de Years Later a reçu le soutien généreux de Michèle et Steve Pesner
Durée : 12’
Entracte
place
Chorégraphie Mats Ek (2007)
Musique
Fläskkvartetten (Flesh Quartet)
Scénographie Peter Freiij
Lumières Erik Berglund
Interprété par Ana Laguna
et Mikhaïl Baryshnikov
Pas de deux créé le 27 août 2007 par Ana Laguna
et Mikhaïl Baryshnikov à la Maison de la Danse de
Stockholm (Suède)
Durée : 22’
Festival
ici on
Danse
Production Baryshnikov Arts Center
Réunissant la perfection du danseur classique et la liberté du danseur moderne, Michaïl
Baryshnikov a su enrichir sa carrière de diverses aventures contemporaines. Aujourd’hui,
Michaïl Baryshnikov, producteur, acteur et même photographe, est encore et toujours dan-
seur. Il a demandé au chorégraphe suédois Mats Ek, dont il admire les œuvres, de “composer
quelque chose pour un homme de [son] âge“. Ce sera Place, un duo spécialement conçu pour
lui et Ana Laguna, autre icône de la danse, interprète-créatrice et inspiratrice de la plupart
des ballets de Mats Ek. S’ajoutent à cette rencontre unique, trois solos : l’un pour Ana Laguna
(tiré de Solo for Two de Mats Ek) et deux créations pour lesquelles Michaïl Baryshnikov a sol-
licité deux jeunes chorégraphes. Le premier est russe, Alexeï Ratmansky qui vient de quitter la
direction du Bolchoï pour être chorégraphe-résident à l’ABT/ American Ballet Theatre. L’autre
est français, Benjamin Millepied, formé au CNSMD de Lyon et actuellement danseur-soliste au
New York City Ballet (il a, à son actif, une vingtaine de chorégraphies). A découvrir à Lyon,
pour la première fois en France. JLB
en 1948 à Riga en Lettonie alors in-
cluse dans l’URSS il commence la danse
à 9 ans dans sa ville natale, part se per-
fectionner à l’Ecole Vaganova de Léningrad
et entre à 18 ans dans la troupe du Kirov,
il est vite reconnu comme l’un de ses
plus brillants solistes. Après son passage
à l’Ouest, Mikhaïl Baryshnikov devient la
star de l’American Ballet Theatre à New
York (1974-1979), travaillant aussi avec
Paul Taylor, Alvin Ailey, Martha Graham. Il
est invité au New York City Ballet il est
l’interprète de George Balanchine et Jerome
Robbins (1979-1980).
Se produisant en France (avec Roland Petit),
à Londres (avec Frederick Ashton et Kenneth
MacMillan) et sur toutes les grandes scè-
nes internationales (il a dansé son dernier
Albrecht dans Giselle à l’Opéra Garnier,
avec Monique Loudières le 22 mai 1985),
il revient à l’ABT comme directeur artistique
en 1980 (jusqu’en1989). Il s’associe Twyla
Tharp, qui lui avait déjà façonné sur mesure
un Push Comes To Shove (1976), le faisant
passer du ballet classique aux musicals de
Broadway. Il y chorégraphie notamment ses
versions de Casse-Noisette, Don Quichotte,
Le Lac des cygnes.
On le voit acteur au cinéma dans The Tur-
ning Point (1977) et White Nights (1985),
sur scène dans Metamorphosis (1989), et
beaucoup sur les écrans de télévision (shows
pour lesquels il a reçu successivement trois
Emmy Awards).
En 1990, il fonde avec Mark Morris le
“White Oaks Dance Project“, aidant par
sa notoriété les chorégraphes contempo-
rains à se trouver un public plus large, fai-
sant redécouvrir le patrimoine chorégraphi-
que américain (de José Limón à Dana Reitz).
En 2000, il présentait un programme consa-
cré aux post-modern et à l’avant-gardisme
des années 60, avec des pièces de Simone
Forti, Yvonne Rainer, Lucinda Childs, Steve
Paxton, David Gordon et Trisha Brown.
En 2005, il fonde le Baryshnikov Arts
Center/ BAC, produisant des spectacles,
et pas seulement les siens, mais aussi ceux
de jeunes créateurs (chorégraphes, comé-
diens, musiciens, cinéastes et plasticiens).
Ce centre situé à New York 450 West
37th Street – dispose d’un bâtiment compor-
tant quatre studios de danse et un amphi-
théâtre de 300 places : le Jerome Robbins
Theater.
Mikhaïl Baryshnikov pratique la photogra-
phie depuis 1980, a publié un album, Mo-
ments in Time, et plus récemment Merce, My
Way, consacré à Cunningham.
TRANSFUGE DU KIROV, TOUT COMME RUDOLF NOUREEV L’AVAIT FAIT TREIZE ANS
AUPARAVANT, MIKHAÏL BARYSHNIKOV A DEMANDÉ L’ASILE POLITIQUE (LORS D’UNE
TOURNÉE AU CANADA) EN 1974. DEPUIS, IL VIT AUX ETATS-UNIS.
ANA LAGUNA EST NÉE À SARAGOSSE EN ESPAGNE. ELLE Y COMMENCE LA DANSE
CLASSIQUE À L’ÉCOLE DE MARIA DE AVILA.
mikhaïl baryshnikov
l e s i n t e r p r è t e s
ana laguna
En 1974, elle est engagée au Ballet Cullberg
à Stockholm (Suède), la compagnie fondée
et dirigée par Birgit Cullberg. Elle y danse,
outre les ballets de la chorégraphe, ceux de
Mats Ek, son fils qui commence à réaliser
des chorégraphies, et les œuvres des cho-
régraphes invités : Christopher Bruce, Mau-
rice Béjart, Nacho Duato, Ohad Naharin,
William Forsythe et Jirí Kylián. Ana Laguna
effectue d’ailleurs une saison (1980-1981)
au Nederlands Dance Theater dirigé par
Jirí Kylián – à La Haye. Elle revient au Ballet
Cullberg et devient l’inspiratrice des créa-
tions de Mats Ek, qui a succédé à sa mère,
à la tête de la compagnie : Giselle (1982),
Le Lac des cygnes (1987), Etres lumineux
(1991), Carmen (1992).
Quand Mats Ek quitte la direction du Ballet
Cullberg, elle le suit dans ses nouvelles aven-
tures théâtrales et chorégraphiques.
Actuellement, elle enseigne, et remonte les œu-
vres de Mats Ek pour diverses compagnies.
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C’est une sorte de théâtre satirique du banal et
de la monotonie. Autour d’une table posée sur
un tapis, se déroule toute une vie à deux, avec
sa routine, ses mesquineries souvent risibles.
Mais le mouvement chassant l’ennui, renversant
l’espace, faisant exploser le cadre domestique
amène le plaisir, toutes épreuves surmontées,
d’être encore là et de vivre.
Adaptation pour la scène de Smoke, un duo
réalisé pour la télévision en 1995 (avec Sylvie
Guillem et Niklas Ek), Solo for two met à nu,
avec férocité et tendresse, les difficultés de la
vie en couple que le quotidien, avec son lot
d’agacements et de trivialités, use à petit feu,
pour ne laisser qu’une solitude à deux : ni avec
toi, ni sans toi.
MATS EK (NÉ EN 1945 À MALMÖ/SUÈDE), FILS DE BIRGIT CULLBERG* DANSEUSE
ET CHORÉGRAPHE, FONDATRICE DE LA COMPAGNIE QUI PORTE SON NOM ET
D’ANDERS EK ACTEUR DE THÉÂTRE ET DE CINÉMA, QUE L’ON A VU DANS LES FILMS
D’INGMAR BERGMAN —, S’ORIENTE D’ABORD VERS LE THÉÂTRE, TOUT EN SUIVANT
LES COURS DE DANSE DE DONYA FEUER (AMÉRICAINE, PRATIQUANT LA TECHNIQUE
GRAHAM, INSTALLÉE À STOCKHOLM).
mats ek
l e s c h o r é g r a p h e s l e s b a l l e t s
PLACE
SOLO FOR TWO
Beaucoup de choses me
rattachent à Ana et Mats...
Il y a une honnêteté plutôt
rare chez l’un comme chez
l’autre... Danser du Mats Ek,
c’est difficile, son écriture
est assez “brutale“ pour le
corps ! Mais ce n’est pas
seulement des pas, c’est une
histoire que l’on partage.
J’aime l’idée que Place, ce
duo autour du couple et ses
aléas, rappelle au specta-
teur quelque chose d’in-
time, l’impression d’avoir
vécu cela de l’intérieur.“
Mikhaïl Baryshnikov
Propos recueillis par Philippe Noisette,
in la revue Danser - octobre 2008
De 1966 à 1973, il réalise des mises en
scène pour le théâtre de marionnettes de
Stockholm et le Théâtre royal. Il se laisse
convaincre par sa mère de reprendre la
danse. Il fait une saison (1974-75) au Ballet
de Düsseldorf, puis intègre le Ballet Cull-
berg l’année suivante. Il commence à cho-
régraphier : L’Ordonnance (1976) d’après
le Woyzeck de Büchner, Saint-Georges et le
Dragon sur l’impérialisme, et Soweto (1977)
sur l’apartheid, disent déjà son engagement
de “citoyen du monde“ et retiennent l’atten-
tion de la critique internationale.
En 1980, Mats Ek assume les fonctions de
co-directeur artistique de la compagnie avec
sa mère, et en 1985, lorsque celle-ci se reti-
re définitivement, il en reste le seul directeur.
Ses “relectures“ audacieuses et virulentes
de La Maison de Bernarda (1978), Giselle
(1982), Le Sacre du printemps (1984), Le
Lac des cygnes (1987), Carmen (1992), La
Belle au bois dormant (1996) confirment son
talent à creuser les apparences pour faire
jaillir la psychologie tourmentée des person-
nages et bousculer les conventions du ballet.
Ses fables surréalistes comme Vieux enfants
(1989) ou Etres lumineux (1991) transpo-
sent, dans l’étrange, les relations complexes
qui peuvent s’établir entre les gens.
Depuis qu’il a quitté la direction du Ballet
Cullberg (1993) et qu’il travaille en free-lan-
ce, Mats Ek s’attache à dénoncer les maux
de notre société à travers les difficultés du
couple et les petits drames au quotidien : A
Sort of... (1997) pour le Nederlands Dans
Theater, Appartement pour l’Opéra de Pa-
ris, Fluke (2002) au répertoire du Ballet de
l’Opéra de Lyon, Aluminium pour la Com-
pañia Nacional de Danza / Nacho Duato
(2005), Place pour Ana Laguna et Mikhaïl
Baryshnikov (2007), Radis noir (2008) pour
le Ballet de l’Opéra royal de Suède.
Il a également effectué un retour au théâtre,
en produisant Danse avec ton prochain
(1995), Johanna sur Jeanne d’Arc (1998)
et mettant en scène Molière, Racine, Sha-
kespeare, Strindberg, ainsi que l’opéra de
Gluck Orphée et Eurydice.
En vingt ans, il a imposé sa vision caustique
des comportements humains, dans un style
personnel qui exacerbe le mouvement, char-
geant le corps des désarrois de l’âme.
* Birgit Cullberg (1908-1999), figure marquante de la danse en Suède, formée à la fois à la danse classique et à la
danse moderne (avec Kurt Jooss et aussi Martha Graham), fonde son premier groupe en 1939, et atteint la renommée
internationale avec ses ballets Miss Julie (1950), Lady from the Sea (1960) pour l’American Ballet Theatre, Roméo
and Juliet (1969) pour le Ballet Cullberg, né officiellement en 1967.
Textes : © Josseline Le Bourhis
L’Ora national de Lyon est conventionné par le ministère de la Culture et de la Communication, la Ville de Lyon,
le conseil régional Rhône-Alpes et le conseil général du Rhône.
OPÉRA DE LYON : DIRECTEUR GÉNÉRAL serge Dorny DIRECTEUR DE LA DANSE yorgos loukos
Il a commen, parallèlement, à réaliser des
chorégraphies pour le Het Nationale Bal-
let d’Amsterdam, le Ballet Royal de Suède
à Stockholm, le Kirov/ Mariinski de Saint-
tersbourg, le New York City Ballet, le San
Francisco Ballet, le Ballet national de Georgie
(que dirige maintenant Nina Ananiashvili) :
il y a créé notamment Rêves du Japon qui a
reçu le prix Golden Mask“, décer par la
critique du spectacle en Russie (1998).
Nommé, à 36 ans, directeur du Ballet du Bol-
chà Moscou (2004), il s’y est emplo à
“rafraîchir“ le patrimoine chorégraphique de la
compagnie (Le Lac des cygnes, Le Corsaire),
s’est penché sur les ballets “oubliés“ des an-
nées 30 à 50 (Le Clair Ruisseau en 2003,
Le Boulon en 2005, Jeu de cartes en 2007,
Flammes de Paris en 2008), un renouveau
apprécié, qui lui a permis d’inviter aussi à
Moscou, outre Roland Petit et Béjart (que Iouri
Grigorovitch avait introduits), Neumeier,
MacMillan, Forsythe et Twyla Tharp.
Alexeï Ratmansky a quitté le Bolchoï en 2008
pour se consacrer davantage à la création.
IIl est, actuellement, chorégraphe-résident à
l’American Ballet Theatre/ ABT à New York.
En 1994, il est choisi par Jerome Robbins
pour créer sur la musique de Jean-Sébastien
Bach 2 & 3 Part Inventions. Depuis, il est
entré au New York City Ballet, dont il est
devenu “principal“ (soliste). En parallèle, il
a commencé à réaliser des chorégraphies
dès 2001 : Passages pour les élèves du
CNSMD de Lyon, Double Aria en 2005 et
Quasi una Fantasia en 2008 pour le New
York City Ballet, re-lectures de Casse-Noiset-
te et de Petrouchka pour le Ballet du Grand
Théâtre de Genève, Amoveo en 2006 et
Triade en 2008 pour le Ballet de l’Opéra
de Paris, From here on out en 2007 et Eve-
rything doesn’t happen at once en 2009
pour l’American Ballet Theatre. Il a fondé
son groupe “Danses Concertantes“, qui s’est
C’est un solo sur le désir, la nostalgie et l’abandon sans regret. En écho à la composition
musicale : Mikhaïl Glinka (1804-1857) – considéré comme le “père de la musique russe“
a écrit cette pièce en 1839, après son mariage qui ne fut pas heureux. Parti à l’étranger
quelque temps, en chérissant le souvenir de ce qu’il a quitté, il revient au pays, près de son
épouse, mais le plaisir fait place à la déception.
alexeï ratmansky
benjamin millepieD
VALSE-FANTASIE
Quand j’étudiais la danse à
l’école du Bolchoï, il nous était
interdit de parler de Mikhaïl Baryshnikov
qui avait “fui“ l’URSS. On regardait
ses vidéos en cachette, et on admi-
rait sa danse si accomplie. Quand il
ma demandé de lui chorégraphier
un solo, je n’en suis pas revenu, et
ai pen que javais beaucoup de
chance... Après tout, le dernier russe
avec lequel il ait travaillé, c’est George
Balanchine, en 1980, à New York.
Alexeï Ratmansky
ALEXEÏ RATMANSKY (NÉ À SAINT-PÉTERSBOURG EN 1968) A ÉTÉ DANSEUR AU BALLET
NATIONAL D’UKRAINE, PUIS AU ROYAL BALLET DE WINNIPEG (CANADA), ET ENFIN
SOLISTE AU BALLET ROYAL DU DANEMARK (2003).
À BORDEAUX (EN 1977), BENJAMIN MILLEPIED A COMMENCÉ LA DANSE À 8
ANS, AVEC SA MÈRE, ELLE-MÊME DANSEUSE. IL POURSUIT SES ÉTUDES AU CONSERVA-
TOIRE NATIONAL SUPÉRIEUR DE MUSIQUE ET DE DANSE DE LYON ET PART, EN 1992,
SE PERFECTIONNER À LA SCHOOL OF AMERICAN BALLET À NEW YORK.
* Cinéaste (formée à la Brown University et à la Tisch School of the Arts à New York), Asa Mader réalise principalement
des films sur la danse, des “films-portraits“ d’artistes et d’écrivains, et des installations. Plusieurs de ses films ont été
présentés à la Mostra de Venise et au festival Paris-cinéma.
Une première version de Years Later a été
créée en 2006, puis Benjamin Millepied a
remanié sa pièce en 2009, l’enrichissant
d’un film réalisé par Asa Mader*. Les ima-
ges en ont été puisées dans les archives,
montrant le jeune danseur Baryshnikov. L’in-
terprète d’aujourd’hui peut dialoguer ainsi
avec son double d’hier. Une souriante médi-
tation, qui est aussi une leçon de vie.
YEARS LATER
produit au Sadler’s Wells à Londres, à la
Maison de la Danse de Lyon et à l’Opéra
de Massy. Il est actuellement chorégraphe-
résident au Baryshnikov Arts Center.
ÉQUIPE TECHNIQUE DE LA TOURNÉE
Partenaires
Partenaires d’échange Partenaires médias
Partenaire du projet Kaléidoscope
Mécènes PrinciPaux
Les jeunes à l’Opéra
Mécène fondateur
L'Opéra national de Lyon remercie pour leur généreux soutien, les entreprises mécènes
et partenaires
le club entrePrises de l’OPéra de lyOn
Mécènes de PrOjets
Partenaire de la
Journée Portes Ouvertes
Partenaire de la
création d’Emilie
Cercle
Kazushi Ono
Soutien à la tournée
du Ballet aux Etats-Unis
FestiVal
ici On
danse
Direction de production/ Régie générale Will Knapp
Responsable de la compagnie Thomas Ward
Responsable des lumières Leo Janks
Responsable de la vidéo et du son Tei Blow
Kinésithérapeute Sandra Foschi (Health SOS)
Ba r y s h n i k o v ar t s Ce n t e r / BaC
Directeur artistique Mikhaïl Baryshnikov
Délégué général Stanford Makishi
Responsable des activités Huong Hoang
Direction des Relations publiques Tracy Williams
Directeur technique Pamela Rapp
Responsable du mécénat Kristen Miles
Assistante du délégué général Eleanor Wallace
Administrateur artistique Pedja Muzijevic
Cr é d i t s p o u r Ye a r s La t e r
Corinne Golden, producteur - Wataru Kitano, éditeur - Olivier Simona, archives - Dug Winningham, son
- Jonathan Wolff, chef électricien - Mike Indursky, assistant pour les projections - Emily Wirth, adjointe aux
lumières - Maegan Aja, Amanda Feuer, assistantes de production - Stephan Craseanscki, photographe
re m e r C i e m e n t s à Eastman Kodak Company, Du-All Camera, CECO, PostWorks SoHo: Jonathan Hoffman,
Shannon K. Hall, Roger Doran, John Gardiner, Cinelab: Robert Houllahan and Bill Chandler; Andrew
Martin.
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