Thème 1 TS spécifique LA TERRE DANS L`UNIVERS, LA VIE ET L

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Thème 1 TS spécifique
LA TERRE DANS L’UNIVERS, LA VIE ET L’EVOLUTION DU VIVANT
Définition : terre, univers, vie, évolution, vivant
Restitution des acquis, accroche
Savoir communiquer, savoir restituer des connaissances acquises dans les classes antérieures…
Notion d’être vivant, cellule information génétique
Partie I thème 1
Le domaine continental et sa dynamique
Savoir communiquer, savoir restituer des connaissances acquises dans les classes antérieures
- Enveloppes de la terre
- Roches de la terre cc : granite, co : basalte + gabbro ; manteau : péridotites
- Plaques lithosphériques
- Définition : ductile, dorsale, plaque lithosphérique, rigide, structure grenue, structure microlithique
- connaître l’épaisseur des couches : ondes sismiques
La Terres est divisée en différentes enveloppes : la lithosphère et l’asthénosphère. La lithosphère composée de la croûte
océanique et continentale repose sur le manteau supérieur et est fragile.
Le gabbro et le basalte sont les principales roches de la co, le granite de la cc. Le manteau est constitué de péridotites.
La lithosphère avec son comportement rigide se distingue de l’asthénosphère qui a un comportement plutôt ductile.
- Mouvement des plaques
Les plaques lithosphériques sont en rotation sur la sphère terrestre se déplacent relativement les unes par rapport aux autres par
des mouvements de divergence, de convergence, de coulissage.
- évolution en surface la croûte continentale
- Erosion
Les roches en surface sont soumises à l’action de l’eau, elles s’érodent et les minéraux de ces roches sont altérés.
Problème :
Quelles sont les caractéristiques du domaine continental ?
Quels sont les mécanismes à l’origine de la formation des chaînes de montagne ?
Comment le magmatisme de subduction participe t-il à l’augmentation des zones du domaine continental ?
Comment la formation des chaînes de montagnes, érosion et sédimentation contribuent-elles à un recyclage permanent du
domaine continental ?
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Chap1 thème 1
LA CARACTERISATION DU DOMAINE CONTINENTAL : LITHOSPHERE CONTINENTALE, RELIEFS ET EPAISSEUR CRUSTALE
Photo terre, différence domaine continental et océanique
Reliefs
Savoir communiquer, s’informer, s’exprimer
Le domaine continental diffère du domaine océanique par sa croûte qui est émergée dans l’un et immergée dans l’autre..
Le domaine continental est ainsi émergé avec des zones d’altitudes très diverses, des reliefs qui peuvent être importants comme
dans les chaînes de montagne.
Problème :
Comment expliquer les reliefs continentaux ?
I- La lithosphère en équilibre sur l’asthénosphère :
Quelles sont les forces verticales qui agissent sur le relief ?
A- L’isostasie :
TP1-chap1-TS LA LITHOSPHERE EN EQUILIBRE SUR L’ASTHENOSPHERE
En 1912 Alfred Wegener a proposé sa théorie de la dérive des continents grâce entre autre à des indices de mouvements verticaux
des continents.
Comment la mobilité verticale de la lithosphère peut-elle être mise en évidence et expliquée ?
Capacités et attitudes :
Pratiquer une démarche scientifique
Réaliser, exploiter une modélisation analogique pour comprendre la notion d’isostasie.
Activité 1 chap1 TS : la répartition des masses à l’intérieur du globe : Livre p 144 documents 1 et 2
Saisir des informations, les trier
Savoir mettre en relation les informations, savoir communiquer
Activité 2 chap 1 TS : Modèl analogique d’isostasie : expérience au bureau Livre p 145 document 3
Savoir observer et interpréter
La lithosphère peut-être affectée de mouvements verticaux consécutifs à la mise en place ou la disparition d’une surcharge
(exemple calotte de glace)
Ces mouvements attestent de la rupture provisoire d’un équilibre entre la lithosphère et l’asthénosphère plus déformable et plus
dense. C’est ce qu’on appelle l’isostasie.
Pb : quelles sont les caractéristiques de la croûte continentale
B- Les caractéristiques de la croûte continentale et océanique :
TP2 Chap1 TS
Les caractéristiques de la croûte continentale et océanique
La lithosphère repose en équilibre sur l’asthénosphère. La croûte continentale et océanique sont de nature très différentes. La
surface de la terre est recouverte de 60% de croûte océanique et de 40% de croûte continentale.
En quoi la croûte continentale diffère t-elle de la croûte océanique ?
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Comprendre la manipulation ou proposer une démarche de résolution.
Réinvestir des connaissances
Saisir des informations, les mettre en relation, savoir calculer une densité, savoir adopter une démarche explcative, savoir utiliser un
microscope polarisant
Activité 3 chap1 TS : Les constituants de la croûte continentale et océanique
Recenser, extraire des données
La croûte continentale est principalement formée de roches voisines du granite. Cette roche magmatique est entièrement
cristallisée avec des cristaux visibles à l’œil nus de quartz, de feldspaths et de micas (structure grenue) Sa composition chimique
montre une grande richesse en silice
Activité 4 chap 1 TS : La densité Livre p 147 document3
Saisir des information, les mettre en relation, rédiger
La croûte continentale a une densité plus faible que la croûte océanique.
Activité 5 chap 1 TS : L’épaisseur de la croûte contientale : Livre p 146 document 1
Utiliser des données sismiques pour évaluer la profondeur du Moho
Extraire, exploiter des informations pour déterminer la relation entre altitude du relief et épaisseur de la croûte
Communiquer en rédigeant une synthèse
L’étude de la propagation des ondes sismiques permet de localiser la limite croûte / manteau supérieur et ainsi déterminer
l’épaisseur de la croûte continentale
Epaisse en moyenne de 30 Km, la croûte continentale est plus mince au niveau des marges passives, elle s’amincit au fur et à
mesure que l’on se rapproche de la croûte océanique. Son épaisseur est accrue au niveau des chaînes de montagne (jusqu’à 70
Km). Cet épaississement est lié à la présence d’une racine crustale en profondeur. Moins dense que le manteau, celle-ci permet la
réalisation d’un équilibre isostatique malgré la surcharge crée par le relief.
Exercice 9 p 161 + livre du prof
Activité 6 chap 1 TS : l’âge de la croûte continentale
Déterminer un âge grâce à la radiochronologie
TP3 L’âge de la lithosphère continentale
Comprendre le principe de la datation radiochronologique, savoir utiliser un logiciel
1. Méthode de datation : la radiochronologie
La majeure partie de la lithosphère océanique actuelle est âgée de moins de 200Ma, alors que l’on trouve des roches datant de
3.8 Ga. Cette différence est liée au renouvellement de la lithosphère océanique.
Ces âges sont déterminés par radiochronologie.
Cette méthode repose sur la décroissance radioactive naturelle de certains éléments chimiques présents dans les minéraux qui
constituent les roches.
Ces isotopes ont la particularité de se transformer au cours du temps : l’isotope radioactif père se transformant en un élément fils,
non radioactif.
Quelle que soit la quantité de l’élément père, il faut toujours le même temps pour que cette quantité soit divisée en 2 : c’est la
demi-vie ou période T de cet élément. La désintégration en fonction du temps constitue un géochronotre naturel.
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2. La méthode Rubidium Strontium : livre p 152/153
Saisir des informations, raisonner
Dans la méthode de datation avec le couple Rb Sr la mesure du temps s’effectue en mesurant les rapports isotopiques entre
87Rb/86Sr et 87Sr/86Sr de plusieurs minéraux d’une même roche qui permettent de construire une droite isochrone.
La pente de l’isochrone augmente avec l’âge de la roche car les minéraux qui contiennet plus de 87Rb produisent au cours du
temps d’autant plus de 87Sr
On parle de datation isotopique d’une roche.
Pb : comment mettre en évidence les déformations de la croûte continentale ?
II- Reliefs continentaux et roches déformées :
A- Les structures témoignant d’un épaississement crustal :
Repérer à différentes échelles les indices tectoniques et pétrographiques d’un raccourcissement et d’un enfouissement
Activité 7 Chap1 : les indices structuraux à l’affleurement Livre p 148-149
Activité 8 chap 1 TS : Les indices structuraux dans la paysage livre document 3 p 149
Identifier des structures, mettre en relation des observations, proposer une conclusion
Dans les chaînes de montagne on observe des plis et des failles inverses qui sont des déformations qui s’accompagnent d’un
raccourcissement de la croûte et d’un épaississement de celle-ci du fait de l’empilement des roches. On observe également des
nappes de charriage qui résultent de déplacement de terrains.
Activité 9 chap 1 : les indices pétrographiques de l’épaississement crustal Livre p 150 151
TP 4 Les indices pétrographiques de l’épaississement crustal
Savoir utiliser un microscope polarisant, savoir observer, saisir des informations et les mettre en relation. Savoir adopter une
démarche explicative
Dans les chaînes de montagne affleurent des roches métamorphiques, des roches ayant subies des transformations à l’état solide.
Certains de leurs minéraux sont étirés et/ou disposés dans des orientations privilégiées : la roche est donc déformée. D’autres
minéraux résultent de transformations liées à une augmentation de la pression et de la température auxquelles ces roches sont
soumises, et donc à leur enfouissement.
Certaines roches témoignent d’une fusion partielle de la croûte (augmentation de la pression et de la température liées à
l’enfouissement).
Schéma bilan
Belin Edition 2012
Aller + loin / Histoire des Sciences / Métiers
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