L’industrie bioalimentaire de Montréal possède une grande diversité d’entreprises et d’activités qui la
protège en cas de ralentissement dans un secteur en particulier et qui permet également de saisir les
opportunités reliées au développement subit d’un secteur.
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Le dynamisme de la plupart des entreprises tant au niveau de l’innovation que des investissements.
L’utilisation des technologies dans les entreprises.
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• L’industrie bioalimentaire est soutenue par le Conseil des industries bioalimentaires de l’Île de Montréal
(CIBIM), fondé en 1999, à l’initiative du milieu des affaires et du secteur public. L’organisme a
principalement comme mandat « de promouvoir le développement du secteur bioalimentaire de l’Île de
Montréal ».
La taille du bassin de population, la masse critique de bureaux, entreprises et commerces et l’importance
de la main d’œuvre expliquent le développement d’une industrie bioalimentaire si vivante à Montréal.
Depuis le début des années 90, l’industrie a globalement maintenu son taux de croissance et a même
connu un regain de vigueur récemment, vigueur qui devrait se maintenir à brève échéance. En effet, la
majorité des intervenants de l’industrie prévoient une augmentation de leurs activités et investissements
dans les prochaines années.
Les dépenses en alimentation des Québécois ont augmenté plus rapidement que leur revenu disponible
au cours des cinq dernières années.
La demande alimentaire des autres provinces canadiennes a aussi connu une croissance importante
depuis 1996.
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La modification de la structure démographique à l’échelle de l’Amérique du Nord vient établir de
nouvelles règles pour l’industrie bioalimentaire : le vieillissement de la population, la mutation de la famille
et la diversité culturelle ont des impacts sur les habitudes alimentaires.
Une concurrence de plus en plus vive, dans un monde où les marchés sont presque à maturité et où la
croissance est modérée, font que les gains de parts de marché se font point par point. Des stratégies de
fusions et d’acquisitions sont souvent utilisées pour acquérir de telles parts de marché.
Les fusions et acquisitions en plus de se multiplier, ont tendance, particulièrement dans la distribution, à
déplacer les centres de décisions hors du Québec.
On assiste à une révolution technologique perpétuelle dans le secteur de la transformation
alimentaire, cette révolution permanente touche la conservation des aliments, la qualité, l’innovation dans
les produits, la préparation mais aussi les processus de gestion et la relation fournisseurs - clients. La
technologie exige des investissements continuels pour demeurer compétitif.
Le phénomène de mondialisation touche fortement le secteur bioalimentaire, que ce soit par la
transformation ou par les acquisitions à l’échelle mondiale pour le contrôle d’un marché de plus en plus
vaste. Ce phénomène fait aussi apparaître une concurrence nouvelle sur le territoire de Montréal.
• Les normes, réglementations et accords internationaux changent de plus en plus les règles de la
mise en marché et de la concurrence.
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