1 er DÉJEUNER-
CONFÉRENCE
ÀMONTRÉAL
Date :Jeudi 20 septembre 2007
Heure: De 12 hà14h
Endroit :Hyatt Regency Montréal -Grand salon
Complexe Desjardins, Montréal
Thème :
Coût :Membre:65$
Non-membre:85$
Relever le défi de la croissance
Réservations :Madame Émilie Pétré
514 281-0615, poste 24
514 281-7965
M me Isabelle Courville
Présidente
Hydro-Québec TransÉnergie
Site web :aieq.net
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Exportation et développement Canada
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participer àson assemblée publique annuelle.EDC ytraitera de
l’exécution de son mandat, de sa position financière et de ses plans
futurs.Vous aurez également l’occasion de poser des questions.
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Le public ou les représentants de groupes intéressés sont priés de
s’inscrire àl’avance par téléphone,par courriel ou en ligne :
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La semainedernre avaitlieu, à
Montréal,uneimportante confé-
renceréunissant desgensd’af-
faires du secteurtechnologique
canadien. De la plus petite start-
up àdes ants commeXerox
Canada,plusieurs y étaient. Pour
constater, principalement,quele
Canada estun pays quimise trop
sursesmatières premreset pas
assez surle savoir.
«Toutcequ’on semble faire
au Canada en ce moment,c’est
extraire du trole despuits
albertains, et le brûler.Oùest
l’innovation et la valeur ajoutée
dans cettechne se demandait
Hadi Mahabadi, vice-président
du groupe Xeroxetdirecteur
du centre de R-DdeXero
Mississauga, en Ontario.
Le DrHamabadi plore qu’on
ne parviennepas àtransformer
ce trole,enenfaisant des
produits pharmaceutiquesou
descomposantes électroniques,
parexemple.Onpourraitalors
créerdenouvellesentreprises
fondées surla technologieet sur
l’innovation.
«Ilne fait aucundoute quele
Canada doit prendresesdistances
parrapport au trole.L’économie
esttrop collée àses ressources
naturelles.Elledevrait miser
davantagesurla connaissance et
le savoir et devenir uneritable
sociétéde l’information.»
Unfreinàl’expansion
Le directeur de la R&Dcana-
dienne de Xerox n’estpasle seul
àcritiquer cetatdes choses.
Plusieursentrepreneurs québé-
cois commencentàcroireque
l’expansiondeleurentreprise
en marrageest freiepar
cettetrop grande dépendance au
trole,quia, en plus,le malheur
d’être àl’autre bout du pays.
«Les investisseursn’en ont que
pour lesressourcesnaturelles
cestemps-c,constataitrécem-
ment GuyLabelle,président de
Pixman diaNomade. «Notre
entreprise atout de même réussi à
exporter sonconceptdans plus de
25 pays avec très peu de moyens
jusqu’ici
«Siles capitaux avaien
plus nombreux,nousserions
beaucoupplus avans, mais les
investisseurscanadiens semblent
beaucoupplus rassusd’investir
dans lesmatières premresque
dans lesmatresgrises, plus
complexes à saisir
Guy-CharlesPelletier,qui assis-
tait àlaconrence, afonPecunia
en 2002.Ils’agitd’une entreprise
de distribution de tévision par
internet (aussi appeeTVIP)ts
prometteuse. Aujourd’hui, les
investisseursaricainssel’arra-
chent, ce quin’a pasdutoule
casauCanada.
«Notre technologieest des
anes en avance surnosconcur-
rentsétrangers, mais ils ont tel-
lement plus de faciliàtrouver
du capital-risque dans leur pays
qu’ils pourraient nousrattraper
en un ancraint-il.
Brûlerlesponts
Présentement,quand on regarde
lesstatistiquesnationales, ce -
quilibrenesemblepas nuir
l’économie en ral. Mais il ne
faudraitpas se reposersur ses
lauriers,avertit Alex Vieux, prési-
dent et éditeurdeRedHerring.Le
périodiquearicain,qui vient
d’ouvrirunbureauàMontréal,
estunimportantobservateur du
secteurdes technologies de
l’information. M. Vieuxest
l’organisateur de la confé-
rencedelasemaine dernre,
appeeCanadianInnovation
Illuminated.
«Ilsembleque la seule
solution soit de brûler tous ses
pont,disait-il.Autrement
dit, d’attendre l’épuisement
desressourcesnaturelles, pour
queles institutions recommencent
às’intéresser àautre chose.
Hadi Mahabadi semble d’ac-
cordRegardez la Finlande,
Israël ou le Japo,conclut-il.
«Ils n’en possèdentpas,oules
ont presquetouesépuisées, avant
de se transformerend’impor-
tantes économiesbaséessur le
savoir
Les matrespremres
supplantentlamatre grise
AGENCE FRANCE-PRESSE
Lescyberattaques,commecelles dont ont étévicti-
mescemment desservices gouvernementauxaux
États-Unis, en France et en Allemagne, ciblent de
mieux en mieux leursdestinatairesau coursd’un
processus aussidiscretquefureteur.
«Cegenre d’attaques peutsedérouler surplu-
sieurs semaines,voireplusieursmois,afin de ne pas
laisserde traces», indiqueGaël Barrez,responsable
dessolutions antifraude chez RSA, sociétéaméri-
cainespécialisée dans la curité desseaux.
Le maître motdespirates, selonlui, c’estla «dis-
crétiondans le butde cupérer desinformations,
nerf de la guerre électronique »quiagitelesÉtats,
mais aussilesgroupes privés,très ticents à com-
muniquer surle sujet.
«Depuisdeux ans, il n’y a pas eu de grande épi -
mievirale très visibl,commele fameux virus
Ilove youquiavaitcontaminédesmillions d’ordi-
nateursdans le monde, rappelleMichel Lanaspèze,
directeurmarketing et communicationdeSophos
France.
sormais, dit-il,«legrandjeudescybercrimi-
nels consiste àse livrer à desattaques très dissimu-
es ». La plupartdu temps, les«hackers»agissent
parle biaisde programmes malveillants,dits «che-
vaux de Troi,quiprennent le contle de l’ordi -
nateur àl’insu de l’utilisateur et accomplissent des
fonctions fastes (vol,modificationou destruction
de fichiers).
Pour ussirleur attaque, lespiratess’appuient
toujours sur«des complicis à l’inrieur du sys-
tème », le plus souvent passives,selonEric Domage,
directeur de recherchecuriEurope au cabinet
IDC. Conctement,la propagationse fait parpièce
jointe ou parun lien vers un site webinfecté, un
phénomène en forteaugmentation. Un simple clic,
et le processus se clenche :le pirate estprévenu et
peut alorslancer l’offensive.
«Les attaques lesplus dangereusessont celles qui
sont ciblées, précise,explique M. Lanaspèzequi
souligne la dangerosité desmessages personnalis,
incitant lesinternautes à cliquer.
Uneautre technique, plus sophistiquée,vise à
repérer la vulnérabilité dessysmes. Malgles
gulières mises à jour de curi,«touslessystè-
mes ont desfaiblesses qui peuvent être exploies»,
note M. Barrez.
Il estaussi beaucoupplus difficile de remonter
jusqu’aux auteursdel’intrusion,les piratesutili-
sant la techniquedu «rebonen passent parun
ou plusieurspays intermédiaires avantde se lancer
surleur proie.
ATTAQUES INFORMATIQUES
Les nouvellespratiques
des pirates
PHOTO ARCHIVES AP©
Legrandjeudes cybercriminelsconsisteàse livreràdes attaques ts
dissimues.
«Notre technologie estdes annéesenavancesur
nosconcurrenttrangers,mais ilsonttellement
plusdefacilitéàtrouver ducapital-risquedans leur
paysqu’ils pourraientnousrattraperenunan!»
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MARTIN VALLIÈRES
TORONTO—Leprésident de l’entreprise torontoise
CorusEntertainment attribue à un «malaise écono-
miqueau Québec»lesmaux persistants de sessta-
tions de radioquébécoises, malgleschangements
qui y ont étéfaits.
Devant desanalysteset desinvestisseursde Bay
Street,hier, John Cassaday a conf«avoir du mal
às’expliquerce malaise rali», d’autant quela
«situationpolitiqueau Québec»luisemble favora-
bll’économie.
«Mêmeavecune situationdegouvernement
minoritaireauQuébec,iln’y apas de menace
prochainede séparation. Il devrait yavoirun bon
sentiment économique au Québec,Mais depuis un
certaintemps, nousobservons de la faiblessedans
ce marc, en particulierpour la radio, mais aussila
vision », aponduM. Cassaday à unequestion
d’analyste surlaconjoncture d’affaires de Corus
Radiodans le marcquébécois.
Cela dit, le présidentdeCorus Entertainment
s’estdit confiant queles changementsdedirec-
tion et de programmationdecertaines stations de
CorusRadio au Québec renforceront leur situa-
tion,malgrélmollessdu marché desventes
publicitaires.
Àcetitre,Corus Radiomise surune cente
ententede partenariatpublicitaire en gions qu’elle
aconclueavecla division médias du groupe Cogeco,
deuxme plus gros blodistributeur au Québec.
«Çanousmet surunterrain plus comparable
face au concurrent Astral Medi,aindiqM.
Cassaday.
Lesprincipaux actifs de CorusRadioau Québec
comprennent 14 stations FM et AM,dont CKOI,le
98,5,CKAC et Info 690dans le marcfrancophone
du grandMontal.
Cesstations ont subi de nombreux changements
de dirigeants,de personnel et de programmationau
coursdesderniers mois.
Ailleurs au Québec,Corus Radiomise sur
le transfertdestationsrégionalesdelabande
AM vers le FM,afin d’attirer plus d’auditeurset
d’annonceurs.
CORUS
Malaise
auQuébec
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6LA PRESSE AFFAIRESLA PRESSEMONTRÉALMERCREDI12SEPTEMBRE2007
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