Pilules, comprimés, sirops, gélules, collyres… pourquoi y a-t-il autant de formes pharmaceutiques différentes ? 61% LES PATIENTS PRÉFÈRENT LES FORMES ORALES DE MÉDICAMENTS : LES EXEMPLES DU CANCER COLORECTAL ET DU DIABÈTE DE TYPE II Les patients acceptent mieux leur traitement lorsque lui sont prescrites des formes orales de médicaments à avaler, plutôt que des formes injectables. Les comprimés, gélules, etc… sont mieux perçus et mieux tolérés par les patients. Les études réalisées auprès de personnes atteintes de cancer ou de diabète montrent que les patients C’est la part des médicaments1 préfèrent recevoir des médicaments à avaler ou à qui se prennent par voie orale inhaler plutôt que des perfusions ou des piqûres. 31% PRÉFÉRENCES DE TRAITEMENTS DES PATIENTS ATTEINTS D’UN CANCER COLORECTAL AVANCÉ Les préférences des patients (en %) le sont par voie parentérale (intraveineuse, intramusculaire, intradermique…) 95 % 100 % 80 % 60 % 40 % 20 % 0% 5% Préférence pour un traitement oral Préférence de traitement Préférence pour un traitement par perfusion intraveineuse par voie pulmonaire 0,8 % PRÉFÉRENCES DE TRAITEMENTS DES PATIENTS ATTEINTS D’UN DIABÈTE DE TYPE II Les préférences des patients (en %) 100 % 90 % 80 % 70 % 60 % 50 % 40 % 30 % 20 % 10 % 0% 0,4 % par voie oculaire 18,1 % Première vague d’études Source : Twelves.C et al (2006) ; daCosta DiBonaventura. M et al (2010) Illustration reprise dans « Health and Growth », evidence compendium publié par l’Efpia © LEEM - LE 100 QUESTIONS - 2015 par voie topique (peau) Traitement oral Traitement injectable 84,4 % 81,9 % 3,5 % 0.3 % 15,6 % Deuxième vague d’études Préférence de traitement par voie nasale