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Chapitre 3
Essor du capitalisme, critique Marxiste et libéralisme néo-classique
(vers 1830 – vers 1914)
Période durant laquelle se dév le capitalisme industriel est marquée par 2 grdes théories opposées :
- Marx qui dénonce les contradictions du système (qui selon lui amèneront sa chute)
- Les optimistes néo-classiques confiants ds lé mécanismes autorégulateurs de l’éco de mE
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Avec le début de la RI (surtt en GB), les techniques KIST se généralisent progressivement en Europe:
- La GB qui possède une certaine avance, joue le rôle d’atelier du monde
- 1860’s, Prusse s’est déjà doté d’une industrie lourde => assure victoire vs Fr et Autriche
- All a un dév. éco spectaculaire ds le dernier quart du XIXe : secteur bancaire concentré permettant
le dév de grdes ent modernes. All devient ainsi 1ère d’€pe pr : sidérurgie, chimie, construction navale
- Fr : croissance + lente mais régulière
Plsr indicateurs permettent de suivre cette évolution (voir chiffres p. 48)
production de houille, fonte, acier
puissance des machines à vapeur
longueur du réseau de voies ferrées => permet de diffuser les nELL techniques d’€pe ds mDE
Mais ds la majeure partie des cas on retrouve en tête, la GB et l’All … souvent suivi de la Fr
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La généralisation des nELL structures KIST ds les pays d’€pe est attestée par le fait qu’ils
connaissent presque en même tps des périodes d’essor et de ralentissement ( synchronisme des
cycles de + en + étroit => voir ANNEXE 1 ) :
Pdt ttes ces année on voit le dév ( not en Fr), d’un syst bancaire mieux adapté aux besoin du KISM
Cycle Cause
Crise de 1847
( Fr, GB , EU )
pol monétaire restrictive ac Peel’s Act
Trop de product° par r/ à la D
EffondremT des act° des chemin de fer
Ö arrêt des constructions de voie ferrées
montée brutale du chô
mauvaises récoltes : hausse prix agric
Reprise de 1852 à 1857 Découverte de mines d’or en Californie : aug de la
prod
Crise : 1857 à 1860 ( Fr, GB, All, EU) ---------
Expansion : 1860 – 1866
Crise : 1866 - ? Faillite des compagnies ferrovière GB-EU
=> faillite britannique et Fr ; baisse prix et de l’emploi
Reprise : ? – 1870 S’appuie sur l’expansion EU après guerre de Sécess°
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On observe aussi une convergence des fluctuations des prix ds les pays capitalistes. Cela s’explique
par le fait que ses pays ont mis en place des structures éco sur des bases identiques :
nELL techniques de prod => baisse coûts de prod => proposit° de nvx produits pr faire face à concu
Cela crée les conditions d’une vive concurrence
- Cela entraîne une baisse des prix et par la même occasion, des profits => bloque l’I
- D’autre part, la baisse des w nominaux (à cause de baisse des profits) ampute la D => aggrave crise
Plsr facteurs permettent cependant une reprise :
- La baisse des prix est + forte que celle des w => hausse du pv d’achat. Relance la D intérieure
- Elimination des concurrents => les ent survivantes prennent leurs parts de mE
- L’Etat lance une pol de grds travaux qui crée des emplois
- Des innovat° créant de nvx produits relancent l’I et l’optimisme des entrepreneurs (Schumpeter)
- Découverte de métaux précieux aug circulation monétaire et possibilités de crédit.
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- 1873 : NELL phase dépressive (jusqu’en 1896) pr l’ens des pays KIST
- Milieu 1890’s : redémarrage de l’activité favorisé par inversion de la tendance à la baisse des prix
qui avait caractérisé le XIXe (Î Voir ANNEXE 2)
Mais la dépression du dernier quart du siècle va provoquer une altération du KISM concurrentiel
- Organisat° de la classe ouvrière pr défendre ses dts => rigidificat° des w (varient - en fct des prix).
Dc pr les patrons : moindre flexibilité des coûts de prod ( w) mE intérieur + stable (ac l’aug des w)
- Ds l’industrie lourde (trad = sidérurgie ..+ ds les nvx produits = auto, chimie..) les grdes ent
passent des ententes pr se partager les mE ( spécialisat° ds des activités complémentaires) et limiter
la concu par les prix, en cette phase de dépress°.
- Aug de la MM avec l’exploitation de l’or sud-africain
NELL phase pr les pays où le KISM occupe une place prépondérante : celle du KISM des grdes unités
( ces pays st ceux de l’Europe de l’Ouest et du Centre, les EU, le Japon)
- nELL vague d’innovat° => gamme renouvelée de produits qui touche un nb croissant de
consommateur.
- Cela amène aussi un dynamisme croissant qui accroît encore l’écart entre PI et RDM
- On peut aussi noter un écart entre les PI eux-mêmes :
En 1913 : GB, It , Belgique reste pr bcp spé ds le textile alors qu’All = métallurgie, chimie
Pr ce qui est de la Fr, elle se spé petit à petit ds industries modernes mais lentement.
Les EU occupent à cette date la place qu’occupait GB au milieu XIXe ( poids important)
Dernière partie du XIXe : Développement des placements financiers internationaux
- Cela fait de GB et Fr les 2 principaux pays qui prêtent au mde entier
- Mais cet investissement extérieur n’est qu’un aspect de l’expansionnisme ( aussi = impérialisme)
Européen qui prend aussi la forme de la colonisation (grds empires GB et Fr)
Remarque : Le dynamisme KIST industriel ne peut se comprendre que ds le cadre d’un syst éco en
voie de mondialisation et soumis à la prépondérance européenne ( puis EU)
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ANNEXE 1 : CRISES ET CYCLES ECONOMIQUES
Crises d’ancien régime (1)
Jusqu’au milieu XIXe, crises éco = crises de sous-product° agricole car dues aux mauvaises récoltes
Conséquences de ce type de crises :
* Touche d’abord les milieux ruraux et prive les manouvriers du pain (50% de l’alimentation)
* Crise de sous-consommation industrielle car pv d’achat des paysans a diminué.
Mais ces crises se résorbaient vite car industrie dominante = une industrie légère (textile, bâtiment)
=> Possibilité d’arrêter la prod en cas d’insuffisance de la D sans que stocks soient trop importants.
Î Une telle crise entraînait le triptyque : crise éco, crise sociale, crise pol ( en effet, manque de
nourriture => hausse des prix => émeutes => pb pol pr contenir ces émeutes)
Exemple : * Crise Fr de 1789 : Crise fourragère (1875) => destruction de troupeaux => pénurie de
laine ( accrue en 1789 par mauvaises récoltes de grains ) => crise industrielle débute en
1788 (aggravée par concu des produits Ang à cause du traité de libre-(X) Fr/GB)
=> baisse w et aug des prix => émeutes => tension pol => chute de l’Ancien Régime
* Crise Fr de 1830 : sous product° agric (1826) => 1830 : hausse des prix => troubles
agraires et dc sociaux ac arrêt de la prod industrielle => chute de la monarchie
* Crise Fr de 1848 : maladie de la pomme de terre (venue d’Irlande) => mauvaises
Récoltes => crise sociale du fait du chô => déclenche une crise pol généralisée en €pe
Î Reprise favorisée dès 1850 par la découverte des mines d’or de Californie
Crises industrielles (2)
La crise de 1848 est la dernière crise d’Ancien Régime. Dès lors les crises st ds un 1er temps dues aux
pb des compagnies ferroviaires puis au secteur bancaire et boursier ( + parfois, ss-consommation)
Cette évolution est due : * au dév de la prod industrielle
* à l’extension des voies de communication
* à l’imbrication de + en + étroite des syst bancaires
Mais, ces nELL crises st + longues et bcp + graves
Exemples : * Les crises de 1857 et 1866 se limitent aux 3 grdes puissances ( EU, GB, Fr). La 1ère est
due à l’effondrement des compagnies ferroviaires => effondrement des valeurs
boursières. La 2e est due à une baisse de conso et à des faillites ds le milieu bancaire
*Mais les progrès de l’industrialisation font que ces crises s’étendent à l’€pe centrale :
La crise de 1873 est essentiellement ferroviaire => reprise favorisée en 1878 par le plan
Freycinet en Fr ( grds travaux) / Crise de 1890 – 1893 et de 1900 : type bancaire => chô
*Dès 1907, les crises st surtt dues à des surproductions minières ou industrielles. Ainsi
la crise de 1913 née en All d’une surproduction et d’une crise de ss-conso.
Les Cycles économiques (3)
> Cycles ultra-courts étudiés par KITCHIN : durée d’environ 3 ans et demi. Dûes à des pb de stocks
> Cycles courts attachés au nom de JUGLAR (observés à p. des prix de gros et de détail). Ils
correspondent aux crises qui ont jalonnées le XIXe : durée d’environ 7 à 10 ans
> Cycles intermédiaires étudiés par HANSEN et ISARD. Ils correspondent à des remplacement d’I
lourds ( renouvellement régulier des équipements obsolètes => mvmts de reprise), par exemple ds le
bâtiment ou ds les transports : durée d’environ 20 ans.
> Cycles longs attachés au nom de KONDRATIEFF (observés à p. des prix de gros et de détail):
durée moyenne de 50 ans => Alternance de phases A (progression), phases B ( régression)
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Schumpeter explique ces cycles Kondratieff à partir des différentes vagues d’innovations. Mais
celles-ci se caractérisent par une destruction créatrice : une grappe d’innovation crée emploi mais
amène d’anciennes machines à être dépassé :
*A : Innovation majeures relancent la croissance
*B : Essoufflement des innovations, croissance ralentie
Les Différents cycles depuis 1850
* 1850 – 1873 : A => Chemin de fer
* 1873 – 1896 : B
* 1896 – 1929 : A => Electricité , automobile
* 1929 – 1945 : B
* 1945 – 1975 : A => Conso de masse
* 1975 - ? : B
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La pensée marxiste est issue de la critique de la pensée économique classique : En effet
Marx critique la th de la valeur élaborée par les classiques mais il va la critiquer et la transformer.
Marx analyse les condit° d’équilibre ou de déséquilibre macroéconomique :
On peut ainsi trouver une filiat° entre Marx, Malthus et Keynes car tt 3 mettent en évidence des
difficultés à déboucher sur une situation d’équilibre. Alors que les Néoclassique pensent que les lois
naturelles vont elles-même résoudre les déséquilibres temporaires.
Il élabore une critique de l’éco pol mettant en évidence « l’exploitation » des prolétaires
ainsi que les contradict° au sein du capitalisme => s’oppose en cela aux libéraux (dt les classiques)
Théorie de la valeur chez Marx
Marx critique la th de la valeur de Smith et Ricardo, néanmoins, tt comme eux, il s’oppose à celle
dévelloppée par Say puis par les néo-classiques :
*Critique de la th de la valeur des classiques => elle débouche sur une impasse, laissant le profit
inexpliqué. On assiste en effet à un détournement de valeur : L’écart entre la valeur créée et la valeur engagée
pour payer les moyens de production (capital constant représentant les biens de production et capital
variable pour payer la force de travail) conduit à l’apparit° d’une Plus-Value (PV) qui constitue un profit pr
le KIST. Cela débouche sur la th de lʹexploitation puisque la plus-value est en fait un travail non-rémunéré.
Î Malgré cela, il pense aussi que la valeur dun B est déterminée par la qté de L incorporée dedans : mais il
ajoute que le nombre dʹunités de travail dʹun B va être déterminé avant sa création. Ainsi, un ouvrier qui
travaille plus vite produit plus et fait donc augmenter plus rapidement la plus-value.
* De +, tt comme les classiques, il s’oppose à la th de la valeur de Say, selon laquelle la valeur dʹun B
renvoie à sa capacité à répondre aux besoins humains. Il considère ainsi que la valeur dʹusage des B est leur
valeur réelle (dc prix nʹest pas fonct° du coût de prod, mais varie selon ce que lʹacheteur est prêt à payer)
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La théorie marxiste ne se limite pas au champs de l’éco pol car Marx a d’abord été
philosophe, sociologue, historien … avt de se consacré au Capital.
La pensée marxiste trouve son origine ds 3 sources principales :
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¾ La philosophie hégélienne lui a permit de concevoir le « matérialisme historique » qui
définit l’histoire comme un mvmt social. => Ne signifie pas que la dialectique de Marx est identique
à celle de Hegel, car Marx et Engels ne lui ont emprunté que son ʺ noyau rationnel ʺ et en ont rejeté
l’écorce idéaliste. ( Marx dit même que sa concept° = l’opposé de celle de Hegel)
En effet, le matérialisme historique = extension du matérialisme dialectique qui est issu de la dialectique
développé par Hegel.
> Le matérialisme dialectique (analyse la nature) considère :
* que les phénomènes de la nature st liés
* que la nature est un état de mouvement et de changement perpétuels
* que les objets et les phénomènes de la nature impliquent des contradict° internes. Et la lutte de ces
contraires (ancien /nvx , ce qui meurt/ce qui naît) est le contenu interne du processus de dévT
> Le matérialisme historique étend les principes du matérialisme dialectique à l’étude de la
vie sociale et de l’histoire de la société. Il considère que la force principale qui détermine le chgt de la sté =
mode et les instruments de prod des B matériels mais aussi les rapports de prod entre les H
qui produisent en commun ( production socL) que rapports soient de domination ou de soumission.
Marx trouve ainsi un sens à lʹhistoire => les conflits vont devenir de + en + importants et ainsi amener des
bouleversemT socX : le prolétariat va prendre le pv et finir par faire disparaître le KISM
¾ Observat° des faits pol et l’analyse de la pensée « socialiste » française, en particulier :
* Sismondi : * critique la logique capitaliste : Les KIST veulent aug leur profit et dc aug la prod. Mais
cela peut aboutir à trop de prod par rapport à la D => crise de surprod.
*Ainsi, Comm Int aboutit à de la surprod car pr aug profit, on X sans même connaître
la D des autres pays => dc on préfère produire + que pas assez.
*Pr lui, les petites ent doivent prendre la place des ent. Il parle aussi de w garanti.
* St Simon (socIST insustrialiste) : Sa vision est centrée sur l’industrie. Il dénonce les oisifs qui ont le
pv pol et qui vivent du L des « industrieux » (ouvriers ou même chefs d’ent).Pr moderniser la sté, on
doit confier le pv à ces industriels ; ainsi si les industriels gèrent l’éco il n’ y a pas besoin d’Etat
* Proudhon : Critique la propriété qui représente le le vol car elle amène l’exploitat° des LEUR par les
KIST (car K et terres ne st pas productives sans LEUR). Selon lui la prod doit ê collective et à
disposition de tous.
Mais aussi : Babeuf, Blanqui, Cabet
¾ L’éco pol anglaise (Smith, Ricardo, Malthus..) qui eut a à ses yeux le mérite de mettre
l’accent que l’opposit° fondamentale entre KIST et ouvriers et sur la spécificité des R qu’ils reçoivent.
Il lui reproche par vs de ne pas avoir expliqué l’origine du profit ni mis en avt les contradict° du syst
Les bases de l’analyse Marxixte
La production
Les forces productives ( L, K)
Les rapports de prod
Les modes de prod ( esclavagism => syst féodal => KISM)
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1/ Le capitalisme : un mode de production historiquement limité
Les contradictions internes à chaques modes de prod expliquent le passage d’un mode de prod à l’autre
En effet, selon Marx le capitalisme = Condamné car on y trouve des contradictions internes
qui l’amèneront à disparaître :
> Ainsi le KISM est basé sur une superstructure institutionnelle et une infrastructure éco
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