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L’économie Circulaire
L’économie circulaire désigne un concept économique qui s’inscrit dans le cadre du développement durable
et dont l’objectif est de produire des biens et des services tout en limitant la consommation et le gaspillage
des matières premières, de l’eau et des sources d’énergie. Il s’agit de déployer, une nouvelle économie,
circulaire, et non plus linéaire, fondée sur le principe de « refermer le cycle de vie » des produits, des
services, des déchets, des matériaux, de l’eau et de l’énergie.
http://www.developpement-durable.gouv.fr/L-economie-circulaire,45403.html
Ouvrages disponibles à la BULCO
Le guide de l’éco-conception Hélène Teulon
BULCO Dunkerque 658.406 TEU G
L’économie verte Yves Petit
BULCO Dunkerque 338.927 PET E
L’économie Circulaire Remi Le Moigne
BULCO Dunkerque 338 LEM E
Economie des déchets Sylvie Lupton
BULCO Dunkerque 338.927 LUP E
Traitement des déchets Abdou Ahmed
BULCO Dunkerque 363.72 ADD T
La presse en parle !
EUROPRESSE
JOURNAL DES ENTREPRISES
Quand l'économie circulaire fait table rase des meubles au rancart
Stéphane Guérard
La Commission européenne a dévoilé fin 2015 son « paquet 2030 » consacré aux déchets, qui fixe de
timides ambitions en faveur de l'économie circulaire. L'exemple de la filière française du recyclage et
de la réutilisation de mobilier professionnel prouve que l'on pourrait aller plus loin.
La gestion des déchets en Europe représente un immense gâchis. C'est le constat que dresse d'entrée le «
paquet européen » concernant les déchets et dévoilé le 2 décembre dernier par la Commission européenne.
Ce texte, censé fixer la stratégie de l'Union d'ici à 2030 quant à l'utilisation du contenu de nos poubelles,
note ainsi que, en 2013, « l'Union européenne a produit au total environ 2,5 milliards de tonnes de déchets,
dont 1,6 milliard de tonnes n'a pas été réutilisé ni recyclé et a donc été perdu pour l'économie européenne.
Selon les estimations, quelque 600 millions de tonnes supplémentaires de déchets auraient pu être recyclés
ou réutilisés. L'Union passe donc à côté d'occasions non négligeables d'améliorer l'efficacité d'utilisation des
ressources et de créer une économie plus circulaire ». Dommage que les propositions de la Commission
européenne pour y remédier, dévoilées en catimini à Bruxelles alors que la COP 21 battait son plein à Paris,
ne soient pas à la hauteur des enjeux.
Ce texte, qui ambitionne pourtant de donner un coup d'accélérateur en Europe à l'économie circulaire (écoconception des produits en amont, recyclage, réutilisation et réemploi en aval), s'est vu décerner un carton
jaune de la part du Comité des régions de l'UE (CdR) pour ses « carences » en matière de prévention des
déchets. Le Bureau européen de l'environnement comme Zero Waste France ont mis un carton rouge aux
objectifs de recyclage des déchets municipaux (ceux des particuliers) comme des déchets provenant des
emballages, dont les taux ont été amoindris par rapport au précédent « paquet déchets » de la Commission
Barroso, en 2014, retoqué il y a un an pour être... amélioré ! Quant aux déchets provenant des entreprises, on
en reste au niveau des bonnes intentions. Pourtant, si les poubelles domestiques pèsent, rien qu'en France, 35
millions de tonnes par an, celles du secteur économique, public et privé, se montent à 320 millions de
tonnes. Or de belles expériences prouvent qu'il est possible d'agir efficacement.
30 000 meubles professionnels ont trouvé une seconde vie
C'est le cas de l'action menée par Valdelia. Cet éco-organisme à but non lucratif a été créé en 2011 par les
acteurs de l'ameublement professionnel pour appliquer les principes de l'économie circulaire à tous leurs
bureaux, armoires ou tables, mis au rebut chaque année. Et cela fait du volume : 250 000 tonnes de meubles
professionnels usagés envoyés à la poubelle chaque année par les entreprises et collectivités. Avant la
création de l'éco-organisme, 15 % de ces déchets étaient recyclés, 45 % étaient incinérés, et le reste était
enfoui. L'objectif premier de Valdelia est de parvenir d'ici à 2017 au recyclage ou à la réutilisation de 75 %
de l'ensemble de ces déchets. Pour ce faire, l'autre grand objectif est de développer une filière française de
collecte, de recyclage et de réutilisation, en s'appuyant sur les acteurs existants, afin de générer des emplois
qui sont, par définition dans ce secteur, non délocalisables.
Pour l'heure, 18 000 tonnes de meubles usagés sont passées entre les mains des entreprises locales
partenaires de Valdelia. 500 tonnes ont même été réutilisées grâce à une remise en état ou à l'invention de
nouveaux meubles à partir des anciens. Soit l'équivalent de 30 000 meubles pros à avoir trouvé une seconde
vie. Pour remplir son cahier des charges, Valdelia s'est allié à une centaine de structures de l'économie
sociale et solidaire, déjà présentes dans le recyclage et la réutilisation, telles les recycleries ou les entreprises
d'insertion. « Nous les aidons à développer leurs offres de formation vers des emplois plus qualifiés dans la
menuiserie, la soudure, la chaudronnerie par exemple, explique Arnaud Humbert-Droz, directeur général de
Valdelia. Nous allons créer une plate-forme en Île-de-France dans laquelle ces associations pourront
s'approvisionner selon leurs besoins et capacités. Et, avec de grands réseaux comme la Croix-Rouge ou
Emmaüs, nous structurons une offre humanitaire d'envoi de meubles à l'étranger en faveur d'école ou
d'hôpitaux. »
L'association les Portes de l'Essonne a ainsi saisi la main tendue de l'éco-organisme et ses aides financières
pour donner un coup d'accélérateur à sa recyclerie et à ses 14 CDI d'insertion dans la propreté, la gestion des
points de collecte, la réparation de meubles et de vélos. « L'offre d'une centaine d'armoires d'une grosse
entreprise nous a permis de convaincre nos collectivités locales partenaires de financer l'acquisition d'un
poids lourd de transport des bennes. Depuis, nous formons des chauffeurs qui intéressent l'entreprise de
recyclage voisine », raconte Michel Gerber, directeur de l'association. Ce dernier pourrait peut-être prendre
en stage le commissaire européen en charge des déchets pour recycler son paquet européen.
© 2016 l'Humanité. Tous droits réservés.
Préciméca. Nouveau départ pour les broyeurs industriels
Juliette Jaulerry
Biens d'équipement.
Eric Plantié a repris Préciméca et veut développer l'export des machines de broyage de pneus usés
fabriquées dans son usine à Fenouillet.
L'entreprise a plus de quarante ans mais elle est tout à fait dans la mouvance verte du moment : dans le
thème du recyclage, de l'économie circulaire et de l'internationalisation. Préciméca fabrique et répare des
machines de tri et de broyage. 70 % de l'activité est consacrée aux machines de broyage de pneus usagés et
30 % au tri et broyage alimentaire (déchets d'abattoirs).
Investisseurs et banquiers locaux autour du repreneur
Éric Plantié a repris les rênes de l'usine en novembre dernier. Une cession voulue par Patrick Rolland qui est
parti à la retraite. Cette reprise a été rendue possible grâce à des investisseurs locaux : « MP Croissance et
CA Toulouse 31 Initiatives pour le haut du bilan et trois banques (Caisse d'Épargne, Banque Courtois et
Crédit Agricole) pour le bas du bilan » liste l'entrepreneur qui a déjà reçu la Région, susceptible de l'entourer
pour ses projets de développement. Qu'est-ce qui a attiré le repreneur dans cette entreprise ? L'idée de
contribuer au développement de l'économie circulaire et les capacités de développement à l'export ont été les
deux atouts qui ont décidé ce Toulousain à devenir chef d'entreprise. Une décision qu'il avait pris le temps
de mûrir avec le conseil de Catherine Pini du cabinet Horige Conseil (transmission d'entreprise et ingénierie
financière). Ingénieur et titulaire d'un master en marketing, Eric Plantié a travaillé dans des sociétés de biens
d'équipements. Il était précédemment chez Libéo en charge de cinq sociétés installées en Europe et maîtrise
donc bien les métiers du commerce international.
Expansion géographique et améliorations technique
s
La stratégie du repreneur est de développer l'export en ajoutant de nouvelles destinations pour ses broyeurs.
Pour le moment plus de 50 % de l'activité est destinée à des pays européens, asiatiques (notamment au
Japon) et au Mexique. La consommation de pneus et son recyclage sont un marché qui ne bouge pas
beaucoup mais pour se démarquer de la concurrence, Éric Plantié mise sur la bonne réputation de l'usine
d'une part et sur l'amélioration technique des prochaines machines d'autre part : « On ne va pas parler
d'innovation en tant que tel mais notre bureau d'étude travaille sur de possibles améliorations avec par
exemple le broyage en plus petits morceaux. » L'idée est de permettre aux collecteurs et recycleurs de
transformer les matériaux récupérés en matière première secondaire. Alors la boucle sera bouclée et les
principes d'économie circulaire chers à l'entrepeneur seront en route.
Juliette Jaulerry
Precimeca
(Fenouillet) Dirigeant : Eric Plantié Effectif : 18 salariés CA 2014 : 4,5 M euros www.precimeca.com
Illustration(s) :
La maintenance des machines de triage et de broyage de déchets alimentaires fait aussi partie des métiers de
Préciméca, spécialiste du boyage des pneus usagés.
© 2016 Le Journal des entreprises. Tous droitNos emballages, le recyclage et le climat : vers un new green
deal
LA TRIBUNE
Pascal Gislais
Le recyclage des déchets peut contribuer largement à la limitation des émissions de carbone. Par
Pascal Gislais, président de Valorie et de la Mission NEO 2017
Alors que chacun se félicite de la signature historique par 195 Etats de l'Accord de Paris sur le climat, la
question immédiatement posée et au coeur de toutes les attentions est celle de savoir comment... Comment
tenir cet objectif de limitation de la hausse des températures à 1,5°C? Vaste sujet qui vient challenger nos
modes de vie et d'organisation ainsi que nos modèles économiques de production et de consommation.
Nous sommes pris sous la double pression d'une forte évolution démographique (entraînant une
augmentation mécanique des besoins associés) et d'une limitation des ressources. Cette délicate équation
environnementale trouve une part de sa réponse dans le changement de paradigme économique qui prévoit
le passage d'une production linéaire à celle dite circulaire, organisée en « cycles de vie » conçus comme
autant de cercles vertueux où la matière rare et chère, se réinvente pour être elle-même source de valeur.
C'est ici qu'intervient le rôle essentiel du recyclage des nos matériaux.
Des enjeux colossaux
« Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme! » (1). Il en va ainsi de l'économie comme de la chimie
: récupérer, partager et recycler en donnant plus de valeur à l'objet (économie de fonctionnalités). Nos
produits et nos services se structurent désormais avec ce triple impératif économique, écologique et sociétal,
qui s'impose à tous au niveau mondial.
Les enjeux sont colossaux. Et aucun levier ne peut être négligé. Au coeur de la problématique de l'économie
circulaire se trouve la question du traitement et du recyclage des déchets. Si l'on suit les courbes publiées par
l'ADEME (2), la quantité de déchets ménagers par habitant ne cesse de croître pour s'établir à 458 kg/hab.an.
Or, on mesure que recycler une tonne d'emballages en plastique permet d'éviter l'équivalent d'1.4 tonnes de
CO2 (3).
Responsabilité élargie du producteur
En France, le système de recyclage de nombreux déchets est organisé selon le concept de Responsabilité
Elargie du Producteur (REP) (4): les entreprises participent au coût de collecte, de tri et de recyclage des
produits mis sur le marché selon le principe du « pollueur-payeur ». A chaque type de déchets sa filière.
Régulièrement, le système évolue, soit en créant de nouvelles filières pour assurer le recyclage de nouveaux
produits (déchets à risques infectieux ou ameublement dernièrement); soit pour repenser, améliorer des
filières existantes. C'est le cas actuellement pour les filières consacrées aux emballages ménagers et aux
papiers.
Les filières du recyclage des emballages et papiers sont en plein réflexion, sous l'impulsion des autorités
publiques (Ministère de l'écologie, du développement durable et de l'énergie en tête) qui travaillent avec les
acteurs à l'élaboration d'un nouveau cahier des charges, pour encadrer le rôle et les missions des écoorganismes qui animent le système.
Pour nous tous, acteurs du recyclage en France, c'est une chance. Nous avons un an pour penser, préparer et
proposer un système de recyclage de nos emballages et papiers rénové, mieux adapté aux enjeux : des
besoins croissants en énergies et matières premières, des produits et emballages toujours plus sophistiqués à
traiter, des centres de tri inadaptés à repenser, des exigences croissantes sur l'utilisation de la matière
première recyclée, l'absolue nécessité de prendre en charge des matériaux aujourd'hui « mal » recyclés
(comme les plastiques) et un citoyen à mieux intégrer dans la boucle pour l'aider in fine lui aussi à apporter
sa contribution aux exigences environnementales que dresse cette 21ème conférence sur le climat.
Le tri, un geste fondamental
Sans révolution ni brutalité, il faut accompagner en douceur et collectivement le changement. Loin des
promesses, ce sont ici quelques principes - simples mais critiques - qui doivent collectivement nous animer
dans nos travaux pour la mise en place d'une procédure de recyclage mieux partagée : un système plus
ouvert, plus simple, plus transparent, plus efficace. Nous sommes au coeur d'un écosystème qui exige
confiance, concertation et innovation, pour que la somme des intérêts particuliers que nous portons
ensemble, collectivités, entreprises, état, citoyens, soit mise au service de l'intérêt général qui est le nôtre :
faire progresser la collecte et le recyclage en France.
Le citoyen doit reprendre conscience de ce geste fondamental qu'il fait en triant ses emballages, comme un
pouvoir qu'il détient d'apporter très concrètement sa contribution à l'environnement. Les entreprises
engagées et au coeur de la dynamique du recyclage en France depuis plus de vingt ans, doivent pouvoir aller
plus loin et agir encore mieux demain. Nous y travaillons. La procédure de consultation mise en place par
les autorités pour la procédure d'agrément des éco-organismes, nous offre un cadre pour agir. A nous de
nous en saisir pour faire progresser le recyclage et qu'il soit un pilier toujours plus solide et contributif du
cercle vertueux de la croissance verte au coeur de nos territoires.
Pascal Gislais est président de Valorie et de la Mission NEO 2017.
Notes 1. Maxime attribuée à Antoine de Lavoisier, chimiste, philosophe et économiste français du 18ème
siècle, souvent présenté comme le père de la chimie moderne2. Chiffres Clés - Déchets - Editions 2015
publiés par l'ADEME (Agence de l'Environnement et de la Maîtrise de l'Energie)3. Etude Bio IS4. Les
politiques de collecte sélective et de recyclage des déchets s'appuient pour partie sur les filières dites de
responsabilité élargie des producteurs (REP), système mis en place dans les années 1990 selon le principe
qui découle de celui du pollueur-payeur.
Illustration(s) :
DR
© 2015 La Tribune. Tous droits réservés.s réservés.
E-news Environnement Magazine - Déchets (site web
Gestion des déchets : Petit rattrapage sur les mesures de la fin 2015
Faisant suite à la loi de transition énergétique, un décret publié le 31 décembre dernier permet d'introduire
certaines évolutions réglementaires concernant la prévention et la gestion des déchets et l'économie
circulaire.
Le texte paru est toutefois bien moins ambitieux que le projet soumis à consultation publique en août
dernier. Il s'agit tout d'abord de traduire l'objectif de généralisation de la comptabilité analytique par les
collectivités en charge du service public de prévention et de gestion des déchets. A cet effet, le décret met à
jour les indicateurs techniques et financiers qui figurent dans le rapport du maire prévu par l'article L. 222417-1 du code général des collectivités territoriales (CGCT). Ces indicateurs sont listés à l'annexe XIII aux
articles D. 2224-1 à D. 2224-3 du CGCT (art. 3 du décret). L'entrée en vigueur de ces dispositions est prévue
le 1er janvier 2017.
Le texte propose par ailleurs à la marge un certain nombre de simplifications et de mises à jour de la partie
réglementaire du code de l'environnement concernant les questions de prévention et de gestion des déchets.
Le décret (art. 8) officialise la mise en place par l'Ademe d'un observatoire dématérialisé des coûts et
financements du service public de gestion des déchets, qui doit faire l'objet annuellement d'une présentation
au Conseil national des déchets. A noter, la composition de cette instance est élargie notamment de façon à y
adjoindre un sixième collège comprenant deux parlementaires (art. 7).
Le texte (art. 10) tire également les conséquences de la suppression - par la loi de finances pour 2013 - de la
taxe générale sur les activités polluantes pour les papiers graphiques ainsi que des dispositions de la loi
relative à la transition énergétique concernant la filière de responsabilité élargie des producteurs de papiers
graphiques. Le décret (art.9) s'attèle en outre à la question de la sortie du statut de déchet, dont il simplifie la
procédure. Enfin, le décret (art. 5) précise les conditions d'exercice des activités de recyclage des navires.
Par ailleurs, les filières à responsabilité élargie des producteurs (REP) disposent désormais d'une nouvelle
instance de gouvernance. La loi relative à l'économie sociale et solidaire de juillet 2014 avait acté cette
réforme du régime de gouvernance des éco-organismes, renvoyant au décret le soin de mettre en place une
instance de concertation aux pouvoirs renforcés. Un décret publié le 31 décembre crée, auprès du ministère
de l'Ecologie, la "commission des filières de responsabilité élargie des producteurs". Elle succède à la
commission d'harmonisation et de médiation des filières (CHMF) et à l'ensemble des commissions
consultatives d'agrément existantes. Elle permet aux parties prenantes de participer à la gouvernance des
filières. Les metteurs sur le marché et les collectivités territoriales y tiennent ainsi une place prépondérante.
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Articles de revues
CAIRN
Ben Hadj Youssef Allala, Dziri Mariem, « L'entrepreneuriat vert : mécanismes de mise en œuvre et motivations en
Tunisie (cas d'un pays émergent). », Vie & sciences de l'entreprise 2/2012 (N° 191 - 192) , p. 59-77
Disponible sur : www.cairn.info/revue-vie-et-sciences-de-l-entreprise-2012-2-page-59.htm.
Puaut Myriam, « L'éco-conception : une valeur ajoutée pour les entreprises et un enjeu futur de
compétitivité ?. », Annales des Mines - Réalités industrielles 4/2008 (Novembre 2008) , p. 85-93
Disponible sur : www.cairn.info/revue-realites-industrielles1-2008-4-page-85.htm.
Boutillier Sophie, Contant Olivier, Fournier Claude, « Les entreprises artisanales face à l'éco-conception et au
développement durable. », Annales des Mines - Réalités industrielles 4/2008 (Novembre 2008) , p. 78-84
Disponible sur : www.cairn.info/revue-realites-industrielles1-2008-4-page-78.htm.
de Rochambeau Hubert, Veronese Thierry, Roché Patrice, « Un exemple d'écoconception dans les filières agricoles,
agroalimentaires et agro-industrielles : le pôle de compétitivité « AgriMip Innovation » en région MidiPyrénées. », Annales des Mines - Réalités industrielles 4/2008 (Novembre 2008) , p. 72-77 Disponible sur :
www.cairn.info/revue-realites-industrielles1-2008-4-page-72.htm.
Depret Marc-Hubert, Hamdouch Abdelillah, « Le déploiement des écosystèmes industriels et d’innovation
dans le business vert. Fondements et éclairages à partir du cas des pôles de compétitivité de l’énergie en
France», Revue d'économie industrielle 4/2015 (n° 152) , p. 121-150
Disponible sur : www.cairn.info/revue-d-economie-industrielle-2015-4-page-121.htm.
SITES INTERNET
http://www.developpement-durable.gouv.fr/L-economie-circulaire,45403.html
http://www.institut-economie-circulaire.fr/
http://www.ademe.fr/expertises/economie-circulaire
http://www.cci.fr/web/developpement-durable/economie-circulaire/-/article/pr%C3%A9sentation/lesdechets-des-uns-deviennent-les-matieres-premieres-des-autres...
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