neurone de ses communications: c’est la mort du neurone.
Ces deux agrégats de protéines sont présents chez tous les être humains
lors du vieillissement. Cependant chez les personnes atteintes de maladies
de types Alzheimer ces amas se forment plus rapidement en plus grandes
quantité.
Les scientifiques cherchent donc à
lutter contre ces amas de protéines. Le
potentiel des nanotechnologies a ouvert de
nouveaux horizons dans les recherches
scientifiques. Dernièrement les chercheurs
du CNRS ont mis au point une
nanoparticule capable de détecter le
peptide beta amyloïde1-42 et de le capter.
Cette nanoparticule est “enrobée” d’un
polymère hydrophile et biocompatible afin
de ne pas être détruite par le système
immunitaire du corps humain. Ce polymère
est composé de curcumine (un puissant
antioxydant) ou d’un anticorps
reconnaissant spécifiquement le peptide
beta amyloïde 1-42. La nanoparticule est
entourés de ligands (ce sont des anticorps,
des vitamines, des sucres ou des peptides)
ils permettent de repérer un type de
récepteur exprimer à la surface des cellules
cibles. Une fois ces nanoparticules
assemblées et leur tâche accomplie elles
sont éliminées par l’organisme.
Certaines recherches parlent également d’essayer de créer un biocapteur
à l'échelle nanométrique capable de communiquer avec un appareil externe
lors de la reconnaissance d’une cellule cible. Actuellement la détection de la
maladie se fait par ponction lombaire avec l’aide de bios marqueurs. Comme
nous le disions précédemment aucun remède n’existe et la maladie est mal
connue, mais des médicaments comme le rember permettent de limiter
l’avancée de la maladie.