Introduction à la mécanique quantique La physique quantique qui s’intéresse à décrire les systèmes microscopiques est aussi nécessaire pour décrire le monde macroscopique ; propriétés des solides telle que leur conductivité ou leur capacité calorifique ou leur propriétés magnétiques, spectres de raies ou spectre du corps noir, son importance dépasse le cadre des laboratoires du CNRS , du CEA ou du CERN , des phénomènes surprenants tels la supraconductivité ou les trous noirs, elle est à la base des dispositifs technologiques modernes tels que DEL, LASER, ajourd’hui on peut dire tout est quantique ! Par un récapitulatif des découvertes historiques, par une approche documentaire sur internet, par le visionnage et la discussion autour d’une conférence de Claude Cohen-Tannoudji et avec quelques éléments de cours où on introduira le caractère probabiliste de la description quantique, la dualité onde-corpuscule et où on énoncera l’inégalité de Heisenberg en liaison avec la loi de diffraction et où on parlera évidemment de quantification mais aussi d’énergie de confinement , on s’initiera à cette vaste physique moderne. I) Les grands noms de la mécanique quantique Max Planck, constante de quantification nécessaire pour calculer le spectre du corps noir Niels Bohr, premier modèle de l’atome avec quantification, principe de complémentarité Louis de Broglie, dualité onde corpuscule pour les particules matérielles, Albert Einstein, interprétation de l’effet photoélectrique et du calcul de Planck, notion de photon Erwin Schrödinger, équation aux dérivées partielles fondamentale de la MQ dont la solution est une fonction d’onde dans l’espace de Hilbert (espace au sens mathématique) Paul Adrien Dirac, équation MQ de l’électron relativiste et seconde quantification (celle du champ électromagnétique) http://perso.ens-lyon.fr/francois.delduc/Chapitre_2.pdf pour se faire peur et voir comme la physique moderne est abstraite et mathématique Werner.K Heisenberg, relations dites d’incertitudes que l’on préfère aujourd’hui qualifier d’indétermination Aussi formulation matricielle de la mécanique quantique Eugene Paul Wigner, application de principes fondamentaux de symétrie au formalisme de la mécanique quantique Wolfgang Pauli, principe d’exclusion explication de la structure électronique des atomes théorie quantique des champs aussi Max Born, interprétation statistique de la fonction d’onde Shockley, Bardeen, Brattain : effet transistor Landau, hélium liquide Tomonoga, Schwinger, Richard Feynmann ; théorie quantique des champs diagrammes de Feynmann renormalisation Bardeen( à nouveau), Cooper, Schrieffer : théorie BCS supraconductivité Murray Gell-Mann, Quarks Wilson, transition de phase Chandrasekar, évolution des étoiles Rubbia ( cern) , découvre au cern les bozons W et Z transmetteurs de l’interaction faible H. David Politzer, Frank Wilczek et David GrossLa chromodynamique quantique ou QCD, qui décrit l’interaction forte, Kastler, ENS physique atomique Claude Cohen Tannoudji , piégeage d’atomes, De Gennes, cristaux liquides matière molle Albert Fert, magnétorésistance géante Serge Haroche, limite quantique-classique Higgs, prédiction du boson qui a été découvert depuis au cern Le prix Nobel de physique 2014 récompense les ampoules LED, c’est encore de la mécanique quantique http://fr.wikipedia.org/wiki/Prix_Nobel_de_physique Les prochains éléments du paradigme de la communauté des physiciens? Albert Einstein, Boris Podolsky, Nathan Rosen expérience EPR réalisée par Alain Aspect Stephen Hawking trous noirs quantique relativiste Cordes Michael B. Green et John H. Schwarz Théorie M, Edward Witten ? Les espaces vectoriels de Hilbert ont été utilisés par les fondateurs de la mécanique quantique car il s’agit de la structure adéquate sur laquelle les théories quantiques se calquent. Cette utilisation des mathématiques par la physique même si elle est ancienne (Le livre de la nature est écrit en langage mathématique Galilée) n’était pas historiquement systématique : Newton a par exemple inventé le calcul différentiel pour interpréter la mécanique aujourd’hui dite mécanique classique (c’est à dire non quantique et non relativiste) mais elle est de plus en plus courante aujourd’hui ; les physiciens utilisant les outils mathématiques avancés déjà inventés pour décrire les résultats des expériences réalisées ou comme cadres dans lesquels ils proposent de nouveaux modèles, le plus possible cohérent avec ceux déjà établis, nouveaux modèles que la réalité expérimentale confirmera ou infirmera quand elle le pourra. II) Approche documentaire mécanique quantique Un cours introductif internet clic-clic http://uel.unisciel.fr/chimie/strucmic/strucmic_ch01/co/observer_ch01_03.html Des films de l’université de tous les savoirs Aspect http://www.canal-u.tv/video/universite_toulouse_ii_le_mirail/la_physique_quantique_a_l_epreuve_de_l_experience_alain_aspect.12026 http://www.canal-u.tv/video/science_en_cours/alain_aspect.172 Cohen-tannoudji http://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/le_refroidissement_d_atomes_par_des_faisceaux_laser.1069 Tenter d’écrire les équations qui décrivent les phénomènes physiques que Claude Cohen Tannoudji explique Faire une recherche internet sur le fonctionnement du LASER Haroche http://www.canal-u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs/la_physique_quantique_serge_haroche.1065 Fert http://www.canal- u.tv/video/universite_de_tous_les_savoirs_au_lycee/le_monde_de_la_spintronique_electrons_spins_ordinateurs_et_telephones_albert_fert.5771 III) Technologie et mécanique quantique Laser, CCD, transistor microprocesseur, horloge atomique ( donc GPS) , RMN, microscopie électronique microscopie à effet tunnel microscopie à effet de champ, LED, aimants , différence métal isolant, Energie nucléaire, cryptographie quantique ? Compréhension de la nature physique des solides mécanique quantique appliquée à la matière condensée ; Film http://www.toutestquantique.fr/#dualite IV) Lumière a) corps noir 1900 Max Planck l’énergie s’échange entre la matière et le rayonnement par multiples de h ou h est la constante de Planck h=6.62606957 10-34 J.s Einstein interprète cela comme l’énergie d’une particule sans masse le photon b) effet photoélectrique (Cathode en césium historiquement) sous l’effet de la lumière des électrons peuvent être arrachés à condition que > si on augment le nombre de photons en gardant < c) diffusion Compton seuil e- =W/h Ec=E-W =h( - rien ne se produit h ’ ' h seuil h (1 cos ) me c seui)>0 Le photon s’est comporté comme une particule, il y a eu collision avec un électron , cette expérience a achevé de convaincre les plus réticents de la pertinence de la mécanique quantique. La théorie hors programme ci-dessous : diffusion compton c'est la diffusion inélastique de la lumière par un électron d'un atome qui est alors éjecté de l'atome X sur cible graphite Il y a conservation de la quantité de mouvement et de l'énergie mais pas de l'énergie cinétique L'énergie et la quantité de mouvement du photon sont reliées par E = h p = E/c l'énergie d'une particule comme l'éelectrone est d'après la théorie relativiste p e ² c ² me ²c 4 ou pe est la quantité de mouvement de l'électron e me est la masse de l'électron, m e c ² 0.511Mev Les conservations s'écrivent alors : 0 p1 pe me c ² p1c h h 1 p2 4 p2 c h h 1 2 p e ²c ² me ²c (1 cos ) 2 h (1 cos ) me c 2me c( pe ² p1 ² p2 ² 2 p1 p2 cos pe ² ( p1 p2 )² 2me c( p1 p2 ) p1 p2 (1 cos ) 2me c( p1 p2 ) ) h est appelée longueur d'onde compton me c d) Ordre de grandeur soit un photon de longueur d’onde =500nm ( spectre visible) son énergie E=h =3.98 10-19J fait que avec une ampoule de 100W on a 31020 photons par seconde Technologie : sources de photons unique et photomultiplicateurs regarder sur le net comment c’est fait e) Expérience des fentes de Young diffraction photon par photon http://www.youtube.com/watch?v=MbLzh1Y9POQ Principe de complémentarité Niels Bohr ; une particule ne peut pas à la fois se comporter comme une particule et comme une onde ; Si on cherche à savoir par quelle fente le photon est passé on va modifier sa phase et la figure d’interférence disparait. Remarque : vous pouvez revoir le cours n°3 dans lequel le calcul de la figure d’interférence a été mené pour aboutir à un interfrange I= λD/(2b) , (2b) étant la distance entre les deux fentes (et qu’il faut considérer comme un exercice utile le programme exigeant ce calcul en seconde année) C’est le champ électrique qui s’ajoute, l’intensité étant la valeur moyenne du carré du champ électrique total montre des zones d’interférences constructives ou destructives L’intensité en un point M de l’écran est : I(M) = <E(M)2> = <[E1(M)+ E2(M)]2> = <E1²(M)+ E2²(M)+2 E1(M).E2(M)> = I1(M)+ I2(M)+2 E1(M).E2(M) 2 E1(M).E2(M) est le terme qui provoque les interférences Dans le cours les champs électriques étaient notés s(t) comme signal V) Matière 1) Dualité onde corpuscule 1923 Louis De Broglie à une particule de quantité de mouvement p on associe une onde de longueur d’onde que telle h si v<<c p=mv p C’est la généralisation de p=h /c=h/ découverte pour le photon à des particules massiques 2) Expérience de Davisson et Germer 1927 Diffraction d’un faisceau d’électrons par un cristal de nickel Ec=54eV v 2 Ec me 4.35106 m / s h me v c0 1.6810 10 m 3) Microscope électronique ; il faut des lentilles électrostatique et magnétique Dans un microscope électronique Ec =100Kev v= 0.6 c0 2 remarques Il faut que l’échantillon supporte cette énergie Il faut utiliser des formules relativistes Ec=( -1)mec0² p = me v avec 1 v² 1 c0 ² =3.7pm !!! mais en fait à cause des aberrations, on n’a pas une résolution supérieure aux distances interatomiques 10 -10m 4) Diffraction des neutrons Plus massique donc quantité de mouvement plus importante avec une vitesse moins grande Il faut même les ralentir par de l’eau lourde neutrons thermiques à 300K m n=1.67 10-26 Ec 3 kBT 2 v 2.73103 m / s 1.5 10 10 m 4) Interférences d’atomes, de molécules !! (De plus en plus gros objets mais pas encore d’interférences avec des chats de Schrödinger) Plus la longueur d’onde est courte plus il est difficile de mettre en évidence un comportement ondulatoire 5) Une expérience de diffraction électron par électron http://www.hitachi.com/rd/portal/research/em/movie.html I(M) est différent de I1(M)+I2(M) comme en optique physique Principe de complémentarité à nouveau 6) Notion de fonction d’ondes Equation de Schrödinger pour l’atome d’hydrogène problème indépendant du temps (stationnaire) Le Laplacien Δ décrit une dérivée spatiale seconde , μ est la masse réduite du système électron proton proche de la masse de l’électron, on reconnait aussi l’énergie potentielle électrostatique . associée à la force électrostatique . Le module au carré de la fonction d’onde la densité de probabilité de présence dP 2 (r , , ) d 2 (r, , ) r ² dr sin d d Probabilité de trouver l’électron entre r et r+dr, +d et entre et +d et Il apparait que les solutions de cette équation sont quantifiées à chaque énergie correspond un ensemble d’orbitales possible (dégénérescence) , avec , Tout comme pour le problème des cordes vibrantes on a une solution qui est associée à une valeur d’énergie, on disait modes de vibration. La solution de l’équation de Schrödinger existe pour certaines valeurs de l’énergie E, ces valeurs E n sont associées à des fonctions d’ondes ψn Représentation graphique de ces probabilités, orbitales http://www.phys.ens.fr/~dalibard/transparentsX/2010/cours4.pdf http://www.phys.ens.fr/~dalibard/transparentsX/2010/cours4.pdf En mécanique quantique on abandonne la possibilité de connaitre avec une précision infinie une trajectoire on peut seulement avoir accès à une probabilité de présence : Einstein n'avait jamais aimé la Mécanique Quantique, bien qu'il ait joué un rôle de pionnier dans son élaboration. Il répugnait à l'idée d'indéterminisme, inhérente au Principe d'Incertitude, et il avait exprimé son aversion par la formule "Dieu ne joue pas aux dés." La réponse d'Hawking est la suivante : "Non seulement Il joue aux dés, mais Il les lance là où on ne peut pas les voir." Une autre remarque de Hawking pour le plaisir : A l'issue de leurs observations, les chercheurs ont conclue en 2009 qu'en tout état de cause, si le proton se désintègre, sa durée de vie doit être supérieure à 10^34 années ce qui est une assez mauvaise nouvelle pour toutes les théories de grande unification. interférences Einstein n'avait jamais aimé la Mécanique Quantique, bien qu'il ait joué un rôle de pionnier dans son élaboration. Il répugnait à l'idée d'indéterminisme, inhérente au Principe d'Incertitude, et il avait exprimé son aversion par la formule "Dieu ne joue pas aux dés." La réponse d'Hawking est la suivante : "Non seulement Il joue aux dés, mais Il les lance là où on ne peut pas les voir." Une autre remarque de Hawking pour le plaisir : A l'issue de leurs observations, les chercheurs ont conclue en 2009 qu'en tout état de cause, si le proton se désintègre, sa durée de vie doit être supérieure à 10^34 années ce qui est une assez mauvaise nouvelle pour toutes les théories de grande unification. Retour sur l’expérience d’interférence électron par électron Ψ1(M) est la fonction d’onde associée au passage de l’électron par la fente 1 pour aboutir au point M de l’écran Ψ2(M) est la fonction d’onde associée au passage de l’électron par la fente 2 Ψ(M) est la fonction d’onde totale qui décrit l’expérience entière ||Ψ(M) ||² est la densité de probabilité de présence de l’électron ||Ψ(M) ||²dτ est la probabilité pour l’électron d’aboutir sur un élément de volume dτ proche d’un élément de surface autour du point M de l’écran (M ) 1 2 1 (M ) 1 (M ) 2 (M ) * le terme 2 Re( 1 2 (M ) (M ) 2 2 (M ) 1 2 (M ) (M ) * 1 2 (M ) (M ) . 2 1 (M ) * (M ) 2 2 (M ) 1 (M ) * 1 ( M )* 1 (M ) (M ) 2 (M ) . 2 2 (M ) 2 1 (M ) * 2 Re( 2 1 (M ) * (M ) 2 ( M )*) est responsable des interférences VI) Inégalités de Heisenberg 1) énoncé La précision de la mesure de la position d’une particule est liée à la précision de la mesure de sa quantité de mouvement par la relation suivante : Si on veut augmenter la précision d’une mesure d’une variable opn dégrade la précision de la mesure sur la variable conjuguée x px 1 10 2 34 J .s 1 t 2 2 les incertitudes sont définies par t E t x kx 1 4 1 puisque p 2 puisque E x xdP( x) x ( x) ² dx x² x x k kdP(k ) k (k ) ² dk k² k k k est la variable conjuguée de x 2 2 k h dP ( x) x x dP (k ) k k 2 2 ( x ) ²dx x² x ² (k ) ² dk k² k ² ( M )*) On parle aujourd’hui d’indétermination quantique plutôt que de principe d’incertitude car il s’agit d’une impossibilité fondamentale et pas d’un manque de précision de l’appareillage expérimental ( on est certain qu’on aura jamais mieux que la limite Heisenberg) 2) L’inégalité de Heisenberg est une conséquence du fait que (k)=TF (x), hors programme Claude Cohen-Tannoudji : [l’inégalité d’Heisenberg] n’a rien en elle-même de typiquement quantique. Elle ne fait qu’exprimer une propriété générale des transformées de Fourier, dont il existe de nombreuses applications en physique classique. (la diffraction par exemple).. Ce qui est quantique, c’est d’associer une onde à une particule matérielle et d’imposer à la longueur d’onde et à l’impulsion de satisfaire la relation de De Broglie On trouvera à la fin de ce cours la démonstration à laquelle Cohen Tannoudji fait référence , elle utilise des outils mathématiques hors programme je la mets là pour quand vous serez plus grand en école d’ingénieur en espérant que mon cours pourra encore vous servir parfois. 3) Caractère quantique ou pas d’un système physique Pour un système macroscopique la petitesse de la valeur de h fait que la limitation posée par l’inégalité de Heisenberg n’est pas perceptible, la mécanique classique s’applique Grain de poussière 1 m=10-15 kg v=10-3m/s précision de 10-8 sur la mesure de l’impulsion p=10-26MKSA aucun appareil de mesure ne peut atteindre une Considérons maintenant un électron d’un atome Modèle de Bohr p.r= n.h/(2 ) p/p+ r/r=0 p/ r=p/r or p r>h/(4 ) pr h 2 p r n p r p r n h 2 r r² r h 4 2 r r 1 l'incertitude relative sur la position ne peut pas etre petite pour les 2n h 4 4) Lien entre la diffraction et l’inégalité d’Heisenberg ε a Δx =a p = hν/c Or Δpx= (hν/c) sin ε = (h/λ) sin ε sin ε=λ/a Donc Δpx = h/Δx Δpx=(h/λ) (λ/a) = (hν/c) sin ε = (h/λ) sin ε E 5) Oscillateur harmonique énergie minimum p² 2m E 1 kx ² 2 x² x p² E 2 p² 2m car x 1 m 2 2m 1 m 2 2 0 x² p² p ² car p p ² x² 0 2 0 1 m 2 2m 2 x 0 2 0 or p 2 x 2 2 E x 1 m 2 2m soit ² 4m m 2 x 0 2 0 4 x ² 2 soit 8m x 1 m 2 x ² 2m 2 0 et E0 0 x dE d x 2 1 2 0 quand ² 2 8m x 3 m 2 0 x x 0 0 pour répondre à la question posée est-ce que le minimum est toujours à l'intersection des deux courbes ? le minimum d ( f ( x) dx g ( x)) 0 en x0 / à priori différente des solutions x1 de f(x)=g(x) mais ici f(x)=a/x² et g(x)=bx² et alors - 2a 3 x0 2bx0 0 et cela n'aurait pas été le cas avec f(x)=a/x 3 et g(x)=bx² - Un traitement complet montre que E (n 3a x0 4 a x1 ² bx1 ² correspondent au meme point 2bx0 0 et a 3 x1 bx1 ² x 0 et x1 sont différents 1 ) 2 On peut faire le même raisonnement avec l’atome d’hydrogène Cohen p 48 VII) Quantification énergie de confinement Particule confinée dans un puits entre x=0 et x=l selon les modes de résonance des cordes vibrantes 2l n p² l'énergie dans le puits est uniquement cinétique En 2m selon La relation de De Broglie 2 h En En 2m 1 En 2 h 2l n 2m (2n 1) n² h² 8ml ² n 0 n ' est pas possible h² 8ml ² plus petite fréquence absorbable 0 3 h² 8ml ² E1 h² 8ml ² VIII) Photons intriqués ; application cryptographie quantique Un sujet actuel de mécanique quantique non traité IX) Des images Quand les atomes sont lents, on peut les observer longtemps, ce qui offre la possibilité de mesurer avec grande précision la fréquence correspondant à une transition entre deux niveaux d’énergie atomiques. Schematic graphs of three different kinds of field-effect transistor (FET) magnétisme aimants microscopiques X) Complément hors programme pour lecture en école d’ingénieur. prérequis : transformée de Fourier et transformée de Fourier inverse 1D dans les livres de mathématiques ou de traitement du signal sont liées par les formules : fˆ ( ) TF ( f (t )) i2 f (t )e t dt TFI ( fˆ ( )) f (t ) h est en J.s dimension MLT -2 L T ML2 T -1 on appelle ça une action dans un livre de mécanique quantique on lira plutot : 1 ˆ (p)= 1 dxe ikx ( x) ( x) = dpe 2 2 ˆ (p) 2 ( x) - 2 dx la dimension de le produit sacalaire entre fonctions est : <f,g>= propriété on a f = fˆ TF[f (k) ] k i2 - 2 soit fˆ ( ) fˆ ( n ) ( ) L ( x) n i2 f 2 (t) = par integration par parties df dt 2 = - 2 t f(t) t f (t ) 2 et par la propriété TF[f (k=1) ] 1 4 t 2 i2 df* (t) dt dt dt ² fˆ ( ) d ML ²T 1 1 MLT 1 . MLT 1 ( x) 2 2 f 2 (t ) dt k 1 t soit 2 df* (t) dt dt t f(t) d f ² dt 2 V1 . V2 2 t f (t ) 1 t f ² 2 dt 2 df * dt dt dt 1 2 f ² dt 0 1 16 ² 2 t TF t² f (t ) 2 dt df * dt dt t df * d dt soit 1 4 1 4 ouf ! 2 2 fˆ ( ) d i2 2 2 soit t C’est pour un paquet d’ondes gaussien qu’on « touche » l’égalité 1 2 2 1 4 2 t 1 4 fˆ ( ) 2 V1 .V2 1d f ² 1 dt 2 dt 2 t n df * dt soit puisque f est normalisée dt 2 4 ² 1 f(t) dt - ix TF alors l'inégalité de Schwartz donne df * 1 dt puis par parseval dt 4 2 f(t)f*(t)dt= 2 f ² dt t ˆ (p) donne effectivement 1 L ˆ ( n ) ( p) et 2 1 4 ikx f (t ) f1 (t ) dt 2 1 2 f ip ( ) n ˆ ( p) f1 (t ) f 2 * (t ) dt prenons f1 (t) = t . f(t) et dpe 2 f(t)g*(t)dt 2 inégalité de Schwartz 1 ( x) = 2 TF (n) 2 ˆ (p) dp 1 on voit que la dimension de ˆ (p)est 1 p - fˆ ( ) d qui s'appelle théorème de Parseval f(t) dt en notation quantique on écrit TF soit ˆ (p) 1 ( x) est on a donc pas de problème de dimension puisque ou ikx représente la densité de probabilté dans l'espace des impulsions i.e on a comme 1 ainsi fˆ ( )ei 2 t d t 2 2 4 ² ² fˆ ( ) d f ² dt 1 MLT 1