TP : Extraire des informations d`un logiciel afin de - SVT FXM

publicité
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
1/20
FEMININ / MASCULIN 1ES
FEMININ/MASCULIN - SEANCE 1
Les deux appareils reproducteurs.
Activité 1 : l’appareil reproducteur de l’homme.
Titrez et légendez le schéma ci-dessous ;
Donnez les caractéristiques ou rôle des organes numérotés.
1:
2:
3:
4:
5:
6:
1.
2.
3.
4.
5.
6.
Correction
Testicule = lieu de production des spermatozoïdes (= spz) ;
Spermiducte = canal déférent (canal d’évacuation des spz) ;
Glandes annexes pour fabriquer une partie du sperme ;
prostate ;
canal uro-génital = urètre
pénis.
Pour les caractéristiques cf. dessin ci-dessous.
2/20



1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Activité 2 : le testicule.
Observez au microscope une coupe de testicule.
Titrez et légendez le dessin ci-contre.
Donnez un des deux rôles du testicule.
Correction
Donc un des 2 rôle = PRODUCTION DE CELLULES SEXUELLES OU GAMETES OUS
SPERMATOZOÏDES
3/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Trouvez à travers les documents des p. 166 -167 le deuxième rôle du testicule.
Un deuxième rôle : la production de TESTOSTERONE = HORMONE MÂLE


Activité 3 : l’appareil reproducteur de la femme.
Titrez le schéma ci-dessous ;
Donnez le nom et les caractéristiques ou rôles des
organes numérotés.
Correction :
1= ovaire
2 = pavillon
3 = trompe de Fallope
4 = utérus
5 = vagin
Pour les caractéristiques cf. dessin ci-dessous.
4/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Activité 4 : organisation et fonctionnement des ovaires, p 166-67.
Examinez les documents du livre et répondez aux questions 3-4 et 6-7.
Q3 : La production des ovocytes est cyclique chez la femme. Chaque mois, un nouvel ovocyte est libéré
par l’un des deux ovaires.
Q4 : le schéma.
Q6 : Les concentrations de progestérone et d’œstrogènes durant plusieurs semaines sont irrégulières. Par
exemple, durant la première partie du mois, la concentration de progestérone est très faible alors que
durant la deuxième partie, elle augmente fortement. Elles varient toutes les deux de manière cyclique.
Q7 : En fin de cycle, la production des hormones sexuelles par les ovaires diminue fortement. On atteint
alors les valeurs minimales de concentration en progestérone et en œstrogènes. Débute alors l’élimination
de la couche superficielle de la muqueuse utérine lors des menstruations.


Activité 5 : Régulation de la fonction procréatrice chez la femme, p. 168.
Allez sur mon site http://biogeolfxm.free.fr/indexESL.htm
A la rubrique « FEMININ / MASCULIN », allez à la premiere adresse, faite les animations des
deux rubriques :
La commande hypothalamo-hypophysaire du cycle ovarien
Les rétrocontrôles exercés par l'ovaire sur l'axe hypothalamo-hypophysaire
5/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
A partir de ces observations et des données de votre livre, complétez l’organigramme montrant comment
est contrôlé l’appareil reproducteur féminin.
Correction des documents du livre
Q1 : Lorsque l’on réalise une ablation de l’hypophyse chez une rate, on observe une atrophie de l’ovaire
et une chute des hormones ovariennes. Lorsque l’on réalise la même ablation suivie d’injections
régulières de broyat d’hypophyse, on observe alors le déclenchement d’une ovulation, le développement
de corps jaunes, ainsi que la présence d’oestradiol et de progestérone dans le sang de la rate.
Q2 : En l’absence d’hypophyse, le fonctionnement des ovaires est modifié. Il semblerait donc que cette
glande du cerveau agisse sur les ovaires.
Après ablation de l’hypophyse, on retrouve un fonctionnement normal des ovaires lorsque l’on injecte des
extraits en provenance de l’hypophyse. On peut en déduire que l’hypophyse libère des hormones qui
agissent sur le fonctionnement des ovaires.
6/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Q3 : L’hypophyse libère dans la circulation sanguine deux hormones LH et FSH qui stimulent le
fonctionnement des ovaires.
Q4 : L’injection de progestérone chez une rate provoque une diminution de la production de LH et de
FSH.
L’action des œstrogènes dépend de la concentration injectée. Lorsque la quantité d’oestradiol injectée est
faible, les concentrations sanguines de LH et de FSH diminuent. Mais lorsque la quantité est importante,
on observe une forte augmentation de la concentration de LH et de
FSH.
Q5 : Les ovaires agissent par l’intermédiaire des hormones sexuelles (œstrogènes et progestérone)
directement sur l’organe qui contrôle leur fonctionnement, en l’occurrence ici le cerveau (hypophyse).
Q6 : Lorsque la concentration sanguine des hormones sexuelles est faible, celles-ci inhibent le
fonctionnement de l’hypophyse qui produit moins de LH et de FSH. On parle de rétrocontrôle négatif.
Au contraire, les œstrogènes, lorsqu’elles sont en grande quantité, stimulent le fonctionnement de
l’hypophyse qui libère ainsi massivement LH et FSH dans la circulation sanguine. On parle alors de
rétrocontrôle positif.
Q7 :
a. Les ovaires exercent durant tout le cycle un rétrocontrôle négatif sur le fonctionnement de l’hypophyse,
à l’exception de la période pré-ovulatoire.
b. Au 12 et 13ème jours du cycle, les ovaires exercent un rétrocontrôle positif sur le fonctionnement de
l’hypophyse.
c. Un peu avant l’ovulation, lorsque la concentration en œstrogènes devient maximale, les ovaires
exercent un rétrocontrôle positif sur l’hypophyse. Cette glande libère alors une quantité importante de LH
et de FSH qui vont déclencher l’ovulation.
7/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
SYNTHESE DE LA SEANCE
Les testicules produisent des spermatozoïdes et de la testostérone de manière continue, tandis que
les ovaires de la femme produisent des ovocytes et des hormones sexuelles (progestérone et
œstrogènes) de manière discontinue. On parle alors de fonctionnement cyclique.
Bilan du fonctionnement de l’appareil féminin
8/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Document annexe : courbes de sécrétion des hormones ovariennes et hypophysaires, évolution des
follicules et de l’utérus
Remarque : le pic d’œstrogènes est un peu exagéré !!!
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
9/20
Un tableau résumé de tous les événements se produisant
pendant un cycle menstruel ou féminin.
Cycle
menstruel
Temps en
jours
0-5
5-14
Période du
cycle
Phase folliculaire
évolution
de l’ovaire
Croissance du follicule (F) => F mûr
+-/14
14-28
28 + 5
(cycle suivant)
ovulation
Phase lutéale
Début phase
folliculaire
Explosion du F
Le F se
et expulsion de transforme en
l’ovocyte
corps jaune
(CJ)
Croissance d’un
nouveau F
Développeme
nt et
vascularisatio
n de
l’endomètre
=> dentelle
endomètrale
pour
permettre la
nidation de
l’embryon si
fécondation
Destruction de la
dentelle
endométrale
élaborée entre J14
et J28 => règles
suivantes
Evolution
de l’utérus
Destruction de la
dentelle
endométrale
élaborée au cours
du cycle précédent
=> règles
Reconstruction de
l’endomètre et
croissance
glaire
cervicale
Imperméable aux spz
Remarque
Cycles menstruels uniquement entre puberté et ménopause.
Pas de cycles pendant la grossesse.
Ménorrhée : règles ou menstruation.
aménorrhée : absence des règles ou menstruation. Le plus souvent, la grossesse en est la cause.
C’est la date d’aménorrhée qui est prise en compte pour le début de la grossesse, etc.
Perméable
Atour de la
période
d’ovulation
Imperméable aux spz
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
10/20
FEMININ/MASCULIN – SEANCE 2
Contraception : ensemble des méthodes permettant d’éviter d’une manière temporaire et réversible
la survenue d’une grossesse.
Chaque méthode agit, schématiquement, sur l’un des stades de la conception.
Contragestion : ensemble des méthodes permettant d’arrêter une grossesse.
La frontière entre les deux n’est pas toujours bien nette.
Activité 1 : une petite histoire de la contraception.
Recherchez à travers des documents de votre livre les grandes étapes de la contraception
Moyen Age
Des préservatifs en peau de mouton !!! Des cailloux dans les utérus de chamelle voire
voire
des femmes en Mésopotamie !!!
antiquité
19ème
siècle
Apparition de préservatifs en caoutchouc dans les effets militaires (Les Maladies
Sexuellement Transmissibles ou M.S.T. )
1960
La pilule mise en vente aux Etats-Unis
La Food and Drug Administration (FDA) autorise la commercialisation de la pilule
contraceptive mise au point par l'Américain Gregory Pincus. En France en 1920, pour
redresser la démographie, une loi a interdit toute propagande anticonceptionnelle. Ce
n'est quand 1967 que la loi du député Lucien Neuwirth légalisera la contraception.
1967
Après des débats passionnés, l'Assemblée vote enfin le projet de loi dit "Neuwirth" du
nom du député qui l'a proposée, Lucien Neuwirth. Elle abroge la loi du 31 juillet 1920
qui interdisait toute contraception. Celle-ci est désormais autorisée mais n'est pas
remboursée par la Sécurité sociale. L'avortement reste, lui, interdit jusqu'à l'adoption de
la loi Veil en 1975.
1974
Nouvelle avancée pour la contraception
Une nouvelle loi autorise la délivrance de la pilule contraceptive aux mineures sans
l'autorisation de leurs parents. Elle garantie anonymat et gratuité dans les centres de
planification familiaux. Ce nouveau texte vient parfaire la loi Neuwirth du 28 décembre
1967 qui légalise l'utilisation de la pilule.
1988
Suspension de la fabrication du RU 486
Le laboratoire franco-allemand Roussel-Uclaf décide de retirer de la vente la pilule
avortive RU 486. La pression des groupes anti-avortement est trop forte, plusieurs
membres du personnel de l'entreprise pharmaceutique ont même été menacés de mort.
Dès le 28 octobre le gouvernement français ordonnera le retour du RU 486. Le ministre
de la santé Claude Evin déclarera: "Le RU 486 est devenu la propriété morale des
femmes, pas seulement la propriété de la société pharmaceutique".
Activité 2 : la contraception hormonale féminine préventive.
Pilule oestroprogestative : cf. livre p. 170 doc 1a.
Répondez aux questions 1 à 3.
11/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Q1 : Lors de la prise quotidienne des hormones sexuelles de synthèse, on observe que les quantités de LH
et de FSH libérées par l’hypophyse restent faibles durant l’intégralité du traitement. En milieu de cycle, le
pic de concentration de LH observé précédemment n’apparaît plus.
Q2 : Durant la prise quotidienne des hormones de synthèse, les concentrations de progestérone et
d’œstrogènes libérées par les ovaires deviennent très faibles. Les variations de la concentration de ces
hormones sexuelles naturelles ne sont plus cycliques.
Q3 : La pilule contient des hormones sexuelles de synthèse qui, prises de manière continue en faible
quantité, exercent durant tout le cycle un rétrocontrôle négatif sur le cerveau. En conséquence,
l’hypophyse, ne libérant plus de LH et de FSH, n’est plus à même de stimuler le fonctionnement des
ovaires. Ainsi, la production des hormones naturelles ovariennes devient très faible.
Pilule uniquement progestative : f. livre p. 170 doc 1b :
Répondez à la question 4.
Q4 : En milieu de cycle, c’est-à-dire en période ovulatoire, la glaire cervicale d’une femme sans
traitement présente des mailles lâches. Au contraire, dans le cas d’une femme prenant la pilule, les mailles
de la glaire cervicale sont serrées. En conséquence, comme on peut le voir sur la photographie, la glaire
cervicale d’une femme sous pilule empêche le passage des spermatozoïdes du vagin vers la cavité de
l’utérus contribuant ainsi à l’action contraceptive de la pilule.
Activité 3 : la contraception d’urgence.
Cf. livre p. 171 doc 2.
Répondez aux questions 5 et 6.
Q5 : Après la prise de la contraception d’urgence, la concentration de LH reste à peu près constante.
Q6 : La contraception d’urgence maintient la concentration en hormone hypophysaire (ici LH) à une
valeur très faible. Le pic de sécrétion de LH n’apparaît pas, ce qui empêche l’ovulation d’avoir lieu.
Activité 4 : la contragestion ou IVG médicamenteuse.
Pour le mode d’action du RU486 pensez à ce que vous avez vu à propos du couple « LSD /
sérotonine ».
Cf. livre p. 171 doc 3.
Répondez aux questions 7 et 8.
Q7 : RU486 est une hormone de synthèse qui présente une grande similitude de forme avec celle de la
progestérone. C’est un ANTAGONISTE , une molécule qui prend la place de la progestérone et qui
empêche la progestérone d’agir.
Q8 : Puisque l’on retrouve de la radioactivité sur les cellules de l’utérus après injection soit de
progestérone marquée, soit de RU486 marqué, cela implique que ces deux hormones sont capables de se
fixer sur l’utérus.
Lorsque l’on injecte en premier lieu du RU486 non marqué puis de la progestérone marquée, on observe
que la radioactivité retrouvée au niveau de l’utérus est beaucoup moins importante que les valeurs
associées à l’injection de progestérone marquée seule. On peut supposer que RU486 du fait de sa
similitude de forme avec la progestérone, l’empêche de se fixer sur l’utérus. En conséquence, l’utérus ne
détecte qu’une petite quantité de progestérone et associe cette situation à celle rencontrée en fin de cycle
lorsque les ovaires produisent de moins en moins d’hormones ovariennes. C’est alors que se produisent
les menstruations interrompant alors la grossesse en cours.
En résumé :
Pas de progestérone => règles => l’embryon est entrainé avec la muqueuse utérine => avortement.
Activité 5 : autre mode de contraception.
Cf. livre p. 173.
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
12/20
Dites en quelques mots en quoi ces méthodes consistent et ce qu’elles apportent.
Ce sont des variantes de la contraception hormonale. Elles apportent une certaine liberté.
Les femmes ne sont plus obligées de penser à la pilule chaque jour.
Faites une synthèse de la séance en pensant en particulier aux aspects sociaux de ces méthodes.
SYNTHESE DE LA SEANCE.
Les hormones sexuelles de synthèse contenues dans la contraception hormonale agissent entre autre sur
les ovaires et la glaire cervicale empêchant ainsi le déclenchement d’une grossesse. la contraception dite
du lendemain (en cas d’urgence) ou l’IVG médicamenteuse (si une grossesse a déjà débuté) sont deux
méthodes qui permettent d’éviter la venue d’un enfant non désiré. L’utilisation des hormones sexuelles de
synthèse permet aux femmes de choisir le moment de la conception d’un enfant.
Ces méthodes ont participé fortement à la libération de la femme.
FEMININ/MASCULIN - SEANCE 3
Activité 1 : les stérilités.
Doc1 p 175
A partir de vos connaissances, trouvez quelques causes de stérilité
Chez l’homme.
Problème
Nombre de spz bas =
oligospermie
Absence de spz =
azoospermie
Mobilité des spz =
Mort des spz =
Malformation des spz =
tetratospermie
Anomalie de l’appareil
génital
Anomalie
« comportementale »
= impuissance
Autres causes =
très variées…
Examen / causes
Solution
Concentration du sperme du conjoint et
insémination
spermogramme
Insémination par sperme de donneur
Examens radio et autres
Psychothérapie, viagra, etc.
Insémination avec le sperme du conjoint si
rien ne marche
Chez la femme.
Problème
Trouble de l’ovulation
Troubles de la
réceptivité au sperme
Causes cervicales
Examen /causes
analyses
Analyse de la glaire,
recherche d’infection au
niveau du col de l’utérus,
etc.
Solution
Traitement hormonal
Insémination pour passer la barrière du col
utérin
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
13/20
Endométriose (C'est la
présence de muqueuse
utérine (endomètre) en
dehors de la cavité
utérine)
Règles abondantes et
douloureuses, surtout
vers le 3è ou 4è jour du
cycle. C'est le symptôme
le plus évocateur et le
plus fréquent.
Obturation de l’appareil
génital
Radios, etc. : bien
souvent cela est due a
une MST ou
malformation congénitale
Psychothérapie
Anomalie
« comportementale »
Autres causes
Traitement avec les progestatifs de synthèse
qui en bloquant l'ovulation et la
menstruation mettent les foyers
d'endométriose au repos pendant 6 à 18
mois, des antigonadotrophines (anti
hormones de l’hypophyse).
Par traitement chirurgical ou par
électrocoagulation ou laser : destruction des
implants d'endométriose si c'est nécessaire.
Opération ou FIVETE
FIVETE si rien ne marche
Psychothérapie
Et si c’était les deux ?
Il arrive que les deux conjoints soient légèrement en dessous des normes, les deux réunis posent
Activité 2 : la FIV(ETE), une des techniques de PMA.
PMA, également appelée assistance médicale à la procréation (AMP) et procréation assistée
médicalement (PAM), est un ensemble de pratiques cliniques et biologiques où la médecine intervient
plus ou moins directement dans la procréation afin de permettre à des couples infertiles d'avoir un enfant.
Bien que la confusion soit courante, la PMA ne se réduit pas à la fécondation in vitro (FIV, ou FIVETE
pour « fécondation in vitro et transfert d'embryon »), qui n'en est qu'une des méthodes. Le clonage
humain n'est juridiquement pas considéré comme faisant partie des techniques de PMA.
FIVETE : fécondation in vitro et transfert d’embryons.
Cf Doc 2 et 3 p 174 -175.
Donnez toutes les étapes d’une FIV et donnez en le but.
Il y a traitement hormonal pour stimuler l’ovulation.
Prélèvement de nombreux ovocytes.
Mise en contact avec le sperme => fécondation.
Culture pendant quels jours.
Injection de quelques embryons dans l’utérus en phase lutéale.
LA SUITE DE LA GROSSESSE EST TOTALEMENT NATURELLE.
Une variante de la FIVETE : Injection intra-cytoplasmique de spermatozoïde (ICSI)
C’est l’injection d’un seul spermatozoïde ou même d’une cellule pré - spermatozoïde directement dans
l’ovocyte.
Méthode utilisée dans le cas où l’homme présente de gros problèmes du côté des spz (très peu nombreux
par ex).
Activité 3 : les problèmes éthiques autour de ces méthodes de PMA.
Cf. doc 4 p 174.
Qu’est-ce que l’éthique ?
14/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
= Ensemble des principes moraux qui sont à la base de la conduite de quelqu'un ou d’une profession ou
ici d’une technique.
Recherchez surtout toutes les possibilités autour des PMA et les problèmes que cela peut poser.
Des liens génétiques pas clairs dans certaines situations.
Des mères grands-mères !
Des embryons abandonnés après divorce.
Des enfants nés après le décès du père.
Des enfants fils de leur oncle !
Etc.
Activité 4 : IST e prévention.
Doc p 176 et 177
Qu’est-ce qu’une IST ?
Une IST ou Infection Sexuellement Transmissible (qu’on appelait avant maladie Sexuellement
Transmissible) est une maladie qui se transmet par des relations sexuelles avec une ou des personne(s)
déjà contaminée(s), qu’il y ait ou non pénétration.
Les IST peuvent être dues à différents microbes : bactéries, virus, parasites, champignons.
Parmi les IST les plus connues, on peut citer : le VIH/Sida, les hépatites B et C, l’herpès, la blennorragie,
les chlamydioses, les condylomes, la syphilis, les papillomavirus…
Certaines de ces infections ne sont pas uniquement transmissibles par les relations sexuelles ; c’est le cas
du VIH/Sida et des hépatites qui peuvent se transmettre par le sang.
Quelles sont les conduites à tenir pour les éviter (= prévention) ? Trouvez quelques exemple dans votre
livre.
Doc. 2 Préservatifs et IST
Le virus du SIDA peut se transmettre principalement lors de rapports sexuels non protégés ou de
l’utilisation de seringues contaminées.
Le préservatif est le seul contraceptif qui protège d’une contamination par les IST.
Pour les sujets à risques (lorsqu’il existe plusieurs partenaires sexuels par exemple) l’association pilule et
préservatif permet de garantir une contraception efficace et une prévention contre les IST.
Doc. 3 IST et vaccination
Le vaccin contre les papillomavirus est destiné aux jeunes filles. Il doit être injecté avant le premier
rapport sexuel. Il est destiné à prévenir les infections à papillomavirus pouvant entraîner des cancers du
col de l’utérus.
Bilan.
Les infections sexuellement transmissibles se transmettent facilement lors de rapports sexuels non
protégés. Aussi, afin de se préserver d’une éventuelle contamination, il est conseillé d’utiliser un
préservatif. Par ailleurs, ces infections ne sont pas tout le temps associées à des symptômes visibles.
Ainsi, il est préférable de se faire dépister pour vérifier son état de santé et protéger son entourage.
SYNTHESE DE LA SEANCE
Les problèmes d’infertilité augmentent.
Pour l’homme, la diminution du nombre de spzs serait liée à des problèmes environnementaux.
Chez la femme l’âge est à prendre en considérations + pb de IST mal soignées.
Les différentes techniques de PMA permettent de résoudre ces problèmes d’infertilité mais cela
pose bon nombre de problèmes éthiques.
Les IST sont en recrudescence en France et dans le monde. Des mesures préventives sont possibles.
Il faut savoir être vigilant.
15/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
FEMININ/MASCULIN - SEANCE 4
VOIR LA PHOTOCOPIE DISTRIBUEE EN CLASSE.
SYNTHESE DE LA SEANCE
Devenir homme ou femme n’est pas simple biologiquement.
La mise en place de la sexualité a lieu à l’adolescence.
Après c’est l’expérience personnelle qui joue sur l’orientation sexuelle.
Evolution des comportements sexuels au cours des temps.
FEMININ/MASCULIN - SEANCE 4
Devenir homme ou femme est un processus complexe, nous allons voir comment cela se déroule.
Activité 1 : les 3 niveaux d’observation.
Doc 1 p 186
Donnez les définitions de phénotype et génotype
Phénotype : caractéristique d’un individu sous la dépendance de la génétique et/ou de l’environnement.
Génotype : composition génétique d’un individu ou d’une espèce. Quand on envisage l’ensemble des
gènes on parle de génome.
Donnez les 3 niveaux cités dans le document
Niveau macroscopique ou
aspect féminin.
aspect masculin.
général
Niveau des organes
Appareil génital féminin.
Appareil génital masculin.
Niveau des chromosomes
XX
XY
Activité 2 : la fécondation et la constitution du sexe chromosomique ou génétique.
Cf. doc 2 p 187
Qu’appelle-t-on caryotype ?
Ensemble des chromosomes d’un individu ou d’une espèce.
Le nombre de chromosomes (= chr) est caractéristique, ex. : chez l’homme = 46 chrs.
Quel est le caryotype des cellules d’un adulte ?
Chrs par paires => 2n chrs sauf cellules sexuelles.
Répondez aux questions 2 et 3.
Q2 : Les spermatozoïdes possèdent soit 22 chromosomes et un chromosome sexuel X, soit 22
chromosomes et un chromosome sexuel Y.
Q3 : Un ovocyte possédant un chromosome sexuel X va être fécondé par un spermatozoïde contenant soit
un chromosome X, soit un chromosome Y.
Dans le premier cas, la paire de chromosome sexuel sera XX et l’individu sera de sexe féminin. Dans
l’autre cas, la paire de chromosome sexuel sera XY et l’individu sera de sexe masculin.
Activité 3 : le rôle du chromosome Y dans le déterminisme sexuel.
Cf. doc 3 p 187
Expliquez pourquoi les personnes qui possèdent le chromosome Y sont de sexe masculin.
Les chromosomes X et Y possèdent des gènes en commun et d’autres qui leurs sont propres.
Le nombre de gènes situés sur le chromosome X est plus important que le nombre de gènes présents sur
le chromosome Y.
16/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Lorsqu’il manque certaines régions du chromosome Y, les individus présentent des troubles dans la
production des spermatozoïdes ou présentent une morphologie de femme.
Le chromosome Y possède des gènes qui interviennent dans la production des spermatozoïdes, mais aussi
un ou plusieurs gènes impliqués dans la différenciation du sexe.
Bilan : Les spermatozoïdes contiennent soit un chromosome sexuel X, soit un chromosome sexuel Y.
Les ovocytes contiennent un chromosome X. Lors de la fécondation, on constitue une paire
XX (l’individu sera alors de sexe féminin) ou bien une paire XY (l’individu sera alors de sexe masculin).
Activité 4 : mise en place du sexe chez l’embryon
Docs du livre p 188-189
A partir du doc. 2, décrivez l’évolution de l’appareil génital.
Les organes génitaux externes : Avant la 12ème semaine de grossesse, la morphologie externe de la région
génitale est identique chez un fœtus fille et un fœtus garçon. On parle d’un stade indifférencié.
Les organes génitaux internes : Lorsque l’embryon possède des testicules, le canal de Wolff se développe
et le canal de Müller régresse. Lorsque l’embryon possède des ovaires, c’est l’inverse : le canal de Wolff
régresse et le canal de Müller se développe.
A partir des docs. p 189, montrez que cette mise en place est sous la dépendance d’hormones et ceci
jusqu’à la puberté.
La testostérone permet la différenciation des canaux de Wolff en épididyme, canal déférent et glandes
annexes. De son côté, l’AMH permet la régression des canaux de Müller.
En l’absence des hormones testiculaires, testostérone et AMH, les canaux de Wolff dégénèrent et les
canaux de Müller se différencient en trompes, utérus et vagin.
La puberté : Lorsque la concentration en testostérone commence à augmenter à la puberté chez les
garçons, on voit apparaître progressivement les caractères sexuels secondaires. De même, l’élévation de
la concentration en œstrogènes chez les jeunes filles à la puberté concorde avec le début d’apparition des
caractères sexuels secondaires féminins.
Bilan
La mise en place des organes génitaux est sous la dépendance des hormones sexuelles. En présence
d’hormones testiculaires, AMH et testostérone, le fœtus présente des caractéristiques mâles. En l’absence
de ces hormones, le fœtus présente des caractéristiques femelles.
17/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Par ailleurs, au moment de la puberté chez les garçons, l’augmentation de la sécrétion de testostérone par
les testicules s’accompagne de l’apparition de caractères sexuels secondaires mâles. Chez les filles,
l’augmentation de la libération d’œstrogènes s’accompagne de l’apparition de caractères sexuels
secondaires féminins.
Activité 5 : Le comportement sexuel, le système de récompense et évolution du comportement
sexuel
Le comportement sexuel.
Après avoir soigneusement étudiés les docs p 192-193, donnez le rôle des hormones sur le
comportement sexuel des Mammifères.
Doc 1 : Le comportement sexuel des mammifères est en général saisonnier ce qui implique que les
copulations aient lieu durant une période précise de l’année. Au contraire, chez l’Homme, le
comportement sexuel n’est ni saisonnier, ni cyclique. Il est même dissocié de la reproduction.
Chez les rates, l’activité sexuelle est précédée d’une élévation de la concentration des hormones sexuelles
œstradiol et progestérone. Chez le rat, le comportement de copulation accompagne l’augmentation de la
concentration en testostérone.
Chez les mâles comme chez les femelles, l’augmentation de la concentration en hormones sexuelles juste
avant l’activité sexuelle laisse penser que le comportement sexuel est sous l’influence hormonale.
Le doc 2 montre le rôle des hormones. Après ablation des ovaires, on observe la disparition du
comportement de lordose chez les femelles. Chez les mâles, l’ablation des testicules est suivie de la
disparition des tentatives de copulation. Ainsi, l’ablation des gonades inhibe le comportement sexuel chez
les Mammifères.
Lorsque l’on injecte des œstrogènes à des rates ayant subie une ablation des ovaires, on observe une
augmentation de l’activité sexuelle. De plus, plus la dose est importante et plus le comportement sexuel
s’intensifie.
Le doc. 3 donne une idée du mode d’action des hormones sexuelles sur le comportement
Lorsque l’on stimule électriquement certaines régions de l’hypothalamus (aire préoptique, noyau ventromédian), on observe un comportement automatique de copulation chez les mâles et de lordose chez les
femelles. Lorsque l’on arrête les stimulations, le comportement sexuel cesse. Ainsi, on peut en conclure
que l’activité sexuelle est dirigée par certaines régions de l’hypothalamus.
Si on injecte de faibles quantités d’œstradiol au niveau des régions activées électriquement mentionnées
précédemment, on observe l’activation d’un comportement sexuel chez les rates.
Il semblerait donc que les hormones sexuelles influencent le comportement sexuel en agissant
directement au niveau de certaines régions de l’hypothalamus impliquées dans leur déclenchement.
BILAN
Les hormones sexuelles influencent le comportement sexuel des Mammifères. Chez les rats et les rates,
l’augmentation de la concentration de ces hormones précède tout comportement sexuel. De plus, leur
présence au niveau cérébral (hypothalamus) induit le comportement de lordose chez les femelles.
Le système de récompense
Après avoir soigneusement étudiés les docs p 194-195, montrez que le comportement sexuel est sous
l’influence du système de récompense.
Le rôle de l’aire tegmentale ventrale (Doc. 1)
Lors d’un rapport sexuel, au cours de l’orgasme, l’aire tegmentale ventrale est une région du cerveau où
le débit sanguin augmente fortement signe de son intense activité. On peut donc considérer que l’aire
tegmentale ventrale est associée au plaisir.
Le mécanisme de fonctionnement du système de récompense (Doc. 2)
18/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Chez l’Homme, certaines actions en rapport par exemple avec l’alimentation, la protection ou la
reproduction, sont associées à l’activation du circuit de la récompense. Aussi, lors de la réalisation
d’actions menant à ces besoins fondamentaux, le cerveau est activé. Il s’en suit alors une sensation de
plaisir censée « récompenser » l’action effectuée.
Mise en évidence du système de récompense (Doc. 3)
Lorsque l’on associe, chez un animal, une action à la stimulation électrique du système de récompense, on
s’aperçoit que l’animal réalise cette action de manière répétée, voire obsessionnelle. Lors de ces
expériences, on constate donc que la stimulation du système de récompense modifie le comportement de
l’animal qui recherche la sensation de plaisir associée à une action déterminée.
Un comportement sexuel influencé par le système de récompense (Doc. 4)
Lorsque l’on bloque le fonctionnement de l’aire tegmentale ventrale, on remarque que le comportement
sexuel du rat est modifié. En effet, dans le cadre de cette expérience, le nombre de postures liées à
l’accouplement diminue fortement avec le blocage chimique du système de récompense.
BILAN
Le comportement sexuel des Mammifères est sous le contrôle du système de récompense. En effet, les
activités sexuelles sont « récompensées » par une sensation de plaisir par activation du système de
récompense. Chez les Mammifères, les actions en rapport avec la reproduction activent le système de
récompense. Ils agissent donc dans le désir de la satisfaction associée à leurs actions.
Évolution et comportement sexuel
Montrez que de nombreuses régions du cerveau sont sous influence des hormones sexuelles chez les
animaux.
Montrez que c’est le système de récompense qui l’emporte dans l’espèce humaine.
Action des hormones sexuelles sur le cerveau (doc1)
Les régions du cerveau qui possèdent beaucoup de sites d’action aux hormones sexuelles sont :
l’hypothalamus, l’hypophyse, certaines aires du système de récompense.
L’influence hormonale sur le système de récompense varie en fonction des aires. Cette influence est
importante sur l’aire tegmentale ventrale et le noyau accumbens en particulier.
Cependant, les hormones sexuelles n’ont aucune influence sur le cortex préfrontal, comme en témoigne
l’absente de sites de fixation au niveau du cortex.
Lorsque l’on bloque la fixation des hormones sexuelles sur l’aire tegmentale ventrale, on remarque la
disparition du comportement sexuel chez les rats et les rates.
Comparaison des cerveaux de différents vertébrés (doc 2)
On observe une augmentation importante de la taille du cerveau entre le Rat, le Chat puis l’Homme. C’est
le cortex qui semble se développer et prendre de plus en plus d’importance.
Chez le Rat, le cortex préfrontal représente 3 % du volume cérébral alors que chez l’Homme, il représente
30 % du volume total.
Chez l’Homme, on remarque une augmentation importante de la taille du cerveau. Le cortex préfrontal est
considérablement développé par rapport aux autres espèces présentées.
Rôle central du cortex préfrontal (doc 3)
L’hypothalamus est le centre de contrôle du comportement sexuel. Il reçoit des informations en
provenance de certaines aires du système de récompense, en particulier des aires du cortex préfrontal.
Le cortex préfrontal gouverne les comportements sexuels : du fait de son action sur l’hypothalamus, il
contrôle les comportements instinctifs comme la faim, la soif et la reproduction.
BILAN
Le comportement sexuel est déclenché au niveau de l’hypothalamus. Cette région du cerveau est sous
l’influence conjointe des hormones sexuelles et du système de récompense. Chez le Rat, du fait du faible
développement du cortex préfrontal, l’influence hormonale est importante. Chez l’Homme, le cortex
préfrontal, qui n’est pas sensible à l’action hormonale, est fortement développé. En conséquence,
l’influence hormonale chez l’Homme a fortement diminué au profit de l’influence du système de
récompense.
19/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
OK………………………………………..
Activité 6 : Identité sexuelle et normes sociales
Examinez les questions des p 190-191 et répondez rapidement aux questions.
Doc. 1 L’identité sexuelle
Q1.
À chaque genre, on associe un panel d’actions ou de pensées propres. Cela revient à considérer que
l’ensemble du genre féminin agit ou pense d’une certaine manière et que l’ensemble du genre masculin le
fait aussi mais différemment. On parle alors de comportements stéréotypés.
Q2.
Depuis l’enfance, l’environnement familial et scolaire attend de chaque individu un comportement en
concordance avec l’idée que l’on se fait du genre masculin ou féminin.
Aussi dès le plus jeune âge, chacun va inconsciemment être imprégné des attentes ou des projections de
son entourage.
Q3.
Il y a plusieurs clichés associés à cette affiche : celui d’une famille heureuse, celui d’un couple encadrant
leur jeune enfant pour le préserver et le protéger ; les personnages sont présentés comme « biens sous tous
rapports », la femme a une posture bien droite, les pieds joints, elle porte une robe avec à proximité son
sac à main, l’homme est en costume avec cravate et à l’allure du bon père de famille, leur enfant est
habillé en écolier modèle avec cravate, petit short et chaussettes remontées, il incarne l’enfant modèle.
Doc. 2 L’orientation sexuelle : respecter l’intimité de chacun
Q4.
Le Secret de Brokeback Mountain (2005) est un film dramatique américain réalisé par Ang Lee. Il est
adapté d’une nouvelle d’Annie Proulx, pour le quel elle a obtenu le prix Pulitzer.
L’histoire relate la passion secrète vécue pendant vingt ans par deux hommes, Ennis del Mar et Jack
Twist qui « avaient grandi dans deux misérables petits ranchs aux deux extrémités de l’État du Wyoming
».
La difficulté d’être homosexuel, que ce soit vis-à-vis de soi-même ou vis-à-vis de la société, est au cœur
de ce récit, qui permet d’appréhender le choix de l’homosexualité et de la pression sociale exercée sur les
individus dans leur choix de vie.
Harvey Milk (2008) est un film dramatique américain réalisé par Gus van Sant.
Le film retrace les huit dernières années de la vie d’Harvey Milk. Dans les années 70, il fut le premier
homme politique américain ouvertement gay à être élu à des fonctions officielles, à
San Francisco en Californie. Son combat pour la tolérance et l’intégration des communautés
homosexuelles lui coûta la vie. Son action a changé les mentalités, et son engagement a changé l’histoire.
Q5.
On ne peut juger une personne pour son orientation sexuelle. L’orientation sexuelle appartient à la sphère
privée des individus et doit donc être respectée.
BILAN
L’identité sexuelle se construit depuis la naissance. Elle est très tôt orientée par le genre auquel on
appartient. Les jeux sont souvent différents selon le sexe (jeux de construction pour
les garçons, poupées pour les filles par exemple) ; les activités extrascolaires également (activité sportive
pour les garçons, découverte d’un instrument de musique pour les filles).
Les activités sont sexuées ce qui se prolonge plus tard avec l’activité professionnelle (« infirmière versus
pompier »). Au final, la construction de notre identité sexuelle est sous l’influence du contexte
socioculturel et familial qui nous entoure.
Faites un bilan de cette séance.
Le sexe est normalement fixé par les chromosomes, le Y en particulier.
Mais ce n’est pas tout, la différenciation sexuelle est aussi sous influence hormonale.
20/20
1L/S SVT – FEMININ / MASCULIN
Le sexe est pleinement établi au moment de la PUBERTE.
Ensuite, à chacun de choisir son orientation.
SYNTHESE GENERALE sur FEMININ/MASCULIN
Le fonctionnement des organes reproducteurs est complexe mais maintenant bien connu.
Ces connaissances ont permis de mettre en place la contraception / contragestion (deux concepts à
ne pas confondre). Ceci constitue probablement un des progrès majeur du XXème siècle.
Ces connaissances ont permis aussi la mise en place des techniques de PMA mais ne pas oublier les
problèmes éthiques liés à ces méthodes.
Enfin le déterminisme sexuel n’est pas simple, il y a intervention de la génétique certes qui conduit
au sexe biologique mais interviennent aussi des facteurs personnels…
Téléchargement