Quand une jeune hindoue est convertie à l'Islam, des centaines de
musulmans descendent dans la rue et scandent des slogans religieux.
Les plaintes des parents tombent dans les sourdes oreilles des autorités.
Les malheureuses gamines sont alors menacées, et si elles renient
l'Islam elles seront exécutées pour apostasie. Souvent les juges évitent
d'enregistrer ces plaintes par peur des représailles d'extrémistes [1]. [Je
rigole – jaune – toujours quand on me parle d'islam extrémisme pour
nous faire miroiter un islam "modéré" qui n'existe que dans la tête vide
de nos élites politico-médiatiques. Des musulmans peuvent avoir un
caractère modéré, mais pas la doctrine totalitaire à laquelle ils adhèrent
et qui les forcera toujours, à un moment ou un autre de leur vie de
devenir "extrémiste" s'ils veulent garder leurs joyaux de famille. Cela
est tellement vrai que le premier ministre en personne du gouvernement
très "démocratique" de Turquie comme chacun sait
En octobre 2005, trois filles traversaient une plantation de cocotiers
près de la ville de Poso en Indonésie. Elles fréquentaient une école
chrétienne. Elles furent attaquées et décapitées par un groupe de
musulmans. La police dit que les têtes ont été trouvées loin des corps
et une d'entre elles fut laissée à côté d'une église. Les militants
musulmans ont pris pour cible la province centrale de Sulawesi
(Célèbes) et considèrent que c'est la première pierre‘dans la fondation
d'un état islamique. En 2001 et 2002, les musulmans avaient déjà
attaqué les chrétiens dans cette région. Ces actions se sont répandues
dans toute l'Indonésie et ont causé la mort de plus de 1000 chrétiens.
*
Le 18 juin 2010, la Pravda rapporta le meurtre d'un enfant ukrainien de
cinq ans par un homme dans la ville de Dneprovka, en Crimée. Alors
que le petit Viktor Chemyakine jouait dans un bac à sable avec ses
camarades, l'étranger attira son attention sur un arbre en disant : «
Regarde, il y a un oiseau là-haut ». Quand l'enfant leva la tête, l'homme
lui enfonça un couteau dans la gorge.
La soeur de la victime, trois ans, et un camarade, cinq ans, étaient parmi
un groupe d'enfants qui virent l'effroyable attaque. La mère de Viktor
entendit les cris depuis chez elle et accourut pour trouver son enfant
baignant dans une mare de sang.
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