Présentation du Dx Narcissique Th : Quelque chose est arrivé ? Pt

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Présentation du Dx Narcissique
Th :
Quelque chose est arrivé ?
Pt :
Je suis partie depuis 15:15.
Th :
Oh. J’ai parlé avec votre TS et lui ayant parlé je crois qu’il serait bien de
parler avec JF. Vous vous rappelez de JF ?
Pt :
Oh oui, oui.
Th :
Donc, est-ce correct… ?
Pt :
Oui, j’y consens, oui.
Th :
Si vous pouviez juste signer ici.
Pt :
Quelle date sommes-nous ?
Th :
Le 2 mars. Très bien, merci.
Pt :
Je ne pouvais pas me rappeler du nom.
Th :
Maintenant j’aimerais passer à autre chose et que nous discutions des buts et
des méthodes de traitement. Vous dites que vous avez suivi une thérapie
exploratoire avec votre TS. Je dirais, de mon point de vue et du sien, ce n’est
pas vraiment de cette façon…
Pt :
Quelle est la différence entre… ?
Th :
Bien, premièrement, j’aime bien ce que vous dites avoir fait avec elle, en
quelque sorte explorer le passé pour expliquer le présent, ce qui n’est pas une
mauvaise chose à faire. Mais il y a une façon de se concentrer sur le présent,
comment vous comprenez des choses et percevez des choses, quel est le sens
que les choses ont pour vous et comment vous réagissez aux choses dans le
présent. Cela vaut la peine d’y jeter un bon coup d’œil. Le passé peut être
utile, mais aussi se concentrer sur vous et comment vous percevez votre vie
présentement.
Pt :
Je suis d’accord.
Th :
Et vos interactions. L’autre chose est… Cela semble correct ?
Pt :
Oui.
Th :
D’accord. Elle a dit que… Laissez-moi penser… Elle a dit qu’elle développait
des plans pratiques pour vous, pour faire des choses comme prendre sa
douche, vous aviez des plans, vous aviez un cours préparatoire pour le
collège, vous avez en quelque sorte pris le cours, mais aviez abandonné à un
certain moment.
Pt :
Exact.
Th :
Le genre de thérapie exploratoire qui pourrait être aidante selon moi et
j’expliquerai un peu plus pourquoi plus tard, n’inclurait pas ce genre
d’implication pratique. S’il y a quelque genre d’implication pratique pour le
fonctionnement de tous les jours, ce pourrait être un travailleur social qui
s’impliquerait pour aider avec cela. Mais avant cela je crois que nous
devrions explorer quels sont les points qui accrochent. Donc, vous savez, nous
n’aurions pas ce genre d’approche de résolution de problèmes pratiques que
votre TS offrait. Nous nous concentrerions plus sur comprendre ce qu’il y a
dans vos façons de penser et de vous sentir, qui sont automatiques pour vous,
vous n’en avez probablement pas vraiment conscience et ne les avez jamais
questionnées, mais qui pourraient être comment vous négociez, qui ne sont
pas vraiment satisfaisantes.
Pt :
Exact, des pensées distordues, des idées distordues.
Th :
C’est une bonne façon de le dire, oui. Est-ce quelque chose auquel vous
pensiez ou…
Pt :
Oui.
Th :
Est-ce quelque chose qui provient des minutes précédentes ?
Pt :
Cela provient… j’y pense depuis que je travaille sur les étapes des A.A.
Th :
Oh, d’accord. Les étapes, vous savez. Donc, l’idée… Passons d’une chose à
une autre.
Th :
La nature du déroulement du traitement est reliée à la nature du diagnostic.
Et à nouveau, les échanges par messages téléphoniques avec le Dr, car nous
n’avons pu nous parler en personne, alors… Je pense qu’une question
majeure dans votre traitement et dans ce qui pourrait vous aider à vous
sentir mieux, est comment comprendre votre diagnostic. Beaucoup de gens
ont deux diagnostics, ce qui pourrait être votre cas, parce que beaucoup de
choses que vous avez décrites par rapport aux problèmes en lien avec le
traitement avaient à voir avec la dépression. C’est correct, mais certains
traitements n’ont pas eu d’effet à long terme. Et la façon dont je vous vois
maintenant, je ne vous vois pas comme profondément déprimée, je ne sais
pas si vous êtes d’accord. Mais je pense qu’il y a un autre problème, peut-être
même que le problème à la base pourrait être, vous êtes ici pour un trouble
de la personnalité. Et je crois que votre TS a dit que cela ne faisait pas partie
de votre diagnostic quand elle vous traitait.
Pt :
Non, je n’ai jamais eu de traitement spécifique pour cela. Qui était ce docteur… Je
peux la voir, mais je ne peux pas me rappeler de son nom. Mais je connais un ami
qui la voit en privé qui se rappelle de son nom. Elle a regardé les symptômes avec
moi et m’a dit que je n’avais pas ce que mon père a eu, mais que je pourrais être
un état limite.
Th :
Qu’est-ce que cela voulait dire pour vous ?
Pt :
Quand je parle à différentes personnes, elles ont des idées différentes alors c’est
un peu mélangeant pour moi, je ne sais pas ce que cela veut dire. Quand je faisais
l’autre thérapie, ils parlaient de réagir aux situations de stress, sans aller du côté
de la réaction émotive, disant que c’était un problème chez les gens souffrant du
trouble de personnalité limite.
Th :
Qu’aller dans une réaction émotive est le problème ?
Pt :
Exact, que de réagir aux choses automatiquement plutôt que… je ne suis plus sure
de ce que je veux dire.
Th :
S’il y a de la confusion, il vaut mieux prendre du temps.
Pt :
Quand j’ai lu sur le sujet, cela me semblait clair, mais maintenant j’ai un peu de
misère à me rappeler.
Th :
Vous rappelez-vous… ?
Pt :
Se sentir confus à propos de qui on est, être « situationnel », utiliser les gens, des
choses comme cela.
Th :
Donc, il y a quelques éléments ici. Et ces…
Pt :
Je n’ai pas de définition claire d’eux.
Th :
Ce sont les choses auxquelles vous pouviez vous relier. Vous reconnaître en
elles. Avez-vous lu des choses qui sont pour tout le monde, pour des
professionnels ?
Pt :
Quelques trucs sur les dépliants pour les patients, mais aussi des livres de culture
populaire.
Th :
Je pense que cela est aidant de savoir ce qu’une personne a à vivre, ce dont
elle parle, alors il pourrait être aidant pour moi de vous en parler plus.
Pt :
Je l’apprécierais.
Th :
Pour parler de troubles de la personnalité, il faut d’abord savoir ce qu’est la
personnalité, un mot que tout le monde utilise, mais qui n’est pas facile à
définir. C’est comment quelqu’un se sent, pense, de façon spontanée, la
nature de quelqu’un et aussi la constitution de quelqu’un au niveau du
système nerveux, cela a aussi à voir avec la façon dont une personne a été
élevée, ses expériences. Heureusement, tout le monde a une personnalité
différente : certaines personnes sont plus tranquilles, d’autres plus excitées,
certaines personnes sont plus sociables, d’autres plus privées, certaines
personnes sont plus audacieuses, d’autres plus timides. Il y a toutes sortes de
personnalités, mais le concept de trouble de la personnalité commence quand
les traits de personnalité de quelqu’un sont si extrêmes qu’ils amènent à ne
plus bien fonctionner, être malheureux, insatisfait, à avoir de la misère dans
la vie. Donc, les troubles de personnalité ont à avoir avec des traits qui sont
extrêmes, mais aussi avec la rigidité, ils ne sont pas flexibles et ne s’adaptent
pas à toutes les situations de la vie. Des questions jusqu’ici ?
Pt :
Non, cela fait du sens jusqu’ici.
Th :
Donc, puisque nous parlons ici des états limites, il y a différentes définitions,
mais pour le bien d’une compréhension générale, j’aime concevoir cela
comme des problèmes dans quatre sphères : premièrement, problèmes avec
les émotions, deuxièmement, problèmes dans les relations interpersonnelles,
troisièmement problèmes avec l’impulsivité et les comportements autodestructeurs et quatrièmement problèmes avec l’identité. En termes
d’émotions, cela peut s’appliquer à vous en partie ou totalement, les émotions
de la personne tendent à aller vers les extrêmes, des réactions fortes et qui
changent rapidement. En image, c’est comme la vie en montagnes russes,
haut bas, peu de temps entre les deux, de très fortes réactions. Il y a de la
colère, il y a une réaction très forte, il y a de la dépression, il y a une réaction
très forte. C’est comme un bateau sans gouvernail : il réagit au contexte.
Quelque chose de bien arrive, quelque chose de mal arrive c’est le contraire.
La deuxième sphère est les relations, qui ne fonctionnent pas très bien. Elles
sont chaotiques, orageuses, parfois interrompues, les gens entrant et sortant
de votre vie sans qu’il y ait une impression de continuité. Cela peut être au
travail, avec la famille, dans le cadre d’une relation amoureuse.
Donc, nous avons la sphère émotionnelle, la sphère relationnelle, il y a aussi
la sphère du passage à l’acte, les comportements impulsifs auto-destructeurs.
Ici, il est important de voir que bien que les gens pensent souvent que c’est la
maladie, cela ne l’est pas. C’est plutôt un signe en surface qui démontre que
quelque chose ne va pas plus profondément à l’intérieur, vous voyez ce que je
veux dire ? Vous avez mentionné plusieurs tentatives de suicide, vous avez
aussi mentionné des comportements sexuels à risque, une consommation de
substances auto-destructrices. Y a-t-il d’autres choses dont je ne me souviens
pas ?
Pt :
Th :
Enfreindre la loi, le vol à l’étalage.
Souvent les gens pensent que c’est une façon d’affronter ce qui est
intolérable, les émotions, les sentiments, l’abus de substances, la promiscuité.
Donc ce peuvent être des tentatives pour la personne de résoudre un
problème, mais ce sont des solutions à court terme qui ne font que créer plus
de problèmes à long terme et généralement un trouble plus profond. Dans ce
sens, certains traitements visent à seulement traiter les symptômes, mais il
faut aller plus profond.
Et la sphère finale, la sphère de l’identité, où une personne n’a pas
l’impression de savoir qui est elle, s’ils sont dans une situation où il n’y a pas
de distractions ou d’autres gens pour les divertir, ils ont un sentiment de vide.
Vous avez utilisé un mot pour cela ?
Pt :
Ne pas avoir de soi.
Th :
Ne pas avoir de soi. Ce n’est pas clair que la personne n’a pas de soi, cela
peut être que le soi est… Laissez-moi le dire comme cela. Si une personne se
sent vide, ce n’est pas nécessairement qu’elle est vide, c’est peut-être qu’elle
essaye de garder ce qu’il y a à l’intérieur à distance. Ils ne veulent pas que
cela atteigne leur conscience. Cela peut être perturbant, effrayant ou
inconfortable.
Pt :
D’accord, ma dépression est souvent pour garder loin ma colère et des choses
comme cela.
Th :
Oui, quelque chose comme cela. Donc, je crois que le sentiment de vide peut
vraiment être ressenti, mais je pense que souvent c’est un masque pour
maintenir certaines émotions à distance ou pour éviter des conflits. Donc, estce que cela fait du sens pour vous ?
Pt :
Oui, cela fait du sens, cela me ressemble.
Th :
Y a-t-il quelque chose que vous aimeriez ajouter ?
Pt :
J’ai des émotions extrêmes. J’ai un sentiment de vide.
Th :
Certaines personnes peuvent voir cette liste comme donner plein de défauts à
quelqu’un. Est-ce que vous réagissez un peu comme cela ?
Pt :
S’ils étaient des traits positifs, ce n’est pas ce que je cherche, je ne ferais pas
quelque chose pour les changer.
Th :
Il y a un autre élément que j’ajouterais au tableau. Il y a plusieurs types de
troubles de la personnalité et d’après ce que vous m’avez dit, je crois que
vous devez aussi considérer une espèce de partie narcissique. Maintenant,
est-ce que ce terme a déjà été soulevé dans votre traitement ?
Pt :
Un peu, il a déjà été soulevé… Mais il n’a pas été l’objet de toute l’attention.
Th :
Quelle en est votre compréhension ?
Pt :
Possiblement parce que je n’ai pas une très forte estime de moi-même
intérieurement, centrée sur moi-même, les autres gens se centrent sur… Les
aspects les plus superficiels de qui je suis.
Th :
C’est intéressant, car je le dirais dans des termes plutôt similaires. En
langage courant, narcissique veut dire vaniteux, se donnant de l’importance.
En psychologie c’est différent, comme vous avez dit, c’est habituellement
inadéquat. Est-ce quelque chose auquel vous avez pensé par vous-même ou…
?
Pt :
J’y ai pensé, oui. Pas dans ces termes exactement.
Th :
Vous n’y avez pas pensé dans ces termes… ?
Pt :
Pas exactement, pas avant aujourd’hui.
Th :
En termes de… ?
Pt :
Bien, j’y ai pensé, pas au narcissisme en tant que tel, juste essayer de le définir.
Th :
De quelle façon ?
Pt :
J’y ai pensé comme être quelqu’un de spectaculaire, comme essayer d’être sur une
scène.
Th :
Ce peut être de compenser pour un sentiment d’infériorité. Ce qui m’a
frappé en premier c’est lorsque vous avez dit que vous avez eu cette terrible
dépression il y a de cela dix ans, qui a commencé toute la série de traitements,
vous avez dit que vous étiez couchée et ne pouviez pas vous lever, que vous
étiez préoccupée par ces fantasmes de richesse, de gloire, Ce n’est pas un
épisode dépressif habituel. Un épisode dépressif habituel consiste à se sentir
dévalorisé, comme si on ne valait rien, la vie est sans espoir, tout est noir.
Pt :
C’est ce que je ressens à propos de ma vraie vie. Les fantasmes servent à se sauver
de cela.
Th :
Vous avez ces fantasmes que vous avez décrits. J’ai l’impression que votre
dépression a un gros élément de votre problème de narcissisme parce que
votre vie est si différente de vos rêves, une incapacité à accepter la vie sans
cette grandeur.
Pt :
Oui, je peux voir cela, qu’il est plus facile d’être déprimée, mais d’avoir ces
fantasmes d’être quelque chose plutôt que de ne pas être déprimée et…
Th :
Accepter une vie moyenne. Je parie que le mot moyen n’est pas très…
Pt :
Je déteste ce mot.
Th :
Nous allons devoir penser à… pas que je veux que vous sortiez du traitement
en étant moyenne, mais c’est quelque chose à quoi nous allons devoir penser.
Pt :
Modifier, oui. Ce ne sera pas facile ! Je ne sais pas si je peux le faire. Je vais
essayer.
Th :
Vous ne savez pas si vous pouvez faire quoi ?
Pt :
Si je peux abandonner l’idée d’être plus que moyenne.
Th :
Encore une fois, je ne pense pas que le but du traitement est d’être moyenne
dans le mauvais sens du mot, mais que vous seriez plus heureuse d’accepter
que votre vie n’est pas grandiose et qu’il peut y avoir des choses plus
ordinaires sans que cela soit un drame. Il y a quelques autres choses que vous
avez dites que nous devons garder à l’esprit maintenant, juste pour la
question du diagnostic et comment l’approcher. Votre TS a dit que vous aviez
de la difficulté à coopérer, que vous ne suiviez pas les recommandations du
traitement, vous avez dit que vous aviez de la misère à faire des choses, vous
avez mentionné qu’il y avait de la peur, de l’anxiété, de la fatigue, et vous
avez ajouté « Je crois que j’en sais plus que le docteur ».
Pt :
C’est délibérément…
Th :
Vous savez, certaines personnes ont l’impression qu’ils sont vraiment
supérieurs. Je ne dis pas que les gens devraient être considérés en termes
d’inférieur ou de supérieur, mais je pense que cela fait peut-être partie de
votre pensée.
Pt :
J’ai encore ce potentiel, je suis encore quelqu’un de mieux.
Th :
Je me demande quel est l’impact de cette façon de penser sur votre vie. Il
nous reste cinq minutes aujourd’hui. Nous avons fait le tour des questions
concernant le diagnostic. Les épisodes dépressifs peuvent bien avoir été là,
mais je vois aussi un trouble de la personnalité, les médicaments, s’ils vous
aident pour la dépression bien, mais maintenant la question est qu’y a-t-il
dans votre façon de ressentir les choses, penser, réagir, etc, qui vous
empêchent d’avoir une vie plus satisfaisante pour vous. Donc, c’est sur cela
que je veux concentrer notre traitement.
Pt :
C’est bien, cela me semble bon.
Th :
Pour la prochaine étape, nous allons devoir regarder comment nous allons
procéder. Qu’est-ce que vous supposez, puisque vous semblez clairement
avoir de la difficulté à regarder tout ce qui est privé chez vous, qu’est-ce qui
vous a empêché de regarder cela en thérapie ?
Pt :
Je pense que, il est possible que la raison pourquoi toutes ces choses sortent plus
maintenant est que j’ai suivi beaucoup de traitements pour la dépression, les
symptômes ne sont plus aussi forts qu’ils étaient, alors je peux m’attarder à
d’autres choses. J’ai appris beaucoup de techniques pour calmer mes symptômes.
Je ne pouvais rien faire avant de m’être occupée de cela.
Th :
Alors maintenant, il se pourrait que ce soit le temps de regarder cette partie.
Pt :
Oui, oui. J’ai une question.
Th :
Oui, bien sûr.
Pt :
Vous avez dit quelque chose à propos de la rigidité des comportements.
Th :
Oui.
Pt :
Quelle amélioration pensez-vous est possible ? Jusqu’où, je sais que c’est une
question plutôt difficile puisque vous ne me connaissez que depuis trois semaines,
mais jusqu’où pensez-vous que cela peut aller ?
Th :
Bien, c’est une bonne question, c’est une question qu’il est naturel d’avoir.
Cela peut aller très loin. Cela requiert un grand engagement et beaucoup de
travail et aussi d’abandonner des choses qui peuvent être très confortables.
Pt :
Oui.
Th :
Dans le domaine de la psychiatrie, certaines personnes sont très pessimistes
quant à l’amélioration des patients avec un trouble de la personnalité.
Pt :
Oui.
Th :
Vous avez entendu cela ?
Pt :
Oui.
Th :
J’ai pensé que vous pourriez être au courant. Alors cela vous préoccupe ?
Pt :
Oui.
Th :
Je pense que c’est un préjugé. Je pense que les troubles de la personnalité
sont difficiles à traiter, peu de gens ont eu beaucoup de succès, peut-être
parce qu’ils n’utilisaient pas la bonne technique, toutes les thérapies, comme
vous le savez, ne sont pas pareilles, les thérapies peuvent varier d’une à une
autre, une thérapie pour les troubles de la personnalité doit être faite pour
cette problématique, avec une thérapie adaptée au problème les gens
peuvent se sentir significativement mieux et changer de façon majeure.
Pt :
C’est intéressant.
Th :
Autrement, vous pourriez vous demander « Pourquoi faisons-nous tout cela
? ».
Pt :
Exact, je suis venue participer à l’étude en espérant qu’il y en avait.
Th :
Je pense que nous allons devoir arrêter. Évidemment, nous pourrions
continuer, mais gardons cela pour la semaine prochaine. Vérifions nos
horaires pour la semaine prochaine.
Je dois être jurée cette semaine. À quelle heure cela se termine-t-il ? Cela n’était pas
inscrit. Ce lundi, nous pouvons nous voir à 18 :05. Cela me convient. Gardons
notre vendredi, souvent les gens ne sont pas choisis et doivent seulement se
présenter une ou deux fois. Lundi à 18 :05 sera notre prochain rendez-vous et
nous espérons que tout ira bien pour vendredi.
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