TABLE DES MATIERES (1)
Introduction
.......................................................................................
vii
Av ertisse m ent .................................................................................... xxi
Pface de la première édition (1818)
.................................
i
Préface de la deuxième édition (1844).................................. 9
Préface de la troisme édition (1859)
................................
21
LIVRE PREMIER
L E MO ND E COMME R E P R É S EN T A TIO N
Premier point de vue :
La repsentation soumise au principe de raison suffisante ;
P objet de Pexrience et de la science
1. Le monde est ma représentation. Matière du livre premier.. 25
2. Objet et sujet; ils se conditionnent mutuellement; le prin
cipe de raison......................................................................... 27
3. La représentation intuitive. Ses formes, dérivées du principe
de raison : le temps et l’espace
.........................................
29
4. La matière, objet de l’entendement. Elle est essentiellement
active, et soumise a priori à la causali
.....................
31
5. Le problème de la réalité du monde extérieur. Le ve et la
ré alité....................................................................................... 37
6. Le corps propre, objet immédiat; passage aux objets
médiats. Lillu sion................................................................. 44
7. Erreur de vouloir tirer le sujet de l’objet (matérialisme), ou
l’objet du sujet (idéalisme de Fichte). Relativité du monde
comme représentation........................................................... 52
8. La connaissance réfléchie, ou connaissance par concepts, est
la fonction de la raiso n
.......................................................
64
9. Rapports des concepts avec les intuitions : celles-ci sont sup
posées par ceux-là. Rapports des concepts entre eux : la
logique, art de raisonner et science de la raison
......................
69
10. Toute science, à part la logique, qui a pour objet les prin
cipes rationnels et les règles des rapports des concepts, est
une connaissance de concepts abstraits
.................................
83
11. Le sentiment : son domaine, opposé à celui du savoir . 84
12. Rôle du savoir et rôle du sentiment dans la pratique : le pri
vilège du savoir est dêtre communicable; le sentiment ne
lest p oint................................................................................. 86
13. Torie psychologique du rire, fone sur la distinction qui
précède..................................................................................... 93
14. Vérité intuitive etritémontrée. La vérité intuitive est le
fondement de l’a u tre
.............................................................
96
15. Abus de la démonstration dans la géométrie euclidienne. De
la cause de l’erreur. Les sciences et la philosophie, fonction
suprême de la raison............................. 106
16. De la raison pratique. Erreur de vouloir fonder sur elle seule
une morale : échec du stoïcism e.......................................... 123
LIVRE DEUXIÈME
L E M OND E COMME VO L O N TÉ
Premier point de vue :
L'objectivation de la volon
17. Probme : la science nexplique pas lessence des phéno
mènes : comment atteindre cette essence ?
............................
135
18. La nature de mon corps éclaire celle des autres objets ; décou
verte de l’identité de mon corps avec la volonté
...................
140
19. Passage de mon corps aux autres objets; absurdité de
légoïsme théorique; la volon seule essence possible de
tous les c o rp s
.........................................................................
144
20. Chaque mouvement du corps répond à un acte de la vo
lon; le corps dans son ensemble manifeste la volon dans
son essence caractéristique. Léchelle des formes animales et
les degrés de la volon
.
....................................................... 148
ai. La volonté est lessence des phénomènes de la matière
brute comme de la matière vivante.......................................... 151
22. Du mot Volonté : la volonté nest quun concept de les
sence inaccessible des choses ; mais cen est le concept le plus
immédiat................................................................................... 153
1425
Pages
23. Différence entre les motifs des phénomènes de volon
accompagnés de conscience, chez l'homme et les animaux;
les excitations des phénomènes de volon inconscients, chez
les êtres gétatifs ; et les causes des phénomènes de volon
dans la matière brute. Cette différence n'emche pas la
volon dtre la même en tous, également libre en soi et
terminée dans ses manifestations p a rto u t.......................... 155
24. Ce qu'il y a de plus clair dans la connaissance, c’est la
forme ; ce qui reste obscur, c'est la réalité. Vanité des expli
cations matérialistes, qui réduisent les choses à leurs élé
ments matmatiques. Supériorité dune philosophie qui
explique tout par la chose en soi, aperçue immédiatement
dans la volon
.
...
................................................................... 163
25. Unité de la volon, malgré la pluralité de ses degrés et
celle des individus qui la manifestent en chacun de ses
degrés. Les Ies de Platon
...................................................
172
26. L'étiologie, ou science des causes, n'explique que l'enchne
ment dans le temps et l'espace, des pnones de la vo
lon; la philosophie seule peut atteindre l'origine de ces
phénomènes, en les rattachant à des idées ou forces natu
relles, et par à la v o lonté
.....................................................
175
27. La science étiologique ne peut gitimement réduire à
l'uni les forces de la nature. Gradation de ces forces :
comment chacune d'elles sort dune plus basse, qu'elle sub
jugue. Apparition de la connaissance dans le monde . . . 186
28. Finalité intime et finalité extérieure dans les pnones :
elle s’explique par lunité de l’idée dans l'individu, et par
lunité de la volon dans le monde. Elle ne tend qu la
conservation des esces....................................................... 202
29. Résumé. La volon en soi na pas de but, parce quelle n'a
pas de cause : le principe de causalité ne vaut que pour les
phénomènes............................................................................. 213
LIVRE TROISIÈME
L E MON DE COMME R E P R É SEN TATIO N
Second point de vue :
La représentation, considérée indépendamment du principe de raison.
U Idée platonicienne. L'objet de l'art
30. Lobjet de ce livre : les idées............................................. 219
31. La doctrine des idées dans Platon et la doctrine de la chose
en soi dans Kant : leur accord profond
...........................
220
32. Différence entre Vidée et la chose en soi : celle-là nest que la
manifestation la plus imdiate de celle-ci, en dehors du
principe de ra iso n
.................................................................
226
33. La connaissance, autant quelle est au service de la volonté,
natteint que les relations des choses, sultant de leur sou
mission au principe de raison
.............................................
228
34. Lindividu sélève, par la contemplation désintéressée des
choses, à l’état de sujet pur dont tout le contenu est l’objet
pur. Cette identité du sujet et de l’objet constitue l’Idée
........
230
35. Les énements nont dimportance, aux yeux de la connais
sance philosophique, que comme manifestation des Idées.. . 234
36. La contemplation des Idées, lart, le génie. — Opposition
entre le génie et la connaissance discursive. — Génie et
fo lie........................................................................................... 238
37. Lhomme est capable de sélever à la contemplation, même
sans génie : l’art nous y c on duit.............................................. 250
38. Le plaisir esthétique : il naît dun exercice de la faculté de
connaître, indépendant de la volon.................................. 252
39. Du sublime : il sulte de leffort par lequel lindividu, en
face dobjets hostiles, se soustrait à la volonté, se fait sujet
pur, et les contemple. Sublime dynamique et sublime mathé
matique. Exemples .................................................................. 258
40. Du joli : il flatte la volon et détruit la contemplation. Il
doit être exclu de l’a r t .......................................................... 267
41. De la beauté : quil y a de la beauté partout, même dans les
œuvres les plus imparfaites de l’a r t
...................................
268
42. Deux formes du plaisir esthétique : Idées inférieures, Idées
supérieures
...............................................................................
273
43. La beauté en architecture : elle sulte de la contemplation
de deux forces élémentaires : la résistance et la lumière.
Lhydraulique artistique.......................................................... 274
44. La beaudans lart des jardins, dans la peinture de paysage,
chez les anim alièrs
.................................................................
280
45. La beauhumaine dans la sculpture. Lartiste ne copie pas
la réalité; il en gage lI d é e .............................................. 283
46. Digression : pourquoi Laocoon, dans le groupe qui porte
son nom, nest pas repsenté dans l’action de c rier
..............
291
47. Du nu et dutement en sculpture.................................. 294
48. De la peinture : peinture de genre; peinture dhistoire :
stérilité de l’histoire judéo-chrétienne en sujets pittoresques ;
la morale chtienne, inspiration artistique incomparable 295
49- Différence entre lIdée et le concept, entre le nie et l’imi
tation. Pourquoi le génie est souvent méconnu
...............
50. De l’allégorie : déplacée en peinture, elle nous fait
redescendre de lintuition au concept, elle est excellente en
poésie, où elle ajoute au concept une image intuitive
............
51. La poésie : son objet propre est lidée de lhomme. Sa supé
riorité à légard de lhistoire et même de l’autobiographie.
Poésie subjective ou lyrique. Poésie objective : idylle, roman,
épopée, drame. La tragédie est la forme suprême de la
poésie : elle nous montre laspect terrible de la vie. La tra
die la plus parfaite est celle qui nous présente le malheur
comme un événement naturel, familier, constant..................
5 2. La musique. Définition de Leibniz : elle est vraie, mais
insuffisante. La musique est en dehors de la hiérarchie des
autres arts : elle nexprime pas les Idées; elle est, parallèle
ment aux Idées, une expression de la volonté elle-même.
Analogies entre la musique et le monde : la note fonda
mentale et la matière brute; la gamme et léchelle des
espèces; la lodie et la volon consciente, etc. La mu
sique nest pas seulement une arithmétique, elle est une
taphysique. Conclusion du livre. En quel sens lart est
la fleur de la v ie
.....................................................................
LIVRE QUATRIÈME
L E MON DE COMME V O LO N T É
Second point de vue :
Arrivant à se connaître elle-mêmey
la volonté de vivre s9affirme, puis se nie
53. Objet du livre : philosophie de la vie pratique. Elle ne sera
ni une morale impérative, ni une métaphysique transcen
dante, ni une cosmogonie. Véritable esprit de la philosophie.
54. De la volonté de vivre. La vie est inhérente à la volon; la
mort ni le temps ne la lui peuvent ravir. Lhorreur de la
mort nest que l’attachement à la forme individuelle de la
vie. Elle dispart chez le sage qui se sait identique à léter
nelle volonté. Négation de la volonté de vivre : définition
préliminaire
...........................................
.
.........
.
...................
55. Du caractère. Comment il sert à concilier la liberté du vou
loir avec le terminisme du phénomène. Le caracre
intelligible : il est antérieur à l’intelligence; il est libre. Le
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