Les raisons d`espérer • Ce que la recherche nous

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Dr André Robidoux
Le Groupe de recherche en cancer du sein (GRCS) et Dr André Robidoux au centre.
André Robidoux a voué sa vie à la lutte contre le cancer du
sein. Ce livre témoigne de cette passion qui l’habite. On y
retrouve un homme déterminé, axé sur les résultats, et qui a
un immense respect pour ses patientes.
M
aladie sournoise, le cancer du sein touche plus de la
moitié de la population, et pour ainsi dire toutes les
­familles. Mais, parce que c’est une maladie complexe, elle reste
mal comprise et on a tendance à oublier les progrès énormes
accomplis ces dernières années par la recherche scientifique.
Le docteur André Robidoux, qui a dirigé des recherches impliquant des milliers de patientes, est bien placé pour expliquer au
grand public la maladie dans toute sa diversité et les traitements
les mieux adaptés qui permettent non seulement d’espérer, mais
de sauver des vies dès maintenant.
Chirurgien-oncologue au CHUM et chercheur reconnu mondialement,
le Dr André Robidoux, MD, FRCSC, est titulaire de la Chaire Banque
Scotia en diagnostic et traitement du cancer du sein et professeur titulaire
de chirurgie à l’Université de Montréal.
1 $
à la Fondation du
Cancer du Sein du Québec.
24,95 $ • 22 €
Ce livre est publié avec la collaboration du
Groupe de recherche en cancer du sein et de
la Fondation du cancer du sein du Québec.
Disponible en version numérique
www.pum.umontreal.ca
ISBN 978-2-7606-3150-2
En couverture : © Radius Images/Corbis
Pour chaque exemplaire
vendu, les PUM remettront
LES RAISONS D’ESPÉRER
— Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal
PUM
Dr André Robidoux
LES RAISONS
D’ESPÉRER
Ce que la recherche nous apprend
sur le cancer du sein
Les Presses de l’Université de Montréal
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Les raisons d ’ espérer
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Dr André Robidoux
avec la collaboration d’Odile Clerc,
journaliste scientifique
Les raisons d ’ espérer
Ce que la recherche nous apprend
sur le cancer du sein
Les Presses de l’Université de Montréal
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Ce projet a été réalisé en collaboration avec le Groupe de recherche en cancer du sein
et la Fondation du cancer du sein du Québec.
Catalogage avant publication de Bibliothèque et Archives nationales du Québec et
Bibliothèque et Archives Canada
Robidoux, André
Les raisons d’espérer : ce que la recherche nous apprend sur le cancer du sein
Comprend des références bibliographiques et un index.
ISBN 978-2-7606-3150-2
1. Sein - Cancer. 2. Cancer - Recherche. I. Titre.
RC280.B8R62 2013 616.99’4 49 C2013-941851-2
ISBN (papier) 978-2-7606-3150-2
ISBN (pdf) 978-2-7606-3151-9
ISBN (epub) 978-2-7606-3200-4
Dépôt légal : 3e trimestre 2013
Bibliothèque et Archives nationales du Québec
© Les Presses de l’Université de Montréal, 2013
Les Presses de l’Université de Montréal reconnaissent l’aide financière du gouvernement du Canada par l’entremise du Fonds du livre du Canada pour leurs activités
d’édition.
Les Presses de l’Université de Montréal remercient de leur soutien financier le Conseil
des arts du Canada et la Société de développement des entreprises culturelles du
Québec (SODEC).
Imprimé au Canada
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À Alice, Béatrice, Camille, Élie,
Loranne, Marilou et Mégane.
Et à toutes les petites filles des générations futures.
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PRÉFACE
L
’œuvre du Dr André Robidoux est méconnue, comme
l’est celle de la plupart des médecins-chercheurs. Dans
l’anonymat de leur laboratoire, ces hommes et femmes de
science font plus que de contribuer à l’élaboration de nouvelles
thérapies qui, un jour, sauveront des vies. La recherche permet
également de sauver des vies aujourd’ hui. Car les patients qui
ont le courage de prendre part aux protocoles de recherche
ont accès à des traitements novateurs pouvant faire une réelle
différence quant à leur guérison. Et tous les autres patients
en bénéficient indirectement. En se maintenant à la frontière
du savoir, les équipes médicales deviennent plus efficaces. Les
patients sont toujours mieux soignés dans un environnement
où l’on fait de la recherche – nous l’oublions trop souvent et
André Robidoux est là pour nous le rappeler.
Je connais le Dr Robidoux depuis de nombreuses années.
C’est un collègue estimé et un chirurgien talentueux et audacieux qui a souvent ramé à contre-courant de l’opinion de
ses pairs. Son refus de considérer la mastectomie comme le
traitement standard du cancer du sein, au début de sa carrière,
en est un bon exemple. Mais André Robidoux est d’abord et
avant tout un homme de passion. Il a voué sa vie à la lutte
contre le cancer du sein. Ce livre témoigne de cette passion
qui l’habite. On y retrouve un homme déterminé, axé sur
les résultats, et qui a un immense respect pour ses patientes.
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LES RAISONS D’ESPÉRER
Il a mené des recherches à grande échelle, impliquant
souvent des milliers de patientes, avec pour objectif de documenter chaque type de cancer et de lui opposer le traitement
le plus efficace. En cela, il est un précurseur de la médecine
personnalisée, qui sera assurément l’une des révolutions scientifiques de cette première moitié du xxie siècle.
Grâce aux avancées de la technologie et de la génomique,
nous pouvons désormais envisager la thérapie non pas comme
la réponse à une maladie particulière, mais plutôt à la maladie
d’un patient en particulier. Ainsi, une patiente atteinte d’un
cancer du sein pourrait bien avoir droit à une chimiothérapie
conçue sur mesure, donc beaucoup plus efficace et beaucoup
moins dommageable.
Montréal est un joueur de premier plan dans ce domaine
naissant. Nous devons en partie cette place à des chercheurs
comme André Robidoux qui, après avoir travaillé dans les
meilleurs centres de recherche aux États-Unis, ont implanté
chez nous les pratiques les plus novatrices. Ces pionniers ont
contribué à intégrer les universités et les hôpitaux montréalais
dans les grands réseaux de recherche nord-américains. Ils
ont ainsi rehaussé la qualité de l’ensemble de notre système
de santé.
Guy Breton, recteur de l’Université de Montréal
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Dr André Robidoux et Dr Bernard Fisher, directeur scientifique
du NSABP durant 38 ans.
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AVAN T-PROPOS
I
l y a quarante ans, lorsqu’une jeune femme nous consultait pour une masse suspecte et volumineuse dans son sein,
on pratiquait une biopsie sous anesthésie générale et, en cas de
tumeur cancéreuse, on recourait sur-le-champ à une ablation
radicale du sein et des ganglions de l’aisselle. On recouvrait
le tout par une mince greffe de peau. Ensuite, les médecins
et radio-oncologues se consultaient et, au terme d’âpres
discussions, on soumettait éventuellement la zone opérée à
des « mégadoses » de radiation. La patiente était donc traitée
en fonction du pouvoir de conviction de l’un ou l’autre des
protagonistes ; chacun avait un avis sur ce qu’il fallait faire,
le meilleur orateur gagnait la partie. C’était le traitement
standard de l’époque.
Les temps ont changé. Dans la même situation, une
jeune femme recevrait aujourd’hui une chimiothérapie préopératoire adaptée à son type de cancer, l’objectif étant de
réduire suffisamment la taille de la tumeur pour pratiquer une
chirurgie de conservation du sein ou, mieux, de faire disparaître toute la tumeur. L’opération chirurgicale, accompagnée
d’une biopsie du ganglion sentinelle, le premier de la chaîne
ganglionnaire, serait suivie d’une radiothérapie modulée et
d’un traitement postopératoire d’anti-œstrogènes, en cas
de cancer hormonodépendant. C’est le traitement standard
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LES RAISONS D’ESPÉRER
actuel. Dans le cas où, après le traitement de chimiothérapie
préopératoire, il resterait des cellules cancéreuses dans le
sein, on lui proposerait parfois de participer à un protocole
de recherche axé sur des traitements postopératoires adaptés
à son cas dans un centre spécialisé.
Si nous considérons le traitement du cancer du sein
aujourd’hui comme suivant un protocole solidement établi,
il faut se rappeler qu’aucun de ces progrès médicaux n’aurait
eu lieu sans l’abnégation et la participation de toutes les
patientes, québécoises et partout dans le monde, qui ont
participé aux multiples protocoles de recherche grâce auxquels nous en sommes arrivés là. En acceptant d’être soignées
dans le cadre d’études de recherche clinique soumises à une
méthode scientifique rigoureuse, elles ont permis de faire
évoluer le traitement standard des années 1970 vers celui que
nous connaissons aujourd’hui.
Faisant partie des chercheurs qui ont contribué à la
recherche clinique contre le cancer du sein au Québec, je tiens
à remercier mes collègues qui m’ont aidé au cours de cette
aventure, notamment dans le recrutement, le traitement et
le suivi des patientes.
Je pense en particulier au Dr Claude Potvin, un chirurgien remarquable doté d’un excellent jugement, et à mon
ancien collègue et associé le regretté Dr Jacques Cantin qui
nous a quittés en 2002.
Je pense aussi aux Drs Rami Younan, Ginette Martin et
Erica Patocskai qui ont été d’un soutien remarquable, à ceux
qui se sont engagés dans la recherche clinique après un séjour
dans notre groupe de recherche, les Drs Mark Basik et JeanFrançois Boileau, ainsi qu’à ceux qui ont accepté de me libérer
du temps pour que je puisse me consacrer à la recherche, les
Drs Alain Barrier et Frank Schwenter.
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AVA N T- P RO P O S
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Un grand merci également aux Drs Nicole Larouche,
Marie-France Desjardins, Johanne Richard, Louis Gaboury
et Sylvie Mader.
La recherche faisant aussi appel à du personnel dédié
spécifiquement à cette mission, je remercie vivement les
coordonnatrices de programme, nos infirmières de recherche,
les agents de recherche ainsi que les adjoints administratifs.
Je salue également mes collègues du National Surgical
Adjuvant Breast and Bowel Project (NSABP) au Québec,
Richard Margolese, Henry Shibata, Antoine Loutfi et ma
collègue de Québec, Louise Provencher, qui ont tous fait
preuve durant toutes ces années d’une énergie peu commune. J’apprécie les discussions avec ces zélotes qui partagent
l’impression d’être perdus dans un monde en pleine transformation et qui soutiennent à bout de bras des programmes de
recherche que l’on devrait collectivement protéger.
J’exprime ici ma grande reconnaissance au Dr Bernard
Fisher pour son mentorat au cours de toutes ces années ainsi
qu’aux Drs Norman Wolkman et D. Lawrence Wickerham
du NSABP pour leur confiance et leur soutien.
J’adresse aussi mes remerciements au Dr Dahn TranTrahn du CHUM, au NSABP, au Centre des maladies du
sein Deschênes-Fabia, à la Société canadienne du cancer,
Amgen Oncologie et aux Drs Katia S. Tonkin et Sandy
Sehdev, pour la reproduction gracieuse des illustrations de
cet ouvrage.
Que Jennifer Gardner soit également remerciée pour sa
précieuse collaboration à l’élaboration du manuscrit.
Et enfin, un grand merci à Antoine Del Busso et à Nadine
Tremblay des Presses de l’Université de Montréal qui ont été
à l’initiative de ce projet. Des remerciements particuliers à
Odile Clerc sans qui ce livre n’aurait pas été possible. Elle
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LES RAISONS D’ESPÉRER
a su rendre accessible aux lecteurs un contenu difficile et
complexe. Un clin d’œil chaleureux à mon ami et collègue,
le Dr Jean Wilkins, qui m’a convaincu de me lancer dans
cette aventure éditoriale.
Je veux pour terminer rendre hommage à mon épouse
Rachel sans laquelle je n’aurais pu consacrer ma vie à la
recherche clinique contre le cancer du sein et la remercier
pour son soutien indéfectible.
Dr André Robidoux, MD, FRCSC
Professeur titulaire au Département de chirurgie,
Université de Montréal
Chaire Banque Scotia en diagnostic et traitement
du cancer du sein, Université de Montréal
Directeur du Groupe de recherche en cancer du sein,
Centre hospitalier de l’Université de Montréal
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CHAPI T R E 1
Mon parcours de chirurgien oncologue U
n matin du mois de juillet 1968 à Sorel, la petite ville
où je suis né, ma vie a basculé quand j’ai reçu la lettre
de l’Université de Montréal m’annonçant que j’étais accepté
en médecine. Mon rêve était devenu réalité. Enfin j’allais me
consacrer à ma passion. J’avais 18 ans.
Je suis de la génération de ceux qui ont suivi le cours
classique au secondaire, qui conduisait au baccalauréat ès
arts. On étudiait entre autres les éléments latins, la syntaxe,
la méthode, la versification, les belles-lettres, la rhétorique et
la philosophie. Intellectuel et curieux de nature – je m’intéressais à l’origine des choses, des mots, des idées –, je savais
que je voulais faire des études supérieures. « Tu seras avocat,
curé ou médecin », me disait-on. Par élimination et par goût
pour les sciences, j’ai su très tôt que mon choix se porterait
sur la médecine.
La naissance d’une vocation
Je suis issu d’une famille modeste, l’aîné d’une fratrie de sept
enfants. Mon père est décédé à l’âge de 44 ans d’un cancer
du poumon lorsque j’avais 18 ans, laissant son épouse seule
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LES RAISONS D’ESPÉRER
avec sa marmaille. La cadette n’avait que quatre ans. Mon
intérêt pour le cancer est né à cette époque-là.
Un après-midi du mois de mai 1967, ma mère a reçu un
appel de l’hôpital de Sorel. Un homme hémiplégique – il ne
pouvait plus bouger un de ses bras et il ne parlait plus – avait
été trouvé immobile au bord de la rivière où il pêchait, c’était
mon père. Il a rapidement été transféré à Montréal – signe
que son cas était grave – où il a subi la batterie de tests et
d’analyses habituels ; alors que rien ne l’annonçait, on a
découvert qu’il était atteint d’un cancer au poumon et que
des métastases s’étaient formées au cerveau.
Le cancer du poumon était déjà fréquent à l’époque ; on
savait que fumer n’était pas bon pour la santé, mais le lien de
cause à effet entre tabagisme et cancer pulmonaire n’était pas
aussi clair qu’aujourd’hui. Depuis ce choc familial, la médecine et le cancer ont été au centre de mes préoccupations.
Plus tard, ma mère est décédée d’un cancer du sein. Puis
une belle-sœur. Si j’ai consacré ma vie entière à la cause du
cancer du sein, une maladie par ailleurs fascinante à étudier,
nul doute que cela soit lié à ces raisons personnelles.
Après le décès de mon père, ma mère a dû travailler avec
beaucoup d’ardeur et de courage pour amener ses enfants à
l’âge adulte, éduqués – nous avons tous fait des études supérieures – et armés pour affronter la vie. Elle a réussi. À 18 ans,
j’ai trouvé mon premier emploi d’été – pas question de partir
en vacances ; le curé de la paroisse m’avait déniché un travail
dans une fonderie pour que je puisse payer mes études. C’était
dur. L’usine ne fermait pas, on travaillait jour et nuit par rotation de 8 heures ; c’était souvent frustrant de partir travailler
en fin d’après-midi alors que mes amis se retrouvaient au
cinéma ou se préparaient pour aller danser. J’ai cependant
travaillé dans cette fonderie tous les étés durant cinq ans. À
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Table des matières
Préface
9
Avant-propos
13
1. Mon parcours de chirurgien oncologue 17
2. Le choc du diagnostic31
3. Comprendre le cancer du sein59
4. La cure du cancer du sein à travers les siècles 83
5. Les traitements actuels115
6. Les études prospectives randomisées143
7. La patiente au cœur de la recherche clinique 171
8. La recherche clinique en question 187
9. L’avenir des traitements et de la recherche 205
Épilogue 239
Glossaire 243
Annexe
Liste de médicaments courants utilisés
dans le traitement du cancer du sein
251
Bibliographie
253
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Dr André Robidoux
Le Groupe de recherche en cancer du sein (GRCS) et Dr André Robidoux au centre.
André Robidoux a voué sa vie à la lutte contre le cancer du
sein. Ce livre témoigne de cette passion qui l’habite. On y
retrouve un homme déterminé, axé sur les résultats, et qui a
un immense respect pour ses patientes.
M
aladie sournoise, le cancer du sein touche plus de la
moitié de la population, et pour ainsi dire toutes les
­familles. Mais, parce que c’est une maladie complexe, elle reste
mal comprise et on a tendance à oublier les progrès énormes
accomplis ces dernières années par la recherche scientifique.
Le docteur André Robidoux, qui a dirigé des recherches impliquant des milliers de patientes, est bien placé pour expliquer au
grand public la maladie dans toute sa diversité et les traitements
les mieux adaptés qui permettent non seulement d’espérer, mais
de sauver des vies dès maintenant.
Chirurgien-oncologue au CHUM et chercheur reconnu mondialement,
le Dr André Robidoux, MD, FRCSC, est titulaire de la Chaire Banque
Scotia en diagnostic et traitement du cancer du sein et professeur titulaire
de chirurgie à l’Université de Montréal.
1 $
à la Fondation du
Cancer du Sein du Québec.
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Ce livre est publié avec la collaboration du
Groupe de recherche en cancer du sein et de
la Fondation du cancer du sein du Québec.
ISBN 978-2-7606-3150-2
Disponible en version numérique
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