SANCTUAIRES GRECS A L'EPOQUE HELLENISTIQUE 323-181 Religion grecque ? Religion civique ? Sanctuaire : lieu ou grecs vénèrent leurs dieux -touche la pratique du sacré -rôle politique -rôle social -rôle économique On étudie les sanctuaires car description littéraire, sources épigraphiques (textes gravés sur la pierre, lois sacré, règlement des cultes etc..), restes archéologiques. Époque hellénistique choisie car peut de données sur époque classique (car classique majorité de connaissance sur Athènes). Époque hellénistique est la continuité de l'époque classique car conservation des rites des anciens important pour les grecs. Même si évolution entre la haute et la basse époque hellénistique. Étude de la religion est une façon d'annoncer la venu du christianisme. Le paganisme est en crise à partir du 4ème siècle. Abandon des cultes civiques, recherche des cultes à mystères. Qu'est ce que la religion grecque ? -ne ressemble au rien au monothéisme actuel basé sur des recherches personnelles, notamment la recherche du salut. -pas religion avec dieux figés. Pas de panthéon grec mais panthéon par cité. Mythologie grecque reformée par les humanistes. Le mythe de la création du monde diffère selon les cités. Morcellement religieux dans le monde grec même si unité. Religion qui perdure pendant 12 siècle. Apparition avec la cité comme ciment d'un corps de citoyen. Culte commun à tous les citoyens. Naissance au 8ème siècle et fin au 4ème après JC. Succès du christianisme face au paganisme est du au fait que la religion est destiné à une cité donc exclue ceux n'en faisant pas parti : étrangers, esclaves et c'est ce que vise les premières campagnes d'évangélisation chrétienne. Chrétiens persécutés car croit en un seul Dieu, refus du culte impérial, refus du service militaire. 312 tournant quand Constantin se place sous le signe de la croix et se converti. 313 édit de Milan : tolérance religieuse qui dispense les chrétiens du culte impérial. A partir de là pouvoir impérial veut organiser le christianisme. 325 Réunion du premier concile à Nicée pour fixer un dogme est notamment celui de la trinité. 393 sous Théodose qui interdit les cultes polythéistes. Fin de la religion grecque fin notamment des mystères d'Eleusis et des Jeux Olympiques. Religion grecque née du 8ème av JC époque où l'on a pas de texte. On va commencer à comprendre la construction de cette religion à travers la mise en place d'une science des indo-européen peuple originaire du Caucase qui se déplace et s'installe dans les Balkans notamment mais aussi en Europe Asie. On retrouve langue commune. Mot ou concepts commun : divinité : ex : Zeus : trouve équivalent ds religion romaine, scandinave (Thor, dieux de du tonnerre), indienne. Religion grecque à aussi hérité des anciennes civilisations notamment de la civilisation mycénienne (ex : Athéna divinité du monde mycénien). L'espace du monde grec est mouvant et aléatoire. L'espace traditionnel est le monde Égéen. Du 8è au 6ème installation de colonies grecques : mer Noire, Sud, au Sud de l’Italie et en Sicile religion se développe sur l'ensemble du monde grec du Pakistan à l’Italie. Mais pratiqué dans l'espace de la cité et donc par les citoyens (or dans l'ensemble des territoires conquis par les grecs on retrouve une minorité du citoyens car peu de cité et notamment en Asie) INTRO : -pas une révélation -pas de foi individuelle-> religion collective -pas de rapport personnel avec divinité, prière personnelle existe mais dans le cadre d'une communauté (fratrie, famille, cité) -pas de spécialistes, souvent des devins. Pour être prêtre pas de connaissance spéciale. -pas de salut. Elle tente de discerner le sacré dans l'ensemble des choses de la vie C'est croire en une multitude de dieux. Liste pas close. Intégration courante de nouveaux dieux (ex : culte du dieu inconnu à Athènes). Mais croyance quand même à une unité du divin : l'ensemble des dieux fait parti du divin. Religion ritualiste : être croyant c'est pratiquer des rites codifiés. Pour désigner le culte dans l'Antiquité on parle surtout de "NOMINA" : pratique rituel : rites établit par la loi (nomos), acte qui assure juste répartition de se qui revient à chacun. Multitude de dieux correspond aux divers champs d'action de la vie. Chaque cité a son panthéon avec pour chaque divinité son particularisme : Athéna-Pallas Athéna-Nikké LE MYTHE : "récit qui au sens propre ne peut être vrai mais qui contient de façon possible un sens profond" W. OTTO "récit qui rapport comment quelque chose s'est produit la première fois" M. ELIADE D'après les grands mythes grecs les muses (filles de la mémoire) transmettent les récits, les mythes. Les auteurs grecs tel Homère ou Hésiode les fixeront. Majoritairement les grec croient aux mythes pour expliquer l'inexplicable. Même si certain philosophes vont s'attacher à les détruire (Démocrite). Religieux présent dans la vie politique : lors de l'ecclesia par exemple on sacrifie un animal pour rendre cette assemblée du peuple sacrée. On ne peut donc pas interrompre la personne qui parle (PARRHESIA : liberté de parole). Si c'est le cas la personne sera condamné pour sacrilège car elle aura porté atteinte au caractère sacré. En autre exemple on peut citer celui de certaine pièce de théâtre joués uniquement pour célébrer Dionysos. Pas de foi personnelle mais quasi impossible de se soustraire aux rites. Si ne le fait pas condamnation ex : Socrate. Piété : EUSEBIA L'impiété : dans les lois athéniennes il est prévu que la cité peut poursuivre n'importe qui ne suivant pas les rites d’Athènes. Socrate dans sa défense dit qu'il a participé à la vie militaire et publique et qu'il a eu à cœur l’intérêt du citoyen => être bon citoyen et respecter les rites civique revient donc quasi au même. Ce que l'on reproche réellement à Socrate c'est d'avoir introduit un nouveau dieu, or dieu peut, certes, être introduit mais avec la volonté du DOMOS, par vote de l'ecclesia par exemple => Religion civique sous influence du politique. 3 chefs d'accusations à Athènes : -non reproduction du rites -insertion d'un nouveau dieu -athéisme (peu d'exemple) Autre exemple de procès connu, celui de LEOCRATE (connu par LYCURGE), hoplite de l'armée d’Athènes. Lycurge accuse Léocrate d'avoir fuit avant la bataille. Il est accusé d’être un impie car n'a pas protégé les sanctuaires de la cité. Donc désertion transformée en impiété. Peu de témoignage de l'athéisme car rare (voir p 10)-> quelques exemples comme la critique des rites ou de l'idolâtrie (croyance en une statue). Autre exemple avec Protagoras qui croit en la pensée de l'Homme, Héraclite et la théorie de l'atome qui remet en cause la théorie de la création du monde. Ce sont des grands penseurs de l'époque mais l'immense majorité des grecs croient. Mais distinction a avoir entre les formes de croyances : Distinction : L'HIBRIS : la démesure : personne qui en reconnaît pas la distinction entre hommes et dieux. Ex NIOBE qui considérait ses enfants comme plus beau que les dieux. Vengeance des dieux (PHTOMOS) SOPHROSINE : personne qui mesure sa condition de mortel et la condition immortel des dieux LE SACRÉ : C'est l'ensemble du monde qui entoure le grec : la pluie (phénomène venant de Zeus), tremblement de terre (Poséidon), le vent, l'ivresse (Dionysos), quand on mange du pain on rand grâce à Déméter pour l'agriculture. Thalès disait que « tout est plein de dieux » chaque action de la vie correspond à un dieu. La vie du grec est rythmé par ça : ex : éphébie passe par l'apprentissage de la religion civique de la cité. Cicéron : Religere : scrupule que les hommes ont a agir sur le monde de peur de déplaire aux dieux. Religion grecque basée sur le conservatisme. Si rites pas menés, l'ordre du cosmos ne sera pas tenu. Conservatisme QU'EST CE QUE LA RELIGION CIVIQUE : Elle se fait au sein de : -l'OIKOS : famille -fraterie -tribut -la cité -des grecs ce sont des cercles qui se superposent. A coté de ça il existe les communautés choisit : culte à mystère par exemple comme à Eleusis. SCHLAIFER a tenté de définir la religion civique « culte tellement important que l’État se voit contraint de veillé a ce que les rites soient accompli d'une manière approprié » problème de la divinité poliade : protectrice de la cité. Mais souvent on a pas une mais un panthéon de divinité poliade. Ex Athènes : Athéna divinité poliade mais Zeus l'est également de même que Poséidon ou Apollon ainsi que Déméter et Héphaïstos. Donc pas de divinité unique qui protège la cité et Athéna est ainsi accompagnée d'autres dieux. => panthéon civique WYSHERLEY : pour lui culte civique est visible quand la cité organise la construction des temples : premier temple construit dans la cité est celui de la divinité poliade, principale. ALESHIRE : pour lui le culte civique s'observe au travers des offrandes et du financement : il y a culte civique quand il y a contrôle permanent de la cité sur les offrandes : différence entre cultes privés et civiques. Ces cultes rapportent à la cité : un sanctuaire possède des terres et des biens que la cité a pour mission de gérer. => quand on parle de culte civique on trouve la cité qui organise, légifère et paye. COMMUNAUTES RELIGIEUSES le lien avec la cité ne se perd pas : la communauté coïncide avec les limites de la cité. Ceux qui en sont exclu sont les non citoyens comme les étrangers ou les esclaves. La place des femmes de citoyens est quant à elle un peu à part. SOURCES sources littéraires : poèmes Hésomérique, la Théogonie d’Hésiode, historiens, les procès, lois sacré organisation des cultes, retrouve des restes de question de pèlerins sources archéologiques épigraphiques CHAPITRE 1 État et panthéon civique C'est au sein de la cité que l'on pratique la religion civique qui est une manière d'affirmer l'identité propre de la cité. PARTIE 1 : la formation de la cité État et l'institution des cultes communs I.la police État constitué d'une communauté de citoyen, généralement de petite tailles mais étant à part entière : gouvernement, lois, armée, politique étrangère, monnaie → État complet et autonome. A l'époque hellénistique on suppose 1 millier de cité dans le monde égéen. II. date et circonstance de formation pas de date unique mais une date est retenu par les grec : 776 : les premiers JO à Olympie. C'est la première année où on a la liste des vainqueurs. Beaucoup des cité sont nées a cette période et notamment des plus importante comme Spartes ou Athènes. Cité : regroupement de plusieurs hommes, familles : OIKOI : le facteurs déterminant de la formation de la cité est probablement le début d'une agriculture intensive (besoin de plus de monde). Ce processus à un nom : le SYNOECISME : regroupement des OIKOS et de formation des cités. C'est souvent un héros qui est à la base de ce SYNOECISME. Ex à Athènes : Thésée qui en revenant en Grèce fonde Athènes. La religion civique est née de la cité (ou vice versa) : les deux phénomènes vont ensemble : on crée un réseau de sanctuaires : preuve de possession du territoire par la cité. De plus, l'ensemble des fêtes civiques très rapidement codifié. Quand un groupe de colons fonde une cité : il organise le plus rapidement une religion civique pour cimenter la nouvelle communauté civique. Cette création de la religion civique a un grand intérêt pour la cité en formation : moyen de réunir la population sous une seule et même entité (BURKERT). Ce voit sur la monnaie notamment (ex : a Athènes représentation d'Athéna) VARRON auteur romain peu connu : ??? III. les divinités poliades Avant culte commun au niveau de l'OIKOS. Chaque police placée sous protection d'une divinité en particulier. (Argos:Héra ; Athènes : Athéna) On est pas une divinité poliade du fait de ses attributions mais du fait de son histoire : (Athéna et Poséidon se sont battus pour la protection d’Athènes => les deux dieux ont donc un lien très fort avec la cité). La divinité poliade est celle qui épaule les citoyens : -les épiphanie : apparition des dieux qui peuvent notamment intervenir physiquement (ex : sur champ de bataille) dans beaucoup de cités ont deux divinités poliade : donc remise en cause de l'unique divinité poliade ; caractère commun de la divinité poliade -culte commun aux citoyens : culte obligatoire à la divinité polyade -divinité garantie la sécurité et la pérennité de la cité -cité = propriété de la divinité -succès politique ou militaire de la cité lié à la volonté de la divinité -représente la cité : ex : monnaie les divinité peuvent avoir épithètess différent : poliade, poliouchos, prokathegeon, archegete. Souvent héros fondateur associé à la divinité poliade (Thésée et Athéna). Le panthéon commun à une cohésion et un sens. On ne choisit pas les divinités au hasard. Et même si on trouve des divinités différentes en fonction des cités il y a quand même des fond communs Partie 2 : la création des sanctuaire civique I.localisation des sanctuaires Durant les ages obscures on a retrouvé aucunes traces des sanctuaires (probablement sanctuaires mobiles). Les premières traces de sanctuaires fixent une date au 8ème tout comme la formation des cités. localisation -la ville : (ASTY) : sanctuaires de ville sont souvent sur l'agora mais sont petits par manque de place -le territoire : la CHORA : la campagne : nombreux sanctuaire ex : a Athènes Eleusis (Sud Ouest de la ville). Besoin d'un sanctuaire commun par subdivision (ex : pour la fratrie) : mais un autel suffisait : petit lieu disséminé. -sanctuaire en périphérie : ex : sanctuaire a OROPOS : possédé ce sanctuaire c'est posséder la région : il fixe une limite. Sanctuaire sert également à délimité : marqueur de la possession de la cité. II. la création du sanctuaire 8ème siècle : forme de base du temple : rectangle avec un laos et colonne. Temple pas obligatoire : pas nécessaire : souvent pour les divinités poliades. Concurrence entre les cité dans les constructions des temples : richesse et beauté son des arguments sur la puissance et la renommée de la cité : temple conséquence du soutient de la divinité poliade. III. La création d'un panthéon civique la religion civique s'inscrit dans le temps avec un calendrier qui défini les jours fériés pour fêtes en l'honneur des divinités : durée pendant lesquelles certains citoyens ne travaillent pas, où la boulée ne peut se réunir. Cela rythme la vie du citoyen. Fêtes se concentre en hiver car la base de la richesse est l'agriculture. Fêtes nombreuses et variées mais certaines fêtes se retrouvent dans beaucoup de cités : -thesmophories : fête des femmes à Déméter et Chorée Partie 3 : la codification de la théologie par Hésiode Pas de livre sacré. Mais il y a des critères communs qui régissent la vie religieuse pas le biais notamment les mythes d'Hésiode ou Homère. D'après Hérodote, Homère et Hésiode ont fixé les premières règles même si variantes locales Hésiode : Béotien 8ème av JC, La théogonie premier texte qui codifie un certain nombre de mythes et notamment sur la fixation du monde -les générations divines : 1ère génération : le passage du Chaos au Cosmos : tous les éléments du monde présent dans le chaos mais non organisés. 3 divinités : Chaos, Gaïa et Éros (vie renouvellement) : naissance d'une série de nouveau dieux : de Chaos né Érèbe. De Gaïa né le ciel (Ouranos) et les flots. Couple de dieux dominant : Gaïa et Ouranos : naissance des 12 Titans, des Cyclope et des cent bras. Chronos (titan) émascule son père Ouranos : séparation du ciel et de la terre. du sperme née Aphrodite et du sang naissent les érynies (furies : les euménides), les géants et les nymphes. Chronos prend le pouvoir et s'unit à Rhéa et pour se protéger avale ses enfants. Rhéa envoie Zeus sur Terre où il est élevé par centaure. Lorsqu'il est devenu assez fort, Zeus force Chronos a vomir ses frères et sœurs. Zeus élu roi par ses frères et sœurs. Bataille entre les olympiens et les anciens dieux (lutte souvent représenté car représente la lutte des grec contre le monde des barbares). Zeus est la 3ème génération et devient le chef de cette génération. Zeus s'unit à Métis et la mange : il acquiert l'ensemble de ses caractéristiques et notamment la ruse. Mais naissance d'un enfant:Athéna. Explique au grec l'organisation du monde. Théogonie montre l'instabilité : à tout moment les titans et les géants peuvent renverser les olympiens. Fragilité du monde. Importance des rites. Arrivée des hommes : Prométhée : Titan, fils de Japet. Hommes et dieux vivent assemble. Prométhée veut favoriser les hommes. Lors d'un sacrifice il donne aux hommes la viande recouverte de peau et les os recouvert de graisse appétissante aux dieux. En acceptant ça, Zeus accepte alors la séparation entre hommes et dieux : dieux immortels pas besoin de manger, hommes ont besoin de se nourrir. Prométhée veut également offrir le feu aux hommes. Refus de Zeus. Prométhée le vole et l'offre aux hommes. Zeus le découvre : colère et il décide de leur envoyer la femme (Pandore) , hommes obligés de se reproduire. => mythe de Prométhée : fondation du monde des hommes La représentation des dieux codification des 12 dieux : Zeus, Héra Poséidon Déméter Athéna Dionysos Hermès Artémis apollon aphrodite Héphaïstos et ares. Parfois on rajoute Hestia et Hadès. On a essayé de leur donné des caractéristiques mais fonctionne pas réellement Poséidon dieux de al mer mais aussi des chevaux. Donc divinité n'a pas un domaine fermé et intervient dans divers domaine. J.DUMEZIL : détermine le rôle des dieux les uns par rapport aux autres différentes catégorie de divinité : dieux : ressemble aux hommes dans l'apparence mais immortel. Les dieux sont beaux,plus grand que les hommes et étincelant et ne peuvent pas réellement se montrer sous leur vrai jour. Quand font apparition (épiphanie) on voit un homme grand et beau. Beauté = la CHARIS (la grâce).un dieu n'est pas beau : Héphaïstos. En outre métamorphose des dieux : Zeus (taureau, pluie, cygne), Dionysos (taureau, lion ours cheval), Hermès (pierre). Les dieux ont du sang, peuvent être blessés, se nourrissent de l'ambroisie (nourriture distincte des hommes). Dieux ont des sexes. Déesse stéréotypé : jeune fille non marié (Artémis, Athéna) et figure d'épouse (Héra Déméter). Dieux besoin d'accouplement pour crée de nouveau dieux. Parfois parthénogenèse : ex : Héphaïstos, Héra voulait montrer a Zeus qu'elle pouvait faire fils seul. Naissance des dieux : légende de naissance et d'enfance certain dieux font expérience de al mort : ex : Dionysos, Héra tente de le tué : dépeçage mais ramené à la vie par Rhéa. Ex Asclépios : homme qui ressuscite hommes : foudroyer par Zeus puis divinisé -les héros : ceux né d'un père ou mère divin et de l'autre parent mortel : ex : Achille : fils de PHTHIOTIDE et THETIS. Sa mère, nymphe lui donne le choix de son destin : mort rapide mais gloire au combat ou vie longue avec femme enfant. Choix de mourir en guerrier autres personnage n'ont rien de divin mais leur destiné est suivi par les dieux ( Ulysse suivi avec attention par Athéna) certain vieux tombeaux sont considéré comme ceux de certain héros : ex : a Spartes culte d'Agamemnon et Ménélas : le sacrifice est relativement différent que celui des dieux : ENAGISMOS : sang retombe sur la terre (car héros chthonien) héros également fondateur de colonie : ex : Battos : fonde la cité de Sirène Athènes n'a pas vraiment de héros fondateur mais ils considère Thésée comme le fondateur car premier roi, culte à Thésée dot le tombeau se trouve SKYROS. Seront ramené a Athènes par le stratège CIMON en 455. Le culte héroïque est attaché à un territoire précis (culte de Thésée limité à l'attique). Culte local. Les divinités exerçant leur souveraineté sur le monde : – Zeus : représenté comme homme d'age mûr, barbus, considéré par Homère comme père des hommes et des dieux. Autorité royauté souveraineté. Sa puissance est le ciel, représenté par l'attribut du « foudre » : faisceau d’éclairs. Son animal est l'aigle. Souveraineté juste et ordonné. Zeus garant de l'ordre du cosmos. Il représente la NOMOS (la loi) et la DIKÉ (la justice). Également garant des serments et de l'hospitalité. Protège l'Agora, les temple et les relations commerciale. Zeus est omniscient et le justicier absolu : représenté avec balance : il ne peut influencé le destin, il peut connaître le destin mais pas le changer. Zeus garant d'une justice qui le dépasse. Zeus aussi associé à la fertilité du sol quand il est associé a Déméter. Il rend des oracles notamment à DODÔNE. Quasi toutes les cités ont au moins une structure pour Zeus. Le plus important est à Olympie : un des plus grand temple grec jamais construit. Le mont Olympe et la ville sanctuaire : Dion. A Athènes le culte de Zeus également important car divinité poliade : les fêtes diopolies : sacrifie un bœuf à Zeus mais comme interdit sacrifice du bœuf : fallait lavé l'impureté : sacrificateur s'enfuit et condamne la hache. – Poséidon : représenté avec trident, frappe la mer pour déclencher raz de marée. Maître des mer (char tiré par hyppocampe) et des chevaux mais pas maître des fleuves. Clute de Poséidon moins nombreux que ceux de Zeus. Ex : ISTHME, Corinthe, – Hadès : Plouton : richesse : représenté avec corne d'abondance. Homme d'age mur barbus. Roi des enfers, roi du monde souterrain, dieux fertile, dieux qui règne sur ce qu'il y a sous la terre => frère qui représente les 3 caractéristiques principales du monde. – la Métis (stratège, ruse) : divinité et concept → Athéna : animal favorite : la chouette (animal rusé). Déesse des travaux du bois, poterie tissage cavalerie navigation = déesse du KAIROS (instant favorable, occasion favorable et habileté technique). Kairos issu de la Métis. Athéna protège les aurige : les conducteur de char qui sont soumis à un moment difficile : le tournant dans le stade : Athéna les protège a cette instant. Mais aussi divinité de la guerre : du combat rationnel : ex : protectrice de la phalange grecque. Divinité de celui qui sait s'esquiver au bon moment : ex : la fourberie (Ulysse qui est protégé par Athéna). Gardienne de l'acropole des enfant de la santé. A Athènes considéré comme PROMACHOS : quand elle combat en première ligne : Athéna hoplite qui se bat avec les citoyens athéniens en première ligne. Quasi toute cité de Grèce continentale on un sanctuaire à Athéna : Athènes, Lindos, → Héphaïstos : engendré par Héra, jeté du haut de l'Olympe (laideur). Construit arme et objet pour dieux (forge arme pour Achille, ou le fauteuil aux mille liens pour sa mère). Peu de lieu de culte. A Athènes il a un rôle de protection et notamment dans le quartier des céramique : 2 temple a Athènes : l' ERECHTHEION (sur acropole) et sur agora temple partagé entre Athéna et Héphaïstos. → Hermès (fils de Zeus et d'une nymphe). Jeune barbus sandale ailé et porte le caducé et le chapeau des voyageur. Préside aux échanges : commerce, voyage échanges. Rôle également dans la conduction des âmes : dieu psychopompe : conduit âmes dans le monde des mort. Possède beaucoup de Métis : le jour ou il né, à midi il invente la lyre, le soir il vole une partie du troupeau d'Apollon et sacrifie un des animaux. Dieux malin rusé et fourbe et trompe dieux et homme. Dieux des orateurs mais aussi des athlète (dieu su stade). Peu de sanctuaire : existe un à CYLLENE, lieu de naissance. Mais représenté par pierre : pilier qu'on trouve sur les routes, borne on retrouve la tête d'Hermès sculpté. Dieux intervenant dans le mariage – Héra : sœur et épouse de Zeus. Héra viendrait de Hora (la bonne saison = assez mur pour être marié). Lié au paon, protection des troupeau, déesse aux yeux de vache. Mariage houleux mais Homère raconte plusieurs accouplement entre Zeus et Héra (naissance de Arès et Hebès). Le mois du mariage est celui de GAMELION. Mais Zeus aussi associé au mariage. Mais Héra jamais montrer avec enfant des les bras, ce n'est jamais la mère. Le caractère du mariage entre Zeus et Héra est en perpétuelle renouvellement. Chaque année on purifie Héra pour la remarier à Zeus. Possède épiclès de TELEIA : femme accomplie : protège le mariage légitime, mariage entre citoyen et protège les enfants légitime. Protège famille conventionnelle. Lieu de culte notamment a Samos. – Artémis : jeune fille, déesse vierge, sauvage. Représenté avec arc et souvent chien de chasse ou une biche. Vie au milieu des animaux dans la nature sauvage. C'est une protectrice des jeunes et des animaux sauvage. Artémis préside au passage de l'état de jeune fille à celui de femme marié. A Athènes les jeunes fille qui vont se marié offre leur jouet à Artémis. Rites de passage connu par fête souvent réservé aux femmes. – Aphrodite : devenu grecque tard car déesse du proche orient. Probablement issu d'ISTHARASTARTE : (épouse du roi, reine du ciel, prostitué divine). Culte passé de Phénice a Chypre puis en Grèce. Grec voit sa naissance à Chypre. Invoqué pour le bonheur et le désir dans le mariage. Souvent accompagné de Peithô (la persuasion). Elle empêche le refus du mariage qui est un affront aux dieux. Exemple de femme qui refuse le mariage : Atalante : considéré par grec et dieux comme de l'Hibris. Dieux vont la punir pour cet Hibris – Athéna : protectrice du tissage : activité principale de l'épouse : activité du Gynécée : Athéna préside à l'apprentissage par la future épouse de l'art du tissage. Protège le travail de la femme marié ex le plus connu de femme tissant : mythe de Pénélope. La fertilité : grec on foi dans la fertilité de la terre. Action des dieux : – Apollon : jeune homme imberbe, un des plus beau, possède arc et carquois souvent couronné d'une couronne de feuille. Fils de Zeus et Léto. Dieu purificateur. Invoqué durant la fête des THARGLIES : mois de thargélionne (mois de mai). Purification de l'ensemble de la cité. La cité désigne deux pharmakoi un portant collier de fil noir et l'autre blanc se promène dans la cité et on les charge de toute les souillure de la cité puis on les chasse. Permet à la cité d’être pure. À la fin de la fête on offre au dieux l'offrande des prémice : première part donné aux dieux avant de prendre. Participe a la fondation de nouvelles cité et rend des oracle ( a Delphes) – Déméter : déesse d'age mur, mère de Chorée (Perséphone). Récupère les attribut de Gaïa : déesse de la fertilité, de l'agriculture. Célébré lors des Thesmophories. Fête réservé aux femmes exclusivement pour assuré fécondité des femmes et de la cité. Déméter responsable des saisons (mythe de l'enlèvement de Perséphone-Chorée). – Dionysos : fils de Zeus et Sémélé (maîtresse de Zeus qui a voulu voir son amant dans toute sa splendeur, morte irradiée). Double naissance lors de mort de sa mère puis de la cuisse de son père. Soit barbus soit imberbe. Dieux de la force qu'on ne contrôle pas, des pulsion. Patron de la fête des ANTHESTERIES. Fêtes ont lieu au mois de février, ouverture des première jarre des vendange (PYTHOIGIA). Les premières gouttes sont pour Dionysos (libation), le deuxième jour on boit. Lié a la fertilité de la vigne et au mariage hierosgamos : BASILINNA : femme du roi qui s'accouple a Dionysos pour la fertilité des citoyens. Dionysos dans état de perpétuel ébriété. => beaucoup de divinité interviennent à plusieurs moment de la vie. CHAPITRE 2 LES LIEUX SACREES Sanctuaire Le terme le plus Sacré : to hieron : le Sanctuaire. Pas choisie par les hommes mais par la divinité. Lieu est emplie de la présence divinie : ex : la foudre qui tombe, un bel endroit, ou la parole d'un oracle. Théoriquement le sanctuaire est donc inamovible. Si sanctuaire doit être déplacé c'est l'oracle qui doit le signifer. Tout ce qui entre dans un sanctuaire est aussi Sacré : ex : objet, offrandes : ta hiera. C'est aussi le cas des hommes qui entre dans le sanctuaire (pour rentrer dans sanctuaire il faut être purifié). On peut se réfigier dans sanctuaire et on devient intouchable : esclave peuvent s'y rendre. Définition aussi qualifier de TEMENOS : rappel que le sanctuaire est un endroit clôt, délimité, bordé. Lieux retirer des zones profanes. Dans sanctuaire deux choses indispensable : autel et les bornes pour délimiter clairement l'espace Sacré du reste du monde (p 22). mais l'ensemble de la nature est également Sacré, mais dans un sanctuaire c'est encore plus Sacré. Les caractères du sanctuaire peut être petit. Mais aussi grand : ile de Délos est dans son entier un sanctuaire. Souvent les sanctuaires disposent d'un ALSOS : bois sacrés : foret sans aucune construction. Des bois Sacré parsème tout le monde grec. Le bois est la création des dieux, faut le sauvegarder, on ne peut pas le couper. De plus bois cher a cette époque. De même certaines pierres, fontaines sont sacrés. On remarque aujourd'hui que l'emplacement de ses sanctuaire sont souvent des endroits grandioses, somptueux, site choisi pour sa beauté. Beauté paysage → preuve pour les grecs de la puissance des dieux. Limite : notion de beauté n'est pas forcément celle que l'on a aujourd'hui. Ce que l'on trouve beau aujourd'hui devait sûrement être vu comme quelque chose d'impressionant a l'époque plus que beau. On recherche la puissance Sacré auprès de l'eau : sanctuaire installé près rivière, fontaine etc .. près des bois sanctuaire pas forcément endroit très construit : Delphes, Epidaure sont des exception car grec hésite a retouché le monde tel qu'il a été construit par les dieux. C'est essentiellement la nature qui forme le sanctuaire et non pas les construction de l'homme. Les sanctuaire ont donc des propriétés terrienne ex : Eleusis : grande parcelles de terre non cultivé. Or a l'époque besoin de terre cultivable on demande l'autorisation à un oracle et le dieu refuse. Les terre ne seront pas cultivées. Classement des sanctuaires : sanctuaire civile sanctuaire fédéraux : sanctuaire panénique : ouvert à tout les grec classement géorgraphique ville acropole ville basse campagne : souvent là ou l'on trouve les sanctuaires les plus importants escatiai : les marches du territoire civique : zone de passage où peu des personnes n'habitent. Comment les grecs vénèrent les dieux ? Sanctuaire divers, dieux multiples et c'est la même chose pour les pratiques. Toutefois existe pratique a peu près commune a l'ensemble des sanctuaires : la prière : euché libation : action d’offrir goutte de liquide aux divinités concours : Agône sacrifice les actes qui constituent le culte Respect de la pureté rituelle : pour entrer en contact avec divinité faut respecter rite selon la tradition. La pureté est un rite essentiel : KATHAROS. L'état de pureté est l'état naturel de l'homme mais dans sa vie il est touché par l'impureté mais elle s'en va au bout d'un certin temps -impureté touchant aux realtions sexuelle : interdit dans sanctuaire et interdit de rentrer dans sanctuaire après une relation sexuelle -impureté lié à la mort ou à la naissance : impureté attache toute le communauté qui est autours. Faut attendre plusieurs jours avant de rentrer dans sanctuaire. -la sang sous toutes ses formes : de la simple blessure, de son métier au meurtre. Le sang est souvent plus grave que le reste. Pour impureté en général on utilise le mot LUNA AGON. Pour impureté du sang : MIASMA pour impureté vraiment grave : oeudipe:son impureté touche tous les citoyens. On doit attendre qu'il soit purifier pour que les malheurs s'abatte. Mais série de moyens pour que l'impureté parte : eau lustrale : ex : baigne dans un bassin ou vasque à l'entrée des sanctuaire : PERIRRANTHERIA feu eau de mer La parole -invocation : quand un citoyen doit s'adresser à un dieu il doit connaître son nom. Savoir son nom donne de la puissance. Quand on prononce le bon nom les dieux ne peuvent se détourner. -la prière : pas grande importance dans culte traditionnel. Mais assez commun. Prière : demande quelque chose à une divinité : ex : thusia : prêtre fait prière qui précise le but du sacrifice et l'expose à la divinité visée. Prière personnelle souvent dans situations d'urgences. Mais pas de canon, pas prière normée. Pas d'endroit favori pour faire prière même si elle a sûrement plus de poids dans un sanctuaire. Les libation et les sacrifices -libation : action de verser du liquide : ex : verse du vin:offre les premières goutte a Dionysos : sacrifice des prémices. Goutte sur l'autel ou sur le sol (pour divinité souterraine). Fréquemment première goutte pour la divinité et boit le reste. Les offrandes : ANATHEMATA sacrifice non sanglant : gâteau. A coté des autel souvent table à offrande : dépose gâteau céréale offrande. Mais signifie pas que cette offrande est périssable. Peu être objet tel que épée, bouclier, prou de navire. Quand citoyen réussi quelque chose il doit toujours faire un sacrifice pour rappeler l'aide de la divinité : ex : on apporte les armes des vaincus. Offrande des prises de guerres en remerciant la divinité. Parfois bâtiment appelé le trésor uniquement destiné aux offrandes, à la vue de tout les pèlerins. Sacrifice possible d'une partie de soit même : ex : cheveux : pour les jeunes filles qui vont se marier. Les concours on va vouloir décider qui rend le mieux hommage à la divinité. Concours se développe dans plusieurs types de sanctuaire : Olympie, Delphes, Corinthe : concours complet artistique et athlétique sanctuaire d'Oropos : sanctuaire local, concours aussi essentiellement artistique : chant théâtre etc.. concours soit annuel soit quadri annuel. Régulier et important dans la vie du sanctuaire. La thusia : sacrifice le plus commun, le plus généralement pratiqué et de la même façon. Moment de partage entre homme et dieux. Besoin hommes animal, dieux et entre eux l'animal. Déroulement de la thusia : p14 et 15 -procession : série de personne vétu de blanc, la personne portant le canéphore (la corbeille) dans lequel se trouve l'orge et la couteau. Danseuse et souvent flûtiste et musicien. Trouve personne couronné par laurier : on peut avoir le prêtre, les magistrats de la cité et n'importe quel citoyen voulant y assister. Puis la bête : ici taureau : choisi immaculé, sans tache n'ayant jamais servi, animal heureux : animal doit être consentent. Procession pour les grande fêtes pouvant passer par toute la ville (ex : panathénée) procession pouvant durer plusieurs heures voir plusieurs jours (procession entre Athènes et Eleusis) -prêtre consacre la victime, on l'asperge d'eau lustrale, de grain d'orge sacré, on offre des crins de al victime au dieu : prémice. Puis on appel le BOUTYPOS : tue la bête. Puis on retourne l'animal, venrte vers le ciel posé sur l'autel. Puis le « cuisinier rituel », l'évicert et regarde si l'intérieur est normal. On prélève partie pour divinté : os notamment ceux du fémure, recouvre de graisse vicerres manger par prêtre et ceux ayant payer le sacrifices. Un second cercle : le reste de l'animal est partagé en part égale (isonomia) et manger au cour de Dais (banquet), SYMPOSION. La signification : les hommes doivent se nourrir de matière périssable. Dieux immortels pas besoin de se nourrirent. Perpétuation du corps civique : ce corps qui mange est le même qui se retrouve dans l'armée ou l'ecclésia. Banquet qui rappel lien entre les citoyens qui ont les même droit et même devoir. ( a Sparte le repas commun est quotidien et si un citoyen manque cela il est exclu du corps civique). CHAPITRE 3 DESCRIPTION DES SANCTUAIRES souvent la seule chose visible archéologiquement qui nous reste de monde grec. A Athènes ce qui attire le regard ce n'est pas la ville mais le sanctuaire. Le choix de l'espace sacré lieux sacrés : bois, ou isthmes, cap, endroit impressionnant. Endroit plus particulièrement dédié a certaines divinité : montagne : Zeus, cap maritime : Poséidon. Existe depuis longtemps pourtant pas trace de sanctuaires avant le 8ème siècle. Existait surement mais soit mobile soit structure légères. 8ème siècle : sanctuaire simple enclot : notamment décrit par Homère : on en trouve a Argos notamment. En plus des bornes et autel on retrouve portique (stoa) temple ou très souvent on retrouve des ex-voto : objet offert par une cité ou particulier : ex : sphinx offert à Delphes. On retrouve aussi trésor : sert a exposé offrande des différentes cités : au niveau de la forme ressemble à un temple. Ces offrandes sont souvent ce qui est le plus important. C'est le ce trésor qui prouve l'importance de la divinité. De plus un sanctuaire est d'autant plus sacré car il est ancien. A Athènes le temple le plus sacré est l'ERECHTEION : là ou Zeus a fait tombé al foudre, existe depuis époque archaïque. A l'inverse le Parthénon est moins sacré car moderne. Premier temple se retrouve qu'a partir du 7ème siècle. (après les premiers sanctuaire) localisation des sanctuaires sanctuaire de la ville : souvent près des remparts (sauf les plus anciens) car seule endroit où il restait de la place. Souvent petit a part certain sanctuaire sur agora. Sanctuaire spéciaux : oraculaire, thérapeutique : lié a la ville mais en périphérie : car besoin d'eau. périphérique campagne : borne de la cité, les grands sanctuaires ruraux sur les bordure du territoire civique typologie des sanctuaires : les niches et grottes : ex : le sanctuaire de Pan sur l'acropole d’Athènes : grottes dans lesquels on a des niches où l'on retrouve statut dieux ou colonnes. Grotte aménagée : on y aconstruit mur, banquettes autel niches. Sanctuaire attesté partou en grec et beaucoup dans zones accidenté et dans le Nord de la Grèce comme à MIEZA : sanctuaires des nymphes dédié à la connaissance et l'enseignement. Les bois sacrés : ALSOS : espace protégé ou vit la divinité mais espace entretenu. On en prend soint. À Némée, alsos important dédié a Zeus : on a retrouvé arbres trop vieux ou malades. Mais avec le temps on va construire dans ces alsos : ex a Olympie au 2 siècle ap JC : on a construit temple et trésor. Mais a notre époque très rare. Importance du bois sacré se retrouve dans le culte d'arbre sacré : ex : figuier sacré sur la route entre Athènes et Eleusis, offert par Déméter. Mais arbre pas définitif : parfois représentation de l'arbre sacré par une colonne mais date plus de l'époque romaine. Les sanctuaires de petites tailles : les plus courants, communs, que l'on trouve partout. En Crète majoritaire, pas de sanctuaire moyen ou grands. On en retrouve également à Salamine. On retrouve autel, fontaine, et TRAPEZOMATA : endroit couvert ou l'on pouvait déposer objet offert. Sanctuaire de petite taille se développe surtout à l'époque hellénistique et notamment en Asie : retrouve sanctuaire en l'honneur du souverain. Sanctuaire du culte royal ex : à Délos sanctuaire de Mithridate VI. Les sanctuaires de tailles moyennes : sanctuaire de BRAURON : stoa espace ouvert qui sert à tout (se reposer, manger discuter). On retrouve dans ce sanctuaire des salles pour le banquet ( si existe pas on pouvait dresser tentes). Mais souvent à l'époque hellénistique les temple se dote de salle de banquet autours de la cour central dans laquelle se trouve l'autel. Parfois on peut retrouver maison de prêtre ou de prêtresse mais souvent quand cela est indiqué sur légende c'est qu'on en sait pas a quoi ça sert. Sanctuaire qui on surtout un prestige locale ex sur l'attique. Les sanctuaires de grandes tailles : sanctuaire d'Olympie, généralement panhellénique (ouvert a tout les grecs), Delphes, Isthme (Poséidon), Némée (Zeus). Seuls sanctuaires panhéllénique. Beaucoup de cité ont tenté de promouvoir leur sanctuaires et leurs concours, par embellissement et ouverutre des concours. Nombre de sanctuaires panhelléniques augmente considérablement. Bâtiments : souvent associé a la tenu du concours : autels, dans axes des temples (ex : Olympie, temple de Zeus, Héra), exvoto installation sportive : stade, hippodrome, théâtre structure pour accueillir des pèlerins, la plupart logé sous des tentes. Mais les théores : ambassadeur religieux qui ont pour rôle de faire connaître la date des jeux + conduisent ambassade de chaque cité qui participe au concours. Ces théores sont souvent logé dans un KATAGOGEION. Parfois athlète logée également à l'intérieur du sanctuaire. Système d’adduction d'eau, rp que eau ne manque pas pendant période d'affluence. Exvoto : en grands nombre dans grands sanctuaires. : moyen pour la cité de se faire connaître : beaucoup de roi ou athlète vainqueur offre des statuts. On trouve aussi satuts de Zeus qui doivent être offert par les tricheurs. Concours pas réserver aux sanctuaires panhellénique. Certain concours existe dans autres sanctuaires mais pas complet et pas rayonnement sur toute la Grèce : ex Oropos : cours seulement d'art. les constructions délimitation délimité par divers moyens, bornes, pierre dégrossies. Le plus souvent tagué sur une face. Pour délimiter on trouve aussi des allignement de pierre. Existe aussi moyen plus cher : le péribole : mur : solution souvent pour petit sanctuaire car cher. Mais existe aussi à Délos ou Delphes car sanctuaires important et riche. M oyen d'écarter les infractions rituelles. A Athènes existe le Péribole de l'autel des héros éponyme (12 tribut ayant chacune un héros éponyme) : moyen cher et raffiné. Moyen de délimité une entrée. Mais pour autre sanctuaires, ou deux bornes qui détermine l'entrée. Mais existence également de porte comme sur l'acropole : le propylées : allée bordée de colonne, un passage délimité pour passé de l'espace impure à l'espace pur. L'autel type très varié. Problème car on a du mal a établir chronologie de la forme des autels. Difficile a dater. -l'histoire des autels et leur utilisation beaucoup sanctuaire ont eu pendant longtemps un autel sans temple mais pour les sanctuaires important. Car le temple ne sert qu'a être la maison du dieu et n'a aucun rôle dans le rite. Homère décrit des autels dans ces textes. Premier autels dès le 10ème siècle, ex : à Samos et Heraion. En crète on a retrouvé des autels du 8ème siècle ex : GORTYNE. Deux grands types : autels extérieur : le Bômos utilisé pour sacrifice sanglant autel intérieur : le trapezomata : table d'offrande, quelque exemple de foyer perpétuel dans ces trapezomata. -formes -forme simple Eschara : trou dans le sol : ex à Délos : pretre décent dans le trou et installe foyer dans le trou. Type d'autel commun à l'époque archaïque -autel de cendre : le plus connu est celui d'Olympie : installé sur une crepis sur laquelle on a installé le foyer et au fur et a mesure on laisse s'y accumuler la cendre a laquelle on rajoute de l'eau, on peut y installer marche et y monter. Plus autel est utilisé plus la taille de l'autel augmente. Rite en deux temps : égorgement de l'animal sur crépis et les rites lié au feu surtout en haut du monticule. Permet de montrer l'importance de l'autel car plus il est haut plus est ancien et important. Autres exemple comme sur le mont Lycé. -bothros : les plus anciens autels construit et maçonné : exemple dès la fin du 8ème siècle et notamment dans les Cyclades à Claros. Autels ronds. Ex à Délos il est creux. Mais peuvent être plein. Forme ronde très populaire à l'époque archaïque et tend à disparaître à l'époque hellénistique. On retrouve même forme mais creusé dans le sol pour les divinités infernales. -autel simple : une grosse pierre qui sert de table ou appareillage de pierre, devient la forme la plus classique : permet d'augmenter autel sans détruire l'ancien autel. (ex : autel du sanctuaire d'Athéna Nikké). Pas très pratique car régit mal avec le feu. Mais système mis en place : plaque de métal déplçable ou autel façonné avec emplacement prévu pour plaque céramique pour placer la foyer. Permet d'éviter que le marbre de rompte. -autel monumentaux dès l'époque classique : l'autel de l'Asclepieion à Messène. Courant à partir du 6ème 5ème siècle. Retrouve en nombre dans le péloponèse où il s'agit d'un crepis parfois très long (30m). mais avec le temps la largeur augmente avec la prothysis sur laquelle on organise le foyer. Autel de vient signe de la puissance de la cité et de la divinité. -autel ionien : comme autel monumental ajout décoration, colonade, ranger de marche pour surélevé : connu dès l'époque classique:e x:Syracuse. . Souvent en forme de pie et avec une grande plateforme surélevé , un encadrement de colonnet série de staut. Autel abrité sous la colonnade : ex : le grand autel de Pergame. Autel devient moins pratique et plutôt esthétique (parfois on ne peut même plus monter la bête pour le sacrifice). -les autels à l'hécatombe : thusia mais beaucoup plus importante : ex:sacrifice de 100aine de betes. Utilité des sanctuaires monumentaux : ex : à Claros : retoruve borne devant les autel pour attacher les animaux. Dédié a une hécatombe donc peu utiliser car cher : rarement utilisé. Autels souvent décoré de sculpture, frise. Le temple les plus impressionnants du monde grec. Vestige par excellence. Imposant et commun mais naissance tardivement et les premier connu ( a être construit) sont les temples d'Héra ( à Héraion ou Perachora ou Argos ou Olympie). Sans doute la première a qui l'on a voulu donne un habitat. A peu près même forme : rectangulaire avec colonnade et entrée sur le petit coté. Personne ne doit y entrer normalement : endroit fermé, sombre et clot. Porte fermé sauf pendant fêtes ou on peut apercevoir statut de la divinité mais personne n'y rentre. C'st pourquoi surélévé par crepis (quelque marche). Utilité ? : habitat de la divinité en fait. Mais sert aussi a montrer puissance de la divinité et de la cité : concurrence dans les cités. Orienté vers l'Est mais pas règle absolue. Autres formes de temple : la Tholos : temple de forme ronde : peu commun : a Delphes un existe dédié à Athéna. Temples sont colorés de couleurs vives (bleu, jaune rouge vert). Pas quelque chose de sobre mais de clinquant. Le temple peu servir a conserver les offrandes : exemple d'ex voto accrocher sur mur du temple. Temple peu être considéré comme une offrande ex à Olympie la cité fait construire un temple à l'honneur de Zeus pour la conquête du sanctuaire. Description du temple grec traditionnel temple catégorisé par spécialiste du 19ème siècle a partir du traité d'un architecte romain, Vitruve. -l'Oikos : ex : Dréros : simple pièce : fenetre banquette, colonne pour soutenir plafond et un autel. Temple souvent dans les villes, se confonde dans le tissus des bâtiments. Pas de colonnade. -temple Distyle/ in-antis : temple avec deux colonnes devant et une puièce parfois divisé en deux entre un pronaos et un naos (espace sacré ou se trouve statut de la divinité) -temple prostyle : espace fermé : le naos mais précédé par colonnade qui prolonge le toit du bâtiment. Peu être prolongé par pronaos et ophisthodome. -temple périptère : on retrouve une péristasis : colonnade de tout les cotés. C'est le plan de base : la plupart des temples grecs ont cette forme. Au centre on retrouve la cella qui comporte les différentes pièce : naos pronaos etc... -temple diptère (variante du temple périptère) : double la colonnade : ex Héraion à Samos. Très populaire en Asie mineure a partir du 6ème siècle. Temple très coûteux car se sont les colonnes qui coûte cher. L'élévation renseigné par Vitruve, décrit un certain nombre d'ordre : valable pour l'ensemble des élévations d'un temple. Problème sur le nombre d'ordres 2ou 3 car corinthien reprend ionique. Vitruve n'a pas inventé cela car fait référence a autres textes pas connu. Ordre n'a de sens que'au vue d ela construction du temple. Fait parti du sacré du temple. Ordre pas jsute la forme du chapitteau mais résultat d'un clacul savant fixant les proportions du temple. Doivent rappeler un ordre de la nature dans l'architecture et la proportion. Ordre doit être une vision du naturel dans ses proportions. -Ordre dorique : né fin du 8ème siècle dans le nord du Péloponnèse en Arcadie. Problème : pas de règle absolument fixe mais pour ordre dorique exemple comme modèle est celui de Zeus à Olympie construit 5ème siècle en offrande (par la cité d'Elis) et reste le plus grand temple du péloponnèse 55m de long sur 27,5 m de large. Temple surélevé sur une crépis à 3 degré. Le dernier degré s'appelle le stylobate : plate-forme sur laquelle est posée le temple (la colonne). Formule de proportion du nmbre de colonne : N=2N+1 les colonnes ont vingt cannelures et les futs sont plus large a la base qu'en hauteurs pour maintenir un aspect rectiligne de la colonne (perte de 10 % de circonférence). Colonne se temine par chapiteau composé de deux éléments : une échine et une abaque. Entablement : architrave plus corniche plus frise : partie supéreiru du temple. Architrave vierge, frise : succession de métope (plaque de marbre ou de pierre) et les tryglyphe (plaque de marbre percée de 3 canneaux). Sur frise on retrouve les regula sur laquelles sont fixées des mutules Entraxe : espace entre deux colonnes. Détail de la frises servait a faire circuler l'eau et la faire tomber loin de la façade. La corniche forme triangulaire : dit le tympan soit vide soit remplie d'une grande sculpture. Toit de tuile simple ou dorée. On peut trouver gargouille léonine et des acrotère fixé aux angles de la structure ordre très populaire à l'époque héllenistique mais frise a tendance a être gravé. Considéré comme le plus solide, le moins cher car moins de décors et moins de colonne et donc préféré dans l'ordre hellénistique. Pert ses galon face à l'ordre ionique qui va devenir le favoris des grecs. -Ordre ionique berceau dans les Cyclades. Alors que ordre dorique assez normé, autant variante infinie de l'ordre ionique. Le seul élément que ne bouge jamais c'est le chapiteau. Ordre plus complexe, plus hupé plus décoré et souvent plus cher que ordre dorique. Ordre ionique possède 24 rainures sur la colonne. Le chapiteau a un modèle de base le chapiteau de « MNESICLES » (celui qui a construit le propylé à Athènes). A l'époque hellénistique on retrouve uhn double trait sur la volute. Le vrai ajout c'est les face latérale des volutes « chèvrefeuille » Hermogène va crée un ordre ionique complet. Retrouve les 3 parties : la crepis : 2 marches la colonade temple n'est pas périptère : suprime colonnade latéral et se concentre sur al façade. Ici souvent temple prostyle. Colonne sur des bases tympan triangulaire ordre ionique c'st largement diffusé en orient. C'est l'ordre grec pas excellence notamment en Orient. Les variante locales sont très nombreuse. En Italie du Sud et Sicile on a parfois un mixte entre ordre ionique et dorique -Ordre corinthien : pas vraiment un ordre. Date du 5ème siècle : dérivé de l'ordre ionique. Son origine est probablement plutôt athénienne. Origine athénienne se retrouve dans la légende. Ordre corinthien lien avec urne funéraire. Un des modèle de l'ordre corinthien est donc propbablement l'une de ces urne. Chapiteau les plus comlexe : a leur base grande feuille d'acanthe Les temples à l'époque hellénistique les temples plus petits on ne construit plus temple immense de l'époque classique. Pas période d'innovation, plan de l'époque archaïque et classique sont récupérés. Un certain nombre de temple adopte le style ancien. Ex : Thermon : temple reconstruit quasi identique : comme au 7ème siècle, car ancienneté du temple donne un prestige supplémentaire. Volonté de retrouver une sorte d'age d'or que l'on regrette. Temple de l'époque hellénistique plus ramassé. On a beaucoup de temple fait dans ville et pour cela on doit réduire la largeur du temple. On retire donc l'opisthodome par exemple mais on a surtout tendance a rapprocher la peristasis intérieur et éloignant la colonnade avant du temple. Naissance d'un nouveau plan : pseudo diptère : peristatsis toujours là mais colonne collé à la cella. Mais éloigne la colonne d'avant de la cella. De plus de conserve parfois que le pronaos. La supression de la colonnade latéral du notamment au fait que la staut su culte puisse être visible de dehors : naos plus large, porte plus large et donc statut visible de l'extérieur. Construction temple à lépoque classique moyen pour la cité de se mettre en avant et concurrence avec autre ville. Pas de particularité locale. Temple sont passé en second dans ordre de priorité de construction des cités. Importance moindre. Les rois qui finance beaucoup de construction vont préférer construire des portique plutôt que des temple. Les temple ont moins d'importance qu'a l'époque classique donc moins recherché et plus petit le développement des temples ionique corinthien ordre favori ordre dorique mais va changer et on va voir fleurissement de l'ordre ionique. Nouveaux modèle, inventé par Hermogène selon Vitrus, ex : temple de Zeus a Magnésie du Méandre semble être diptère sauf que l'on a retiré la colonnade intérieur : coûte moins cher, agrandi fictivement le temple temple mis en valeur dans environnement : encadré par grande stoa. : portique a colonne qui sert a mettre en valeur construction centrale style succès au 2ème notamment en Asie. Style corinthien , le plus cher a construire et est surtout à la mode en Asie. Mais le plus bel exemple est tout de même a Athènes, financé par Antiochos 4, Olympieion, temple monumentale qui sort de la norme de l'époque. Temple ne sera jamais achevé. Les décors sculptés -frises : surtout sur ordre ionique et corinthien. Peu original, la titanomachie (lutte entre dieux olympiens et titans) ou la amazonomachie (luttre entre Hercule et les amazones) ex : à Delphes : titanomachie ex : amazonomachie : temple de Bassae : héraclès qui se bat contre femmes (amazone) une frise sort de l'ordinaire : la grande frise : dite des grande panathénée suculpté à l'intérieur de la peristatisis : représente centaine de personnage durant les panathénée:on y retrouve tout le corps des citoyens et on détaille différents moments de ces panathénées : ici relève pas du mythe : événement historique. -les tympans : représente toujours un événement mythologique : rappel histoire du dieu honoré dans le temple mais surtout lien entre le dieu et le sanctuaire : ex : à Delphes : Héraclès à droite, a gauche Apollon et Arémis, se battent pour avoir un objet, (trépied : vase sur trois pied, objet essentiel pour la pythie que s'y assied) ici épisode ou héraclès tente de déroger apollon du sanctuaire de delphe. Le trépied symbole de l'oracle de Delphes. La statue différents format, les statues les plus ancienne sont nommée les XOANON : les plus anciennes faite en bois. Sont les plus sacrées car les plus anciennes. Souvent pas forcément très grande. Statue porte un vètement. Mais autre type de sculpure apparaît à l'époque classique et aura vif succès à l'époque hellénistique : les CHRYSELEPHANTINE : statue d'or et d'ivoire : statue rare et difficile a conservé car ivoire craque et se délite rapidement (ex : celle d'Athéna dans le parthénon) : but : que citoyen puisse voir statue de l'extérieur car pas le droit de rentrer dans temple. Statue pas essentiel dans le rite mais cependant importance : ex : pompé entre à Jérusalem en vainqueur : Tacite : il enrte dans le temple en vertu du droit des vainqueur et vu qu'aucune statue à l'intérieur alors c'est qu'il n'y a pas de divinité. Statue indispensable pour représenter la divinité. Les portiques englobe beaucoup de choses la stoa le portique : souvent quelque chose de simple, espace ouvert avec au fond un mur plein et en avant une colonnade : ex : stoa de Samothrace. Contre le mur représentation souvent religieuse. Stoa pas que sacré on la retrouve dans ville sans lien avec sanctuaire. Endroit ou l'on s'abrite, peu faire banquet, faire du commerce (ex stoa d'Attale : Athènes) ex avec pièce de boutique. Stoa soit simple soit à étage (a Athènes étage) stoa sert a délimité espace notamment entre l'agora d'un autre ensemble : ex a Athènes on retrouve agora enfermé dans une stoa. Modèle d'enfermement née à la période hellénistique. Soit longiligne, soit en pie, soit L, lieu d'incubation : pour les sanctuaire thérapeutique ou oraculaire. Portique d'incubation (abaton, adyton, koimeterion) souvent simple ex a Rhamnonte la salle des banquet tout les sanctuaire n'ont pas de salle de banquet et doivent construire tente pour convives (et c'st souvent la cas). Mais dans sanctuaire de grand importance on voit apparaître salle de banquet en dur (7ème siècle). Banquet se passe coucher sur la gauche. S'impose comme la position commune de celui qui assiste au banquet (exception en Crète où assis) 5-15 lit, taille moyenne d'une salle de banquet. Souvent multiplie salle de banquet moyenne si besoin de plus de place. Capacité d'accueil augmente a la période hellénistique. Apparaît construction de grande pièce a péristyle et pièce attenante . L'espace péristyle sert salle de banquet. Monument votif et commémoratifs grec font offrande a leur divinités très variés. Un temple peu être une offrande les sanctuaire sont surchargé d'offrande et d’ex-voto d'ou utilité colonne pour surélevé certaines statues. Exemple offre monument votif qui rappel victoire militaire ( colonne avec trois serpents enlacés).offrande votif sont souvent en cas de victoire militaire pour remercier divinté Les Exèdres : banquette surmonté de statue ex a épidore. Se développe, statue va prendre plus d'importance et banquettes juste pour décoré mais plus fonctionnelle. Monument de victoire : le Néorion a Samothrace , date pour les premier du 7ème siècle avant JC. Avec le temps vrai batiement pour abrité arme qui a servit à al cité : a Samothrace un trirène offert à la divinité suite à unn victoire. : bâtiment aéré mais couvert et protégé. on peut retrouver arme ex à Delphes donne casque avec nom pour qu'on se souvienne de la victoire. Parfois au lieu de donner bateau en entier souvent on détachait les proues des bateaux que l'on offrait aux divinités : ex: la victoire de Samothrace : sculpté sur l'avant d'une trirène (ici e pierre). => sanctuaire varié tant dans leur modèle que dans leur taille. Mais néamoins fonds commun dans le respect du sacré et la façon dont sont menés les rites dans les sanctuaires. Variété des style architecturaux : existait avant époque hellénistique (date époque classique et archaïque). Style grec plutôt uniforme. Époque hellénistique pas image des temple monumentaux. Construction sanctuaire ne sont plus mis en avant pour sublimer la cité et on préfère construire autre chose comme stoa. Mais sanctuaire pas désertés, on a besoin d'accueillir pèlerins, certain sanctuaire ploie sur le nombre de pèlerins. Chapitre 4 le culte des rois Culte des rois c'est aussi manifstation croyance et des rites pratiqu »s par les grecs anciens. Mais quelque chose souvent mal compris et phénomène nouveau à l'époque hellénistique. Même si quelque antécédent. Problème de savoir si vrai piété ou juste marque de soumission ou manière de s'accorder faveur d'un souverain. Mais on remarque véritable part de sincérité. Rite quasi même. Culte du chef : peu se comprendre quand on voit le fossé entre le monde classique et hellénistique avec le développement des royaumes ayant capacité financière et militaire bien supérieures aux cités. À l'époque hellénistique soumission au bon vouloir d'un souverain, pouvoir se déplace du corps civique au roi ce qui a nécessité sorte d'interaction nouvelle entre population civique et nouveau faiseur de politique qui est le roi. Volonté de lien entre la cité et le roi. Dans totu les textes on a la peur de la destruction. Culte à un roi permet de se protéger, se protège de la haine du roi qui sera content de la cité et ne lui fera pas de mal. Construction d'un personnage idéal d'un roi dans certain texte : roi protecteur, riche, militaire, juge. Le roi n'est pas divinisé (pays a part, en Égypte roi est un dieu), il est sacralisé. Grecs reconnaissent le sacré quand rencontre un roi. Problème de crédibilité mais changement de point de vue avec la sacralisation moderne de certaine personne comme Hitler ou Mussolini. Débat existe dès antiquité et notamment à l'époque hellénistique où personne jugent cela comme impie. Eumene de Cardia : s'oppose aux diadoque contre le culte du souverain. Pourtant quand il sera diadoque il va instaurer un culte à Alexandre, le culte du trône vide. Autre auteur Evhemère : Histoire sacrée : développe conception : les dieux étaient à l’origine des hommes qui par leur exploit prestige ont été considéré comme des dieux. Dieux résultat d'un culte héroïque : rendre un culte au roi, héros c'est rendre culte à des futurs dieux (divinisé lors de leur mort). Justifié notamment par le fait que liste des dieux pas clause. L'émergence du culte royal antécédent grec : le culte du général vainqueur Lysandre : spartiate qui a participé a la guerre du Péloponnèse et notamment a la victoire de Spartes au niveau maritime. Bat la flotte Athénienne. Reçoit culte de la part des citoyens de Samos. Ile occupé par athéniens qui instaure la démocratie en 411. en 405 Lysandre arrive libère Samos et fait revenir Oligarque. Samos libéré et sauvé par Lysandre. Pour le remercié les habitant vont instaurer culte en son honneur isotheos ( le même que pour les dieux). Lysandre a droit à un chant d'honneur Pean. Sacrifice en son honneur. On retrouve des statues. Toute ces mesures sont prises par les oligarques. Ici Lysandre remplace Héra, il est inséré dans le panthéon civique. On sait également qu'un grand monument à Delphes représentant Poséidon couronnant Lysandre. Mais en vérité allégorie. Dion : Syracuse, va sauvé la cité d'un tyran Denys, en 357. récit de son entrée dans la ville où les habitants vont l’honorer. Va recevoir culte sôter : culte du sauveur. Les deux premier exemple divin rendu a des mortels sont lié à des victoires militaires. La victoire étant accordé par divinité c'est que le général est sacré tant il est aidé par la divinité. Alexandre le Grand : cultes rendus a Alexandre se séparent en deux temps -début conquête 334 : culte à la mnière de ceux reçut par les deux premier et sur le même principe : les cité d'Asie mineures libéré par Alexandre vont lui donner des honneurs -le KIONON IONIEN : instaure un jour de fête annuel : date d'anniversaire du roi. -ALEXANDREION : sanctuaire, théménos du non du roi honnoré : quelque chose qui sera très courant : espace sacré consacré au culte d’Alexandre. Dès 334-333 (Prienne, Ephèse). -ERYTHREE : prêtre d’Alexandre, fonctionne sur même principe que les autre : mandat annuel, tirés au sort ou élu voir vente de la prétrise. Soit prêtre associé exclusivement a Alexandre soit pretre d'une divinité attribué a Alexandre. A Erythrée : oracle qui confirme qu'Alexandre fils de Zeus. -a partir de 324 : il envoie un courrier a la ligue de Corinthe leur donnant l'ordre d'instauré un culte pour sa personne : ici Alexandre uniformise un culte à sa propre personne au niveau de la ligue. Décision qui donné réactions vive notamment à Athènes. Ici pas culte spontanné, pas à l'initiative de la ville. Mais vient du roi lui même. Intérêt culte royaux : permet au roi de s'insérer dans la vie civique : dans panthéon, fêtes, décrets (pour dater document : « soit la prétrise de … prêtre d'Alexandre ») existe aussi modèle macédonien bien que moins bien attesté : existe dans cités : se dégage culte royal : culte à PYDNA destiné à AMYNTAS3 (frère de Philippe 2), à Amphipolis Philippe 2 recevait culte car père libérateur de la cité. Mais ce qui déclenche le culte royal comme institution du monde hellénistique c'est l'oracle de SIWAH : Afrique dans désert Libyque au Sud de Syrèn : oracle connu d'une divinité mixe : Zeus Amon. Cet oracle confirme l’ascendance divine d’Alexandre. Ce n'est pas le premier des oracles qui dit cela à Alexandre (dès le début de son règne il s'est rendu à Delphes). Alexandre devait être convaincu de sa filiation divine d'après E Will : oracle d'Amon acte fondateur. D'ailleurs les diadoque le feront représenté sur pièce de monnaie comme Zeus Amon : porte corne de bélier sur sa tête. Ap cette confirmation va essayer de diffuser son culte. Mais au départ mal accepté notamment par les Athéniens. Repproche le fait même d'honnorer à la manière des dieux un simple mortel. A coté de cela Alexandre va héroïsé un de ses compagnon ; Hephaistion et lui instaurer un culte en tant que héros : mais chose vont changer très rapidement notamment sous règne des diadoque. Et les grecs vont devenir les plus fervents a réaliser le culte les diadoques : anciens généraux d’Alexandre. Vont se baser sur le culte d’Alexandre pour justifier le leur. En 322, Alexandre mort il aurait du être enterré en Macédoine mais n'y ait jamais arrivé car Ptolémé a volé le corps d’Alexandre et l'a ramené à Alexandrie : va fondé sanctuaire. Culte s'organise en Égypte , le but pour Ptolémé c'est de se rallié a ce culte. Il va crée une légende en se créant lien familiale avec le roi divinisé (demi frère d’Alexandre). Tout les diadoques vont se réclamer d’Alexandre, se voit a travers notamment de la monnaie où représente Alexandre. Dynastie qui se réclame de la sacralité d’Alexandre. Cité vont rendre culte aux nouveaux diadoques diadoque fondateur de cité : fon du 3ème siècle Cassandre (roi de Macédoine) fonde Cassandréia et reçoit un culte comme archegète. De même Lysimaque reçoit culte à Prienne car a libéré la ville. L'exemple le plus connu, le plus poussé c'est celui d’Athènes avec les dieux polios : DEMETRIOS POLIORCETE : le preneur de ville. A grande rôle pour Athènes car libère la cité (fils d'Antigone le borgne) des rois de Macédoine grâce à sa flotte (lié a Poséidon). Vont lui rendre un culte (voir p34). Dieux traditionnels trop lointains or roi proches et ayant vécu. Culte pour que la cité soit en paix et en ordre. Athènes en guerre contre le Macédoine. Ici citoyen demande a Démétrios battre ennemis d’Athènes (notamment Thèbes). → ici association avec plusieurs divinité Déméter, Poséidon, Aphrodite → présence tangible du roi → lui fait des prières précise : demande à Démétrios de laisser la cité en paix et donc de remporter victoire. l'organisation du culte dans les cités et les royaumes œuvre de BIKERMAN sépare culte des cités et culte unifié des royaumes au sein de la cité sous diadoque encore genèse mais après royaume formé entre lagides, séleucide ect .. chaque dynastie va tenter de signifié présence et force en instaurant leur culte dans royaume mais notamment dans cité grecque traditionnelles. -Séleucide ; vont développer culte en Asie mineure. La plupart des cités qui vont être proche des cotes comme Ephèse ou ILLION. ILLION va rendre culte à Séleucos 1 ainsi qu'un culte à son fils Antiochos 1. car Antiochos aurait été un ervégète : bienfaiteur. A Erythrée : association du culte de Dionysos avec celui d'Antiochos 1 (se voit sur monnaie où roi représenté sous la forme de Dionysos : porte feuille de vigne et tyrce). -lagides : a Rhodes : quand Démétrios attaque Rhodes les autres diadoques s'allie pour défendre Rhodes. Défaite de Démétrios. Ptolémé va recevoir un sanctuaire car a envoyé flotte et nourriture. On lui donne épithète de SOTER (sauveur). Ptolémé premier a beaucoup de culte et notamment en Égée dont il est le protecteur des iles. Certaines cité très disputé qui va rendre succéssivement un culte royal aux diadoque en fonction de celui qui possède la ville existe aussi culte de reine beaucoup plus rare et souvent associé a leur maris. -Laotis : femme d'Antiochos 3 : très dvinisé : lié a al fertilité des champs et des mariages. Récupère séries d'attribut divin de Démeter et d'Artémis. Mais rarement un culte seul. -culte de reine cz lagide limité au culte dans le contexte du culte royal : Bérénice -seule reine lagide qui reçoit culte indépendant est celui de Arsinoe 2 qui est dite philadelphe : marié a son frère Ptolémé 2 : divinisé de son vivant, divinité multiple souvent associé a Isis (divinité), à la corne d'abondance mais aussi divinité sauveuse et notamment des marins (protectrice de la flotte lagide). Culte quasi même que pour les divintés : -sacrifice : honneur el plus basique que l'on puisse conféré à un roi lors d'un jours anniversaire. Ex a Démétrios jour de sa venu a Athènes. Type de sacrifice : souvent Thusia. Le plus souvent associé a autre dieux. Culte royaux associé a d'autres divinité. -le temple : le premier connu est celui d'Amathase 3. on construit rapidement des hierons pour les rois. Souvent petit batiments simple de petites tailles soit offerte par la cité soit un particulier. On en trouve énormément. Les grande structures sont très rares. Sauf dans cas ou culte se retrouve dans temple d'une divinité traditionnelles. On construit sanctuaire partout : au milieu des villes, sur un cap (bien en vue) quand veut honoré la fibre maritime du roi. On a des bois sacré, lieu d'arrivé du souverain. -les prêtres : chaque culte a un pretre soit exclusivement dédié au culte du svrain soit lié a une divinté traditionnelles -fêtes : panégyris : fête a caractère sacré mais pour un mortel. Fête classique mais vt claqué sur fête de Dionysos : pompé (procéssion) ou acteurs joue, danse, font de la musique. Pour pratiqué ce culte on associé les technite dionysale : les professionnels de Dionysos constitué en corporation qui vont de cité en cité pour organisé ces processions. au sein du royaume initiative royale et il est très bien connu en Égypte mal mal connu cz Séleucide et pas connu du tout cz les macédoniens. les lagides : Mais roi d'Egypte Basileus mais également pharaon. Ces deux fonctions existe en lui, personne du souverain d'Egypte : deux type de représentations. Construction de temple Egyptien . Les mieux conservé aujourd'hui sotn ces temples lagides. Double royauté en Égypte. Le pharaon a un rôle religieux très important en Égypte (on ne peu pas confondre Égypte avec autre roayume). Seul a pouvoir intercédé avec les dieux, seul qui peut faire offrandes aux dieux. Il délègue a des prêtre professionnel, permanent, rémunéré et très nombreux. Rendent cultes au dieux et aux pharaons. Très différent du roi grec traditionnel. Mais cela va permettre au lagide de prendre confiance plus rapide. Ptolémé 1er pas divinisé de son vivant, meurt en 283 P2 va le divinisé et construire le culte des dieux sauveur réunissant P 1er et sa femme Béréncie. Organisation fêtes : Ptolémaia (avec concours isoolympique). 272 P2 divinise sa femme encore vivante. On voit là l'influence égyptienne car P2 construt ce culte autours de concepte égyptien. Il lie sa femme (arsinoe) à Isis. But de constitué couple divin associé a Isis et Osiris (premier dirigeant de l’Égypte selon mythologie egyptienne). Tout les souverain lagide ferons la même chose et se diviniserons sous forme de couple divins. Vrai culte dynastique avec temple dynastique, le prêtre d’Alexandre va voir sa charge d'élargir et deveint prêtre d’Alexandre, de dieux Soter etc … ce culte dynastique autant célébré selon mode grec dans temple grec mais également dans les temples égyptien : décret de canope organise culte dynastique dans temple égyptiens selon rites et modèles égyptiens. Rôle d'unification des royaumes. On va voir une vrai égyptinisation de toutes ces pratiques. Culte royal devenu prtiquement égyptient (toujours dans le royaume lagide). Dans le royaume Séleucide existe qu'un texte qui instaure un culte à Laodice femme d'Antiochos 3. instauration dans l'ensemble du royaume d'un culte de la reine. Mais également culte d'Antiochos même si aucun texte ne le dit. Dans le texte trouvé, juste une référence. Pas culte présent dans tout les temples, quelque chose d eplus modeste. Laodice est répudié quelque année après. On ne connaît pas ce type de culte pour d'autre souverain. Contrairement à l’Égypte peu connu. A Pergame les attacides : culte royal attesté mais pas d'autres exemples. la sacralité du roi le roi est par nature différent pour justifier culte des rois existe séries de mythes. Choses extraordinaire qui arrive aux rois ce qui est une preuve de leur aspects sacré. Typiquement enfant abandonné a sa naissance : ex ce serait le cas de AGATOCLE de Syracuse. Naissance des rois : ex celle de Séleucos 1er : dieu qui vient ensemencé LAODICE : roi Séleucos fils d'Apollon : rappel les mythes de naissance des pharaons égyptiens (Hatshepsout : mère visité par Amon). Marque de la divinité Séleucide : gravé dans la cuisse des souverain une ancre. Les Séleucide se revendiquent d'Apollon. Quelque chose de divin on a conscience qu'on maîtrise, à l'époque, l'ensemble du monde. Mais dans le monde grec on considère qu'on sait reconnaître le caractère sacré. Ainsi on reconnaît les personne sacrés. La victoire sera le signe de la sacralité du roi. Polybe dit d'Antiochos 3 que ce sont ses victoires qui indique son caractère sacré. Les rois grecs se battent contre les peuples barbares (les galates par exemple) protège l'ordre du monde a un niveau inférieur de Zeus. Roi se réclame tous d'une filiation divine ( P1 se disait frère d’Alexandre, Séleucos fils d'Apollon). Se sont les oracles qui font autorité et révèle la filiation. Le roi fait ce que l'on attend d'un dieu roi agit concrètement et sond oamien d'activité et le même que les dieux : le roi comme Zeus c'est la loi, peut également juger lui même. Roi également garant de tout les droits. Cahcun a le droit d’être juger sur son droit traditionnel. Roi sauveur comme les dieux : protège et libère les cité, s'intéresse au commun des mortel. Relation plus personnel entre la divinité (roi) et le fidèle. Tout comme les dieux il nourris sa population car riche. Puissance économique du roi mise au service du bien être de ses sujets. (richesse : domaine royal, impôts, butin). Richesse est exposée : dans la cadre des cultes royaux font défiler leur propre richesses. Roi fait étalage de sa richesse preuve qu'il est soutenu par les dieux et qu'il peut s'occuper de sa population. Roi protège ordre du cosmos : joue rôle de Zeus en défendant population contre les barbares etc.. c'est ce qui justifie principalement le culte royal. +< roi mortel mais droit a des honneur divin égal aux dieux. Ce culte manifeste reconnaissance des cités au roi pour série de qualité (incarantion de la loi, victoire, evergétisme). Culte pas désintéressé car enrte dans cadre de négociation netre petites entité et grand royaume. Cité insert le roi dans leur panthéon civique en tant que personnage important. Culte royal vient des grecs développé au max a la période hellénistique : culte du magistrat vainqueur. Culte pas indépendant en soit : on 'intègre dans quelque chose de préexistant. Chapitre 5 Le tournant des 3ème et 2ème siècle, les cultes civique à la recherche d'une légitimité panhellénique culte civique se limite normalement à une cité. Mais cité vont tenté d'intégrer ds leur culte d'autres cités. Ex Athènes : vers 2/3 du 5ème siècle, un décret athénien oblige les cité allié d'offrir pour les panathénées des sacrifice et oblige des représentants a assister. Existe dans les 4 grand sanctuaires des cultes panhelléniques (Olympie, Delphes etc..) a l'époque hellénistique, tournant : cité vont vouloir donner prestige a laeur cité en en faisant des sanctuaire panhellénique par le biais : concours : isolympique ou isopythique : fonctionne comme les concours d'Olympie et Delphes : même concours, même récompense etc .. la demande d'Asylie : (l'interdiction des représailles) : demander pour l'ensemble d'une cité ou pour un sanctuaire. => mouvement a la période hellénistique : mvt large : ex Magnésie du Méandre Le cas de Magnésie du Méandre cité fondée à l'époque archaïque. Les colons prétendent arriver de Thessalie mais en passant par la Crète. Cité à la particularité d’être la seule cité de Ionie qui n'a pas d'accès à la mer. Situé dans la vallée du Méandre. Elle doit âpsser par cité rivale pour avoir accès à l'eau. Ville a été déplacé au 4ème autours du sanctuaire (à la abse à l'extérieur de la ville) ville entourée de voisin prestigieux : Ephèse (temple d'Artémis) et Milène (on y retrouve un Didymeion : temple d'Apollon). Cité rivale beaucoup plus puissantes que MdM. Mais a terme guerre MdM remporte victoire contre deux cité. Sanctuaire principale de la cité est celui d'Artémis LEUCOPHRYENE. Centre de la ville : directement attenant à l'Agora, cnetre politique économique et donc religieux de la cité. Temple monumentale construit par Hermogène. De ce sanctuaire on a retrouver une des frises mais peu de reste sinon. Artémis divinité principale de cette cité. Rare culte d'Artémis en grec contientale. Donc sanctuaire e MdM l'un des plus important sanctuaire d'Artémis avec Ephèse. Épiphèse Leucophryéné : au cil blanc. En réalité leucophrye aurait été la fille d'un roi. Culte associé a Artémis. La demande d'asylie : cité a l'époque théoriquement sous contrôle Séleucide mais le pouvoir est loin et donc cité assez libre qui vont tenter de se protéger en demandant asylie : pratique courante a cette époque. On a retrouvé dans les fouilles du sanctuaire plus de 60 décrets, lettres venant de MdM et des peuples qui réponde. C'est le dossier le plus important qu'on ait découvert. Comme pour toute cité toute demande d'asylie commence par une épiphanie : apparition de la déesse qui date de 222. la déesse aurait demandé que la cité soit asile pour rendre son culte plus prestigieux. Les magnètes demande a Delphes à l'oracle ce qu'il faut faire (lien particulier enrte Delphes et MdM qui a apporter son soutient à Delphes lors guerre contre gaulois). MdM crée un concours mais limité et moins prestigieux que ceux de Delphes et Olympie. On gagnait non pas une couronne mais valeur (orthéa). On ne connaît qu'une seule réponse : échec. On entend plus parler de cette demande jusqu'en 208 : nouvelle épiphanie : cité envoit des théores dans tout le monde grec avec nouvelle demande d'asylie. Recueil un plus grand succès , cette foi concours isopythique. Asylie demande des dieux : Artémis et Apollon (par son oracle). Pour satisfaire la déesse et pour rendre grâce à l'oracle d'Apollon. Les réponses reçut par les magnète sont pareil : pour satisfaire l'exercice du culte. Entre 208-202 : réception réponse royaumes, cités qui acceptent tous le concours panhellénique. Mais les voisins immédiat de la cité refuse l'asylie. (cité et royaume éloigné on tendance a accepter). On voit dans les réponses royales qu'il se considère comme un souverain car roi dominant de la cité. Mais s'engage a aider les magnètes. Succès par l'ampleur des réponse et nature du concours. Mais valeur panhellénique pas attesté car plus cette valeur va peu a peu disparaître et devenir un simple concours, culte, civique. Mais a l'époque romaine retrouve ce terme de panhellénique. Les caractères commun de l'asylie Origine théoriquement tout sanctuaire est asylie. On ne peu pas piller un sanctuaire théoriquement. C'est un espace protégé. Mais elle est limité au sanctuaire. Mais asylie peut concerner des personne ou des fonction : ex : heraut ou théores : considéré comme asyle. Ex : a l'époque hellénistique : les technites : (musicien, danseurs, acteurs) : spécialiste du culte de dionysos : voyage et responsabilité dans le culte : protégé. Nature de l'asylie a l'époque hellénistique un État peu reconnaître un asylie a un autre État. Lettre royale qui déclare considéré tel territoire comme asylie. Premier exemple 260 et n'en existe aucun après 23 ap JC. Environ 90 cité on fait cette demande dans le monde égéen soit pour le sanctuaire soit pour toute la cité. 2 type de document -immunité de la cité garantie par État souverain : guerre, pillage représailles ne peut pas avoir lieu dans cette cité. Meurtre devient un sacrilège. Ex : la cité d'Elis possède le sanctuaire d'Olympie : asylie reconnu pour que la cité puisse gérer la cité. -immunité des sanctuaire : théoriquement sacré et inviolable. Mais tout les sanctuaire ne peuvent pas tous servir de protection absolue. Volonté d'agrandir la protection du sanctuaire : protection de la population du sanctuaire et des biens dudit sanctuaire. Rhode et royaume lagide participe a protéger voies maritime mais fin du 3ème développement de la piraterie même subventionné par certain État : Etolien. Asylie a donc un large poids dans les négociation pour eux. Autre but : religieux : donner prestige au sanctuaire. Sanctuaire de taille moyenne. Asylie moyen d'augmenter prestige du sanctuaire. Pour qu'un sanctuaire soit reconnu asyle faut un amphyctionie de Delphes : assemblée qui regroupe epuple de grec centrale et péloponnèse qui gère en commun sacntuaire de Delphe qui contrôle l'oracle. Toute les cité demande à l'oracle d'appuyer la demande d'asylie. Groupe d'amphctionie respecté par toute le Grèce (prestige va disparaître car contrôle trop important par les macédoniens) et réapparition de ce prestige notamment en 279 avec épiphanie du dieux Extension et interprétation extension du phénomène a partir de 260 les cité grecques se rendent compte de leur perte de puissance car son dominé par roi. Asylie seule moyen de prestige et d'affirmation qui reste à la cité. Vont promouvoir nouvelle fête et ancienne. A Cos obtient caractère d'asylie du sanctuaire simplement A l'inverse quand cité déclaré asylie devient aussi hieron, sacré. => asylie a eu du succès dans deux grande région béotie : région autours de thèbes au Nord d'Athène promu par amphictionie de Delphes. Peu de document Ionie : région devient asyle en 80 ans. Du notamment au contexte militaire : protection militaire a l'origine des demande d'asylie de cette région. Interprétation de l'asylie asylie interdit la violence dans sanctuaire ou cité. L'asylie prévoit de soustraire la cité de la guerre. Toute cité qui la demande sont des cités exposées à la guerre. Région également a forte présence maritime : soumis au commerce et a la piraterie. La plupart soumise a un roi et notamment a la pression royale : asylie dispense alors toute la cité de paiement d’impôt et possession totale du territoire. Mais roi Séleucide ont tendance a ne pas respecter le caractère sacré des sanctuaire, souvent sanctuaire étranger. Mais lagide n'ont pas se problème puisqu'inscrit dans la législation le caractère sacré des sanctuaires. Sous domination séleucide les cité veulent se prévaloir d'acte violent. Veulent se prémunir contre le roi séleucide. Ex de théos : cité de Dionysos, cité moyenne. En 203 Antiochos 3 accorde le droit d'asylie à théos. Renonce aux tribut, impôt et justice royale dans la cité. Corporation des technites présente a théos et c'est sûrement cela qui a du aider à la demande d'asylie. => asylie sert a attribué cité le caractère sacré et inviolable. Cité devient un personnage neutre, autonome. Se gère par propre loi etc.. meilleures voie que les cités ont trouver pour accéder à l'éleuteria. Phénomène développe en particulier en ionie qui est carrefour de la guerre. En outre développement de la piraterie. Asylie apparaît efficace par rapport à la piraterie mais souvent nécessite la dépense de la part de la cité pour s'assurer le respect de l'asylie par les pirates. Chapitre 6 Le sanctuaire et l'économie fonction du sanctuaire religieux mais aussi civique : politique de la cité, culte civique. Mais également grand rôle économique. Division biens en trois catégorie privé : idios public : demosion sacré : hieron mais catégorie pas toujours autant tranché. Religion grec : époque archaïque : création d'espace considéré comme sacré : dieux deviennent propriétaire terrien (sanctuaire et sanctuaire lui même possède autres terres → vigne champs bois). Dieux devient acteur économique de la cité. Gestion des biens du sanctuaire découle de son statut : si sanctuaire civique : cité qui gère. Sanctuaire est riche : endroit où on accumule richesse produit par les biens du sanctuaire mais également temple portique, offrande. Reserve de richesse. Richesse accumulé par divers source. Sanctuaire besoin d'argent : taxant sacrifice par exemple. Mais également offrande. Cet argent faut le dépenser : sacrifice, construction bâtiment, rémunération du personnel. => sanctuaire acteur économique complet. On connaît bien cela car présent dans décret. Parfois cité publie ses dépense pour montrer l'importance du culte civique. Question ? -dépense improductible ? Perte d'argent ? → mais se rend compte que sanctuaire lieu de consommation et de dilapidation de richesse avec notamment les constructions. Les sanctuaire comme lieu de thésaurisation plusieurs type de territoire terre sacré possédé par sanctuaire : souvent dans sanctuaire les plus important : ex à Delphes Apollon possède terres sacrés. Dans le monde égéen terre du sanctuaire sont commune : terre de la cité dont une partie est possédé par le sanctuaire. À l'époque hellénistique souvent cité gère terres du sanctuaire. Terre inscrite dans les biens de la cité. Dieux possède différent type de terre : -céréalière : incohérence entre rationalité économique et utilisation par le sanctuaire. Parfois refus de mettre en culture certaines terres (décision oracle). -arbres : planté sur terre parfois sacré. Mais présence d'arbre sacré (moriai)également sur un territoire non sacré. A Athènes la récompense au vainqueur était jarres d'huile d'olive venant des oliviers sacrés (huile très chère d'autant plus car sacré). -bois : espace protégé pour être exploité ar le sanctuaire : bois ramassé, paturage des troupeau (pouvant appartenir au sanctuaire) => biens des dieux très protéger. Grande différence entre la spoliation de droit civique ou privée et la spoliation de biens sacrés. Protection renforcé car menacé notamment pour les bois ou les terrain spolié par les personne qui cultive sur terre ou construise maison. Dieux détenteurs de biens hieron chremata : biens qui appartiennent au sanctuaire offrande un des rites les plus important . On consacre objet de valeur (premice récolte, etc...) mais un type d'offrande particulièrement important : objet métallique : statues couronne en or. Ces offrandes ne peuvent pas être revendu, considéré comme inviolable. Dans très peu de cas la ville emprunte mais elle s'engage a rendre le métal avec intérêt. On a quelque inventaire d'offrande notamment dans sanctuaire prestigieux ex : le didymeion (sanctuaire d'Apollon) de Milène : liste d'offrande venant d'autres cité et même de roi. Ces offrandes entreposé dans divers type d'endroit : -généralement dans le temple dans l'opisthodome -dans les trésors (bâtiment de forme identique a celle des temple mais sans staues) => trésor et temple souvent dans endroit protégé : ex à Athènes sur l'Acropole. Ces offrandes sont contrôler, la cité va élire ou choisir un personnel pour inventorier les offrandes. Ex : Delphes : 8 Prytanes : trésorier d'Apollon, citoyen généralement riche nommés pour un an qui entrepose, inventorie la richesse du dieu. Sont également sensé le protéger. Offrandes : base de la richesse des sanctuaires. Revenu les plus anciens du sanctuaire. Hétérogène : récolte, vase terre cuite (sans valeur). Les offrandes de valeur surtout dans les grands sanctuaire : ex : offrande de Séleucos 1er : objet en or (13kg) argent (40kg) mire, encen, 12 taureaux, mille moutons. Troupeau exploité, prêt d'or ou d'argent possible. -Les troupeaux sacré : on a pas de preuve d'achat. On a des preuve de donation ou de confiscation (trouve bête qui se promène dans le bois sacré il est confisqué). Troupeau de vaches, bœuf, jument. Sanctuaire gros propriétaire terrien et peu donc consacré une part des récoltes au troupeau. Sanctuaire se spécialise dans élevage de gros animaux. Utile car sacrifié et avche sont aussi symbole de fertilité. Ex : a Apollonia hérodote nous raconte histoire d'un bergé qui s'est endormis et loups mange vache sacré. Le dieu frappe de stérilité la cité. Sanctuaire on des terres et peuvent faire paître les animaux. (ex à Delphes dans la plaine d'Itéa). Mais on a aussi exemple sanctuaire qui ne peut faire paître troupeau et donc cité prête terre. Troupeau sont un des revenus principaux du sanctuaire. -Les esclaves sacré sont une autres sortes de revenus : les hieroi : essentiellement attesté en Asie mineur, soit esclave qui travail pour le sanctuaire ou citoyens libre qui se sont donnés au sanctuaire et qui travaillent pour la divinité En Asie mineur bien du sanctuaire plus nettement séparé des biens de la cité. Exemple prêtre qui défendent intégrité sanctuaire contre cité voulant piller. Les dieux banquiers les dieux ont des richesses et continue a percevoir richesse régulière : taxe, quête .. -amende : prêtre peut prélever amende pour manquement au rite : → amende contre une cité : dans le cadre du kionon : cité n'ont pas payer impôt ou n'ont pas fourni la bête pour sacrifice. → amende contre le prêtre : il doit géré sanctuaire et doit remettre compte. Si compte non conforme il peut répondre de ses actes et payer amende. → amende contre pèlerin : respecte pas les prescriptions rituelles. => problème des amendes : on ne sait pas si nombreuse a être payé. -taxes d'entrées : paye un droit d'entrée : le pélanos (à delphes) : droit d'entrer souvent modique (ex : 1 obole à Eleusis). A l'origine droit en gâteau puis dès époque classique en monnaie. À l'époque hellénistique on voit apparaître des thesauros ( reçoit pélanos ou rétribution volontaire). -la quête : exemple de prêtre ou prêtresse qui font la quête. A Micarnasse : la prêtresse d'Artémis pouvait faire quête dans les rue 3 jours avant sacrifice. Mais quête limité dans le temps. -le droit au sacrifice : contribution en fonction de l'animal sacrifié. Lors sacrifice privé en fonction du prix de l'animal. -la dîme : ex au 5ème siècle : dîme réclamé a tout les alliers d’Athènes. Un part du tribut consacré à la déesse poliade. A financé notamment le Parthénon. Toutes ces richesse vont être prêté. On peut également y déposer son argent → passe contrat avec le sanctuaire on emprunte une somme fixe dans un temps donné (souvent un an) et doit payer intérêt en monnaie a terme fixe. Mais scrupule de certain grecs a pratiquer cela. Parfois demande a l'oracle. Mais sanctuaire particulièrement riche peuvent aussi financer cité : la cité de Delphes se fait prêter argent par sanctuaire de Délos (un des sanctuaire les plus riches). Les sanctuaires créateurs de richesse gestion des biens sacrés à l'origine les sanctuaire administre eux même leur richesse. Mais change dès l'époque classique. Ex : dès la démocratisation d’Athènes le sanctuaire géré par cité. Magistrat de la cité gère les richesses du sanctuaire. Existe quelques contres exemples : le sanctuaire de Delphes géré par une association : Amphictionie. A l'époque hellénistique on voit apparaître des magistrats spécialiser dans la gestion des sanctuaires : les hieropes, des epimeletes, des epistates => se charge de la gestion financière, gestion de la foule. Pose la question de la réelle séparation entre biens de la cité et du sanctuaire ? Mais au final emprunt dans les règle (avec intérêt) ou hypothèque sur les terre (plus précisément les revenus de la terre) : généralement la cité prend garde a perpétué le domaine du sanctuaire et les spolie vraiment très rarement. L'activité de production dieux propriétaire terrien. Agriculture base de l'économie grecque. Généralement ces terres sont loués a des particuliers. Vend aux enchère une taxe. Cité vend le droit a quelqu'un de prélevé la taxe. Aucune différence entre la location d'une terre sacré ou privé. Mais sanctuaire plus tatillon sur l'exploitation de la terre. Dans contrat : date, identité bailleur, identité de preneur, la durée (souvent longue : 10 ans voir jusqu'à la mort du preneur ou perpétuité). Ex : a Athènes au 4ème siècle durée légale de 1 an. Peu de preuve de protection du preneur. Exception par exemple a Athènes ou l'on dit que tant que le preneur paie son loyer on ne peut lui prendre sa terre. Mais contrat s'intéresse surtout au devoir du preneur : -paiement du loyer annuel : souvent une traite : au printemps après récolte de blé. Si pas paiement sanctuaire prélève toue récolte, rupture du contrat et récupère récolte, sollicite le garant. -montant du loyer : domaine souvent de 5-6 hectare : prix dépend de la superficie mais aussi de la qualité de la terre, dépend des bâtiments présent sur la terre (moulin, grange, pressoir) -preneur doit souvent mettre en valeur le domaine. -domaine doit être entretenu par le preneur : précisément expliqué dans le contrat. Il doit notamment entretenir bâtiment présents (aucune mention du matériel agricole ni mention de bêtes). On demande a certain preneur de construire bâtiment en dehors de son domaine probablement pour sanctuaire (salle de banquet, portique) les cultures : blé olive raisin. Contrat s'arrête particulièrement sur l'entretient des arbres. On doit les remplacé si détruit. Mais peu indication sur la production céréalière on connaît seulement le type de graine. => terre sacré pas là pour donner terre au citoyen dépourvu de ressource. Loue terre pour faire bénéfice. Terres loué a citoyens déjà riche. Ex : Délos : on connaît compte du sanctuaire au début période hellénistique : deux type de dépense : -paiement du personnel et des bêtes du sacrifice (6000 drachmes) : pour payer dépense : revenu des terres et taxes -paiement fêtes : financé par prêt d'argent. A l'époque seul revenu attesté sont ceux du revenu des terres. Ex : décret de Milasa : propriétaire privé vend sa terre au dieu puis la prend en location a perpétuité. Location terre pas aussi rentable que la prêt d'argent. Mais terre source de revenu et sanctuaire vont chercher a augmenter leur patrimoine la production artisanale apparition dans les sanctuaires de véritables boutiques de souvenir ex : a Ephèse : Ephesia grammata : boutique où achat possible de statuette, bijoux etc.. souvenir sacré. Appartient au sanctuaire. Sculpteur se déplace parfois pour produire sur place offrande qui sera dédié au dieu. Ex : la cité d'Elis fait venir Phidias (sculpteur) pour faire sculpture de Zeus. Construction temple ce qui grève le plus le budjet des sanctuaire. Souvent projet faramineux et n'arrive pas au bout. Ex Ephèse : construit 5 fois le temple d'Artémis : plus vaste, plus somptueux. Travaux long et souvent non achevé. Mais aussi travaux de restauration : ex la table d'offrande, de l'autel, de balustrade : travaux courant. Sanctuaire du sud beaucoup plus fourni en bâtiment par rapport aux sanctuaire du nord. Construction et travaux connu car époque hellénistique reconstruction nombreuse notamment en Asie mineur. Financement : les bienfaiteurs : roi qui finance la construction : ex à Milène Antiochos offre une stoa car génère revenu (boutique) qui vont au sanctuaire. Nicias : achète pour le compte de Délos un terrain pour l'offrir au sanctuaire. La cité : adjudication:mise aux enchère des travaux : la cité choisie un architecte qui se présente avec projet et coût. Plusieurs offre de divers architecte et ville choisi. En cas de dépense supplémentaire c'est l'architecte qui paye le surplu. Ex : épidaure : conserve contrat entre cité et artisans. Contrat aussi par rapport aux vente de pierre. Contrat fait pour avantager la cité et le sanctuaire. Permet de faire baisser le coût du travail en mettant en concurrence le plus possible d'artisans même de cité voisine. Ensuite des messager parte de la cité pour annoncé la construction et donc l'offre d'emploi. Généralement efficace. La cité contrôle le paiement : les clauses permette de retarder ou d'étaler le paiement. De plus mode de paiement diffère selon cité ex : Athènes: la construction de l'erechteion on paie au fur et a mesure ex : Eleusis : artisans payer quand ouvrage fini et cité satisfaite ex : Délos : hieroi paie en divers versement. Chantier et coût : ex travaux à Milène -artisans : -coût de la main d’œuvre -matériaux division du prix entre la cité et le sanctuaire. Irrégularité du nombre d'employer par an. Somme engagé d'une année sur l'autre très variable. De plus souvent travaux arrêté ou réduit car cité n'a plus les moyens. Effectif au final peut important ( 20 ouvriers pour construction de Délos). Sanctuaire peut payer même si souvent cité qui finance. Certain frais pris par le sanctuaire. Ouvriers : carriers : extraient bloc marbrier : taille bloc et les pose spécialiste : engagé ponctuellement pour mission précise : sculpteur. Pas de prévision dans les comptes : on finance d'une année sur l'autre. Ex:Eleusis au 4ème siècle : construit un trésor, à l'origine la cité paye (Athènes). Quelque année après la caisse militaire participe au coût. Ex : temple d'Apollon a Delphes : temple archaïque abattu pas tremblement de terre. Sanctuaire entrepend de reconstruire temple. Cité paie. Le dieu ne doit pas payer. On organise en plus un taxe sur tout les peuple de l'amphictionie. A cela s'ajoute cité ou peuple qui paie de leur propre grés (souvent cité qui veule faire parti de l'amphictionie). Mais 5 ans après ressource englouti et pas fini. Durant période sanctuaire piller par les phocidien. La cité refuse de payer. Guerre sacré contre les phocidien qui ap leur défaite vont devoir payer lourd tribut. Finalement temple achevé => financement chaotique. 3 moments chers fondation colonne sculpture mais la plupart des petit sanctuaire n'ont pas de bâtiments. Dépense lié aux construction sont lié aux sanctuaire prestigieux, important. Et pour les petit sanctuaire ce qui coute cher sont les dépense courante : paiement du prêtre entretient etc.. source de revenu de la cité cité ne font pas que dépenser. Certain revenu lui reviennent. prêtrise : vente surtout en Asie (et peu en Grèce continentale). Mise en vente et achat de la prêtrise : souvent dans le cadre de la réorganisation du sanctuaire. Ex à Cos. Contrat variable : on peut être prêtre d'une ou plusieurs divinité. Prêtrise parfois courte ou a vie et même légué a perpétuité. Prêtrise souvent associé a des avantages nouveau : quand cité veut récupérer grosse somme d'argent. Prêtrise sur long terme. Revenu va dans les caisse de la cité. Revenu que la cité tire des fêtes : pour les grands fêtes : ex peut payer taxe d'entrée, mais aussi revenu avec la foire (taxe d'import export ou sur les esclave et le bétail) foire sont en marge de la fête mais organisé par la cité. Echanges dans les sanctuaires sanctuaire lieu de consommation fourniture des victimes et ce qui est nécessaire pour rendre le sacrifice thusia sacrifice d'un animal domestique : issu de l'élevage. Les sanctuaires possède élevage sacré mais les preuve que l'on a des bêtes acheté prouve que les bêtes sacrifiés ne viennent pas de l'élevage sacré. Un magistrat particuliers de la cité est chargé de cette liturgie. Il est chargé d'acheté la bêtes. Plusieurs sanctuaire et cité vont essayer de contrer la hausse des prix en achetant bêtes plusieurs mois à l'avance et en les faisant paître par exemple à Athènes sur la Pnyx. On la preuve à Délos du paiement de berger pour surveiller les bêtes acheté à l'avance. Les bêtes qu'on devait acheté devait avoir une allure réglementé : -prix minima -allure de la bêtes -sexe a cela s'ajoute les prescriptions rituelles. On a même mention de concours de bêtes : des producteurs pouvait entrer en concurrence pour offrir leur bêtes a sacrifier. Le sanctuaire devait être fourni en eau et en bois. Bois coute cher en Grèce et notamment dans le sud et donc souvent un produit d'exportation. Les sanctuaire en sont de grands consommateurs. Beaucoup de sanctuaire avait des bains utilisé hors de la fonction thérapeutique lors des grandes fêtes. => tout cela doit être acheté par le sanctuaire et la cité et ils s'organise pour mettre en place une caisse pour les achats. Pas un budget des culte prévu mais à un poste de dépense on attribut une série de revenus avec lesquels on paît la dépense. Les calendriers rituels sont consu pour faire alterner sacrifice dans les différents sanctuaires ex : Erythrée : calendrier où l'on voit s'alterner sacrifice pour les différentes divinité ou roi. Tout les sanctuaires sont concernés. Les foires elles ont une certaine importance tant par le revenu qu'en tire les cité ou sanctuaire que par le commerce qu'elles mettent en place. Ces rassemblement devienent vite important voir plus important que la célébration de la fête. Le commercial prend le pas sur l'aspect religieux. L.ROBERT CHANDEZON deux auteurs s'y sont cnsacré. On ne sait pas grand chose sur cess foires. Source relativement muette. Essentiel de la documentation vient de l'épigraphie mais lacunaire. L Robert appelait ces foires les panégyries. Mais cela est contredit par d'autres texte qui attribut ce thème à l'ensemble fête religieuse et foire. Mais une fois de plus contredit ar d'autre texte. Autre thème utilisé : agora : connotation marchande et commercial : mais signifie un rassemblement quotidien. Mais Polybe quand traite de la panégyrie il parle d'Agoras. => problème de vocabulaire. Encadrement de la foire : cité va encadré foire en nommant magistrats. Ex : Athènes : les agoranom (chargé du respect des lois du marché), les metronomes, les épimeletes (mais plus souvent présent dans les ports). -Agoranome : chargé de contrôler les opérations, le commerce. Quand fête organisé par sanctuaire civique. -Quand fête organisées dans sanctuaire fédéral : chaque cité de la confédération nomme un agoranome : collège. -Kion : deux agoranome, un nommé par la cité et l'autre par le koinon. => même rôle, même pouvoir, même obligation : contrôle prix et approvisionnement. Agoranome devait dresser une stèle où il notait prix de référence par produits. Parfois rien : parfois prescriptions où l'agoranome ne doit pas fixer les prix : but : attirer un plus grand nombre de marchand. Il est en contact avec commerçants : réseau nécessaire certain agoranome connu pour acte d'évergétisme : en plus de ses attribution il a offert au peuple l'utilisation d'un médecin. Doit mettre en place un change de monnaie. Il doit également fournir de l'eau aux pèlerins pour usage profane. Agoranome dispose pouvoir judiciaire : il peut infliger des amendes et faire subir subisse corporel ( pour les hommes non libres). Les taxes : pas tellement connue. Celle attesté partout est la pentecoste : une taxe deux% pour tout les produit qui entre et sorte. Les esclaves faisait office de produit régulierment présent dans les foire. Or cher donc taxe imporante. En généralité les commerçant doivent payer pour installer boutique. Ces mention de taxe sont assez rare. On les connaît du fait de leur exemptions le plus souvent. On a beaucoup de mention : atélie : exemption de toute taxes ex : 340 lors de la réorganisation du sanctuaire d'Artémis Amarysia on déclare la foire atèle. Existe d'autre mention d'atélie instauré par les rois. Pourquoi atélie : problème d'approvisionnement ? A priori pas le cas car les produit de première nécessité ne sont pas les plus vendu. Mais on remarque que cela est plutôt du au contexte : but de lancer une fête importante et avec le succès de la fête l'atélie a tendance a disparaître. Fonction économique des foires ? Du mal a voir l'impact et de savoir ce qu'on y vend. → les esclaves semble être une constante → vente de gros bétails : semble acquis => marché souvent dans zone rural pour approvisionner ruraux. Vente de chose que les citoyens ruraux n'achète pas très souvent. Irrigue donc le commerce rural. → plusieurs mention de travail d'orfève : bijou et vêtement d'apparat : achat lié aux dots que les familles devaient fournir. Présence de Trapezites : changeur de monnaie banquier : pratique opération de dépôt et de crédit bancaire notamment dans les marché urbain. => panégyrie : centre de diffusion de produit d'un certain luxe ou tout du moins d'un prix certain, dans des régions qui ne peuvent être fourni tout au long de l'année. => lien entre le grand commerce international. Importance panégyrie dépend de l'importance de la fête : disparité d'une cité et d'une foire à l'autre D'un point de vue économique pas de grande différence entre fortune du temple et d'un particulier. Les revenus sont a peu près les même : personnage économique assez proche d'un particulier. Lieu de consommation pour le besoin du culte. Revenu : paiement des infrastructure mais aussi permet le développement : grande place occupé par les artisans. Mais c'est aussi un lieu d'échange, de marché où s'échange produit de luxe et produit locaux Chapitre 7 pratiques divinatoires et sanctuaires oraculaires questionner les dieux. Pratique très répandu dans le monde grec. Soit devin isolé mais surtout sanctuaire spécialisé a vocation oraculaire. Pour les grecs certaines personne pouvait avoir « une sensibilité élargie » : voit recent chose que le commun des mortel ne perçoit pas. On peut aussi retrouver personne directement insipré par une divinité. A coté spécialiste interprète présage et signe. Origine commune : volonté divine de transmettre des présages. Enthéos : en dedant de la divinité : explique comment le dieux parle a travers un mortel katechei : possession mania : fureur : folie sous l'emprise d'une divinité. Beaucoup auteurs anciens en parlent et insistent sur les signes et présage qui précèdent évènements important. Hérodota avant de présenter personne fait liste des présage avant sa naissance. Même si un grand nombre d'auteur n'y croit pas il en parle (aristophane) preuve que pratique omniprésente cz les grecs a cette époque. On se rend compte de cette omniprésence dans la vie de tout les citoyens. La divination, devins et divinisation Platon joue un grand rôle dans notre connaissance des lois divinatoire car a essayer des las classifier. Dans Phèdre Platon discute de la supériorité ou non de la passion sur la raison. Deux type de divination divination inspiré : dieux inspire un personnage : par la folie : pour lui elle est au dessus des autres types. Divination comme méthode rationnel : la mania, la manichée, va se transformer en divination par les signes. Mais texte a remettre en cause : car ici Platon veut faire passer la passion au dessus de la raison. Ici il adétrourné la réalité pour L’intérêt de son propre raisonnement. En réalité même si divination différentes souvent existait les deux associé Delphes : Pythie qui a la mania, reçoit souffle oraculaire. A coté un devin va interpréter les geste et son de la pythie. Devin et prophète : demande à un chresmologue : celui inspiré de la mania, le prophète le devin : pratique la divination de manière plus rationnel => souvent deux rassemblé sous un seul terme : le mantis : la divination. Ce personnage existe dans la littérature grecque Thirésias : Chalcas : → devin qui souvent pratique les deux méthode. Ont souvent ascedance divine et souvent une descedance. → devin se réclame d'un dynastie A Olympie dynastie : IOANIDAI : remonte aux temps mythique : iamos fils d'apollon qui lui a transmis. Souvent personnage associé a roi, cité. Ces type de devin s'oppose au prophète, ils sont attaché à un sanctuaire, ne fait pas partie d'une dynastie et parfois même dans certain sanctuaire tiré au sort. Les sybilles : femmes souvent assez vieille plusieurs héro vont les consulté pour connaître leur avenir. Devin : interprétation des signes signe observable par tous : très variables → éternuer : signe divin : ex dans l'Anabase de Xenophon : éternuement signe du dieu qui accordait confiance a Xenophon → sursaut, frisson → nom de personne : hegesistrate : « le chef des armées » → signe des cieux : comète, éclaire, tonnerre → oiseau : observation des oiseaux → animaux : mythe de Chresus : rentre dans sa ville et serpend sorte du sol et mangé par chevaux : signe présage d'une invasion Perse → lors de la thusias : cherche accord de la divinité : flamme haute de l'autel, bête calme, mort rapide, observe les restes : intestin vessi mais aussi le foi (élément principal). Examen important et notamment dans contexte militaire : ex : combat entre deux arme qui a ont attendu plusieurs jour avant d'attaquer car chez les deux armée aucun présage positif. Ex : roi qui rentre chez lui et abandonne guerre car mauvais présage. Alexandre lui même possède son propre devin : sacrifice avant chaque bataille. => devin personne honoré si bon présage. Mais de moisn en moins présent dans les armées. Cependant reste présent dans les ville. Mais ce type de pratique n'a pas reçu assentiment de tout les grecs. Beaucoup d'auteur critique et en particulier Aristophane : accusation charlatanisme. Même Tucydide est assez critique face à ces pratiques : transforme les paroles de l'oracle en fonction de ce qui arrive à l'inverse Herodote : ne cesse d'insister sur le rôle des oracles dans l'histoire grecque. Aurait orienté l'histoire. Il explique le rôle de l'oracle de Delphes. Platon également très respectueux des oracles. Oracle devient arme également politique : Herodote : dans la guerre contre les Perses les grecs habitant dans l'empire Perse, pousse le roi Perse à la guerre. Oracle populaire, très demandait mais suscitait le doute. Les sanctuaires oraculaires pratique rapidement intégré dans certain sanctuaire qui vont acquérir une spécialisation. Quelque sanctuaire vont acquérir une renommé exceptionnel grâce à leur oracle ex : Delphes. Le prestige des oracles les premières attestations date du 8ème siècle. chresterion manteion pas phénomène grec : probablement antécédent au Moyen Orient. Tout les sanctuaires grec n'ont pas la même renommé et parfois ne dépasse pas les limite de la cité. Parfois cité qui regorge d'oracle : ex en Béotie : nombreux oracle couvre le territoire dédié au plusieurs type de divinité oraculaire. Mais prestige limité. Sanctuaire important oracle à Milet oracle d'Apollon à Delphes oracle de Zeus a Dodone => dans sanctuaire important on voit évolution personnes consultant oracle et augmentation prestige ex : a Dodone on peut voir a travers les ex-voto que personne de la région vienne. Mais a partir du 5ème siècle : devient sanctuaire panhellénique : personne d'autrs personne et d'autre royaume. Delphes : le principal : dès 750 : on le consulte pour expédition (systèmatique pour Corynthe), pour les demandes d'Asylie, les romains consulte également l'oracle. Sanctuaire oraculaire ouvert a tout le monde : grec, étranger, esclave, femme deux seule conditions : payer parler grec le sanctuaire de Dodone : en Epyre : sanctuaire oraculaire dédié a Zeus Naios. Sanctuaire se targue d’être le plus ancien de Grèce. Très peu construit. Construction sous Pyrrus. Sanctuaire ruiné à la mort de Pyrrus : pillage du butin par les étolien. Les macédionien récupère butin et le redonne. Mais pillé une nouvelle fois par romain. Mais sanctuaire toujours présent. Sanctuaire s'éteint en 391 ap JC oracle de Zeus déjà connu dans la Grèce mythique : dans l'Illiade : → les selloi : prêtre garde contact permanent avec la terre. Rende oracle partir de l'observation et de l'écoute du chène sacré placé au centre du sanctuaire. Ces selloi disparaissent et remplacé par les Peliades : 3 prêtresses chène reste la principale source de l'oracle mais ajoute d'autre forme de divination → par le rêve → par l'écoulement de l'eau → étude du vent dans un chaudron mais chène reste symbole de la divinisation. Les péliades : inspiré : rentraient en transe a leur réveil ne se souvienne plus de ce qu'elles ont dit. 8ème siècle Delphes : 1 des premier sanctuaire grec connu néammoins sanctuaire e développe fin du 8ème et 7ème sicèle : apollon devient oracle privilégier des expéditions coloniale. Décline au 4ème quand sanctuaire passe sous domination étrangère. Le sanctuaire passe sous domination romaine sans problème mais monumets antérieur a cette période. C'est l'édit de Théodose qui ferme le sanctuaire. Organisation dirigé par amphyctionie le site de Delphes particulier car le temple revet une grande importance car oracle situé dans le temple ou sous le temple. Mais archéologues n'ont jamais découvert le lieu précis. Plusieurs porte entoure le sanctuaire la plus imorante : porte est : début de la voie sacré autours de laquelle on trouve les ex voto des cités, les trésors du temple. Stade, théâtre et hyppodrome autours du sanctuaire a coté du sanctuaire : cité de Delphes, vit du sanctuaire. Processus divinatoire : oracle rendu par le pythie : pas forcément unique dans certaines période il y eu jusqu'à trois pythie en palce citoyenne de Delphes, à l'origine jeune fille mais doit rester vierge : donc choisi vieille femme. Pythie a vie pythie inspiré par le dieu le laurier sacré : fontaine : la fontaine de Castalie : sert aux albutiond e la pythie mais elle la boit également et c'est ce qui l'inspire faille : chasma ges => ces trois éléments naturels inspire la pythie déroulement : avant de rendre oracle pythie doit suivre procédure -fait albution a la fontaine -porte couronne de laurier venant de l'arbre sacré -mastique des feuilles de laurier -série de sacrifice préparatoire et notamment a hestia -elle s'installe dans position particulière : au dessus de la faille mais assise sur un trépied : chaudron avec 3 pieds : elle recevait le pnevma : courant qui l'inspirait. => pas de preuve de cela mais commenté par tout les auteurs de l'époque. Peut de certitude sur la rendu de l'oracle : plusieurs théories : pose une question et elle choisi entre plusieurs réponses préparé a l'avance par les prêtres émet sons, faits des gestes et un exégètes va traduire sons et gestes en un oracle. => le plus simple est de considéré que ces différentes théorie ont exister en fonction des périodes. Processus du point de vu du consultant : origine oracle ouvert un jour par an devant le succès ou l'a ouvert tout les 7 du mois paiement du pélanos : différence entre le prix payer par la cité et le consultant privé. Toute cité ne paie pas le même prix car certaines cité vont passer pacte avec cité consultant doit sacrifier aux différentes divinité du sanctuaire : prothusia consulant est installé dans une salle d'attente où il attend son tour : ordre de passage règlementé : locaux d'abors, gens favorisé, les grecs, les barbares. Le droit de promancie peut s'ajouter a cet ordre. Existe aussi le tirage au sort. Consultant n'assiste pas : ne voit pas la pythie reçoit oracle et remercie divinité par offrande Nekromanteion oracle des morts, des enfers et de coré. En Epire. D'après la mythologie se situe a la jontion entre divers fleuves de l'enfer. Pas le seul mais c'est le plus connu. Connu dans l'odyssé : Ulysse descent aux enfers au Nekromanteion Hérodote : Périandre qui va retrouver son épouse => principe : retrouver proche mort il y a peut de temps : interroge proche. Retrouve ensemble de batiement qui date du 3ème -2ème : probablement age d'or. Mais on sait que sanctuaire ancien : 8ème-7ème siècle. Mais sanctuaire sera pillé et rasé. → Questionne proche sur l'avenir : car suite a la mort omniscience. Caractère communes des sanctuaire : grotte, crevasse : descend sous terre pour intéroger proche. A Nekromanteion : grande pièce vouté Homère : la Nekya d'Ulysse : processus plusieurs jours : pour approcher la mort faut se purifier intensément avant et après : pèlerin enrte plusieurs jours dans le sanctuaire : 1er paiement purification physique et psychologique régime particulier : mange nourriture des morts : fève porc pain d'orge et huitres part accompagné du prêtre evrs l'oracle passe dans plusieurs pièce a offrande sacrifie une chèvre et emporte les pièces les plus prestigieuse dans le sanctuaire il traverse alors 3 portes symboliques dépose offrande descend dans crevasse voyait alors ombre des morts remonte avec prêtre plusieurs jours de purification encore puis peut partir avec son oracle question et réponse : grosse documentation date de l'époque hellénistique on a pas les réponse car pélerins les emmenait question rédigé par le pèlerin : questions retrouvés écrite dans tout les dialectes thèmes abordé : vie privé voir intime demande a la divinité d'affirmer ou d'infirmer consultation payante : on multiplie donc une question en plusieurs ce n'est pas l'intéressé qui pose la question : on peut posé question pour une autre personne vie politique : demande si doit s'allier à telle cité, faire une expédition les oracles les recueil d'oracles : quelque exemple attesté à Athènes Les sanctuaires thérapeutiques Dans sanctuaires arrive avec maladie et on dit comment soigné. A la base souvent sanctuaire de héros. Plus importants : sanctuaires d'Asclépios sanctuaires extrêmement nombreux : existe dans toute les villes sanctuaire d'Asclépios se développe fortement au 4ème siècle. Sanctuaire thérapeutiques sont récent : 5ème siècle et ne prennent importance qu'a la période hellénistique. Prestige ne vient pas de son ancienneté mais d'un savoir faire de la divinité et des prêtres médecins. Ici plus que dans les autres sanctuaires c'est l'eau qui importe. Tous les sanctuaires sont donc en pleine campagne. Portique d'incubation : endroit où patient séjourne et attend oracle du dieu par le biais de rêve. Paiement d'un Pélanos souvent pas très cher Il faut entrer pur dans ce sanctuaire on a la prothusia : sacrifice préliminaire, souvent fait à Apollon. A Zea : sanctuaire d'Asclépios d’Athènes soit divinité vient directement voir le patient en rêve et les guérit soit dieu donne un message au pèlerin e celui ci doit le donner au prêtres médecins : les asclépiades qui a partir de l'oracle va interprété et trouver un remède. Remède de plusieurs ordres : cure : bain, thermes potion pommade chirurgie certain sanctuaire vont devenir sorte de centre de remise en forme : cas à Cos et Pergame qui vont se spécialiser dans ces pratiques. Quand guérit : remercie dieu : ex voto maladie : cas fréquent : guérison chirurgicale : blessure bras, jambes, tumeur etc ... perte de la vue grossesse miraculeuse aphasie effet placébo joue forcément un rôle dans la guérison CHAPITRE 8 la religion civique à la basse époque hellénistique évolution de la religion civique à la période hellénistique. A la basse époque hellénistique les citoyens ne s'intéressent plus aux même chose. Renouveau du culte civique I uniformité de la période hellénistique ? Vision traditionnelles : a partir du 2ème et 1er siècle multiplication des documents. À l'époque hellénistique la religion civique du fait de la perte de l'influence des cité est le dernier marqueur d'identité. Mais vision contredit l'uniformité de la période hellénistique → période homogène au niveau politique : des premiers royaumes a leur disparition → période homogène au niveau culturel : période d'influence du monde grec vers l'orient et apparition des cultes égyptien : mélange d'influence allant dans les deux sens. Évergétisme : Gauthier : cesure au IIème siècle : évergétisme devient un mode de gouvernement. Cesure qui ne correspond a celle de la période antique. Période de transition politique : des cité aux roi déclin : début du déclin des cultes civique mais on remarque que faux pour le déclin, plus un renouveau La pratique la plus traité c'est la fête religieuse : dans document y a deux préoccuparion majeure : retour aux culte traditionnels et préoccupation financière : on dépense plus puis volonté de réduction des couts par la cité donc finalement financement par riche citoyens. Entre 330 et 300 augmentation importante des réformes liées aux cultes : revient aux pratique du 5ème sicèle : reconstruction des sanctuaires. Époque ou cité devient enjeu pour pouvoir royal. Culte sert a renforcer identité civique. Courant du 3ème réglementation sur le culte royal ou nouveau culte. Mais fin du 3ème cité vont tenter d'accroitre culte traditionnel : mouvement visant au panhellénisme : asylie fin IIème au Ier : domination romaine complète, il n'y a plus de roi : les témoignage lié a la religion civique sont les plus nombreuse. pendant un certain temps Athènes largement favorisé. Phénomène stopper avec guerre Mythridatiques et Athènes casse alliance avec Rome et sera pillé. Différence : sous domination des roi : vont metrte en avant leur caractère hellénique a travers leur sanctuaires. Roi se présente comme protecteur de l'hellénisme. Donc beaucoup de sanctuaire vont créer de nouvelle fête valorisant phénomène historique du monde classique. Vont tenter de conférer au culte civique une sphère d'influence plus grande : concours locaux transformé en concours panhellénique → tant à l'internationalisation fêtes vont être instauré en l'honneur de la liberté : eleuteria= fête en l'honneur des valeurs => 3ème siècle : 2ème siècle → fin des grand royaumes courant de restauration de fête civique + intégration des romains dans les fêtes civique : rhômaia : fête en leur honneur, reprise du système des cultes royales avec association a des cultes ancien. Influence plus importante des notables : évergétisme change de nature : la plupart des cultes sont financé par familles riches des cité culte panhellénique + asylie deviennent rare → plus de volonté d'internationalisation des cultes. II le cas athénien Athènes entre 167-> 88 est dans position très favorable notamment du fait de ses liens privilégiés avec Rome. Lors dernière guerre de Macédoine Athènes reste avec Rome et va recevoir notamment territoire : Délos, Skiros, Imbros. Délos va faire la fortune de la cité a cette époque car Rome en fait un port franc et le commerce dirigé vers Rhodes va se déplacer à Délos : enrichissement de nombreuse familles athénienne. Cette alliance romaine donne à Athènes de l'argent et la sécurité (des pirates, des royaumes etc...). permet de se tourner vers ses cultes traditionnel. Moment de prospérité s’arrête en 88 quand Athènes se tourne vers Mithridate. Deux après al cité sera pillé par Sylla. Cette restauration des cultes civique -reinstaure fêtes ayant disparues : procession des Pythaides : longue, plusieurs jours 170 km début au 4ème et disparaît vers 320 et restauré en 138 av JC. Pour réinstaurer fête même processus : demande avis d'un oracle Thargelies : fête ou la cité se dépouille de toute ses souillure : les Théselia : thésée héro fondateur d’Athènes : fete réinstauré dès 165 a coté de cela la cité d’Athènes va augmenter les cultes toujours présent et notamment concernant les divinité poliade : culte d'Athéna est augmenté : se voit au travers des décrets des ergastines : jeunes filles tisse le péplos : apparaisse a la fin du 2ème sicèle. Avant on avait les arrhephores. Les arrhephores n'était que 3-4 alors que ergastines 100aine. Jeunes filles appartiennent aux grandes familles. Donc financement des familles de ces jeunes filles augmente. Eleusinia : fête où l'on rend mystère : culte très important de l'attique : décret en l'honneur du personnel qui on bien rempli leur charge et les ont financé : Epiménette (surveille la procession et la préside), des devins (présent lors de la thusia), hierophante (conduit la procession). Religion civique : a Délos : les athéniens expulse l'ensemble des citoyens de Délos et s'installe a Délos. Pour marquer cette nouvelle domination les athéniens ne peuvent pas conserver culte des déniens. Ils vont appliquer le culte d’Athènes. De plus l'importance des cultes orientaux grandes a Délos : cultes cosmopoliite. → réorganisation du culte civique : crée 10 sacerdoces : but : mettre main sur le culte civique. On fait fit de nombreuse tradition dénienne (ex : on va rendre le culte d'Artémis par prètre alors qu'avant prêtresse). On va crée fête : thésésia : en l'honneur du héros fondateur d’Athènes (refait mythe : célèbre le retour de Thésée en Attique : on dit que Thésée s'est arrêté a Délos et a crée des concours). → réinstauration des délia pour purifier la cité mais problème l'exemple dénien est très bien connu car beaucoup de texte mais semble au final très artificielle. De plus les nouveau habitant de Délos semble particulièrement intéressé par les nouveau culte orientaux : Sarapis, Atargis => mais ce cosmopolitisme des cultes est réduit a Délos, phénomène limité géographiquement. => religion athénienne : retour aux traditions Athènes construit image d'elle même intervention importante des familles de notables : importance dans le financement des cultes : deux groupes : les vieilles familles de notable qui continue a avoir la main sur les anciens cultes. Mais aussi apparition d'une nouvelle « aristocratie », nouvelle famille qui pour légitimé leur place finance culte : jeune fille de ses famille participe au tissage du Péplos. => ces cultes ne tiennent finalement que parce que tenu par ces familles. La grande part de ces familles sont contre l'alliance à Mithridate mais comme Athènes toujours démocratie allaince quand même faite. Les famille cesse le financement et on voit alors disparaître de nombreux culte. -cette construction avait pour but de donner a Athènes l'image d'une ancienne cité avec patriotes qui finance. Mais Athènes reste une exception du fait de sa situation III renouveau de la religion civique pour l'ensemble du monde grec ? Le contexte a Athènes et dans le monde Égéen est différent. Grèce continentale la prospérité athénienne vient de l'alliance avec Rome. Donc cité a véritable continuité. Mais ce n'est pas le cas de nombreuse cité de Grèce continentale qui ont combattu avec Persée : cité de Corinthe va être rasé. Rome est beaucoup plus dure avec ces cité : Rome va favorisé les oligarchies et changer les Constitution de ces cités. Elle impose tribu a ces cités et dissout les alliances entre cités. Ils cantonne les citoyens dans leur cité : passification par la force du monde grecque par les romaine. S'achève avec la guerre d'Achaie. A partir de 146-140 en Grèce on voit se multiplié des documents quand a la pratique des cultes : décret long et très précis. Autant ce n'est pas rare a Athènes autant cela est très nouveau dans le reste du monde Égéen (continentale et orientale). Le premier axe c'est le besoin d'un retour aux traditions : se retrouve dans tout les décrets. On retrouve dans toutes les cités la réinstauration de fête. Les Eisiteria : les fêtes d'Artémis a Magnésie du Méandre : exemple parfait car ont voit très bien articulation entre fin du 3ème : volonté de panhellénisme. Et la fin du 2ème : plus volonté de panhellénisme : remise en palce des eisiteria traditionnelles. Décret du précise le déroulement de la fête. Décret doit être lu a la population pour lui rapeler les pratiques. On fait out pour qu'un maximum de personne, citoyens et non citoyens, puissent y participer. Obligation de porter vêtements blanc nouvelle sacrifice en l'honneur d'Apollon : importance de l'oracle pour Magnésie du Méandre : série de mesure : on reprend les traditions et on les amplifie. Certaine cité vont chercher a se fabriquer une histoire : cherche a se crée un passé : Lindos : stèle gravé en 99 : décret comprenant une liste chronologique des epiphanie de la déesse. De même liste chronologique remontant très loin et rappelant les offrande. Les preuve du passé prestigieux de Lindos ont disparu (ce que dit le texte). Temple a brulé et donc toute les offrandes ont disparu : pour se remémoré le passé on va le rappeler a travers liste : volonté dans ce texte de crée lien de Lindos avec tout ce qu'il y a de prestigieux dans le monde grec. La liste des personne ayant faite des offrande on ne retrouve que des gens célèbre : Paris, Heraclès, Hélène, Darius. Cela met en avant le prestige du sanctuaire : si personne célèbre font offrande alors donne rpestige. Met également en avant l'anciéneté : depuis les temps mythique le sanctuaire existe. Le vrai problème est que tout cela est faux. Sanctuaire deviennent musée de l'histoire nationale : mais histoire parfois inventée. Apparition des élites civique finançant les cultes : constante dans tout le monde Égéen. Financement par fondation, évergète, impôt. Déclencheur : Rome. C'est a cette époque que démarre l'été indien de cette rligion civique. Le point de départ coïncide avec la puissance romaine qui s'installe. Mais les romains font en sorte que les cultes se perpétue. Les romains envisage la continuité du culte dans les cités grecques et les colonies nouvelle. Processus d'évocatio : les romain s'approprie la puissance des divinités des peuplles qu'ils conquiert. Rare pillage des sanctuaires par les romains. Les romains se servent des sanctuaires grecs, ils consultes l'oracle de delphes. Mais se sevent aussi des sanctuaire politiquement : sanctuaire propice à l'usage de la propagande. La piété : les innovations financement : pas innovation en soit : culte souvent financé par les privé mais ces familles supportent désormais l'essentiel du financement. Evergète attendent reconnaissance honneur, construction de statue apparition des femmes dans l'évergétisme : compliqué car normalement les femmes n'ont pas le main mise sur leur fortune. Femme interviennent en nom de leur famille. Été indien commun même si exemple athénien surtout évident. Retour a la tradition évocation a un passé idéalisé : série de réforme, réinstauration de fête traditionnel mais avec souvent inonvation avec nouveau passé natioanl et mode de financement nouveau. Repli identitaire, valorisation