2011 Un grand moment d`Égli- se : les JMJ à Madrid Inscriptions au

2011
20112011
2011
Juin
JuinJuin
Juin
Juillet
JuilletJuillet
Juillet
Août
AoûtAoût
Août
Un grand moment d’Égli-
se : les JMJ à Madrid
Inscriptions au catéchisme
2011-2012
Des médias pour un
monde nouveau
Ridiculiser la Parole
de Dieu ?
Calendrier paroissial
Messe des familles du
19 juin
Pèlerinages à Lourdes
Page 5 Page 6, 7 et 8 Pages 1, 3 et 4
Suite en page 3
Un jour, un catholique était invité à
une réunion œcuménique, mais on
lui avait bien précisé avant : « Viens,
mais surtout ne parle pas de ton
Église ! » C'est-à-dire : « Oui à Jésus
et non à l'Église ». Cet homme était
malheureux. Comme serait malheu-
reux celui à qui l'on dirait : « Viens
souper chez nous demain, mais sur-
tout, viens sans ta femme ! » Il y a
donc un malaise chez certains chré-
tiens, voire aussi de catholiques à
l'égard de l'Église ; pourtant nous
l'appelons à juste titre « notre Mère,
la Sainte Église ». Essayons donc de
voir un peu plus clair.
L'Église : humaine et pécheresse
Cela, on le voit bien et on le sait, car
elle est faite de pécheurs. Attention
à ceux qui rêvent d'une Église pure ;
attention aux nouveaux Cathares !
Ce n'est qu'au ciel qu'elle sera la
fiancée. « Il voulait se la présenter à
lui-même, cette Église, resplendis-
sante, sans tache, ni ride, ni aucun
défaut ; il la voulait sainte et irrépro-
chable » (Ep 5, 27).
L'histoire de l'Église charrie des pa-
ges qui nous humilient, mais qu'il ne
faut surtout pas arracher. Au 16
e
siècle par exemple, le pape Alexan-
dre VI a humilié l'Église pendant
plusieurs années, vivant publique-
ment en concubinage. Il a existé
aussi des papes guerriers et casqués
(Jules II), des papes politiques et des
papes inoffensifs.
Mais jamais, dans toute l'histoire de
l'Église, il n'y eut de pape hérétique :
Alexandre VI s'est bien gardé de
toute définition dogmatique, et il a
quand même fait du bien, malgré
ses misères.
Souvent, pour décrier l’Église, on
ressort les croisades ou l’inquisition.
Aujourd'hui encore, on rencontre
des chrétiens, voire des prêtres, qui
sont indignes et qui abîment le visa-
ge de l'Église. À Genève nous avons
vécu des heures douloureuses, il y a
peu de temps.
Sachons être réalistes sur notre hu-
manité ! Il y a une dizaine d’années
le Père Manaranche disait : ce sont
les gens les plus progressistes qui
semblent avoir la nostalgie d'une
Église primitive soi-disant pure. Or,
elle n'a jamais existé. Il raconte que,
lorsqu'il a le cafard, il relit la 1
ère
épître aux Corinthiens : on y décou-
vre des bagarres entre prédicateurs,
un garçon qui couche avec sa belle-
mère, des assemblées eucharisti-
ques qui dégénèrent en ripailles, de
faux charismatiques, des chrétiens
qui ne croient pas à la résurrection,
etc. Il n'y avait pas que cela, mais il y
avait cela aussi. Ainsi donc, normale-
ment, l'Église n'aurait pas dû tenir ;
elle aurait dû disparaître, au plus
tard à la mort du dernier apôtre. Et
c'est bien là le miracle.
Je ne peux pas résister à citer notre
grand Cardinal Charles Journet :
« Église sans péché non sans pé-
cheurs ».
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Equipe pastorale
Abbé Gilbert Perritaz, curé in solidum :
Tél. 022.707.40.42
Abbé Marc-Louis Passera, curé in solidum :
Tél. 022.348.59.42
Père Pierre Mosur, curé in solidum :
Tél. 022.348.59.42 / 022.707.40.40
Paroisse
M. Olivier Vaucher, Président du Conseil
de Paroisse :
Tél. 022.349.52.68
Secrétariat
Tél. : 022.707.40.40
Fax: 022.707.40.41
CCP-paroisse: 12-2153-4
CCP-st paul tiers monde: 12-13802-7
Horaires du secrétariat
Lundi à jeudi : 9h—11h30 et 14h—17h
Vendredi : 9h—11h30 et 13h30—14h30
Messes, offices et temps de prière durant la semaine à St-Paul :
Lundi 9h Messe
9h30 Prière des mères à la cure
20h Groupe de prière ALLELUIA
Mardi 9h Messe
9h30 Heure d’adoration eucharistique (sauf en juillet et en août)
Mercredi 18h30 Messe et Vêpres avec la communauté des frères dominicains
Jeudi 9h Messe
9h30 Chapelet
20h Groupe de prière des jeunes à la chapelle
Vendredi 18h Adoration eucharistique
18h30 Messe
Samedi 9h Messe
18h Messe dominicale
Dimanche 10h30 Messe dominicale
18h30 Messe dominicale
Confessions
Le samedi matin après la messe, à la cure, de 9h30 à 10h30
Le samedi soir avant la messe dominicale, de 17h à 17h45
Sur rendez-vous
29 juin, solennité des saints apôtres
Pierre et Paul
3
Ce qui veut dire que notre Église est
aussi divine et sainte
C'est pourquoi nous n'avons pas à
avoir peur. « Sois sans crainte, petit
troupeau, car votre Père a trouvé bon
de vous donner le Royaume » (Lc 12,
32). L'Église est une longue histoire
d'amour. Elle a commencé par un
amour fou pour Jésus, un coup de
cœur pour Jésus chez les premiers
apôtres : « Pierre m'aimes-tu ? Oui,
Seigneur, tu sais tout : tu sais bien que
je t'aime ! » (Jn 21, 15-17). Et ça conti-
nue par un amour fou pour Jésus, à
chaque génération. « Chaque idéal
trahi, écrivait François Mauriac, trou-
ve un jeune cœur qui le recueille et,
cette même Face que le père avait
outragée, le fils l'essuie avec un im-
mense amour » (in Le jeune homme,
éd. Hachette).
C’est ce qui pousse le Père Manaran-
che à dire encore : j'aime beaucoup
mieux l'Église d'aujourd'hui que cer-
taines tranches de l'Eglise d'hier. Et je
n'ai nullement envie de revenir en
arrière, ni surtout de la quitter. Nos
papes sont quand même beaucoup
plus sortables que ceux du 16
e
siècle,
à quelques exceptions près. D'ailleurs,
ils sortent beaucoup plus, mais non
pas casqués et bottés. La seule force
de l'Église, c'est de dire la Vérité. Ce
n'est pas pour rien que le plus grand
hebdomadaire du monde, Time Maga-
zine (Etats-Unis, 5 millions de lec-
teurs), a décerné au Pape Jean-Paul II
le titre d' « Homme de l'année 1994 ».
Pourquoi ? Parce qu'à une époque de
confusion morale, Jean-Paul II est ré-
solu dans ses idéaux. Pourtant, il se
trouve, comme annoncé dans l'Evan-
gile, devant un monde souvent en
désaccord avec lui. Lisez sa Lettre
apostolique sur le 3
e
millénaire : fin
de règne ? Notre Pape a été capable
de jeunesse et de fraîcheur, entière-
ment tourné vers l'Espérance. Il suffit
de voir tous ces jeunes lors des Jour-
nées Mondiale de la Jeunesse.
Bien sûr l'Église contemporaine tra-
verse des crises et connaît des malai-
ses ; mais, comme le disait avec hu-
mour un évêque au Concile Vatican II,
les femmes aussi ont des malaises, et
cela ne les empêche pas de faire des
enfants.
Elle est « experte en humanité » (Paul
VI à l'O.N.U.), depuis le temps qu'elle
« sait (...) ce qu'il y a dans l'hom-
me » (cf. Jn 2, 24).
Un jour, le cardinal Danneels, lors
d'une conférence, répondait à un sé-
minariste : « Aimez l'Église. Si vous
n'aimez pas l'Église, ne vous faites pas
prêtre. Aimez-la telle qu'elle est, et
non telle que vous la rêvez. Portez-la,
et même, de temps en temps, suppor-
tez-la ! » C'est vrai qu'elle est une mè-
re très attentionnée : un peu comme
une mère qui répète à son fils adoles-
cent : « Attention ! N'attrape pas
froid ! Ne cours pas si vite ! »... De tels
conseils agacent l'adolescent. Nous
sommes tous d'éternels adolescents
en face de l'Église.
Si nous savions exactement la pensée
de l'Église sur la mort et la vie, sur le
véritable sens de l'amour humain, sur
les problèmes de justice sociale, etc.,
Nous courrions près d'elle et à ge-
noux, nous dirions : « Parle ! Toi tu
nous intéresses, tu as quelque chose à
nous dire, et toi, au moins, tu ne cher-
ches jamais à nous tromper ni à nous
flatter. » Mais on constate une telle
épaisseur de préjugés, entretenus
systématiquement par les médias,
pires pour l'Église que les pires lions
du cirque de Néron ! C'est que la per-
sécu-tion n'est pas annoncée : elle est
là, et les catholiques risquent de deve-
nir eux-mêmes ces exclus dont on
parle toujours. Ce qu'il nous faudrait,
ce sont des journalistes capables de
faire connaître, sans tailler dedans, la
pensée véritable et pleine d'Espéran-
ce de l'Église.
Le philosophe français Bernard-Henri
Lévy a publié un livre, « La Pureté dan-
gereuse », où il dénonce à juste titre
tous les intégrismes contempo-
rains ; or, au moment où l'on s'at-
tend à ce qu'il fasse passer à la trap-
pe l'Eglise catholique, voilà au
contraire que lui – qui est agnosti-
que – affirme qu'elle demeure un
vrai rempart contre l'intégrisme.
Pourquoi ? Parce qu'elle accepte en
son sein le pur et l'impur. Pourquoi ?
Parce qu'elle croit au péché originel.
Et, selon lui, la première entreprise de
tous les régimes totalitaires en vue de
s'imposer, c'est précisément de nier le
péché originel pour retrouver l'hom-
me à l'état de nature et ainsi éradi-
quer toute forme d'impureté, à savoir
tout ce qui s'oppose à leur idéologie.
L'Église catholique, rempart contre
l'intégrisme... Elle sera sans doute, à
l'avenir, la seule institution capable de
concilier les particularismes légitimes
et le désir d'universalisme qui, en mê-
me temps, nous hante. Voici une
chance exceptionnelle pour l'Église, si
du moins ses fils cessent de l'humilier.
Une chance, car elle peut aujourd'hui
témoigner de sa foi dans un grand
dépouillement et sans aucune volonté
de puissance. Mais ses fils l'humilient
parfois, parce qu'elle a aussi ses fai-
blesses.
Quand un membre de notre famille,
un ami, tombe dans une addiction
(drogues, alcool, sexe, etc.), on ne va
pas l’étaler dans les médias. Nous
chercherions d'abord à savoir si c'est
vrai. Si c'est vrai, nous chercherions à
l’accompagner par notre amour et
notre prière.
Georges Bernanos a traduit avec force
son attachement à l'Église : « Nul ne
remet en cause l'Église qui ne sente
aussitôt sur lui le regard anxieux de la
vieille mère au cœur pur, ce regard
chargé de pitié, de patience et d'at-
tente ». (in La grande peur des bien-
pensants, éd. Pléiade p.345). Ou enco-
re : « Je ne vivrais pas 5 minutes hors
de l'Église et, si l'on m'en chassait, j'y
rentrerais aussitôt, pieds nus, en che-
mise, la corde au cou, enfin aux condi-
tions qu'il vous plairait de m'imposer,
qu’importe ! »
Un grand moment d’Église : les JMJ à Madrid (suite)
Si nous savions !
4
On peut aussi reprendre l’expression
de Tertullien : je ne pourrais pas vivre
hors de l'Église : je me sentirais com-
me un poisson jeté sur la berge, et qui
va crever ; alors que je suis fait pour
vivre dans ses eaux bienfaisantes. Car
je lui dois tout : la connaissance de
Jésus Christ, mon Seigneur (Ph 3, 8),
l'espérance de la vie éternelle et la
joie intarissable de mon sacerdoce.
Sainte Thérèse de l'Enfant-Jésus, mor-
te à 24 ans, avait écrit : « Je voudrais
mourir sur un champ de bataille pour
la défense de l'Église ! »
Il est vrai que l'Église a de la boue à
ses souliers et qu'elle s'éclabousse
parfois, ce qui fait glousser ses enne-
mis. Que voulez-vous ! Elle est dans le
monde, et « je ne te prie pas de (la)
retirer du monde, mais de (la) garder
du Mauvais » (Jn 17, 15). Cependant
moi, je ne regarde pas toujours ses
pieds, mais bien ses mains, et dans ses
mains, elle porte le Christ et elle me
Le donne, et à ce point de vue elle ne
m'a jamais trompé.
On fait donc aujourd'hui à l'Église ca-
tholique un procès indigne. On traîne
devant le Christ son Épouse, comme
on fit avec la femme adultère – car
saint Paul nous dit qu’elle est son
Épouse – et on lui crie : « Regarde ce
qu'elle a encore fait, ton Église ! » Un
jour, le Seigneur Jésus, prenant la dé-
fense de son Épouse humiliée par
ses propres enfants, se dressera et,
regardant dans le blanc des yeux les
nouveaux pharisiens, leur déclare-
ra : « Que celui d'entre vous qui est
sans péché lui jette la première pier-
re ! » (Jean 8, 7)
Sachons nous réjouir ! Et je voudrais
confier à votre prière ces nombreux
jeunes qui, cet été vont se réunir au-
tour de notre Pape Benoît XVI pour les
JMJ à Madrid, un grand moment d’É-
glise.
Père Gilbert
Un grand moment d’Église : les JMJ à Madrid (suite)
Les parents qui souhaitent inscrire leurs enfants au cours de catéchisme pour l’année scolaire 2011-2012 en au-
ront la possibilité
Lundi 20 juin, de 14h à 18h à la cure
Pour rappel, le passage des cours de 3P aux cours de 4P préparant à la
Première Communion se fait automatiquement, sans avoir besoin de
réinscrire les enfants.
Nous lançons également un appel aux lectrices et lecteurs du Bulletin
jaune, afin qu’il participent à leur manière à l’éducation chrétienne
des enfants, en informant leurs amis et connaissances de cette date,
et de la possibilité offerte aux parents d’inscrire leurs enfants au caté-
chisme, car nous n’avons plus accès aux données du DIP qui permet-
taient aux paroisses, jusqu’à l’année dernière, d’inviter personnellement
tous les enfants scolarisés dans les établissements publics du canton.
Le secrétariat
5
Le fait même de tenir ce journal en main
est déjà un signe : sans les médias, la vie
en société s'étiole et se déconstruit : le
monde de la politique est inopérant, les
entreprises ne font plus discuter de leurs
produits, les idées ne mènent plus le mon-
de. Prosaïquement, on rate la mise à l'heu-
re de sa montre pour l'horaire d'été !
La communication est de tous les âges,
depuis les peintures de Lascaux jusqu’aux
innombrables copies de manuscrits. Tout au plus la commu-
nication s'est complexifiée sous l'effet des techniques suc-
cessives qui vont de l'imprimerie à l’internet.
Dans l'instruction pastorale "Communion et progrès" publiée
il y a tout juste 40 ans, l'Eglise catholique parle du Christ
comme du "parfait communicateur". Elle dit aussi que le but
des moyens de communication sociale est la communion
entre les hommes. Son approche positive va encore s'affiner
sous Jean Paul II quand on présentera les médias comme un
lieu de culture et non pas simplement comme un haut-
parleur dont se serviraient les pouvoirs de ce monde. Une
culture construite sur le dialogue, la confrontation des idées,
l'échange en profondeur.
Or voilà que les nobles finalités dérapent parfois sous l'effet
de la chasse aux scoops, ou parce que le public donne sa
préférence à ce qui est marginal. Il ne faut pas pour autant
sortir de l’arène médiatique. Au contraire, les croyants doi-
vent y faire entendre leur voix, soit comme individus
(courriers de lecteurs, blogs), soit à travers des médias spéci-
fiques (presse paroissiale, émissions religieuses, agences,
etc.).
Des médias catholiques ne peuvent exister que si les catholi-
ques eux-mêmes y tiennent. Et lorsque l’Eglise apporte un
appui financier à certaines réalisations, elle n’assortit pas son
aide de conditions sur ce qu’il est bon de dire ou de ne pas
dire. Elle apprend à souhaiter que les vrais problèmes soient
présentés, que le dialogue conduise à des clarifications, que
le pluralisme ecclésial trouve son expression légitime.
Ciblant son message pour le Dimanche des médias sur la
communication numérique, le Pape se fait pressant pour
inviter à inaugurer, « au-delà des frontières de l'espace et
des cultures, un tout nouveau monde d’amitiés potentiel-
les. »
André Kolly,
Président de la Commission pour la communication et les médias
de la Conférence des évêques suisses (CES)
Des médias pour un monde nouveau
Ce lundi 30 mai, j’ai eu la surprise de découvrir que le dessin ci-contre,
illustrant le feuillet dominical, avait irrité, voire choqué une personne
ayant assisté à l’une de nos messes du week-end, qui nous a retourné le
feuillet avec cette question : « Pourquoi ridiculiser la parole de Dieu? »
Cela me donne bien évidemment à réfléchir, notamment lorsqu’on sait
que le dimanche 5 juin est consacré au travail de l’Église dans les médias.
Qu’il est difficile de communiquer en Église !
J’aimerais donc donner quelques explications sur ces dessins que nous
utilisons parfois pour illustrer une des lectures bibliques du dimanche.
Le lapin bleu est un personnage imaginé et dessiné par un prêtre, dont le
but est d’utiliser l’humour pour expliquer un ou des versets des lectures
bibliques. Il est bien entendu, et je crois pouvoir l’écrire en connaissance
de cause, que tout artiste peut être plus ou moins inspiré lorsqu’il crée, a
fortiori lorsqu’il se donne le challenge d’une création hebdomadaire.
Mais, à l’époque du tout visuel, cette initiative me semble la bienvenue,
et d’une grande utilité lorsqu’il s’agit d’expliciter d’une manière compré-
hensible par tous le sens de la Parole divine. À y regarder d’un peu plus
près, le dessin humoristique est aussi un bon moyen de communication,
dans le sens du message qu’André Kolly nous livre en page 6.
Je vous invite donc à lire ci-contre les détails ajoutés chaque semaine par
l’auteur sur son site internet, afin de vérifier qu’il ne s’agit en aucun cas
de ridiculiser la Parole. Mais si ces dessins blessent, ou choquent, j’en
demande pardon, et tâcherai à l’avenir d’en user avec plus de circonspec-
tion.
Frédéric Monnin
Détails
-Le « superlapin » représente l’Esprit-Saint. Il
descend directement du ciel, dans un rayon de
lumière.
-Il brandit un bouclier sur lequel est écrit
« Defensor ». Le mot Paraclet signifie
« défenseur ». C’est contre l’accusateur (le dia-
ble) que Dieu promet un Défenseur. Ce fen-
seur, c’est son Esprit, c’est donc Dieu lui-
même.
-Il s’interpose en se mettant « devant », entre
l’obstacle et moi.
-Du coup, le lapin qui est derrière retrouve tou-
te son assurance. Il est rassuré parce qu’il est
défendu. Il retrouve même toute son énergie. Il
compte vraiment sur le Défenseur.
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