Encourager l`innovation pour créer des emplois et stimuler notre

ENCOURAGER L’INNOVATION POUR CRÉER DES
EMPLOIS ET STIMULER NOTRE ÉCONOMIE
••investira 100 millions de dollars de plus par an, et ce,
au cours des trois prochaines années, dans le Programme
d’aide à la recherche industrielle. Cet investissement
englobera la mise en oeuvre d’un Programme de
recherche et d’innovation pour les petites entreprises
(Small Business Innovation and Research Program),
inspiré de modèles couronnés de succès aux États-Unis,
en Australie et au Japon. Nous mettrons aussi de côté
une partie des budgets d’approvisionnement fédéral
pour les nouvelles technologies et entreprises
canadiennes prometteuses, conformément aux
obligations en matière de commerce international.
Afin de saisir les possibilités qu’offre le marché des
technologies propres qui est en pleine expansion, nous
avons déjà annoncé :
••des investissements annuels de 200 millions de
dollars pour créer des stratégies sectorielles favorisant
l’innovation et les technologies propres dans le domaine
de la foresterie, des pêches, de l’exploitation minière, de
la production énergétique et de l’agriculture; et
••des investissements supplémentaires de 100
millions de dollars par an consacrés aux entreprises de
technologies propres, afin qu’elles s’attaquent aux
problèmes environnementaux les plus pressants au
Canada qui mettent en danger notre atmosphère, nos
eaux ou nos terres.
compétences, dans les infrastructures publiques, ainsi
que dans l’innovation.
Et c’est exactement ce que propose le plan libéral. Nous
avons annoncé de nouveaux investissements dans la
formation professionnelle et le développement du
capital humain. Nous avons également annoncé les plus
importants investissements fédéraux en matière
d’infrastructures jamais effectués au Canada. Nous nous
sommes engagés à maintenir un climat fiscal
concurrentiel pour les entreprises en pleine croissance.
Nous devons aussi introduire un dynamisme nouveau au
potentiel innovateur du Canada. C’est la raison pour
laquelle, au cours des trois prochaines années, nous
ferons d’importants investissements visant à stimuler la
capacité d’innovation du Canada et à aider les
entreprises dynamiques à se velopper et à créer des
emplois. Un nouveau gouvernement libéral :
••investira 200 millions de dollars par an, et ce,
pendant les trois prochaines années, dans un nouveau
programme d’innovation. Nous apporterons un soutien
direct aux incubateurs et aux accélérateurs
d’entreprises, aux installations de recherche, en plus d’un
financement et d’autres formes d’aide aux petites
entreprises fructueuses qui souhaitent se développer et
exporter. Lobjectif est de créer des réseaux couronnés de
succès à l’instar de ceux mis en place aux États-Unis et en
Allemagne, entre les entreprises, les gouvernements et
les chercheurs aux niveaux universitaire et collégial.
Grâce à une collaboration avec les provinces, les
établissements d’enseignement postsecondaire et
l’industrie, ce financement contribuera aussi à
moderniser et à améliorer les fonctions de transfert
technologique et de commercialisation dans les
universités et les collèges;
recherche et à une aide financière
dont les entrepreneurs ont besoin
quand ils démarrent de nouvelles
entreprises.
Au bout de dix ans de croissance économique et de
création d’emplois faibles sous Stephen Harper, nous
devons mieux faire. Notre économie a besoin
d’investissements dans l’innovation maintenant, pas
dans plusieurs années.
Nous pouvons exploiter le
savoir-faire et les compétences
exceptionnelles des Canadiennes
et Canadiens, afin de saisir de
nouvelles occasions et de créer les
emplois de demain, ici-même, au
Canada. Les entreprises et les
travailleurs canadiens stimulent
l’innovation au Canada – en
particulier les entreprises
dynamiques et en pleine croissance mais avec une
assise financière plus petite à l’intérieur du pays, ils ont
aussi besoin d’un partenaire au niveau fédéral. Les
libéraux croient que le Canada peut faire plus pour aider
les entreprises qui sont en quête de nouvelles idées et
technologies susceptibles d’être commercialisées et de
créer de bons emplois pour la classe moyenne. Nous
avons besoin d’investir dans la formation axée sur les
Léconomie mondiale est de plus en plus concurrentielle.
Avec les nouvelles technologies désorganisant les
anciens modèles économiques, et les économies
émergentes se taillant une part de plus en plus
importante dans le marché international, le Canada est
confronté à la fois à des défis et à des possibilités.
Tandis que d’autres pays innovent et investissent dans la
recherche et le développement, le Canada est, lui, à la
traîne. Selon le Forum économique mondial, le Canada se
place désormais 22e au
classement mondial en matière
d’innovation, après avoir été 12e
en 2009.
Le Canada compte plusieurs
pôles d’innovation dans
différents secteurs comme la
médecine et les instruments
médicaux, ou encore le secteur
de l’automobile et de
l’aérospatial, ou les industries pharmaceutique, des
bioproduits, des médias numériques et des technologies
de l’information. Nous avons un grand nombre
d’entreprises novatrices en pleine croissance qui sont
couronnées de succès, mais nous nen comptons pas
suffisamment. Nous n’avons pas assez d’incubateurs
d’entreprises bien financés qui fournissent les conseils,
les locaux commerciaux et l’accès à un soutien à la
NOTRE ÉCONOMIE A BESOIN
D’INVESTISSEMENTS DANS
L’INNOVATION MAINTENANT,
PAS DANS PLUSIEURS
ANNÉES.
••investira 100 millions de dollars de plus par an, et ce,
au cours des trois prochaines années, dans le Programme
d’aide à la recherche industrielle. Cet investissement
englobera la mise en oeuvre d’un Programme de
recherche et d’innovation pour les petites entreprises
(Small Business Innovation and Research Program),
inspiré de modèles couronnés de succès aux États-Unis,
en Australie et au Japon. Nous mettrons aussi de côté
une partie des budgets d’approvisionnement fédéral
pour les nouvelles technologies et entreprises
canadiennes prometteuses, conformément aux
obligations en matière de commerce international.
Afin de saisir les possibilités qu’offre le marché des
technologies propres qui est en pleine expansion, nous
avons déjà annoncé :
••des investissements annuels de 200 millions de
dollars pour créer des stratégies sectorielles favorisant
l’innovation et les technologies propres dans le domaine
de la foresterie, des pêches, de l’exploitation minière, de
la production énergétique et de l’agriculture; et
••des investissements supplémentaires de 100
millions de dollars par an consacrés aux entreprises de
technologies propres, afin qu’elles s’attaquent aux
problèmes environnementaux les plus pressants au
Canada qui mettent en danger notre atmosphère, nos
eaux ou nos terres.
compétences, dans les infrastructures publiques, ainsi
que dans l’innovation.
Et c’est exactement ce que propose le plan libéral. Nous
avons annoncé de nouveaux investissements dans la
formation professionnelle et le développement du
capital humain. Nous avons également annoncé les plus
importants investissements fédéraux en matière
d’infrastructures jamais effectués au Canada. Nous nous
sommes engagés à maintenir un climat fiscal
concurrentiel pour les entreprises en pleine croissance.
Nous devons aussi introduire un dynamisme nouveau au
potentiel innovateur du Canada. C’est la raison pour
laquelle, au cours des trois prochaines années, nous
ferons d’importants investissements visant à stimuler la
capacité d’innovation du Canada et à aider les
entreprises dynamiques à se développer et à créer des
emplois. Un nouveau gouvernement libéral :
••investira 200 millions de dollars par an, et ce,
pendant les trois prochaines années, dans un nouveau
programme d’innovation. Nous apporterons un soutien
direct aux incubateurs et aux accélérateurs
d’entreprises, aux installations de recherche, en plus d’un
financement et d’autres formes d’aide aux petites
entreprises fructueuses qui souhaitent se développer et
exporter. Lobjectif est de créer des réseaux couronnés de
succès à l’instar de ceux mis en place aux États-Unis et en
Allemagne, entre les entreprises, les gouvernements et
les chercheurs aux niveaux universitaire et collégial.
Grâce à une collaboration avec les provinces, les
établissements d’enseignement postsecondaire et
l’industrie, ce financement contribuera aussi à
moderniser et à améliorer les fonctions de transfert
technologique et de commercialisation dans les
universités et les collèges;
recherche et à une aide financière
dont les entrepreneurs ont besoin
quand ils démarrent de nouvelles
entreprises.
Au bout de dix ans de croissance économique et de
création d’emplois faibles sous Stephen Harper, nous
devons mieux faire. Notre économie a besoin
d’investissements dans l’innovation maintenant, pas
dans plusieurs années.
Nous pouvons exploiter le
savoir-faire et les compétences
exceptionnelles des Canadiennes
et Canadiens, afin de saisir de
nouvelles occasions et de créer les
emplois de demain, ici-même, au
Canada. Les entreprises et les
travailleurs canadiens stimulent
l’innovation au Canada – en
particulier les entreprises
dynamiques et en pleine croissance mais avec une
assise financière plus petite à l’intérieur du pays, ils ont
aussi besoin d’un partenaire au niveau fédéral. Les
libéraux croient que le Canada peut faire plus pour aider
les entreprises qui sont en quête de nouvelles idées et
technologies susceptibles d’être commercialisées et de
créer de bons emplois pour la classe moyenne. Nous
avons besoin d’investir dans la formation axée sur les
Léconomie mondiale est de plus en plus concurrentielle.
Avec les nouvelles technologies désorganisant les
anciens modèles économiques, et les économies
émergentes se taillant une part de plus en plus
importante dans le marché international, le Canada est
confronté à la fois à des défis et à des possibilités.
Tandis que d’autres pays innovent et investissent dans la
recherche et le développement, le Canada est, lui, à la
traîne. Selon le Forum économique mondial, le Canada se
place désormais 22e au
classement mondial en matière
d’innovation, après avoir été 12e
en 2009.
Le Canada compte plusieurs
pôles d’innovation dans
différents secteurs comme la
médecine et les instruments
médicaux, ou encore le secteur
de l’automobile et de
l’aérospatial, ou les industries pharmaceutique, des
bioproduits, des médias numériques et des technologies
de l’information. Nous avons un grand nombre
d’entreprises novatrices en pleine croissance qui sont
couronnées de succès, mais nous nen comptons pas
suffisamment. Nous n’avons pas assez d’incubateurs
d’entreprises bien financés qui fournissent les conseils,
les locaux commerciaux et l’accès à un soutien à la
ENCOURAGER L’INNOVATION POUR CRÉER DES EMPLOIS ET STIMULER NOTRE ÉCONOMIE
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