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févr mars avril mai juin juill août sept
4-5 oeufs inc 11-14 j
16-21 j
Se distingue du moineau domestique par l’allure plus dressée, le sourcil crème
et la voix. Ne sautille pas et se déplace en marchant. Tache jaune à la gorge,
souvent difficile à voir.
Oiseau méridional associé à la pierre, a besoin de cavités propices à l’accueil
de son nid. Aime les rochers et les carrières, les ruines et les villages. Nichant
entre 200 et 2000 m.
Sédentaire. Petites transhumances vers les vallées en automne.
Oiseau méfiant, souvent identifié à son chant mais sans qu’on puisse le voir.
Peut passer totalement inaperçu, même s’il s’agit d’une colonie de
reproduction.
Les cris répétitifs ont un timbre très caractéristique. Points d’écoute et
recherche autour des fermes isolées, des hameaux, des villages et même des
vieux quartiers en ville.
Long gazouillis rythmé où s’intercalent des sonorités grinçantes.
Répète parfois une seule note. Cris variés, nasillards et plus sonores que
ceux du moineau domestique, évoquant ceux du verdier en moins nasillards.
Confirmer toujours un contact auditif par une observation visuelle.
En vol nuptial, il parade la queue étalée. Le mâle se « démène » de façon
bruyante et expressive à proximité du nid : agitation des ailes et de la queue
avec des cris incessants.
Nid constitué d’un amas de tiges, radicelles et bouts de papier. La coupe
interne est garnie de plumes, laine et poils. Le nid est installé dans un trou de
rocher, de poteau, un tronc d’arbre creux, entre les pierres d’un mur ou trou
d’un guêpier. Oeufs blancs à beige avec des taches grises ou brunes.
(Petronia petronia)
Moineau soulcie
1-2 pontes