
débuts du Hip-Hop, 70s, le style n’est présent seulement aux Etats-Unis, on ne peut 
donc  pas  encore  parler  de  la  diversité  de  style  que  comprend  ce  nouveau 
mouvement  .  Les  fans  de  ce  genre  de  musique  sont  remarquable  par  le  code 
vestimentaire qu’ils adoptent, c’est comme un code de reconnaissance. 
Les  Hip-Hoper portent  ce  que  l’on  appel  des  baggy ce  sont  des  pantalons  très 
larges, style flottant, il est issus des vêtements de prisonniers américains. En prison, 
on se retrouve sans ceinture et sans lacets, le pantalon tombe et on voit les sous-
vêtements. A leurs sorties, les prisonniers laissaient toujours tomber leurs pantalons 
pour  dire  qu'ils  sortaient  de  prison,  c'est  hautement  symbolique.  Ceci  peut  être 
accompagné  par  un  sweat  à  capuche,  qui  est  lui  issu  des  gangs  qui  portaient  ce 
genre de vêtement avec des lettres identifiant leur groupe.  
Les break dancers ont suivi cette mode des gangs mais optent le plus souvent pour 
des  tissus  souples  compatibles  avec  une  danse  acrobatique;  à  ceci  s'ajoute  un 
bonnet permettant de réaliser des figure sur la tête comme la toupie (head-spin). Ils 
ont la plupart du temps  sur eux un ou plusieurs signes distinctifs de leur groupe s'ils 
en ont un. 
Le  graffeur est  habillé  simplement  de  façon  à  pouvoir  faire  quelque  chose  d'une 
minute à l'autre, il faut que cela soit pratique pour lui. Il est alors vêtu d'une capuche 
leur servant à se cacher après avoir fait des graffitis sur un mur, dans un métro, ou 
autre ( le graffiti étant un pilier du fondement du hip hop); d'un jean serré il y a rien de 
large, c'est tout dans les normes. Il y a bien l' « american style » comme la doudoune 
courte. Les baskets sont les seul chaussures adaptées à ce style car le caoutchouc 
qui en fait les semelles permettait de ne pas êtes électrocuté en courant sur les voies 
du métro après avoir fait des graffitis et l'outil indispensable pour danser. Les t-shirt 
ou  maillots  de  basket-ball  sont  généralement  de  taille  XXL.  Le  plus  souvent  on 
essaye d'accorder chaque couleurs. On y ajoute à tous cela des accessoires voyants 
tel  des  bandanas,  des  casquettes,  des  bijoux.  Les  bijoux  portés  sont  souvent  très 
imposants,  brillants,  avec  de  longues  chaînes,  des  faux  diamants  aux  oreilles  que 
l'on appelle des « bling-bling ». Lorsque le Hip Hop connaît une ascension vers les 
années 90 , il se développe. Les artistes se font de plus en plus connaître alors pour 
montrer  leur  réussite  ils  portent  tout  objet  pouvant  être  un  signe  de  leur 
« triomphe », »victoire» face aux difficultés que connaissent la plupart des amateurs