LE PARFUM DE CHRIST
2 Corinthiens 2 :1-17
Verset Clé 2 :15,16
« Nous sommes, en effet, pour Dieu le parfum de Christ, parmi ceux qui
sont sauvés et parmi deux qui périssent : aux uns, une odeur de mort, qui
mène à la mort ; aux autres, une odeur de vie, qui mène à la vie. Et qui est
suffisant pour ces choses ? »
La parole d’aujourd’hui nous parle de l’influence des chrétiens. Le christianisme
est la religion de l’influence. A ce titre, Jésus dit dans son sermon sur la montagne,
« Vous êtes le sel et la lumière. Si le sel perd le goût, avec quoi l’assaisonnerez-vous ? »
Jésus choisit douze disciples et les élevait, en sorte qu’ils puissent devenir des gens qui
influent sur le monde. Un jour, Jésus étaient dans la barque et les disciples étaient avec
lui. Les disciples étaient très contents d’aller avec leur maître pour passer une journée
d'excursion loin de la foule. Jésus leur dit à ce moment, « Prenez garde au levain
d’Hérode et des Pharisiens. » Les disciples, à cette parole, se sentirent coupables, car
après l’événement miraculeux de nourrir 5000 hommes avec 5 pains et 2 poissons, ils
avaient ramassé 12 paniers pleins de morceaux de pains, mais malencontreusement, ils
ne les avaient pas amenés comme ils s’étaient embarqués précipitamment. Mais
l'intention de Jésus pour cette parrole n'était pas de les faire se souvenir des pains
oubliés, mais de leur prévenir la mauvaise influence du monde comme celle d’Hérode
chercheur effréné du plaisir et celle des Pharisiens, accapareur de gloire à titre religieux.
Jésus voulait vraiment que ses disciples ne soient pas comme ces hommes mondains, et
influencés par eux, mais des hommes spirituels qui puissent influer sur le monde
incrédule et pervers. Depuis la deuxième moitié de 19e siècle, la tendance incrédule et
impie se propageait puissamment dans le monde occidental. En Allemagne, sous la
célébrité d’Hegel, Schopenhauer passa de longues années d’amertume. Par vingtaine,
les étudiants affluaient pour suivre chaque jour les cours d’Hegel, alors que
Schopenhauer n’en avait que cinq. Puis, l’année suivante, aucun étudiant ne venait, puis
l’année après, l’annonce du cours même disparut. Dans sa colère, il disait qu’il travaillait
pour les siècles futurs, non pour la foule de singes qui ne comprenaient pas sa noble
philosophie. Et finalement il devint célèbre à la fin de sa vie. Sa philosophie pessimiste
athée fit un grand écho et impact dans tous les domaines créateurs ; une force motrice
de la déchristianisation du monde occidental se déclencha. Nous trouvons que cette
influence est forte dans le subconscient de nos jeunes contemporains. Mais nous croyons
que même dans cette ère de postmodernité, la volonté du Christ envers son peuple n’a
pas changé. Il veut que son peuple soit le parfum de Christ dont l’odeur émane
puissamment vers le monde incrédule et transforme le monde ! Par rapport à la masse
incrédule du monde, nos disciples de CCU sont une minorité absolue. Mais, il est
incontestable que Dieu les élève comme un royaume de sacrificateurs et mère et père de
leur nation pouvant influer inlassablement sur elle.
I. Les larmes de berger Paul (1-4)
Regardez le verset 1. Paul a jugé bon de ne pas retourner à Corinthe. Selon 13 :2,
Paul s’en était allé à Corinthe, mais son séjour là-bas ne s’était pas bien passé, en sorte
qu’à la fin de ce séjour, on dut se séparer avec un sentiment de blessure et amertume.
Comme nous l’avons appris lors de nos précédentes études de 1e épître aux Corinthiens,
l’église à Corinthe avait de multiples problèmes tels, la division entre les membres,
l’immoralité sexuelle, la consommation de la viande sacrifiée aux idoles, l’apport des
différends auprès la juridiction mondaine, le manque d’amour à tel point que chacun
mange pour soi dans un coin de l’église, et surtout la disparition graduelle de la foi de
la résurrection. Ayant un sentiment profonde du problème, Paul s’y était rendu, mais
voilà de retour, il n’avait que des blessures, car vis-à-vis de ses reproches, les gens
fermaient le cœur comme rideau de fer. Néanmoins, sur le chemin de retour à l’Asie,
Paul avait estimé nécessaire de revenir nouvelle fois à Corinthe. Mais au fur et à mesure
que le temps passait, Paul s’était avisé différemment. Le temps n’était pas opportun. Son
changement de plan provoqua un préjugé de certins Corinthiens humanistes qui le
critiquaient, en disant que Paul était une personne changeante selon la circonstance. Paul
se défendit en disant qu'en lui il n’y a pas de oui et non, mais que oui, car il obéit à Dieu.
Alors Paul se contenta de leur écrire une lettre, qui était la 1e épître aux Corinthiens.
Alors quel était le but de la lettre de Paul ? Regardez le verset 3. « J’ai écrit
comme je l’ai fait pour ne pas éprouver, à mon arrivée, de la tristesse de la part de ceux
qui devaient me donner de la joie. J’ai en vous cette confiance : ma joie est la vôtre à
tous. » Ici, nous trouvons que Paul souhaitait pleinement que la situation soit réparée
lors de sa prochaine visite chez les Corinthiens. Ceux-ci étaient les sujets qui devaient
réjouir Paul, car ils étaient ses enfants spirituels. Mais malheureusement, ils l’attristaient
par leur mauvaise conduite. Que s’était-il passé ? Au milieu de Corinthiens, s’était,
pendant l'absence de Paul, infiltré un péché. Le péché « harmatia » en grec signifie
coupure. Il peut être un acte d’ordre moral tel vol, adultère, meurtre, etc. Mais il peut
être aussi un mal invisible et intérieur tel ingratitude, jalousie, division, etc. En tout cas,
le péché est une coupure. Il fait couper avec Dieu et par conséquent avec les hommes.
Les Corinthiens étaient remplis de joie quand ils avaient accepté l’évangile transmis par
Paul, mais ce moment d’allégresse ne durait pas si longtemps, sans tarder, ils se
laissèrent dominer par de diverses pensées humaines, jusqu’à soulever le problématique
sur l’autorité de Paul. Alors, Satan ne rata pas l’occasion, et fit un dégât non négligeable
dans l’église, en faisant éloigner les gens les uns des autres, et en divisant l'assemblée
par esprit des factions et parti-pris.
Mais ici ce qui nous étonne, c'est que Paul, dans cette situation accablante, ne
perdait pas l'assurance, à tel point de dire « ma joie est la vôtre pour tous. » Sa joie
reviendra et cette joie deviendra la joie de toute l’église de Corinthe. D'où vient cet
espoir étincelant ? Tant que Paul a l’amour de Dieu pour les Corinthiens, nul ne peut
asphixier l'espoir.
Dans ce témoignage, Paul dit qu’il versait des larmes. En effet, Paul versait
beaucoup de larmes pour ses brebis. Lisons le verset 4. « C’est dans une grande
affliction, le cœur serré, avec beaucoup de larmes, que je vous ai écrit, non pour vous
attrister, mais pour que vous connaissiez l’amour extrême que j’ai pour vous. » Il semble
que Paul se vantait. Mais ce n’est pas le cas. Paul avait l'habitude de s’exprimer, « je
souhaite que vous n’ignorez pas ceci ou cela ». Et cela comprend ses propres actions.
Ce n’était pas pour se manifester dans la mérite, mais c’était pour que les ouailles en
viennent à connaître combien le pécdans lequel elles se sont enfoncés ou elles ont
commis est grave et que les larmes sont versés en vue de la réparation par quelqu'un en
coulisse.
Il y a plusieurs sortes de larmes. Mais à mon avis, on peut les diviser en deux tout
simplement, les larmes qu’on verse pour soi et les larmes qu’on verse pour les autres.
Même les larmes qu’on verse pour les autres peuvent être versés en réalité pour soi-
même. Par exemple, quand un cher meurt, on verse les larmes pour lui, mais en réalité,
ces larmes s’avèrent pour soi, car la solitude suite à son départ pèse lourdement sur nous.
Mais ici les larmes que Paul verse est purement pour les autres. Il y a aussi des larmes
restauratrices et des larmes plongeantes. J'ai vu un garçon pleurer de grâce à la veille, et
le lendemain, il se trouvait dans la main de Satan à cause de son désir ludique sans frein.
Wesley Dewel dit au sujet des larmes : Selon lui, Jésus comprend ce qu’est
pleurer en priant. Le verset le plus court de la Bible, « Jésus pleura. » en dit long que
lui-même pleurait beaucoup. Mais Dewel dit qu’il faut être clair que nos larmes ne soient
pas les larmes versées à cause de l’apitoiement de soi. De telles larmes peuvent être
fondamentalement mondaines. Les larmes d’apitoiement de soi peuvent donner la
libération momentanée des tensions. Parce qu’ « un tapage de pleure » peut soulager le
désespéré et hausser le moral du découragé. Mais comme elles ne sont pas spirituelles,
elles ne peuvent faire à ceux qui les versent jouir de la vraie délivrance. Dewel parle de
plusieurs raisons spirituelles qui justifient les larmes que j’aime citer à cette occasion. Il
dit d’abord, qu’il faut pleurer parce que l’homme a abandon Dieu. Ensuite il faut
pleurer parce que le péché se propage d'une vitesse exponentielle au monde. En
troisième lieu, nous devons pleurer parce qu’en tant que peuple de Dieu nous sommes
endormis spirituellement. Nous devons pleurer en quatrième et dernier lieu parce que le
jour du Seigneur s’approche et que nous avons devant nous de multiples tâches non
accomplies.
Les larmes que Paul versa était les larmes pour ses brebis. Paul fit une sévère
réprimande à ses enfants spirituels quand ceux-ci marchaient dans la mauvaise voie.
Paul savait à quel prix Jésus les avait racheté et les avait adopté comme son peuple.
Désormais, ils n’appartenaient pas à eux-mêmes, mais ils appartenaient, corps et âme, à
leur Seigneur, Jésus-Christ. Mais ils trahirent la grâce du Seigneur Jésus qui avait tant
payé et retournèrent à l’ancienne vie de péché. Ils oublièrent la grâce et se mirent à
critiquer l’autoride l’apôtre. Paul en souffrait énormément. Paul versa beaucoup de
larmes, en priant que Dieu les fasse se repentir et revenir sur leur pas. Quand Chrétien
dans le Voyage de Pèlerin de John Buynan dévia sur le mauvais chemin, il ressentit un
soupir inlassable dans son intérieur. Son âme ne trouva pas de repos, avant qu’il se
repente et revienne au bon chemin. Paul savait ce qu'est cette souffrance de l'écart et
versait beaucoup de larmes. En tant que berger, nous faisons nos efforts pour ne pas
laisser les brebis prendre la mauvaise voie. Mais nous devons venir à Dieu avant tout,
pour que nous le suppliions avec beaucoup de larme qu’il les aide à trouver leur faute et
à venir au bon chemin. Jean Calvin disait une fois, « Il est d’un vrai berger de pleurer
lui-même avant de provoquer les larmes des autres, et de retenir pour lui-même plus de
douleur qu’il n’en fait éprouver à d’autres. » Mais nous ne pleurons pas assez, et nous
évitons trop souvent la douleur qui nous agace. Et nous y réagissons impulsivement.
Une femme a eu l'accès de colère, à l'étonnement de tous, quand son opinion était
différente des autres. La colère est l'antipode de larme, quoi que parfois les deux
viennent ensemble désatreusement et le berger dois savoir opprimer la première et
creuser la seconde.
Nous nous souvenons des larmes de Monique, la mère de Saint Augustin. Pendant
9 ans de la vie luxurieuse de son fils, Monique n’avait jamais relâché sa prière pour son
fils. Souvent, les larmes remplissaient le sol de sa chambre. Elle versa de telles larmes
parce qu’elle vit la mort de l’âme de son fils bien-aimé. Dieu révéla l’avenir à travers
son rêve. Elle vit en rêve un homme s’approcher d’elle et lui demander pourquoi elle
pleurait tant. Ce n’était pas pour le savoir vraiment, mais pour donner une simple
consolation à celle qui était dans la tristesse. Elle répondit, « parce que mon fils erre, je
suis triste. » L’homme dit, « regarde bien autour de toi. » Puis Monique trouva qu’elle
était ensemble avec Augustin sur le même plancher de bois. Plus tard, Monique rendit
visite à un évêque et le supplia d’aider Augustin qui était tombé dans une fausse
croyance. L’évêque le refusa, en raison que le temps n’était pas opportun et que Dieu le
convaincra lui-même un jour. La mère s’accrocha à lui avec des larmes de supplication
et insista sur le fait qu’il fallait s’occuper de l’éducation de son fils. Mais l’homme
persévéra dans son refus en lui donnant néanmoins cette célèbre parole, « Il est
impossible que le fils objet de ces larmes périsse. » Selon sa foi pleines de larmes, son
fils Augustin fut enfin converti de sa vie perverse et son errance intellectuelle.
II. Pardonnez à celui qui était la cause de tristesse
Paul parle maintenant qu’il faut pardonner celui qui s’est repenti. Regardons le
verset 5. « Si quelqu’un a été une cause de tristesse, ce n’est pas moi qu’il a attristé, c’est
vous tous, du moins en partie, pour ne rien exagérer. » En ce qui concerne la cause de
la tristesse dont Paul parle ici, il y a deux opinions. Certains y compris les premiers pères
de l’église pensaient que cette personne est celle qui s’est plongée dans l’inconstance
sexuelle comme on le voit dans 1 Corinthiens chapitre 5. En effet, l’avons-nous appris,
il prit la femme de son père, c’est-à-dire soit sa belle-mère soit la concubine de son père
comme femme. Une deuxième opinion est qu’il s’agit de l'homme qui critiquait ou
rabaissait l’autorité apostolique de Paul. Cet humaniste n’acceptait pas l’autorité de Paul
et l’en blâmait auprès des collaborateurs, ce qui provoqua la division de l’Eglise. Cette
deuxième supposition est plus probable, car elle concerne plus directement Paul pour
qu’il soit attristé par son comportement. Paul voulut que l’Eglise l'expulse, car il divisait
et détruisait l’Eglise. Chasser la personne qui était jusqu’alors le collaborateur de
l’Eglise était une chose difficile et douloureuse. Mais les Corinthiens y obéirent et
exécutèrent l’excommunication. Paul eut le cœur serré à la pensée de comment il aurait
répondu à cette mesure disciplinaire. Or, selon la nouvelle qu’apporta Tite, cette
personne, après qu’elle fut expulsée, se repentit de son péché et revint à l’Eglise.
Quelle était l’exhortation de Paul à son sujet ? Paul dit, « qu’il suffit pour cet
homme du blâme qui lui a été infligé par le plus grand nombre, en sorte que vous devez
bien plutôt lui pardonner et le consoler, de peur qu’il ne soit accablé par une tristesse
excessive. » Paul constate ici que la personne avait été l’objet du blâme du grand
nombre. Cela était en soi une peine insupportable. Donc, il est normal que les ouailles
s’impatientent de le voir retourner. Puis il est normal que dès qu’il révèle un signe de
repentance, on l’accepte de nouveau dans la communauté fraternelle. Par
l’excommunication, la personne se serait senti une condamnation de Dieu dans l’âme,
c’était une préfiguration du séjour éternel de l’enfer. Maintenant, la personne se dit
repenti, donc il est raisonnable de l’accepter dans la communauté des saints. Mais
l’argument de Paul plus fondamental est ailleurs. Paul dit dans le verset 9. « car je vous
ai écrit aussi afin de savoir, en vous mettant à l’épreuve, si vous êtes obéissants en tout. »
Le pardon n’est pas une noble vertu de l’humanité. Le pardon est l’ordre du Seigneur
auquel tout homme doit obéir.
Jean Delumeau dit de la complexité de l’insertion des pécheurs par le
confessionnel aux 18e à 20e siècles en Occident. Déjà haut moyen âge, par concile de
Trente, on doit distinguer ceux qui sont « attrits » c’est-à-dire ceux qui ont le regret des
leurs pécheurs à cause de leur laideur et de la peur de l’enfer et « contrits » ceux qui
détestent les péchés qu’ils ont commis avec une volonté sincère de n’en plus commettre
dans la suite, accompagnée de l’espérance d’en avoir le pardon. Delumeau décrit le
confessionnel de ces siècles modernes que le pénitent est invité à se poser par le
confesseur : Qui ? Quoi ? Ou ? Par qui ? combien de foi ? Pourquoi ? comment ? quand ?
Ce questionnement est encore affiné par des interrogations complémentaires sur les
circonstances « aggravante » ou « atténuantes » et sur l’évaluation morale des rechutes.
Le prêtre est appelé ainsi « examinateur de la conscience. » Cet examen de conscience
trouve, conclue Delumeau, sa place naturelle dans l’histoire générale de l’homme
occidental actif, lucide et inquiet, jamais satisfait de lui-même, tendu vers de
continuelles améliorations de soi et d’autrui. En quoi, Delumeau s'amuse des mots, il
s’est opposé presque terme à terme à l’homme tranquille et serein de la tradition
bouddhiste et hindouiste.
Pourtant, Paul n’exige pas l’examen de conscience au nitent, mais exige plutôt
aux Corinthien la loi d’amour de Dieu à laquelle ils se devaient obéir. Donc, il faut lui
pardonner sans condition, quand il manifeste son désir d’être pardonné après avoir subi
une blâme d’un grand nombre. Une fois Pierre s’adressa à Jésus et dit, « Seigneur,
combien de fois dois-je pardonner ? » Le pardon est vraiment un travail difficile
d’effectuer, pour l’homme. Il n'y a, donc selon Paul, qu'une seule solution qui est
l’obéissance au commandement de Dieu. Luc 17:4 dit, « Et s’il pèche contre toi sept fois
dans un jour, et que sept fois il revienne à toi, en disant : Je me repends, tu lui
pardonneras. » Alors il n'y aura certainement pas le temps d'effectuer l'examen de
conscience. A cette parole, les apôtres dirent : « Seigneur, augmente notre foi. » Mais
Jésus nous le commande, car nous le pouvons, en pensant qu'il nous a pardonné nous-
mêmes sans condition par son sang précieux. Selon Paul, c’était une épreuve à laquelle
Dieu mit les Corinthiens. La vie humaine déchue est en quelque sorte une épreuve
constante du pardon. Une jeune fille, étant émue du pardon de Dieu, devenant
chrétienne, s'est avisé à nouer une relation brisée avec son père qui l’avait abandonée et
qui était fort incrédule, et finalement, Dieu la bénit et elle put renouer la relation d’amour
avec lui. La joie débordait son ur et une grande partie de sa blessure de vie a été
bandée.
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