Messe du jour de noël Nativité du Seigneur

MESSE DU JOUR DE NOËL
Nativité du Seigneur
O uverture de la célébratiOn
Chant d’entrée (Suggestions p. 236)
OU
Antienne d’ouverture
Un enfant nous est né, un fils nous a été donné ;
l’insigne du pouvoir est sur son épaule,
on l’appelle Messager de Dieu. (Is 9, 5)
Année B
Couleur liturgique : blanc
Le Verbe fait chair demeure parmi nous.
Le Verbe, c’est Jésus le Christ. Tout en lui est parole de Dieu :
le sens, le ton, le message… Au fur et à mesure que la Parole
résonnera, dimanche après dimanche, dans notre assemblée
ou dans nos maisons, celui qui l’écoutera attentivement
comprendra qu’elle s’adresse à lui et donne sens à toute sa vie.
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décembre

Suggestion de préparation pénitentielle (ou p. 208)
Frères et sœurs, nous faisons aujourd’hui mémoire de la naissance
du Sauveur qui nous arrache au péché. Demandons-lui pardon et
accueillons sa miséricorde.
Seigneur, tu es le Sauveur et la terre tout entière exulte aujourd’hui.
Tu es la joie de tous les peuples. Seigneur, prends pitié.
— Seigneur, prends pitié.
Ô Christ, tu es la lumière semée pour le juste et pour le cœur
simple, tu es la vraie joie. Ô Christ, prends pitié.
— Ô Christ, prends pitié.
Seigneur Jésus, l’univers contemple aujourd’hui ta gloire, ton
amour pardonne aux hommes tous leurs péchés. Seigneur,
prends pitié.
— Seigneur, prends pitié.
Que Dieu tout-puissant nous fasse miséricorde ; qu’il nous pardonne
nos péchés et nous conduise à la vie éternelle. — Amen.
Gloire à Dieu (p. 209)
Prière
Père, toi qui as merveilleusement créé l’homme et plus merveilleuse-
ment encore rétabli sa dignité, fais-nous participer à la divinité de ton
Fils, puisqu’il a voulu prendre notre humanité. Lui qui règne avec toi
et le Saint-Esprit, maintenant et pour les siècles des siècles. — Amen.
160 Prions en Église
JOUR DE NOËL

l iturgie de la P arOle
Lecture du livre du prophète Isaïe (52, 7-10)
« Tous les lointains de la terre ont vu le salut de notre Dieu »
Comme ils sont beaux sur les montagnes, les pas du mes-
sager, celui qui annonce la paix, qui porte la bonne nou-
velle, qui annonce le salut, et vient dire à Sion : « Il règne, ton
Dieu ! » Écoutez la voix des guetteurs : ils élèvent la voix, tous
ensemble ils crient de joie car, de leurs propres yeux, ils voient le
Seigneur qui revient à Sion. Éclatez en cris de joie, vous, ruines
de Jérusalem, car le Seigneur console son peuple, il rachète
Jérusalem ! Le Seigneur a montré la sainteté de son bras aux yeux
de toutes les nations. Tous les lointains de la terre ont vu le salut
de notre Dieu.
Psaume 97 (98)
”
“La terre tout
entière a vu le salut
que Dieu nous donne.
Prions en Église 161
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décembre
JOUR DE NOËL

] La terre tout entière a vu le salut que Dieu nous donne.
OU La terre entière a vu le Sauveur que Dieu nous donne.
Chantez au Seigneur un chant nouveau,
car il a fait des merveilles ;
par son bras très saint, par sa main puissante,
il s’est assuré la victoire. ]
Le Seigneur a fait connaître sa victoire
et révélé sa justice aux nations ;
il s’est rappelé sa fidélité, son amour,
en faveur de la maison d’Israël. ]
La terre tout entière a vu
la victoire de notre Dieu.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
sonnez, chantez, jouez ! ]
Jouez pour le Seigneur sur la cithare,
T. AELF ; M. : M. Wackenheim ; ADF-Bayard.
Écoutez ce psaume et retrouvez
les partitions en polyphonie sur :
www.chantonseneglise.fr
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162 Prions en Église
JOUR DE NOËL

sur la cithare et tous les instruments ;
au son de la trompette et du cor,
acclamez votre roi, le Seigneur ! ]
Lecture de la lettre aux Hébreux (1, 1-6)
« Dieu nous a parlé par son Fils »
À
bien des reprises et de bien des manières, Dieu, dans le
passé, a parlé à nos pères par les prophètes ; mais à la fin,
en ces jours où nous sommes, il nous a parlé par son Fils qu’il a
établi héritier de toutes choses et par qui il a créé les mondes.
Rayonnement de la gloire de Dieu, expression parfaite de son
être, le Fils, qui porte l’univers par sa parole puissante, après
avoir accompli la purification des péchés, s’est assis à la droite
de la Majesté divine dans les hauteurs des cieux ; et il est devenu
bien supérieur aux anges, dans la mesure même où il a reçu en
héritage un nom si différent du leur.
En effet, Dieu déclara-t-il jamais à un ange : Tu es mon Fils, moi,
aujourd’hui, je t’ai engendré ? Ou bien encore : Moi, je serai pour
lui un père, et lui sera pour moi un fils ? À l’inverse, au moment
d’introduire le Premier-né dans le monde à venir, il dit : Que se
prosternent devant lui tous les anges de Dieu.
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