עשר תעשר בשביל שתתעשר “En donnant tu t’enrichis” (Deutéronome 14,22) « Ce que l’on garde se fane, ce que l’on donne fleurit ! » J’ai entendu des « collecteurs de fonds » qui voulaient encourager leurs donateurs en affirmant : « Donnez jusqu’à ce que cela vous fasse mal ». Cela fait longtemps que je clame exactement le contraire : « Donnez jusqu’à ce que cela vous procure joie et bonheur ». Ce geste vous apportera, tant humainement que spirituellement, une satisfaction rare. Personne ne s’est jamais appauvri en donnant la Tsedaka. Au contraire, disent nos Sages, le donateur bénéficie d’une protection particulière dans ses biens, dans sa santé, dans tous les actes de sa vie. Comme l’a popularisé Enrico Macias dans l’une de ses chansons : « Donnez, donnez, donnez, Dieu vous le rendra ! » Les biens que l’on conserve finissent par s’user ou par disparaître. Un proverbe français dit : « Ce que l’on garde se fane, ce que l’on donne fleurit ! ». Au-delà des ressources nécessaires à assurer sa vie et celle de sa famille ou le développement de ses affaires, l’accumulation de patrimoine n’a jamais produit les fruits nombreux de la générosité. « Les besoins matériels de mon prochain sont mes besoins spirituels » enseignait le Rabbin Israël Salanter. Le don n’est pas un acte unilatéral, c’est un partage. Il procure au donateur la satisfaction d’être parmi ceux qui ont les moyens d’être généreux. Il permet aux nécessiteux de retrouver la joie de vivre et l’espoir d’une vie meilleure. Ils sont nombreux, trop nombreux, ceux qui ont besoin de vous. Le rôle du CASIP-COJASOR est d’en diminuer le nombre, d’aider ces personnes de façon efficace et humaine à retrouver leur autonomie. C’est pourquoi je vous le répète : « Donnez jusqu’à ce que vous ressentiez tout le bien et le bonheur que cela vous procure » ! Eric de Rothschild 1809 F O N D A T I O N CASIP-COJASOR Solidarité, un enrichissement collectif… Finie l’époque où « donner aux pauvres » était un acte de charité, de pitié, voire d’auto-gratification ! Aujourd’hui, depuis une trentaine d’années, l’économie sociale et solidaire, dont font partie les associations et fondations comme la Fondation CASIP-COJASOR, est reconnue comme un acteur essentiel de la vie économique nationale. Elle implique plus de 10 % des emplois salariés en France et investit des centaines de millions d’euros dans l’amélioration des conditions de vie des plus démunis. Les économistes décrivent ses effets positifs : redistribution des moyens financiers, de façon souvent plus équitable que l’impôt ; motivation des entreprises et de leurs salariés pour des actions humanitaires ; création d’infrastructures (souvent coûteuses) ; développement de secteurs contribuant à la résorption du chômage, etc. La Fondation CASIP-COJASOR participe pleinement à cette solidarité nationale. Ses aides financières ne sont pas que des secours, mais permettent aux bénéficiaires de participer, par leurs achats, à la vie économique. Ses établissements d’accueil pour les personnes âgées ou handicapées, ouvertes à toutes les populations, sont un enrichissement pour les infrastructures sociales, ses contributions au financement de restaurants sociaux, de structures de vacances sont un apport à l’économie. Aujourd’hui, on a pris conscience qu’aider les plus démunis, c’était aider l’ensemble de la population d’un pays, un enrichissement qui profite à tous, à soi-même et même aux plus aisés. Donner, d’une certaine manière, c’est s’enrichir collectivement ! Karêne FREDJ, Directrice générale de la Fondation CASIP-COJASOR 12 300 6 000 établir accueillir relations téléphoniques avec des usagers accueillir patients au Centre dentaire Keter 20 000 personnes par nos 10 services sociaux Vos dons nous o 13 1 377 8 300 2 400 gérer accompagner établissements pour personnes âgées, handicapées... demandeurs d’emploi 2 400 constituer dossiers d’indemnisations pour les rescapés de la Shoah accueillir soutenir participants aux activités pour les retraités personnes âgées Donne à la Fondation עשר תעשר בשביל שתתעשר Casip-Cojasor afin que tu deviennes plus riche C’est dans ces termes surprenants que nos Sages du Talmud expliquent le verset du Deutéronome (14,22) qui mentionne deux fois de suite le principe de prélever un dixième de sa récolte (« Asser TeAsser » - Prélever la dîme, tu prélèveras !). L’enseignement est construit sur un jeu de mots basé sur l’identité de racine des mots riche (« Ashir ») et dix (« Esser »). Mais comment peut-on devenir plus riche en donnant ? Serait-ce une incroyable martingale du Talmud ? Une première explication pourrait y voir une forme de bénédiction… et je la souhaite à tous nos donateurs. La deuxième fait référence à un enrichissement spirituel grâce au don. Mais il me semble que la véritable clé du message est dans le rapprochement de ce texte avec ce qu’enseignent nos Sages dans les Maximes de nos Pères (4,1) : « Qui est riche ? Celui qui est heureux de ce qu’il possède ». Autrement dit, l’acte de partager, de donner, apporte un éclairage nouveau sur ce qui nous appartient déjà. Notre vision du monde, de la société, change de nature et ce que nous possédons « vaut » plus pour nous car il devient empreint de sens. En faisant un don à la Fondation CASIP-COJASOR, nous avons donné une véritable signification à ce que nous détenons et à ce que nous sommes. Je donne donc je suis. Nous en sortons transformés et surtout plus riches. Henri FISZER, Vice-président de la Fondation CASIP-COJASOR ont permis de... 0 330 gérer 696 loger résidents dans nos établissements tutelles de majeurs protégés 3 350 000 attribuer d’aides financières € livrer aider 6 087 familles 33 000 repas à domicile 3 000 vêtir personnes donner accès à une mutuelle « santé » à 1 300 2 000 aider familles pour les fêtes juives et familiales personnes Ne renoncez pas aux réductions d’impôts que l’État vous accorde ! Il y a plus de 15 siècles, le Talmud disait déjà qu’il vaut mieux donner son argent à la Tsedaka qu’au fisc ! Nos Sages commentent : « Celui qui ne pratique pas la charité volontairement s’y verra contraint sous forme d’impôts et de taxes obligatoires ». (Baba Bathra 9a) « Le pauvre qui accepte la charité fait plus pour le riche que le riche ne fait pour le pauvre ». (Vayikra rabba 34,8) • Pour une Tsedaka qui bénéficie directement aux personnes en difficulté, • Pour une action sociale efficace de terrain, en France, à côté de chez vous, • Pour une solidarité agissante envers 20 000 personnes parmi les plus pauvres. Si vous êtes soumis à l’impôt sur le revenu Les dons des particuliers au CASIP-COJASOR bénéficient des réductions d’impôt maximum : 1) 75 % jusqu’à 530 € 2) 66 % au-delà, dans la limite de 20 % de vos revenus imposables. Les entreprises peuvent déduire annuellement 60 % de leurs dons jusqu’à 0,5 % de leur chiffre d’affaires HT. Lorsque les dons excèdent la limite de 20 % pour les particuliers ou de 0,5 % pour les entreprises, l’excédent peut être reporté sur les cinq années suivantes. IMPÔT SUR LE REVENU Votre don Votre réduction d’impôt 100 € 200 € 400 € 530 € 1000 € 2000 € DONNEZ GÉNÉREUSEMENT AU CASIP-COJASOR ! Votre participation réelle 75 € 150 € 300 € 398 € 708 € 1368 € 25 € 50 € 100 € 132 € 292 € 632 € Pour ceux qui ont l’obligation et la chance de payer l’ISF… PRÉVISIONNEL 2016 RESSOURCES 2016 : 45 579 K€ EMPLOIS 2016 : 45 579 K€ * Principaux financeurs : Claims, Fondation Rothschild HBM, FMS, Ville de Paris, Drihl, Dases, Ddcs ** L’excédent des dépenses a été couvert par des provisions préalablement constituées Etablissements pour Siège et personnes Services agées sociaux Handicap 21 596 K€ 9 881 K€ 6 840 K€ Survivants (47,4%) (21,7%) (15%) de la Shoah, Centre dentaire personnes 2 566 K€ isolées (5,6%) 3 126 K€ (6,8%) Prix de journée et dotations soins, établissements sous tutelle 19 699 K€ (43,3%) Enfance 719 K€ (1,6%) Hôtel social 404 K€ (0,9%) Bureau du Chabbath 447 K€ (1%) Autres produits 2 241 K€ (4,9%) Revenus de la Fondation 1 698 K€ (3,7%) Excédent des dépenses** 2 544 K€ (5,6%) Subventions publiques et privées* 3 713 K€ (8,1%) PAYEZ MOINS D’IMPÔTS OU PLUS DU TOUT EN VERSANT VOTRE DON • Par internet : www.casip.fr, site sécurisé (Caisse d’épargne) • Vous recevez votre reçu cerfa par e-mail en retour en quelques minutes • Toutes cartes de crédit (débit différé pour ceux que cela concerne) • Par chèque adressé : 8, rue de Pali-Kao 75020 Paris (reçu par poste ; par e-mail sur demande) • En apportant votre chèque ou votre carte de crédit, durant nos heures de bureau de 9h à 18h (ouverture le vendredi jusqu’à 16h) Informations, conseils et documentations en toute discrétion : 01 44 62 13 10 www.casip.fr https://fr-fr.facebook.com/Casip-Cojasor-949552995063888/ • [email protected] (Paiement sécurisé) Libéralités, dons et legs 5 200 K€ (11,4%) Participations des résidants et usagers 10 484 K€ (23%) Copyright : Erez Lichtfeld, Brigitte Smadja, Personnel de la Fondation Tout don à la Fondation CASIP-COJASOR procure une réduction de l’ISF à hauteur de 75 % de son montant. Pour obtenir la réduction maximale de 50 000 €, il faut verser 66 667 €. Pour bénéficier de cette réduction maximale, il ne faut pas panacher avec l’autre dispositif de réduction de l’ISF, celui des investissements dans les PME, car sinon l’avantage global est limité à 45 000 €. La réduction à l’impôt sur le revenu peut se cumuler à celle de l’ISF. Par exemple : vous versez 100 000 € à la Fondation CASIP-COJASOR. Vous déduirez 50 000 € de votre ISF sur 66 667 €. Le montant restant soit 33 333 € vous permettra de bénéficier de la réduction de l’impôt sur le revenu pour un montant de 22 047 €. Au total, votre don de 100 000 € aura généré 72 047 € de réductions d’impôts (soit 72 % de votre don !).