Le Grand Guide des Bases de Données :
Au-delà du Relationnel (In-Memory, NoSQL, NewSQL)
1
KEINE ZEIT
MEHR VERLIEREN
2
DIE FÜNF TOP-THEMEN
BEI DER SEPA-UMSTELLUNG
3
SAP ERP IN DREI
SCHRITTEN FRIST-
GERECHT UMSTELLEN
4
WAS BEI SEPA-DIENSTEN AUS
DER CLOUD ZU BEACHTEN IST
QUAND FAUT-IL ENVISAGER
D’UTILISER UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
NOSQL : LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT BIEN LE
FAIRE)
LE IN-MEMORY CONVIENT-IL
A VOTRE ENTREPRISE ?
QUEL SGBD IN-MEMORY
REPOND LE MIEUX A VOS
BESOINS ?
QUAND FAUT-IL ENVISAGER
D’UTILISER UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
NOSQL : LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT BIEN LE FAIRE)
LE IN-MEMORY CONVIENT-IL
À VOTRE ENTREPRISE ?
QUEL SGBD IN-MEMORY
RÉPOND LE MIEUX À VOS
BESOINS ?
Le Grand Guide des Bases de Données : Au-delà du relationnel (In-Memory, NoSQL, NewSQL)
2
A l’heure du Big Data, du Cloud et des données
hétérogènes et non structurée, les bases NoSQL
acronyme de « pas seulement SQL » - et leurs cousines
« In-Memory » changent le marché et sont plus adaptées
à certains usages que les SGBDR traditionnels… dont
certains deviennent également In-Memory par la magie
des extensions.
Après avoir abordé dans la première partie de ce « Grand
Guide des bases de données », les bases relationnelles,
honneur dans cette deuxième partie, aux bases qui
montent et à une tendance qui vise à mixer SQL et
NoSQL (pour capitaliser sur les compétences acquises) :
le NewSQL ou comment requêter en SQL une base
NoSQL (voire In-Memory).
Précisons que ce guide ne se veut évidemment pas
exhaustif (et qu’il sera certainement mis à jour). Mais
qu’il ne se contente pas non plus de faire un tour du
marché, puisqu’il revient sur les critères et les éléments
clefs à prendre en compte pour choisir le bon
SGBD NoSQL ou le bon outil In-Memory en fonction de
vos besoins précis.
A lire également :
Le Guide Essentiel : In-Memory : en sont les
technologies et les usages ?
Philippe Ducellier
Présentation
QUAND FAUT-IL ENVISAGER
D’UTILISER UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
NOSQL : LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT BIEN LE FAIRE)
LE IN-MEMORY CONVIENT-IL
À VOTRE ENTREPRISE ?
QUEL SGBD IN-MEMORY
RÉPOND LE MIEUX À VOS
BESOINS ?
Le Grand Guide des Bases de Données : Au-delà du relationnel (In-Memory, NoSQL, NewSQL)
3
Pour faire simple, les bases de données NoSQL
conviennent mieux quand vos données ne rentrent pas
bien dans les tables.
Nous travaillons avec des bases de données relationnelles
SQL depuis 40 ans : elles sont idéales pour le traitement
des transactions impliquant des données tabulaires
stockées dans des colonnes et des lignes. Nous pouvons
aussi analyser très efficacement ces données dans des
bases de données multidimensionnelles.
Les données qui se prêtent bien aux tables relationnelles
sont de type atomique. Cela signifie tout simplement
qu’elles peuvent être subdivisées jusqu’à arriver aux plus
petits composants manipulables.
Par exemple, nous stockons rarement le nom complet
d’un client dans un me champ. Quand on saisit les
données du client « M. Jacques Lemasson » dans une
base de données relationnelles, si nous souhaitons
pouvoir isoler toutes les personnes ayant pour civilité
« M. » et classer les clients par ordre alphabétique selon
leur nom de famille et leur prénom, nous devons stocker
les données du nom dans trois colonnes différentes d’une
table.
Aujourd’hui, une grande partie des données collectées ne
rentrent pas dans ce modèle de table : images, données
enregistrées par des capteurs, documents Word, flux
Twitter et autres données souvent appelées Big Data.
Et même si on arrive parfois à placer ces données dans
des tables, ce n’est pas forcément efficace.
On pourrait imaginer stocker chaque pixel d’une image
dans une ligne distincte d’une table relationnelle. Mais il
faut alors se poser la question suivante : quel code SQL
écrire pour déterminer si l’image comprend une
personne ?
Je ne veux même pas imaginer une seule seconde ce à
quoi ce code pourrait ressembler.
La bonne nouvelle, c’est que nous avons désormais des
moteurs de bases de données dédiés conçus pour
conserver et gérer le Big Data : les bases de données
NoSQL.
Les bases de données relationnelles nous imposent de
recourir à des schémas de données. Imaginez que ce
schéma est une façon de classer les données. Dans les
Quand faut-il envisager d’utiliser une base de données NoSQL
(plutôt qu’une base relationnelle) ?
QUAND FAUT-IL
ENVISAGER DUTILISER
UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
QUAND FAUT-IL ENVISAGER
D’UTILISER UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
NOSQL : LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT BIEN LE FAIRE)
LE IN-MEMORY CONVIENT-IL
À VOTRE ENTREPRISE ?
QUEL SGBD IN-MEMORY
RÉPOND LE MIEUX À VOS
BESOINS ?
Le Grand Guide des Bases de Données : Au-delà du relationnel (In-Memory, NoSQL, NewSQL)
4
bases de données relationnelles, il faut segmenter ces
données en unités atomiques, puis les organiser dans des
tableaux sous forme de colonnes et de lignes.
Il existe différents types de bases de données NoSQL, de
sorte que toute généralisation excessive serait trompeuse.
Mais globalement, ils ne nécessitent qu’un schéma très
simple, voire aucun.
Par exemple, certains systèmes de bases de données
NoSQL permettent d’enregistrer des fichiers image
directement dans la base de données sans altérer la
structure de celle-ci. On pourrait aussi stocker des
fichiers audio dans la même base de données.
Il devient beaucoup plus simple de placer des données
dans la base et on gagne en souplesse puisque la structure
des données n’est pas figée.
En conclusion, si vos données sont difficilement
stockables sous forme tabulaire ou interrogeables en
langage SQL, regardez donc du côté du NoSQL.
Mark Whitehorn, University of Dundee Consulting
LES INFRASTRUCTURES
CONVERES
EN FORTE CROISSANCE
EN EUROPE
QUAND FAUT-IL
ENVISAGER DUTILISER
UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
QUAND FAUT-IL ENVISAGER
D’UTILISER UNE BASE NOSQL
(PLUTOT QU’UNE BASE
RELATIONNELLE) ?
NOSQL : LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT BIEN LE FAIRE)
LE IN-MEMORY CONVIENT-IL
À VOTRE ENTREPRISE ?
QUEL SGBD IN-MEMORY
RÉPOND LE MIEUX À VOS
BESOINS ?
Le Grand Guide des Bases de Données : Au-delà du relationnel (In-Memory, NoSQL, NewSQL)
5
Les bases de données NoSQL ont été conçues pour
résoudre les problèmes de traitements de données en
volume, multi-sources et multi-formats, dans des
environnements Big Data.
Toutefois aucun distinguo n’est fait en matière de volume
ou diversité des données lorsqu’on parle de technologies
NoSQL, perdant ainsi les DSI et les responsables de la
donnée au milieu de nombreuses alternatives, difficiles à
évaluer.
« Le marché est aujourd’hui rempli de bases de données
NoSQL je pense que nous sommes confrontés à deux
ou trois d’entre elles tous les jours », ironise Michael
Simone, en charge de l’ingénierie de la plateforme
CitiData de Citigroup, lors d’une présentation réalisée à
l’occasion de la conférence MongoDB World.
En alité, Citi a circonscrit volontairement les usages de
la base MongoDB, comme alternative NoSQL aux bases
relationnelles, à un petit nombre d’applications, explique-
t-il. Toutefois, son intervention a mis l’accent sur un
point clé : la difficulté des entreprises à cibler la
technologie susceptible de répondre au mieux aux
problèmes et à leur application.
Remédier à cette difficulté commence par une bonne
compréhension des différents types de bases de données
NoSQL.
On peut classer celles-ci en quatre catégories : les bases
de données orientées document, les bases clé/valeur, les
bases en colonnes et les bases orientées graphes.
Elles ont toutes un point commun : le support de modèles
plus flexibles et dynamiques que ceux réalisés avec les
bases de données relationnelles traditionnelles.
Mais, chaque type de base NoSQL correspond à des
usages spécifiques, précise Nick Heudecker, analyste
chez Gartner. « Vous devez vous demander quel type de
données sont à manipuler et comment les applications
vont au final les utiliser. »
Les bases de données orientées
document : une structure mixe
Les bases de données orientées document sont souvent
utilisées dans les systèmes de gestion de contenus, ainsi
NoSQL : le choix difficile de la bonne base (et comment bien le faire)
NOSQL :
LE CHOIX DIFFICILE
DE LA BONNE BASE
(ET COMMENT
BIEN LE FAIRE)
1 / 23 100%
La catégorie de ce document est-elle correcte?
Merci pour votre participation!

Faire une suggestion

Avez-vous trouvé des erreurs dans linterface ou les textes ? Ou savez-vous comment améliorer linterface utilisateur de StudyLib ? Nhésitez pas à envoyer vos suggestions. Cest très important pour nous !