n°40 du vendredi 30 mai 2014
(1er Cha’aban1435 H)
Mois du Prophète de
la miséricorde infinie
Aujourd’hui, le monde de l’Islam a
besoin, plus que jamais, de la revi-
vification du souvenir du Prophète
(saw). L’Humanité a besoin de ce même
nom béni et de ses enseignements gran-
dioses.
Mais avant toute l’Humanité, c’est
d’abord et surtout le monde de l’Islam qui
doit reconnaître sa grande richesse spiri-
tuelle. Comme les nations qui, pendant
des siècles ont dormi affamées sur leur ri-
chesse matérielles inconnues jusqu’à ce
que les autres soient venues pour les pil-
ler, aujourd’hui le monde de l’Islam se
heurte à de nombreux problèmes à côté
de ses grandes sources spirituelles et ce,
alors que ces sources pourront le sauver.
Mouhammad est le Prophète béni : sa
création est beaucoup plus élevée que
toute l’humanité de toute l’histoire. Il a
dépassé les frontres matérielles. Il est
au-delà de ce que l’homme pourrait ima-
giner, sentir, comprendre par ses sens,
son intelligence et ses expériences. Même
s’il n’existait aucun verset et aucun hadith
ou signe religieux, l’homme pourrait com-
prendre cette vérité par le raisonnement.
C’est une notion très élevée. Ceux qui sont
familiers avec ces notions pourront voir
un très petit rayon de sa luminosité. Nous
comprenons et percevons tout simple-
ment cette créature bénie par nos sens.
Dans ces mêmes dimensions que les
hommes pourraient comprendre, il n’est
pas comparable avec les grandes person-
nalités. Par exemple le vénéAli (ni
soit-il) qui a attiré l’attention des élites du
passé et d’aujourd’hui qui le considèrent
comme un être fabuleux, cette même
grande personnaliest comme un enfant
et un élève devant le Prophète et lui-
même ne se prend pour rien devant le
Prophète (saw).
L’existence du noble Prophète est comme
un océan infini ’Ali (s) s’égare. Mais,
grâce à Dieu, Ai Ibn Abi Tôlib (as) ne
s’égare point dans cet océan de la miséri-
corde divine car il est la cité du savoir pro-
phétique. Il sait donc bien nager dans
l’océan insondable par les communs des
mortels. De ce fait, l’on peut deviner la
personnalité grandiose du Prophète (béni
soit-il).
LE PROPHETE
MOUHAMMAD (saw)
Comme un
océan infini
CHA’ABAN 1435 H
IN MEMORIUM
1989-2014
Il y a 25 ans,
l’Ayatollah
Khomeiny
nous a
quittés !
Cha’aban est un mois
noble et qualifié
comme étant le «
mois du Propte
(saw) », lequel y jeû-
nait et reliait le jeûne
de ce mois à celui du
mois de Ramadan
(c’est-à-dire qu’il jeû-
nait deux mois d’affi-
e). En effet, le
noble Prophète disait
: «Cha’aban est mon
mois; quiconque
jeûne un jour de mon
mois aura obligatoi-
rement droit au Pa-
radis».
Frère Madou : Entre nous,
jeunes, nous ne devons ac-
cepter que la vérité. Discu-
tons donc franchement.
Cheikh Djiré : D’accord, avec des
preuves, en toute sérénité. C’est ma
condition.
Frère Madou : Pourquoi vous,
les chiites, vous vous accrochez
seulement aux seuls Ahloul Baït
(as) et vous délaissez les compa-
gnons (‘’sahabas’’) du noble Pro-
phète ? Ces derniers n’ont-ils
aucun mérite ?
Cheikh Djiré : Tu poses très mal le
problème, frère Madou. La question
est d’abord de savoir s’il y a d’évi-
dentes raisons à ce que nous tenions
nos pratiques religieuses des ‘’Ma’as-
soumines’’ (les Infaillibles, les Ahloul
Baït-as) ; ensuite, il s’agit de savoir si
tous les compagnons ont scrupuleu-
sement respecté le Prophète dans sa
personnalité et dans ses enseigne-
ments.
Frère Madou : Explique-toi.
Cheikh Djiré : Très bien. J’attire
d’abord ton attention sur le fait que
nul croyant ne doit se hasarder à mi-
nimiser la portée de la parole divine
consignée dans le saint Coran, parole
inoxydable, inaltérable. Or, juste-
ment, voici la parole d’Allah : « Au
nom de Dieu, le Clément et le Miséri-
cordieux… ‘’En vérité, Dieu veut seu-
lement éloigner de vous la souillure, ô
Gens de la Demeure [du Prophète,
c’est-à-dire les Ahloul Baït (as)], et
vous purifier totalement’’.» (Sourate
33 ‘’al-Ahzab’’, Verset 33). Inutile de
te demander si tu peux rapporter du
saint Coran pareille parole purifiant
totalement autres personnes que les
Ahloul Baït (as). Il n’y en a pas. Donc,
il faut admettre que les seuls Êtres
exemptés de péchés, de souillures de
toutes sortes, d’erreur ou d’oubli, ce
sont uniquement les Ahloul Baït (as),
et cela de par la volonté consciente et
savante d’Allah.
Frère Madou : Soit ! Mais la fa-
mille du Prophète est très vaste :
il y a ses oncles, ses épouses, etc.
Cheikh Djiré : Grave erreur d’ap-
préciation. Disons que tu as tout faux.
Tu sais bien que la Sourate ‘’Tahrîm’’
(n° 66 du saint Coran), révélée après
notre verset ci-haut cité qui purifie to-
talement les membres de la famille
prophétique, accuse
deux femmes du Pro-
phète de s’être rebel-
lées contre Son
Messager…. Dieu
merci, tu connais bien
les subtilités de la
langue arabe, celle du
saint Coran en particu-
lier. Fais appel à ta
maîtrise de la gram-
maire arabe et à la lo-
gique pour relire le
verset en question.
Allah t’aidera alors à
comprendre et à corri-
ger ta lecture. En plus,
même en ne faisant pas
référence aux textes
chiites, vos propres ha-
diths rapportés dans
vos meilleurs ouvrages
disent que ce verset a
été révélé à propos
d’Ahloul Baïtt (as),
c’est- à-dire le noble Prophète, Ali, Fâ-
tima, al-Hassan et al-Hussein (que la
paix de Dieu soit sur eux !). C’était au
moment de la Révélation. Par la suite,
il est établi d’évidence que neuf der-
niers Imams immaculés sont issus
d’Al-Hussein (as), ce qui nous donne
les Douze Imams purifiés descendant
du noble Prophète (saw). La Demeure
prophétique comptera ainsi Quatorze
Infaillibles, en comptant les 12
Imams, le noble Prophète et Fâtima-
tou-Zahra (as). Là-dessus, il n’y a au-
cune contestation possible, en tout
cas pour un croyant honnête. Je te
renvoie donc aux ouvrages suivants
(sunnites et
chiites) : Mous-
nad Ahmad (v:1,
p:331 / v :4, p
:107 / v:6, p:292
et 304); Sahih
M o u s l i m
( v : 7 , p : 1 3 0 ) ;
Sounan at-Tir-
midhi (v:5, p
:361); Adh-
dhourriyya at-
t a h i r a
an-nabawiyya
de Dhalabi (p
:108) ; As-Sou-
nan al-koubra
de Nisa’i (v :5, p
:108 et 113) ; Al-
Moustadrak ‘ala
a s - s a h i h a y n
d'al-Hakem an-
Nisabouri (v:2,
p:416 /v:3,
p:133, 146 et
147) ; Al-Borhan de Zarkachi (p:197)
; Fath-ul-Bari fi charh Sahih al-Bou-
khari de Ibn Hajar al-‘Asqalani (v:7,
p:104) ; Ousol-ul-Kafi d'al-Kouleyni
(v:1, p:287) ; Al-Imama wa at-tabsira
de Ibn Babaweyh (p:47 , hadith :29) ;
Al-Khisal de Cheikh as-Sadouq
(p:403 et 550); Al-Amali de Cheikh
at-Toussi (hadiths 438, 482 et 783),…
Frère Madou : Est-ce que tu as
vraiment lu tous ces ouvrages,
toi ?
Cheikh Djiré : L’important est que
tu les lises, toi, avec les yeux et le cœur
du vrai croyant. J’ai dit que ma condi-
tion, ce sont les preuves. Et puis, per-
mets-moi de te citer le célèbre hadith
: « Je laisse parmi vous les deux tré-
sors (ath-thaqalayn) : le livre de Dieu
et ma parenté (itratî), les gens de ma
demeure (ahloul-baït) ; ils ne se sé-
pareront pas jusqu’à ce qu’ils vien-
nent à moi au Kawthar (le Bassin
paradisiaque) ». Ce hadith authen-
tique est cité dans plusieurs ouvrages
islamiques, parmi lesquels on peut
citer: Sahih Mouslim (v: 7, p: 122),
Sounan ad-Darami (v:2, p: 432),
Mousnad Ahmad (v:3, p:14,17,26 et
59 / v: 4, p:366 et 371 / v:5 , p:182),
Al-Moustadrak al-Hakem (v: 3, p:
109, 148 et 533),… Mais, curieuse-
ment, vous déformez en disant que le
Prophète a dit « Je laisse le Livre de
Dieu et ma pratique (sunnatî)» alors
que cette version n’est attestée par au-
cune de vos six sources fondamen-
tales (al-kutub-as-sitta). Vous prenez
cette version uniquement dans « Mu-
watta’a » de Mâlik et dans la « Sîra »
de Ibn HISHAM où elle apparaît tou-
jours, à chaque fois, sans la moindre
chaîne de transmission (isnâd), alors
même que vous n’avez pas « Mu-
watta’a » de Mâlik et la « ra » de
Ibn Hisham en haute considération.
C’est quoi ça ? Je termine le sujet par
le verset coranique, quand le noble
Prophète Chuaïb (as) s’adresse à ses
gens : « Ô mon peuple !, qu’en serait-
il selon vous si je me fonde sur une
preuve de mon Maître, et que Celui-
ci m’accorde une belle part de Sa
grâce ? Je n’entends guère me discré-
diter en faisant les choses que je vous
défends. Je ne cherche qu’à vous ren-
dre meilleurs, autant que je le puisse.
Mon succès ne relève que d’Allah. Je
me confie à Lui et vers Lui je reviens
rependant. »
Clin d’œil
La Sakina n°40 du vendredi 30 mai 2014 (1er Cha’aban1435 H)
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Et si on discutait avec des preuves…
Selon l'Imam al-Sâdiq (as), il n'est pas de croyant
qui, commettant chaque jour ou chaque nuit
jusqu'à quarante péchés majeurs, se repente sin-
cèrement en récitant l'Istigh-fâr suivant sans qu'Allah
ne lui pardonne (ses péchés) : “Astagh-fir-ullâh-al-
lathî ilâha illâ huwa-l-Hayy-ul-Qayyûmu, Badî`-ul-
samâwâti wa-l-ardhi, thu-l-Jalâli wa-l-Ikrâmi, wa
as'aluhu an yatûba `alayya.”
(Je demande pardon à Allah, en dehors Duquel il n'y
a d'autre Divinité que Lui, le Vivant, l'Auto-subsistant,
le Créateur des cieux et de la terre, le plein-de-
Majesté et de Munificence, et je me repens auprès de
Lui.)
Autre invocation de la demande de pardon (is-
tigh-fâr)
Selon une chaîne de transmission considérée (de ha-
dith) de l’Imam al-Bâqer (as) : « A celui qui invoque
(Allah) de cette invocation trois fois après les prières
obligatoires, avant qu’il ne déplace ses jambes, Dieu
pardonne ses péchés même s’ils étaient de la quantité
de l’écume de la mer : ‘’ Astaghfiroul-Lâha al-la
ilâha illâ houwa, al-Hayyou al-Qhayyoum zoul-djalâli
wal ikrâmi wa atoûbou ilaïhi’’ ».
La prière de l’Istighfãr
Si tu constates des difficultés dans ta subsistance et
des ennuis dans tes affaires, confie tes difficultés à
Allãh et accomplir la prière de l’Istighfãr, laquelle
consiste en deux rak’at: dans chaque rak’at récite la
Sourate Al-Hamd et la Sourate Al-Qadr= Le Destin)
suivie de la formule Astagh-fir-ullãh (je demande par-
don à Allãh) quinze fois, puis fais le rukû’ (agenouil-
lement) et récites-y la me formule dix fois, à la
manière de la prière de Ja’far Al-Tayyãr (R)(1). Après
quoi Allãh arrangera tes affaires. (2)
Notes:
1.(R) = abréviation de radhiy-Allãhu ‘anhu (qu’Allãh
soit satisfait de lui), formule de respect qu’on pro-
nonce chaque fois que l’on évoque le nom d’un Com-
pagnon.
2. "Makãrim Al-Akhlãq", P. 328.
Une invocation matinale
Le Prophète (saw) disait : « Si tu as prié la prière du
matin, dis dix fois : ‘Soubhânal-Lâhi al-azhîmi wa bi-
hamdihi, wa hawla wa qhouwwata illâ bil-Lâhi,
al-Aliyyi al-azhîmi’ ». (Source : Mafâtih-oul-
Djinnâni)
AhlulBaytic
L’invocation de la demande
de pardon (istigh-fâr)
Par Cheikh Souleymane
dit Almamy Djiré
Actualité
La Sakina n°40 du vendredi 30 mai 2014 (1er Cha’aban1435 H) 3
Le voyageur : Je ne veux pas
que ’adhaab’ (châtiment,
malédiction) soit écrit sur
mon compte.
Le Prophète : Comportes-toi
bien à l’égard de tes parents.
Le voyageur : Je veux être
connu comme une per-
sonne intelligente parmi les
personnes.
Le Prophète : Crains toujours
Allah.
Le voyageur : Je veux être
compparmi les favorisés
d’Allah.
Le Prophète : Récite le Coran
chaque matin et soir.
Le voyageur : Je veux que
mon cœur soit toujours
éclairé. (roshan et muna-
wer)
Le Prophète : N’oublie jamais
la mort.
Le voyageur : Je ne veux ja-
mais être loin de la bénédic-
tion d’Allah.
Le Prophète : Traites toujours
bien tes prochains.
Le voyageur : Je ne veux ja-
mais que mes ennemis
réussissent à me faire du
mal.
Le Prophète : Aie toujours foi
en Allah seul.
Le voyageur : Je ne veux ja-
mais être humilié.
Le Prophète : Fais attention à
tes actions.
Le voyageur : Je souhaite
avoir une longue vie.
Le Prophète : Fais toujours du
‘’sile rahm’’ (la bonté envers tes
liens de sang)
Le voyageur : Je veux que
ma subsistance s’accroisse
toujours.
Le Prophète : Sois toujours en
état de ‘’wudhoo’’ (l’ablu-
tion).
Le voyageur : Je souhaite
rester libre de l’adhaab
dans la tombe.
Le Prophète : Portes toujours
des habits purs (propres).
Le voyageur : Je ne veux ja-
mais être brûlé en enfer.
Le Prophète : Contrôle tes
yeux et ta langue.
Le voyageur : Comment
faire pardonner mes pé-
chés?
Le Prophète : Demande tou-
jours pardon à Allah avec beau-
coup d’humilité.
Le voyageur : Je veux qu’on
me respecte toujours.
Le Prophète : Ne tends jamais
la main aux gens.
Le voyageur : Je veux être
toujours honoré.
Le Prophète : N’humilie ja-
mais ou ne rabaisse jamais
quelqu’un.
Le voyageur : Je ne veux pas
être serré par la tombe
(pression dans la tombe).
Le Prophète : cite souvent la
surate el mulk.
Le voyageur : Je veux que
ma richesse accroisse.
Le Prophète : Récite sourate el
waqia.
Le voyageur : Je veux être
dans la paix et en sécurité le
jour du jugement.
Le Prophète : Fais le zikr (rap-
pel et invocation d’Allah) du dé-
clin du soleil jusqu’à la nuit.
Le voyageur : Je veux être
bien attentif et concent
pendant la prière.
Le Prophète : Fais toujours
‘’wudhoo’(les ablutions) avec
attention et concentration.
Quelle belle leçon vient de vous
être dispensée! Admirez-en la
pédagogie. Rassoulallah (saw) a
dit : « Faites passer ma parole à
tout le monde, même si c’est un
seul mot. » Ainsi, vous êtes priés,
chers lecteurs, de faire passer
cette leçon à tous vos parents et
amis. Qu’Allah nous aide à em-
prunter le chemin que Lui et son
Prophète (saw) nous ont ensei-
gné. Et que le Seigneur des
mondes nous bénisse tous, nous
les musulmans du monde !
DIX-HUIT REPONSES DU ‘’MOALIM’’ DE L’HUMANITE
Dialogue entre un voyageur et le Prophète (saw)
Une fois, un voyageur vint voir le Prophète (saw) dans sa mosquée. Après les salutations,
le Prophète (saw) lui demanda d’où est-ce qu’il venait. Le voyageur répondit qu’il était
venu de très loin, juste pour avoir la réponse à quelques préoccupations…
«Je deviens plus convaincu que jamais que ce n’était pas
par l’épée que l’Islam s’est fait sa place à l’époque. C’était
la profonde simplicité, l’auto-effacement pronondu
Prophète, la scrupuleuse application des engagements, son in-
tense dévotion envers ses amis et fidèles, ainsi que son intré-
pidité, son courage et sa confiance absolue en Dieu et en sa
mission. C’est grâce à tout cela, et non à cause de l’épée, que
tous les obstacles ont pu être surmontés. »
Le noble Prophète (saw) vu
par Gandhi (penseur, homme
d’Etat et leader nationaliste
indien, 1869-1948) :
IN MEMORIUM
Il y a 25 ans, l’Ayatollah Khomeiny nous a quittés !
C’est en effet le 03 juin 1989, à 87 ans, que le fondateur de la
République islamique d’Iran a rendu le dernier souffle dans
un hôpital de Téhéran. Celui qui s’appelle à l’état civil Rou-
houllah Mussawi est issu d’une famille chérifienne (‘’les
Sayyid’’) et avait vu le jour dans le petit village iranien de Kho-
meyn le 24 septembre 1902, date qui a correspondu au 20
Djoumada Thani du calendrier lunaire, jour anniversaire de
la sainte naissance de Fâtimatou-Zahra (as), la noble fille du
Prophète (saw) de l’Islam, qui épousa l’Imam Ali Ibn Abi Tôlib
(as) et de mariage béni seront issus les onze autres Imams
(as) de la lignée sanctifiée du dernier et plus grand des Mes-
sagers d’Allah.
Rouhoullah
Moussawi,
qui sera
mondialement
connu sous les
noms de l’Ayatollah
Khomeiny et de
l’Imam Khomeiny, a
été un leader es-
sentiellement mu-
sulman. Tout son
combat a été, en
effet, exclusivement
au service de la
cause d’Allah. Son adieu au peuple
croyant d’Iran fut ainsi exprimé en
quelques simples mais combien lourds
d’appel à l’attachement au Créateur su-
prême, Allah le Très-Haut : « Je m’en
vais, mais je vous laisse en héritage le
devoir sacro-saint de vous soulever
pour Allah chaque fois qu’il le faut. »
Pour lui, l’homme ne peut avoir aucune
excuse pour se fausser de ses res-
ponsabilités vis-à-vis du Seigneur des
univers. au quotidien par cette
conviction forte, il s’efforça toute sa vie
durant d’imiter les Prophètes, en parti-
culier celui de l’Islam, en s’astreignant
à la piété vraie et à l’adoration sincère.
« L’univers est la cour divine, ne com-
mettez pas de péché en présence de
Dieu », répétait-il sans relâche aux fi-
dèles. Et il appelait la communau
croyante à ne fonder son espoir et ses
espérances que sur Allah, le Seul qui
mérite d’être craint, à l’exclusion totale
des puissances sataniques qui ont fait
main basse sur notre planète : « Ne
craignez personne sauf Dieu ; ne comp-
tez sur personne sauf Dieu… Toutes les
attitudes et tous les actes consistent à
gagner la faveur du Créateur et à ac-
complir pour Dieu, que ce soit en prison,
en exil, ou au plus haut degré du pou-
voir, les services qu’Il agrée ». En cela,
sa prédication fut conforme à sa
conduite. Il ne transigea jamais avec les
valeurs divines.
Politique éclairé, l’Ayatollah Khomeiny
le fut pour le bonheur de l’Islam. Il mit
toujours en avant la noblesse et la gran-
deur des idéaux que la religion musul-
mane exige des musulmans. Il aborda
l’ensemble des problèmes qui assaillent
la vie des musulmans et y suggéra les
solutions les plus pertinentes. Il fit de la
question palestinienne une priorité et
décréta le dernier vendredi du mois de
Ramadan « Journée Mondiale d’Al-
Qhods » afin que chaque musulman ait
ce jour une pensée pieuse pour la libé-
ration de la sainte ville de Jérusalem
est édifiée la Mosquée d’Al-Aqsa, qui fut
la toute première ‘’qibla’de l’Islam et est
aujourd’hui le troisième lieu saint de l’Is-
lam, aps la Mecque et Médine. Par
ses sages exhortations et conseils, il
amena le peuple croyant libanais et ses
leaders à plus d’organisation et d’enga-
gement pour la défense de l’Islam et de
ses terres, au point que le Hezbollah
s’érigea en un mouvement de résis-
tance patriotique et religieux qui ne tar-
dera pas, 30 ans plus tard, à devenir
une force de frappe et une puissance
respectable et respectée tant au Proche
et Moyen Orient que dans la géopoli-
tique mondiale.
Pour ce qui est de l’unide la ‘’oum-
mah’’ islamique, l’Ayatollah Khomeiny
émit plusieurs idées généreuses pour
sa réalisation. L’une d’elle est qu’il ins-
taura la « semaine de l’unité islamique
» entre le 12 et le 17 du mois lunaire
‘’Rabî-ul-awwal’qui a vu naître le noble
Prophète (saw). Partant de la certitude
que « Le gouvernement islamique est le
gouvernement de la loi divine sur le
peuple », l’Imam Khomeiny instaura en
Iran, après le triomphe de la Révolution
islamique, un gouvernement authenti-
quement islamique, d’une manière que
les démocraties occidentales baes
sur « le pouvoir issu du peuple pour le
peuple » ne purent critiquer.
Bref, grâce à l’Ayatollah Khomeiny, nul
ne peut plus se hasarder à s’en prendre
aunoble Prophète (saw) et au
saint Coran. Sa vie, 25 ans après
son rappel à Dieu, demeure une
encyclopédie pour les cher-
cheurs dépouillés de suffisance,
de préjugés et d’arrogance. Il re-
pose auprès des saints martyrs
de la bénie Révolution islamique
iranienne à ‘’Beheshti Zahra (as)
(Cimetière Zahra) près de Téhé-
ran. Dors en paix, Grand soldat
de l’Imam Al-Mahdi (as), sous le
regard bienveillant et admiratif de
l’ensemble des Ahloul Baït (as) !
Moussa E. Touré
Je tiens à féliciter très honnête-
ment toute l’Equipe de l’Agence
‘’DJANNATOU AHLIL BAÏT’’
pour la production de ‘’La Sakina-
Achoura’’, un journal qui m'a per-
mise de comprendre beaucoup de
choses sur ma religion. La der-
nière édition (n° 39), qui est très
intéressante à tous points de vue,
m'a enseignée en particulier le
passé lointain de l’Islam et les si-
gnifications des fêtes religieuses.
La lecture du journal est capti-
vante et, comme un roman, on est
toujours pres de connaître la
suite. J'aime connaître très ar-
demment ma religion. A cet effet,
je souhaiterais toujours recevoir
‘’La Sakina-Achoura’pour m'in-
former, pour me cultiver, pour
mieux connaître mon Prophète et
sa vie.
Bon vent à la revue et que Dieu
vous bénisse ! AMEN !
Témoignages
La Sakina n°40 du vendredi 30 mai 2014 (1er Cha’aban1435 H)
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‘’LA SAKINA-ACHOURA’’ A 40 NUMEROS AU COMPTEUR : NOS LECTEURS TEMOIGNENT
Présidente Nationale de la FENACOF-MALI « NYEDA KURA » (Fé-
dération Nationale des Collectifs d’Organisations Féminines du
Mali), « FENACOF-MALI NYEDA KURA, un Espoir pour les
Femmes du Mali ! » , Chevalier de l'Ordre National du Mali
Ambassadrice de la Paix (de la Fédération pour la Paix Universelle: FPU)
Commissaire à la Commission « Dialogue et Réconciliation »
Vice-présidente de la COMADE (Coalition Malienne des Droits de l'Enfant) et
du Groupe des Femmes Leaders du Mali
Mme DEMBELE Oulématou SOW
« Je souhaiterais toujours recevoir ‘’La sakina-Achoura’’
pour… mieux connaître mon Prophète et sa vie.»
Balla Oumar CISSE
Conseiller des Affaires Etrangères au Ministère des Affaires
Etrangères, de l'Intégration Africaine et de la Coopération Inter-
nationale, Direction Asie et Océanie
Département Moyen-Orient et Océanie.
« ‘’La Sakina-Achoura’’ est une bénédiction pour
l’ensemble des musulmans de notre pays. »
Salâmou alaykoum !
Je tiens à adresser mes vives et
sincères félicitations à Mon-
sieur Amadou Diallo et à toute
l’Equipe de l’Agence ‘’DJANNA-
TOU AHLIL BAÏT’’ pour la
bonne qualité du n° 39 du jour-
nal ‘’La Sakina-Achoura’consa-
cré au mois de Radjab et à la
noble et haute personnalide
l’Imam Ali (as), le Successeur
légitime du Prophète
Mohammed (saw). Ma joie est
d’autant grande que j’attends
avec ferveur le prochain nu-
méro (N°40) qui, j’imagine,
sera consac au mois de
Cha’aban, mois dédié à notre
incomparable Prophète Aboul
Qassim. En tant que musulman
un tant soit peu averti des va-
leurs inestimables que recèle le
nombre 40 dans notre religion (Moham-
med a été investi Prophète à 40 ans, des
hadiths nous incitent à purifier notre foi
durant 40 jours pour mériter de la grâce
divine, etc.), j’ai tout lieu de croire que le
tout prochain numéro de ‘’La Sakina-
Achoura’’ sera celui du couronnement
d’une action salutaire entreprise diffici-
lement par Monsieur Amadou Diallo.
Oui, avec déjà 40 numéros mensuels au
compteur, cela fait plus de trois ans
d’existence ; mais c’est surtout la preuve
que le journal a prouvé sa pertinence
dans un espace médiatique national plu-
tôt bondé de journaux politiques, de faits
divers et autres. ‘’La Sakina-Achoura’’ est
même un organe d’informations isla-
miques devenu une bénédiction pour
l’ensemble des musulmans de notre pays.
Au cours de mes voyages, j’ai pu me ren-
dre compte que son audience a passé
les frontières du Mali. J’en suis fier
comme Malien, comme Africain et
comme musulman dans le monde.
D’autre part, je voudrais signaler que j’ai
lu avec beaucoup d’intérêt le Magazine
‘’Achoura, une grâce pour l’humanité’’
écrit admirablement par Amadou Diallo
et qui projette une vraie lumière sur ce
sujet. Je l’invite à prendre souvent la
plume pour traiter d’autres sujets avec la
même approche intellectuelle.
El Hadj DJIGUIBA KEITA dit PPR
(Prêt Pour la Révolution)
Ancien Ministre de la Jeunesse et des Sports, Secrétaire Général
du PARENA (Parti de la Renaissance Nationale)
« Grâce à ‘’La Sakina-Achoura’’, je connais maintenant mieux l’Imam
Ali, ce compagnon pas comme les autres de notre Prophète. »
Bien Cher Amadou Diallo,
Dans l'attente fébrile du No 40 de
cette revue islamique, je voudrais
te dire tout le bien que j'éprouve en
lisant ‘’La Sakina’’. En effet,
chaque numéro est une belle occa-
sion de révision coranique pour
moi. Les extraits des hadiths, les
zikrs et autres rappels de l'histoire
et de la vie du Prophète Mohamed
(PSS) et de ses grands compa-
gnons dont l'Imam Ali ont fait de
moi un " accroc " de cette revue.
J'avoue que j'étais assez ignorant
de la vie de l 'Imam Ali et, au-
jourd'hui, le jeune El Hadj que je
suis, n'est plus "perdu" dans les
débats sur Ali, ce compagnon pas comme
les autres de notre Prophète.
J'ai plus récemment découvert, en tant
qu'homme politique, la bonne apprécia-
tion d'un haut responsable de l'UMP (Op-
position française) relative à la
normalisation des relations de la Répu-
blique Islamique avec l'Occident. Les Oc-
cidentaux se rendent compte que ce
grand pays à l'histoire millénaire ne
pliera jamais l'échine et saura toujours
trouver les ressources nécessaires à son
épanouissement et à sa grandeur. Les fa-
meuses sanctions viennent de montrer
leurs limites. L'histoire de l'Iran continue.
Je te souhaite un bon compagnonnage
avec ce grand pays.
Chahana Takiou
Directeur de publication des journaux « 22 Septembre » et « Les
Echos du Parlement »
« Il n’y a dans ‘’La Sakina-Achoura’’, journal typiquement
islamique, aucune incitation à la haine. C’est très important. »
‘’La Sakina’va donc avoir 40 numéros
mensuels au compteur ! Cela fait déjà au
moins trois ans. Je dis ‘’Bravo !’’. Quand
notre grand-frère Amadou a tout aban-
donpour aller faire un journal isla-
mique, je me suis franchement demandé
ce qui lui arrivait. Aujourd’hui, au vu du
résultat, je suis soulagé, Dieu merci. ‘’La
Sakina’’ est devenu un journal utile pour
bon nombre de Maliens, la communauté
musulmane en particulier. Il nous fait
découvrir les enseignements de l’Islam
original que beaucoup d’entre nous,
même musulmans convaincus, ignorent
maintenant. Il est bien écrit et bien pré-
senté. Je note en plus qu’il n’y a dans ce
journal typiquement islamique aucune
incitation à la haine. C’est très impor-
tant.
SAWADOGO Souleymane
Médecin, Bamako, Mali
« Je trouve que le contenu du
journal est assez stéréotypé »
Je vous remercie de votre courage à nous faire
parvenir votre journal. J’apprécie cette approche
de votre équipe. Quant au contenu du journal, je
trouve que c’est assez stéréotypé. Il serait intéres-
sant de diversifier le contenu avec, par exemple,
des sujets d’ordre général. Aussi, le comité de ré-
daction pourra redoubler de vigilance pour cer-
taines fautes qui se glissent souvent dans le texte.
Je vous souhaite bon courage.
Témoignages
La Sakina n°40 du vendredi 30 mai 2014 (1er Cha’aban1435 H) 5
Je lis le journal ‘’La Sakina’’ depuis
longtemps. Je trouve que c’est un
excellent journal islamique. Les ar-
ticles qui y sont publiés sont de
très bonne qualité. Je ne suis pas
surpris de constater que le journal
s’impose de plus en plus dans l’es-
pace médiatique malien. Il a la par-
ticularité d’avoir une ligne
éditoriale claire, uniquement
basée sur le traitement logique des
sujets islamiques pour la bonne
compréhension des principes de la
religion musulmane.
J’en veux pour preuve le 38 du
20 avril 2014 dans lequel le Séné-
galais Chérif M’Ballo a fait un très
bon article, écrit avec savoir et pé-
dagogie, sur le mariage tempo-
raire. J’avoue que je ne savais rien
de cette pratique que certains, sans
aucun fondement, se mettent à dé-
nigrer, la taxant de pratique inter-
dite par la religion musulmane. A
la lecture de l’article de M. M’Ballo,
qui donne à l’appui toutes les références
coraniques, je crois plus que jamais à la lé-
galité du mariage temporaire. En ma qua-
lité de magistrat, j’ai compris que l’islam
donne au mariage des clauses très pro-
gressistes. J’ai même incité beaucoup
d’amis et de collègues à lire ledit article.
Je suis heureux d’affirmer que tous ceux
qui l’ont lu sont désormais convaincus
comme moi que le mariage temporaire
n’est pas interdit. J’invite le journal ‘’La
Sakina’’ à pervérer dans la voie qu’il
s’est tracée. L’Islam dans notre pays a ab-
solument besoin d’un organe comme
celui-ci.
Bon vent à La Sakina !
Mamadi Tounkara : Jeune Magistrat
« ‘’La Sakina’ m’a appris que l’islam donne au mariage des
clauses très progressistes. »
Honorable Moussa Diarra :
Député à l’Assemblée nationale
« ’La Sakina’est un instrument pédagogique qui permet au plus
grand nombre de nos concitoyens de mieux connaître l’Islam de la
famille du Prophète et les valeurs sublimes qui y sont attachées… »
Je pense qu’un journal isla-
mique comme ‘’La Sakina’’,
dans un vieux pays musulman
comme le Mali, doit être large-
ment diffusé et mis à la dispo-
sition de toutes les élites. C’est
un instrument pédagogique qui
permet au plus grand nombre
de nos concitoyens de mieux
connaître l’Islam de la famille
du Prophète et les valeurs su-
blimes qui y sont attachées, à
savoir l’adoration permanente
du Seigneur Allah, la paix, l’hu-
manisme, la sociabilité, la droi-
ture, l’honnêteté… A mon avis,
tous les hommes politiques du
Mali doivent être abonnés à ce
journal. Bon courage à l’Equipe
qui le produit.
Mademoiselle la « Grande Sauvée » : Diplômée en…
« Nous avons régularisé notre situation… »
Tonton Diallo, je t’envoie ce mot pour té-
moignage. Mais, s’il te plaît, ne publie
pas mon nom ou ma photo, j’en aurais
honte. Mon moignage est quand-
même important à être rendu public. En
effet, je suis une jeune diplômée, musul-
mane convaincue. A mon âge (plus de 24
ans), je suis encore célibataire. Com-
prends bien le reste que je ne saurai t’ex-
primer clairement, cher Tonton. Et
pourtant, je porte le ‘’hidjab’’, je prie ré-
gulièrement, j’observe le jeûne de chaque
lundi et jeudi, le jeûne des 13, 14 et 15 des
mois lunaires. Mais, pour ce qui est de ce
que je n’ose pas te dire clairement, mon
ami m’amène dans les chambres de
passe, chez les Chinois. Voilà, c’est dit.
Puis, ma mère a lu le 38 de ton journal
‘’La Sakina’’ dans lequel un Sénégalais
(Chérif M’Ballo) a écrit un excellent arti-
cle sur le mariage temporaire. Elle me l’a
montet elle m’a recommandé d’aller te
voir. Je n’ai pas pu… Ma mère et moi
avons décidé de discuter avec mon ami.
Mon père a surpris notre discussion et, à
notre grande surprise, il a dit qu’il
connaît le type de mariage dont nous
parlions et que c’est ce que faisaient tous
les grands ma-
r a b o u t s
d’Afrique il y a
des dizaines
d’années. Bref,
en accord avec
mes parents,
mon ami et
moi avons ré-
gulari notre
situation. Tu
c o m p r e n d s ,
Tonton Et
puis, dans le
39, nous avons
noté les réfé-
rences dans les
s o u r c e s
connues chez nous et nous avons fait vé-
rifier. Tu vois, Tonton, je suis devenue la
Grande Sauvée de Bamako. Mon témoi-
gnage est pour toutes mes sœurs. Der-
nière nouvelle, mon ami envisage
d’évoluer vers le mariage à durée indé-
terminée. Quand cela se précisera, c’est
moi-même qui irais t’informer. Encore
une fois, ne publie pas mon nom. Merci
pour tout.
Sékouba Dansoko : Agent municipal (Bamako)
« A chacune des éditions du journal, j’apprends de nouvelles choses
qui me rendent l’Islam davantage sympathique, voire indispensable. »
J’ai mis du temps à m’intéresser au jour-
nal ‘’La Sakina’’ que je considérais comme
un organe de propagande islamiste, po-
tentiellement djihadiste et terroriste. Par
la suite, j’ai remarqué que chaque fois
qu’une dizaine d’exemplaires arrivent à la
Mairie, les gens se ruent dessus et le lisent
avec attention. Puis, la demande est deve-
nue plus importante, on s’impatiente pour
le prochain numéro. Alors, je m’y suis mis
à mon tour et j’ai vite compris que c’est un
journal d’un type nouveau, un journal is-
lamique qui parle de la famille du Pro-
phète avec beaucoup de hauteur. Depuis,
j’en suis devenu un lecteur assidu et, à
chacune des éditions du journal, j’ap-
prends de nouvelles choses qui me ren-
dent l’Islam sympathique, voire
indispensable. C’est ça toute la différence
de ‘’La Sakina’’ avec tous les autres jour-
naux d’information que nous connaissons.
Je ne peux que féliciter toute l’Equipe qui
le produit.
Moussa Wélé Diallo : Professeur de Lettres au
« Lycée Cheikh Anta Diop » de Bamako
« ‘’La Sakina’’ nous permet de nous familiariser avec
les précieux enseignements du chiisme, valeurs
sauvegardées dans la sainte famille du Prophète. »
A quelqu’un comme moi habitué de s’in-
former sur l’actualité internationale à
travers les médias occidentaux, les enti-
tés comme l’Etat iranien et le Hezbollah
libanais apparaissent toujours sous les
traits d’un Diable avec des cornes ef-
frayantes. De la même manière, on est
vite amené à considérer Ali Khamenei, le
Guide de la Révolution iranienne, et
Hassan Nasrallah, le Leader de la Résis-
tance libanaise, comme les plus grands
chefs terroristes du monde, hostiles à
l’Occident, à la démocratie et au progrès.
Mais non ! Grâce au journal ‘’La Sakina’’,
on comprend facilement que ces deux
hautes personnalités sont, en réalité, de
vrais musulmans, de patriotes sincères et
engagés ainsi que des résistants prêts à
aller jusqu’au sacrifice suprême pour dé-
fendre leurs terres et leurs patries, leur
foi et leur religion. Comme c’est admira-
ble ! En plus, ‘’La Sakina’’ nous permet
de nous familiariser avec les précieux en-
seignements du chiisme, valeurs sauve-
gardées dans la sainte famille du
Prophète. Dans cette mission, le journal
a l’avantage d’être bien écrit et bien pré-
senté. Félicitations.
‘’LA SAKINA-ACHOURA’’ A 40 NUMEROS AU COMPTEUR : NOS LECTEURS TEMOIGNENT
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