reducing space utilization by 20 percent to 40 percent with lean management strategies have caught
the attention of senior executives and facilities planners.
Health Facilities Management, 07/08/09
http://www.hfmmagazine.com/hfmmagazine_app/jsp/articledisplay.jsp?dcrpath=HFMMAGAZINE/Articl
e/data/07JUL2009/0907HFM_FEA_planning&domain=HFMMAGAZINE Retour au Sommaire
Cercles de Qualité et Groupes de Résolution de Problèmes : 45 ans déjà
Les « Cercles de Qualité », à la mode dans les années 80, survivent sous différentes autres
appellations, comme les Groupes de Résolution de Problèmes (GRP).
En mai 1964, la première Conférence Nationale des CQ s’est tenue à Sendai, avec 149 participants et
20 présentations. Retour au Sommaire
Qualité et coût Retour au Sommaire
400 décès au Stafford Hospital : Quand les objectifs financiers l’emportent sur les objectifs
cliniques
A target-driven culture had “infested the NHS in recent years and that seems to put financial outcomes
for trusts above clinical outcomes for patients”.
“The problems that occurred at Mid-Staffs are not unique. The concentration on targets distorts clinical
care and the pressure by trusts to keep patients out of hospital may not be clinically safe.”
The problems at Stafford Hospital, where more than 400 deaths were caused by poor care, remain a
real risk in the NHS and could easily happen elsewhere, doctors warned yesterday.
The preoccupation with budgets and targets is exposing the NHS to pressures that compromise care
standards, with managers too quick to pursue financial incentives, such as turning their hospitals into
foundation trusts, the British Medical Association’s annual conference was told.
George Rae, a member of the BMA’s council, said that the Government’s reform agenda and its
“misplaced confidence in markets getting the right solutions” was one of the main reasons that
problems had arisen at Mid-Staffordshire NHS Foundation Trust.
Times June 30, 2009 Retour au Sommaire
En France, les marges d'économies disponibles
Robert Holcman a estimé qu'en l'état les marges d'économies disponibles ne sont pas à la hauteur
des montants attendus. En effet, le budget d'un établissement est absorbé à plus de 70 % par les
dépenses de personnel, 10 % à 15 % sont consacrés à la prise en charge des activités médicales,
une proportion identique aux dépenses dites d'hôtellerie et 3 % à 5 % sont affectés au paiement des
frais financiers. Cette répartition des charges est logique puisque l'activité de soins nécessite la
présence d'un personnel important et disponible.
La seule variable d'ajustement à la disposition des directeurs d'établissement réside dans la possibilité
de ne pas remplacer tous les agents partant à la retraite.
La gestion des ressources humaines étant contrainte, les établissements se retrouvent dans cette
situation paradoxale où la seule variable d'ajustement réside dans la qualité des soins. Le coeur de
l'activité des établissements constitue donc le premier poste d'arbitrage financier. La pression
budgétaire peut ainsi se traduire par une baisse de la qualité des soins.
Cette situation est regrettable car il est possible de dégager des économies en réorganisant les
fonctions logistiques (blanchisserie, restauration) assurées à l'intérieur des établissements. La liste
des 183 métiers de la fonction publique hospitalière établie par le ministère de la santé fait apparaître
trente fonctions soignantes et dix administratives, les 143 autres ne relevant pas des missions
spécifiques de l'hôpital, comme les pâtissiers, les réparateurs automobiles ou les vidéastes. Un
rapport récent de la Cour des comptes a d'ailleurs souligné que les hôpitaux emploient 87 000 agents
au sein de leurs services techniques et seulement 35 000 pour les activités médicotechniques
(pharmacies, laboratoires d'analyses et imagerie médicale).
Comptes rendus de la mission d'évaluation et de contrôle de la sécurité sociale 1er avril 2008
http://www.senat.fr/bulletin/20080331/mecss.html Retour au Sommaire