désire faire rentrer dans la cellule, car cette vésicule va pratiquer ce qu’on appelle une fusion induite
avec la membrane de la cellule et le contenu de cette dernière peut ensuite pénétrer dans la cellule.
b. Micro-injection
On peut introduire à l’aide de micro pipettes de nombreuse copies du gène dans un œuf qui vient d’être
fécondé. Chez les mammifères, l’œuf est prélevé dans l’utérus directement après l’accouplement et on
injecte dès lors le gène dans le noyau. Ensuite il faut encore réimplanter l’embryon dans une mère
porteuse. Malheureusement le rendement est faible et on se sait pas toujours bien où le gène va
s’implanter et de quelle manière il va s’exprimer. Chez les oiseaux cette technique reste difficile car on
ne sait pas réimplanter l’embryon. De plus le développement complet in vitro n’est maîtrisé que
partiellement. Chez les amphibiens, malgré les facilités qu’apportent la fécondation et le
développement en milieu extérieur (grâce aux œufs), il faut transpercer la coque protectrice, ce qui
reste très délicat.
Transposon :
Il existe dans le patrimoine génétique des bactéries, levures, plantes et invertébrés. Il s’agit en fait de
gènes sauteurs ou baladeurs qui peuvent voyager d’un endroit à l’autre du génome et qui peuvent
s’insérer un peu partout, il est dès lors possible d’introduire dans le transposon le gène que l’on veut
insérer. L’avantage est que le gène est en copie unique et qu’il ne s’insère pas n’importe où,
malheureusement nous n’avons pas encore détecté de transposon dans le génome des vertébrés bien
serait possible de se servir de certaines partie du transposon des invertébrés.
Cellules embryonnaires souches (ou cellules souches pluripotentes) : (schéma)
D’où viennent-elles ? Elles proviennent en fait de la partie interne du blastocyste (qui est l’embryon au
stade de plus ou moins 40 cellules). Ce sont des cellules capables d’engendrer tous les tissus de
l’organisme (ce qui représente 200 types de cellules). Comment font-elles ? Vous vous rappelez que
dans ce blastocyste sont encore toutes identiques et c’est seulement par la suite se différencier pour
donner tel type ou tel autre type de cellule. Ces cellules souches ont deux avantages principaux : elles
peuvent être mises en culture car elles se reproduisent indéfiniment, et elles peuvent donner un grand
nombre de cellules. Comment va-t-on pratiquer la trangenèse avec elles ? On va d’abord pendant la
culture insérer le gène choisi à l’aide de diverses méthodes. On va ensuite développer ces cellules non
pas en réimplantant cette cellule dans l’embryon (car en effet les cellules embryonnaires souches ne
sont plus des embryons à part entière) mais bien en l’incorporant à un embryon qu’on réimplantera
chez une mère porteuse. On a ainsi un embryon chimère, c’est à dire un embryon où se confondent
deux types de cellules : l’un avec un génome quelconque et l’autre avec le génome de la cellule
embryonnaire. Etonnamment cela ne pose aucun problème, on a d’ailleurs beaucoup
d’exemples comme celui de la souris où on a un génome à poil blancs et le génome de la cellule
embryonnaire souche à poils noirs. On obtient un souris avec un mélange non uniforme de poils noirs
et blancs.
Cytologie
1. Introduction :
Branche dela bio traitant la structure et les functions cellulaires comprendre la structure et
les activités expliquer le fonctionnement de l’organisme (ex: division cellulaire,
disfonctionnement cellulaire, hérédité,…) place importante
2. Organites cellulaires :
Propres aux eucaryotes (avec noyau) se situent dans le cytoplame de la cellule
accomplissent certaines fonctions synthèse, transformations, transport de substances et
déchetes intra-cellulaires.