Bien sûr ! Vous n'imaginiez tout de même pas que nous allions laisser cohabiter -sans rien dire ni rien faire
[89, notes 70 à 73>90!]- les "monstres"©[91] avec les non-"monstres"©[33, APR note 148][49, notes 71>104], les
"victimes"©[85,[6]] avec leurs "bourreaux"© psychologiques [92, note 6][93], les "loups"©[94][94bis] avec les
"agneaux"©[95][95bis], les gentils lapins [96][96bis] avec les méchants renards [97][98][99], etc.… en somme, les
"bien-portants" avec les "malades"©[100][101] ? C'est donc isoler ces derniers, en effet : le
"neuropsychiatre" est toujours prêt à protéger et servir la tranquillité d’esprit [86, note 402/2][102] des
premiers. Le méchant étant enfin sorti [103, notes 93>115], le gentil peut alors plus tranquillement aimer tout
seul [46,12, AV note 82].
Si nécessaire [46,6], isoler consistera bien sûr à "hospitaliser-pour-tous"©[104][105, notes 198,199][106, note 45] le
méchant, à le "non-existentialiser"©[107][108]… voire à le non-existentialiser par "accident thérapeutique"©[105,
note<256>][109] suivi de l'"enquête longue et difficile"©[110][111] de routine. « Mais le "neuropsychiatre", les
dingues, il les soigne. Il va leur faire une ordonnance, et une sévère… Il va leur montrer qui c'est
Raoul Boris. Aux quatre coins de Paris qu'on va les retrouver, éparpillés par petits bouts, façon
Puzzle. Lui, quand on lui en fait trop, il correctionne plus [112, note 20] : il dynamite [113][114], il disperse
[115, note 276+APR note 291], il ventile [116] ! »[117]
De plus en plus nombreux selon les experts : quand on en fait trop, on correctionne plus
les chiffres : on les multiplie ! Rappelons que peu importent les appellations du moment [118!] : la praxis
psy n’ayant aucune imagination, "pervers narcissique"©, violent psychologique [119][120>120bis,1Tm§3],
"personnalité manipulatrice"©[1], "psychopathe"©[46][121][121bis][122][123] et consorts ont tous bouilli dans la
même marmite [124], l'expert cuistot [125] se contentant d’en modifier les étiquettes -ou le dosage- avec
des ingrédients parfaitement interchangeables entre eux. [4, notes 91>94] Avec une fourchette oscillant le
plus souvent autour de 5% [126, note<111>][32,[17]][13,[7]] de la population, les experts s'en feraient presque
plus "raisonnables" que les non-experts ! Chez ces derniers en effet, on donne moins volontiers dans la
vision globale socioculturelle défaillante que dans une autre, plus immédiatement abordable et moins
complexe [127] : celle du voisin de palier [13,[8]][128] par exemple ; ou encore –sans même sortir de chez soi
(mais en vue de le sortir de chez soi [103, notes 93>115] !)- celle du conjoint [47][87][88] : particulièrement prisée
quand on n'accepte plus [129?] l'idée que lui aussi soit une personne. [123, notes 260,268][130]. Le précieux [46,3]
positionnement de "victime"©[85,[5,6]] étant par ailleurs plus soutenable [85, notes 32 à 37][5, note 49][131,(2), notes
25,26] vis à vis d'un proche désigné (et d'autres proches [132, note 59][133, note 26][134, APR note 130][135, APR note 51] par
rapport à lui) que de vagues et lointaines défaillances socioculturelles, on comprendra aisément que nous
rentrions de plain-pied dans la dynamite, la dispersion, la ventilation… puisque les chiffres explosent
littéralement [136][137] chez les non-experts !
Alors même qu'il se donnait pour tâche de concentrer l'attention socioculturelle sur un strict
minimum de néo-"impurs"©[138][139][140][141] -afin de multiplier au maximum [48, notes 171,172] les néo-
"purs"©[142][143][144]-, le néo-"péché"©[4, APR note 94] serait-il en train [145] de surpasser en nombre "l’ex-péché"
? La praxis psy ne réservant aucune surprise [146, note 7], voilà qui correspond néanmoins à ses canons
internes [89, notes 70>73]. Aussi irons-nous la chercher plutôt outre-Atlantique : cette fois non auprès de
quelque esprit laïque -plus ou moins lucide sur les défaillances de son environnement socioculturel
[147][148][149][53]- mais chez un pasteur évangélique [150][150Fr], plus confessionnellement marqué par
définition. En l'espèce, laissons de côté les éventuels préjugés anti-religieux primaires [33, note<193>][123,
note<171>] : ici comme ailleurs [34][151][19, APR note 86>39], la question est moins de promouvoir -ou de stigmatiser
!- telle ou telle autre religion que d'entendre les différents discours que chacune peut nous énoncer. Une
question qui se fait d'autant plus hors-sujet que de leur côté, les néo-dieux [26] ne s'en embarrassent guère
[152][153][154][155][156][157, note<305>][158] : parallèlement, nous n'avons pas fini de découvrir combien on peut
soi-même s'afficher de telle ou telle autre confession [60,1Co, APR note 44][159, notes 517 à 537]… tout en LEUR offrant
la meilleure part [160, APR note 39][161, notes 17][162][87,Lc(2)]. À cet égard, jusque dans les rangs de leurs plus
farouches adversaires, nous ne sommes pas toujours à l'abri de quelque surprise [19, APR note 132].
Sans oublier quelque autre de leurs farouches adversaires apparents : celui-ci est si peu marqué
confessionnellement qu'il aime au contraire se faire remarquer comme égal adversaire de la "religion" et de
ses pompes. Ainsi, tout en ayant réduit Freud en confettis de la main gauche, nous avait-il mis les bouchées
doubles de la main droite… son objet étant alors d'en réduire un autre -virtuellement- en confettis. Autant
son argumentation vilipendant le freudisme pouvait tenir la route, autant nous offrait-il une monumentale
sortie de route… en passant par le chemin de Damas : c'est-à-dire, en réinterprétant à "sa" sauce le chemin
de Damas d'un autre [163, notes 56>63]. Des guillemets au possessif "sa": la dite sauce étant en effet
d'emprunt… au cuisinier [125] du Synthé Psy [164, APR note 10][165, APR note 158][166, APR note 33][167, APR note 71][168, APR
note 280], l'inspirateur direct du sieur Freud ! C'est qu'au titre d'égal adversaire de la "religion", notre homme
nourrit une inimitié cinglante à l'encontre de l'un de ses représentants les plus emblématiques… au sujet
même de "l’ex-péché". Paul, c'est celui qui "ne réalise pas le bien qu'il voudrait, mais fait le mal qu'il ne
voudrait pas"][168,Rm(3)]. C'est encore celui qui agace "l'homme plein de lui-même, ne sachant rien, malade de