Au grossissement n`était pas l`imberbe, et le nain était auprès des

Au grossissement n'était pas l'imberbe, et le nain était auprès des siens.
[*] [*][*][*] charmant »
(1)[Mercredi 25 décembre 2013]
(Solennité de la Nativité du Seigneur)
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 1, 1-18. {*}{*}{*}{*(2)} {*}{*}
Au commencement était le Verbe, la Parole de Dieu, et le Verbe était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu. Il
était au commencement auprès de Dieu.
Par lui, tout s'est fait, et rien de ce qui s'est fait ne s'est fait sans lui.
En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes ; la lumière brille dans les ténèbres, et les
ténèbres ne l'ont pas arrêtée.
Il y eut un homme envoyé par Dieu. Son nom était Jean. Il était venu comme témoin, pour rendre témoignage
à la Lumière, afin que tous croient par lui. Cet homme n'était pas la Lumière, mais il était pour lui rendre
témoignage.
Le Verbe était la vraie Lumière, qui éclaire tout homme en venant dans le monde. Il était dans le monde, lui par
qui le monde s'était fait, mais le monde ne l'a pas reconnu. Il est venu chez les siens, et les siens ne l'ont pas
reçu. [6][*]
Mais tous ceux qui l'ont reçu, ceux qui croient en son nom, il leur a donné de pouvoir devenir enfants de Dieu.
Ils ne sont pas nés de la chair et du sang, ni d'une volonté charnelle, ni d'une volonté d'homme : ils sont nés de
Dieu.
Et le Verbe s'est fait chair, il a habité parmi nous, et nous avons vu sa gloire, la gloire qu'il tient de son Père
comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. Jean Baptiste lui rend témoignage en proclamant : « Voici celui
dont j'ai dit : Lui qui vient derrière moi, il a pris place devant moi, car avant moi il était. »
Tous nous avons eu part à sa plénitude, nous avons reçu grâce après grâce : après la Loi communiquée par
Moïse, la grâce et la vérité sont venues par Jésus Christ.
Dieu, personne ne l'a jamais vu [187>193] ; le Fils unique, qui est dans le sein du Père, c'est lui qui a conduit à
le connaître.
(2)[Rappel du vendredi 23 mars 2012>Jn(2)][Jn(3)]
Évangile de Jésus-Christ selon saint Jean 3,14-21. {*}
{*|*}{*}[>10/2][>6]{*}{*}{*}{*}{*}{*(1)}
« […] Celui qui croit en lui échappe au Jugement, celui qui ne veut pas croire est déjà jugé, parce qu'il n'a pas
cru au nom du Fils unique de Dieu. Et le Jugement, le voici : quand la lumière est venue dans le monde, les
hommes ont préféré les ténèbres à la lumière, parce que leurs œuvres étaient mauvaises [>246]. En effet,
tout homme qui fait le mal déteste la lumière : il ne vient pas à la lumière [>96], de peur [>191] que ses
œuvres ne lui soient reprochées (*)[…]
Boris Cyrulnik citant Sigmund Freud :
"On ne devient pas pervers, on le reste"
Publié le jeudi 17 mai 2012 à 07h00
Manipulations [1][2][3], harcèlement, et autres manœuvres machiavéliques, les pervers
narcissiques [4, notes 82 à 85][5, notes 15 à 17][6] sont au sommet de leur art et de plus en plus nombreux
selon les experts [7, notes 34 à 38][8][9]. L’éclairage [10][11, notes 309 à 311] du célèbre [12] neuropsychiatre (A).
Comment et pourquoi devient-on (A) pervers narcissique ?
Notre culture [13, AV note 26][14,[10], APR note 183][15, APR note 212][16, note<503>][17, notes 81 à 84] valorise le narcissisme,
l'individualisme et ensuite, on s'en plaint ! On a le culte du développement de la personnalité, quel que soit le prix
que cela coûte aux autres, alors que dans les cultures asiatiques [18, APR note 218] et dans d'autres cultures, on
valorise le développement de l'individu dans sa famille, dans son groupe. C'est un autre modèle. Pour l'instant, car
c'est en train de changer [19, notes 107 à 112].
Depuis le XIIIe siècle, l'Occident valorise l'individu [20, AV note 923>21][22, APR note 977], c'est un progrès mais cela
fragilise les liens [23]. Dans les cultures tyranniques, les dictatures religieuses [19, notes 127 à 130], on considère que
l'individu n'a aucune valeur [24], ce qui compte c'est la défense du groupe [25], de la famille de Dieu ou du tyran,
que le tyran soit sacré ou profane [26].
Qui est « l'autre » pour le pervers narcissique (B) ?
Seul compte son plaisir [27, APR note 54]. S'il s'amuse bien [28][29], peu importe les autres. Les autres sont des
ombres, des pantins [30][31]...
On naît pervers narcissique ou on le devient (C) ?
Freud [11, note 332] répond à cela : « on ne devient pas pervers, on le reste »[32]. Un enfant met quatre ans au moins
à découvrir l'autre. Pour le bébé, la mère est un objet sensoriel : elle nourrit, sécurise, enveloppe, c'est une odeur,
une voix, ce n'est pas vraiment un autre. A partir de quatre ans, l'enfant comprend que maman est une personne
qui peut imposer sa loi, ses intentions, ses croyances. On ne devient adulte vraiment que quand on accepte l'idée
que sa mère aussi est une personne.
Quel est le mal profond du narcissique ? N'est ce pas plutôt celui qui a souffert du manque d'amour (D) ?
Il n'y a pas de mal [33, note 123][34, notes 9 à 15][35, notes 306 à 309][36, APR note 492][37, notes 36>51], il y a un arrêt de
développement. Cocooner un enfant, c'est le mettre en appauvrissement affectif. La mère trop protectrice pense
que son enfant n'a le droit d'aimer qu'elle. Il y a des pères aussi dans ce cas. Ces mères sont amoureuses du petit
être qu'elles mettent au monde. Les psychanalystes [38][39] disent que pour ces femmes-là, mettre au monde un
enfant, c'est un substitut phallique…
Une mère protectrice est émerveillée d'avoir mis au monde un enfant, et pense que sa valeur tient par cet enfant.
Elle va tout faire pour lui, il ne peut aimer personne d'autre qu'elle. C'est une prison affective [40][41][42][43], proche
de l'appauvrissement affectif des enfants abandonnés.
Aimer de la sorte, c'est donc isoler (E) ?
Si on met un grillage [44][41] village autour de l'enfant [45], il apprendra mille manières d'aimer [46,12, AV note 82][47][48,
note<171>][49, notes 80 à 82]. Et là, possiblement, il y a moins de pervers narcissiques.
Le développement du pervers narcissique encouragé par notre culture est une preuve [50][51] de notre défaillance
socioculturelle.
[...] Retrouvez la totalité de l'interview sur le journal en ligne ou dans l'édition de Corse-Matin du 17 mai
Propos recueillis par Hélène ROMANI
(A) Comment et pourquoi devient-on… "célèbre neuropsychiatre" ?
Au moyen d'une telle discipline [52][53, note 7], comment pourrait-on en effet se prévaloir d'avoir su
"guérir"©[54] davantage que de moins "célèbres" ? (Il est vrai qu'en "guérir"© un seul serait déjà
"davantage"[55,[8]][56,[7]] !…) Ne bénéficie-t-on pas plutôt du prestige [57] d'un "neuro-" venant
opportunément apporter cette indispensable TOUCHe [58][59, notes 164,165] "clinique"©[60, notes 47 à 53] qui fait
cruellement défaut [61][62] au passager moins "célèbre" de la néo-chaise à porteurs [63] ?
(B) Qui est « l'autre » pour le "célèbre neuropsychiatre" ?
Vous pouvez répéter la question [64] ?
(C) On naît "neuropsychiatre" ou on le devient ?
Ah ; inutile de la répéter, celle-ci : tant la réponse coule de source [65] ! Paris V [65][65bis] (ou équivalent)
oblige, on ne naît pas"psychiatre" ou "neuropsychiatre" : on le devient ! Ceci y compris lorsqu'on officie
au sein d'une materni[66] : lieu par excellence de la naissance. Il arrive même que l'on puisse devenir
"célèbre" ensuite ! En revanche, il est plus rare de "naître célèbre" ; à cet effet, l'idéal est encore d'être
"envoyé par Dieu" ou beaucoup mieux : "être auprès de Dieu, être Dieu". Fût-on un "célèbre
neuropsychiatre", on doit malheureusement [67, APR note 30/2] se contenter d'être dévoyé [68] par les néo-
dieux [26][69]
Freud répond également à cela : par lui, tout s'est défait [70][72][73][74][75][76][77], et peu de ce qui est méfait
[78][79][80][81] ne s'est fait sans lui. Je suis venu comme témoin [82], pour rendre témoignage à Freud, afin que
tous croient [83] par lui. Cet homme est notre lumière [84][85], et je suis là pour lui rendre témoignage.
(D) Quel est le mal profond du "neuropsychiatre" ? N'est ce pas plutôt celui qui a souffert du manque
d'amour ?
Vous voulez rire ? Il n'y a toujours pas de mal [0, notes 33 à 37] : désormais, tout est devenu "pathologique"©[82,
note<90>] ; et rien de ce qui se "soigne"©[27, notes 95>100] ne se "soigne"© sans lui. Rien de ce qui ne se
"soigne"© pas non plus [83, AV note 86][84], c'est dire !
Le "bien"© profond du "neuropsychiatre", c'est plutôt de savoir "détecter"©[85, notes 59 à 62] celui qui manque
d'amour ; même s'il ne l'a jamais vu [86, notes 187 à 193]ou même si celui- n'en souffre pas [87][88].
(E) Aimer de la sorte, c'est donc isoler ?
Bien sûr ! Vous n'imaginiez tout de même pas que nous allions laisser cohabiter -sans rien dire ni rien faire
[89, notes 70 à 73>90!]- les "monstres"©[91] avec les non-"monstres"©[33, APR note 148][49, notes 71>104], les
"victimes"©[85,[6]] avec leurs "bourreaux"© psychologiques [92, note 6][93], les "loups"©[94][94bis] avec les
"agneaux"©[95][95bis], les gentils lapins [96][96bis] avec les méchants renards [97][98][99], etc.… en somme, les
"bien-portants" avec les "malades"©[100][101] ? C'est donc isoler ces derniers, en effet : le
"neuropsychiatre" est toujours prêt à protéger et servir la tranquillité d’esprit [86, note 402/2][102] des
premiers. Le méchant étant enfin sorti [103, notes 93>115], le gentil peut alors plus tranquillement aimer tout
seul [46,12, AV note 82].
Si cessaire [46,6], isoler consistera bien sûr à "hospitaliser-pour-tous"©[104][105, notes 198,199][106, note 45] le
méchant, à le "non-existentialiser"©[107][108]voire à le non-existentialiser par "accident thérapeutique"©[105,
note<256>][109] suivi de l'"enquête longue et difficile"©[110][111] de routine. « Mais le "neuropsychiatre", les
dingues, il les soigne. Il va leur faire une ordonnance, et une sévère… Il va leur montrer qui c'est
Raoul Boris. Aux quatre coins de Paris qu'on va les retrouver, éparpillés par petits bouts, façon
Puzzle. Lui, quand on lui en fait trop, il correctionne plus [112, note 20] : il dynamite [113][114], il disperse
[115, note 276+APR note 291], il ventile [116] ! »[117]
De plus en plus nombreux selon les experts : quand on en fait trop, on correctionne plus
les chiffres : on les multiplie ! Rappelons que peu importent les appellations du moment [118!] : la praxis
psy n’ayant aucune imagination, "pervers narcissique"©, violent psychologique [119][120>120bis,1Tm§3],
"personnalité manipulatrice"©[1], "psychopathe"©[46][121][121bis][122][123] et consorts ont tous bouilli dans la
même marmite [124], l'expert cuistot [125] se contentant d’en modifier les étiquettes -ou le dosage- avec
des ingrédients parfaitement interchangeables entre eux. [4, notes 91>94] Avec une fourchette oscillant le
plus souvent autour de 5% [126, note<111>][32,[17]][13,[7]] de la population, les experts s'en feraient presque
plus "raisonnables" que les non-experts ! Chez ces derniers en effet, on donne moins volontiers dans la
vision globale socioculturelle défaillante que dans une autre, plus immédiatement abordable et moins
complexe [127] : celle du voisin de palier [13,[8]][128] par exemple ; ou encore sans même sortir de chez soi
(mais en vue de le sortir de chez soi [103, notes 93>115] !)- celle du conjoint [47][87][88] : particulièrement prisée
quand on n'accepte plus [129?] l'idée que lui aussi soit une personne. [123, notes 260,268][130]. Le précieux [46,3]
positionnement de "victime"©[85,[5,6]] étant par ailleurs plus soutenable [85, notes 32 à 37][5, note 49][131,(2), notes
25,26] vis à vis d'un proche désigné (et d'autres proches [132, note 59][133, note 26][134, APR note 130][135, APR note 51] par
rapport à lui) que de vagues et lointaines défaillances socioculturelles, on comprendra aisément que nous
rentrions de plain-pied dans la dynamite, la dispersion, la ventilationpuisque les chiffres explosent
littéralement [136][137] chez les non-experts !
Alors même qu'il se donnait pour tâche de concentrer l'attention socioculturelle sur un strict
minimum de néo-"impurs"©[138][139][140][141] -afin de multiplier au maximum [48, notes 171,172] les néo-
"purs"©[142][143][144]-, le néo-"péché"©[4, APR note 94] serait-il en train [145] de surpasser en nombre "l’ex-péché"
? La praxis psy ne réservant aucune surprise [146, note 7], voilà qui correspond néanmoins à ses canons
internes [89, notes 70>73]. Aussi irons-nous la chercher plutôt outre-Atlantique : cette fois non auprès de
quelque esprit laïque -plus ou moins lucide sur les défaillances de son environnement socioculturel
[147][148][149][53]- mais chez un pasteur évangélique [150][150Fr], plus confessionnellement marqué par
définition. En l'espèce, laissons de côté les éventuels préjugés anti-religieux primaires [33, note<193>][123,
note<171>] : ici comme ailleurs [34][151][19, APR note 86>39], la question est moins de promouvoir -ou de stigmatiser
!- telle ou telle autre religion que d'entendre les différents discours que chacune peut nous énoncer. Une
question qui se fait d'autant plus hors-sujet que de leur côté, les néo-dieux [26] ne s'en embarrassent guère
[152][153][154][155][156][157, note<305>][158] : parallèlement, nous n'avons pas fini de couvrir combien on peut
soi-même s'afficher de telle ou telle autre confession [60,1Co, APR note 44][159, notes 517 à 537]tout en LEUR offrant
la meilleure part [160, APR note 39][161, notes 17][162][87,Lc(2)]. À cet égard, jusque dans les rangs de leurs plus
farouches adversaires, nous ne sommes pas toujours à l'abri de quelque surprise [19, APR note 132].
Sans oublier quelque autre de leurs farouches adversaires apparents : celui-ci est si peu marqué
confessionnellement qu'il aime au contraire se faire remarquer comme égal adversaire de la "religion" et de
ses pompes. Ainsi, tout en ayant réduit Freud en confettis de la main gauche, nous avait-il mis les bouchées
doubles de la main droiteson objet étant alors d'en réduire un autre -virtuellement- en confettis. Autant
son argumentation vilipendant le freudisme pouvait tenir la route, autant nous offrait-il une monumentale
sortie de routeen passant par le chemin de Damas : c'est-à-dire, en réinterprétant à "sa" sauce le chemin
de Damas d'un autre [163, notes 56>63]. Des guillemets au possessif "sa": la dite sauce étant en effet
d'emprunt… au cuisinier [125] du Synthé Psy [164, APR note 10][165, APR note 158][166, APR note 33][167, APR note 71][168, APR
note 280], l'inspirateur direct du sieur Freud ! C'est qu'au titre d'égal adversaire de la "religion", notre homme
nourrit une inimitié cinglante à l'encontre de l'un de ses représentants les plus emblématiques… au sujet
même de "l’ex-péché". Paul, c'est celui qui "ne réalise pas le bien qu'il voudrait, mais fait le mal qu'il ne
voudrait pas"][168,Rm(3)]. C'est encore celui qui agace "l'homme plein de lui-même, ne sachant rien, malade de
la discussion et des querelles de mots"[120bis,1Tm]. C'est toujours lui qui, à la suite de Jean, rappellera à sa
façon que "si nous disons que nous n'avons pas de péché, nous nous égarons nous-mêmes et la vérité n'est pas
en nous"[146,1Jn]. C'est surtout lui pour qui "il n'y a pas de différence : tous les hommes sont
pécheurs"[168,Rm(1)]. Non point plus ou moins 5% (ou 95% à l'inverse) -en fonction de contingences
socioculturelles défaillantes établies par quelque éclairant "spécialiste"© du moment ("célèbre" ou non)-,
mais tous : pas besoin d'être agrégé en arithmétique pour savoir que tous=100% ; pas besoin d'être
agrégé en Histoire pour savoir qu'on n'a pas attendu les pompes républicaines pour connaître… l'égalité. Avec
de pareilles déclarations, l'Apôtre des païens se faisait déjà "impardonnable" aux yeux du néo-philosophe
"laïcard pur et dur". C'est encore auprès des Romains qu'il franchira la ligne rouge [169] : le néo-
philosophe n'aura pas été assez sot pour ne pas blêmir en se voyant illustrer l'Écriture malgré lui
obscur [170] : "ils se sont laissé aller à des raisonnements qui ne mènent à rien, et les ténèbres ont rempli
leurs cœurs sans intelligence. Ces soi-disant sages sont devenus fous…"[168,Rm(2)] ! « Ah oui ? Puisqu'il en
est ainsi, à "fous", fou et demi » : pour "échapper au Jugement"[>Jn(2)], rien de tel que de juger deux fois
plus durement le juge et mille fois plus injustement. À rebrousse-poil de l'esprit même de son propre
"chemin de Damas", Paul se voit couvert des "pustules psychiques"©[163, notes 56>63] dont le néo-philosophe
l'afflige généreusement à travers les siècles ! Manœuvre dilatoire et dérisoire que seul applaudit un public
conquis d'avance- et délibérément anachronique : lorsqu'on prétend se fendre d'un monumental
pavé se destinant à vouer Freud et consorts à la géhenne [171], on commence par se renseigner sur
l'historique de sa "doctrine"©[36, notes 480>492][172]. Toujours pas besoin d'être agrégé en arithmétique, en
Histoireni même en philosophie ; il suffit de savoir lire pour savoir reconnaître quelques autres des "bons
mots" de l'Écriture : « Là où il y a un corps, aussi se rassembleront les vautours. »[173,Lc, APR note 102][174, note
304/2] En d'autres termes : là où il y a un incendie criminel [175][176][177], là aussi se rassemblent les
pyromanes [178, notes 84 à 91][179] ; là où se rassemblent les disciples de Freud, d'étranges "maladies"© -surgies
de nulle part (ou de défaillances socioculturelles : ce qui revient au même)- poussent [180] comme des
champignons [181], les vautours s'y rassemblent aussisans doute attirés par un corps d'"accidenté
thérapeutique"©[105, note<256>][109]. il n'y a pas de vautour disciple de Freud, la "santé"©[182] se fait
presque insolente : il n'aura pas fallu plus de dix minutes au néo-philosophe pour s'en apercevoir. S'il
passe outre, libre à lui ; mais il ne parvient finalement à duire en confettis… que son propre pavé ! Paul
est "indemne", bien sûr ; mais Freud aussi : beaucoup d'arbres abattus afin de produire du papier à
imprimer un bouquin devenu inutile. Le "crépuscule d'une idole"[60,1Co, APR note 44] ? Pourquoi pasmais
laquelle ?
Revenons à présent vers l'autre Paul : contemporain, vivant, Américainet pasteur évangélique,
à la langue non pasteurisée. Américain peut-être, percutant à l'américaine à l'aune de Rob et Bill [183,
notes 1 à 6] peut-êtremais la comparaison avec ses compatriotes s'arrête ici : le "positivisme"© au prix des
environ 5% de "négatifs"© "toxiques"© (à 500% par tête de pipe !), ce n'est pas exactement sa tasse de
thé. À la limite, notre homme serait plus sûrement suspect de "négativisme"© dégoulinant ! Tous=100%
: le Paul d'aujourd'hui ne dément pas le Paul d'il y a deux mille ans. Pasteur évangélique, il se cramponne à
l'Écriture… et rien qu'à l'Écriture. Avec le risque inhérent à cet exercice : celui d'en isoler un extrait choisi
afin de lui faire dire sinon le contraire de ce qu'il dit du moins [184, note 0/1] ce qu'il ne dit pas. Il est vrai que
l'Écriture, elle, se lit légitimement entre les lignes [185, notes 58 à 60][5, note 151>][186, AV note 586]à condition
toutefois de ne pas omettre de la lire d'abord sur les lignes mêmes. L'avantage du "lecteur entre les lignes",
c'est qu'il obéit assurément à la règle de ne rien y ajouter ni rien en enlever [139,Dt] (!) ; l'inconvénient, c'est
qu'il s'expose au risque d'erreur d'interprétation de ce qui se lit sur les lignes : même en cette matière, le
risque zéro [87,[8],+APR note 222][188] n'existe pas. (Ou s'il existec'est tout simplement parce qu'on a renoncé à
lire le contenu des lignes mes : "solution" la plus facile, mais la moins méritoire.) Maintenant, tout n'est
pas nécessairement à crypter entre les lignes : les quelques rappels pauliniens énoncés plus haut sont
assez clairs sur les lignes ; même à les tordre en tous sens, on fera difficilement "dire" à l'Apôtre des païens
que telle portion de l'humanité (fusse-t-elle infime) soit plus ou moins pécheresse qu'une autre.
Tous=100% : discours apparemment "négativiste"© -voire "culpabilisant"© à l'oreille du sensible aux
sirènes du Synthé Psy- alors qu'il est plutôt réconfortant. En effet, quelles économies d'énergies en
perspective ! Soyons donc sans crainte : si nous valons bien plus que tous les moineaux du monde [189,Mt(1)],
nous ne valons ni plus ni moins que le voisin de palier [128] et tout autre affilié aux 100%. Ce
indépendamment des capacités, des compétences, du standing, des actes, etc. de chacun. Lors, il n'y a
plus à se casser la tête à des entreprises de dispersion dont l'objet est de courir (ou faire courir) après
quelque sur-valorisation à la force du poignet… ou afin de se "protéger"©[190, note 116] de quelque dévalorisé à
force de pseudo-"détections"©[85, notes 59 à 62][191]. Le chasseur de dahus [192, note 28][193, note 295] ne vaut ni
plus ni moins que son gibier [194, note 149] : tous deux appartiennent aux mêmes 100%, indépendamment de
ce que peuvent en affabuler rabatteur(s) [195] ou chasseur. La différence se joue sur la qualité, non sur la
quantité : si "tous les hommes sont pécheurs" veut dire que 100% d'entre eux le sont, cela ne signifie pas
nécessairement -et heureusement !- que chacun le soit à 100% pour son propre compte. Mais cela en
signifie juste ce qu'il faut pour dissuader de certaines pratiques cynégétiques.
L'avantage de se cramponner à l'Écriture, c'est précisément de prendre pour soi cet effet dissuasif.
L'inconvénient -car il existe-, c'est que la distinction des dimensions horizontale/verticale n'est pas toujours
au rendez-vous. Ainsi peut-on ne pas marcher derrière notre orateur lorsqu'il isole un extrait choisi de
l'ancienne Alliance afin… d'alourdir la croix. Ce qui nous change assurément de ceux, plus nombreux, qui
voudraient l'effacer [5] : mais l'excès dans un sens vaut-il mieux que l'excès dans l'autre ? Cet excès se
concrétise de la manière suivante : emporté par son zèle "culpabilisateur"©, notre homme s'appuie sur son
extrait isolé pour remettre en question la distinction pécheur (dimension horizontale)/péché (dimension
verticale, de haut en bas). Ah mon Dieu, qu’c'est embêtant [196, APR note 22] ! Parce qu'à confondre le
pécheur non pas de son péché mais avec lui, nous en revenons insidieusement à une certaine pratique
cynégétiqueversion "bénie" sans doute, mais guère plus salutaire que le modèle laïque. À pareil régime,
s'il ne se cramponnait à l'Écriture, il serait fichu de nous passer à 200% ! Déjà que les 5% de néo-
"pécheurs"©[4, APR note 94] laissent augurer comme le signe inversé de ce que supportent [165,2Tm(3)] les néo-
"purs"© pour eux-mêmes, on n'ose imaginer leurs cris d'orfraie si on leur imposait de dépasser abondamment
ce seuil en le multipliant par quarante ! La croix, ils la préfèrent en paille [49] plutôt qu'en plomb… et l'Écriture
ne dit nulle part qu'elle soit en l'un ou l'autre de ces matériaux.
Cette réserve étant énoncée, certaines réalités incontournablesrestent malgré tout incontournables :
si le discours tenu paraît parfois si gratiné, ne serait-ce pas aussi à proportion des excès de sucre distillés ici
ou [197][198, notes 3,4][199, notes 52 à 54] ? Aussi peut-on l'ingurgiter au titre de rede [200]. Son indication ?
Éloigner la menace du diabète de l'âme : à l'usage, il pourrait s'avérer souverain
Fin au samedi 28 décembre 2013 :
Fête des SAINTS INNOCENTS, martyrs
{*}{*}{*(5)}
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