CORRIGÉ – Révision Module 1 (Évolution)

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CORRIGÉ – Révision Module 1 (Évolution)
p. 359 à 361
1. Non, car ce comportement n’est pas héréditaire, il est acquis.
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8. Les deux théories proposaient que des caractères désirables étaient transmis d’un organisme à ses descendants et que
les espèces changeaient au cours du temps en réaction à leur environnement.
9. Non, les organismes ne « s’améliorent» pas en raison de l’évolution. Les individus s’adaptent aux changements de
leur environnement ou n’y survivent pas. Ces changements sont imprévisibles et n’ont pas de but. Dans le domaine de
l’évolution, le seul « succès » mesurable est la capacité ou l’incapacité d’un organisme à survivre et à transmettre ses
gènes à la génération suivante.
10. Non, les structures homologues ont une origine commune. Les ailes d’oiseaux et d’insectes ont une origine
commune, mais elles ont évolué séparément. Elles sont analogues.
12. Les individus ne peuvent évoluer. Ils peuvent seulement survivre au processus de la sélection naturelle.
19. Les principes de la géologie stipulent que les plus vieux fossiles se trouvent dans les couches de roche plus
profondes. L’ordre d’apparition des fossiles dans les couches de roche ainsi que des techniques telles que la datation au
carbone aident à déterminer les relations évolutives. De plus, les couches de roche et les fossiles montrent que les
organismes ne sont pas tous présentes dans toutes les couches. Les types de fossiles varient d’une couche à l’autre.
20. Ces données indiquent que les humains sont plus étroitement apparentés aux singes Rhésus qu’aux souris et qu’ils
sont moins apparentés aux lamproies. Cela est logique, puisque les humains sont de plus proches parents des primates
que des rongeurs et qu’ils sont moins apparentés aux poissons sans mâchoires.
21. a) Ces données montrent que le bec était plus épais au cours de années de sécheresse. Le bec épais présente un
avantage de survie au cours des années de sécheresse et le bec mince présente un avantage au cours des années
pluvieuses.
b) Non, le degré d’utilisation du bec n’est pas un caractère héréditaire.
29. Réponse doit mentionner un processus où les insectes ayant un peu de vert peuvent avoir un avantage de survie
dans un environnement en changement. Avec le temps, si ce changement de l’environnement persiste, la population
deviendra verte.
32. Darwin aurait pu déduire qu’il y a des différences entre les deux champs et que ces différences influent sur les
deux populations de fleurs. S’il s’écoule suffisamment de temps et que les populations restent isolées, Darwin aurait pu
prévoir que ces deux populations deviendraient deux espèces différentes.
33. Les coléoptères ont développé une résistance au pesticide en raison de la sélection naturelle. La première année, le
pesticide a tué la plupart des insectes, mais certains ont survécu. En supposant qu’un caractère génétique ait permis à
ces insectes de survivre, ces derniers ont pu transmettre ce caractère à leurs descendants. Cette tendance a pu se répéter
chaque fois que l’agricultrice a vaporisé ses champs et, après cinq années, la plupart des coléoptères sont devenus
résistants à ce pesticide.
34. Les organismes 2 et 4 ont en commun la plupart des protéines et sont plus étroitement apparentés. L’organisme 3
est apparenté aux organismes 2 et 4, mais il a plus de protéines. Donc il n’est pas aussi étroitement apparenté.
L’organisme 1 est celui qui a le moins de protéines en commun avec les autres, ce qui indique qu’il est le moins
apparenté aux autres.
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1. Une adaptation est le produit de la sélection naturelle, tandis qu’une variation est la matière sur laquelle agit la
sélection naturelle.
3. Les adaptations structurales sont des adaptations anatomiques qui influent sur la forme ou l’arrangement des
caractères héréditaires d’un organisme (p. ex. le corps fuselé (forme d’une fusée) d’un phoque). Une adaptation
comportementale est une adaptation qui se produit en réaction à l’environnement (p. ex. l’hibernation). Une adaptation
physiologique est une adaptation associée aux fonctions des organismes (p. es. Les défenses chimiques d’une plante).
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4. La sélection naturelle peut seulement agir sur une variation qui existe déjà, et les adaptations finales ne sont pas
toujours optimales. De plus, les adaptations sont généralement un équilibre entre des pressions sélectives (p. ex. une
otarie doit pouvoir marcher sur terre et nager dans l’eau), et il en résulte un compromis.
9. C’est un exemple d’évolution convergente. Dans ce cas, deux organismes non apparentés présentent des adaptations
semblables en réaction à des environnements semblables.
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2. e
13. Les structures homologues ont une origine commune, mais ont des dormes et des fonctions différentes. Les
structures analogues ont des fonctions similaires, mais des origines séparées.
17. Il doit y avoir de la diversité au sein d’une population pour que la sélection naturelle se produise.
18. Généralement non. La sélection artificielle est dirigée et elle a un but précis. Puisque la sélection naturelle n’a pas
de but précis, si un caractère héréditaire réduit les chances de survie d’un organisme (quel que soit le niveau auquel il
est « bien » adapté à d’autres égards), ce caractère ne subsistera pas.
19. Non, les organismes ont souvent des défauts, car la sélection naturelle n’agit pas chaque fois sur de la « matière »
nouvelle. Elle peut agir seulement sur l’organisme déjà présent. Il importe que le concept des organismes soit
suffisamment bon pour permettre leur survie.
30. a) L’évolution convergente se produit lorsque des espèces ayant des ancêtres différents convergent vers une même
solution à une pression environnementale. Par exemple, les ailes des oiseaux, des chauves-souris et des insectes
permettent à ces trois groupes de voler et d’occuper une « niche aérienne », mais leurs ailes ont toutes des origines
différentes.
b) La coévolution est l’évolution progressive parallèle d’organismes qui ont des histoires naturelles étroitement
liées. Chaque organisme évolue en réaction aux changements de l’autre organisme.
31. Exemples de réponses : a) la forme de la nageoire d’un poisson ou de la mâchoire d’un loup; le mimétisme ou
l’homochromie (une couleur); b) les défenses chimiques des plantes; les adaptations à diverses températures ou
salinités des poissons ou des invertébrés marins; c) la migration, l’hibernation et les parades nuptiales.
32. Non, il s’agit d’une forme de sélection sexuelle, qui se produit lorsque les mâles se font concurrence pour
s’accoupler avec les femelles. Lors de cette compétition, les mâles utilisent une grande variété de comportements et de
caractéristiques physiques (telles qu’un grand panache).
40. a) le raton-laveur
b) l’ours
c) Il y a 40 millions d’années.
Reportages Découverte (fin du module 1)
Petite mâchoire, gros cerveau
1 min 33
L'homme de Florès
7 min 50
L'homme de 6 pieds
4 min 09
http://www.radiocanada.ca/Medianet/CBFT/Decouverte200409191830_4.asx
http://www.radiocanada.ca/Medianet/CBFT/Decouverte200412121830_6.asx
http://www.radiocanada.ca/Medianet/CBFT/Decouverte200602121830_4.asx
Biologie 53421
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