L’ADN fixé sur le gel peut aller se fixer plus facilement sur le filtre.
Transfert :
- On laisse 12h et à Tre ambiante.
- On obtient un flux ascendant vertical,
toutes les molécules passent du gel au
filtre.
Toutes les molécules d’ADN ont été
transférées mais on ne les voit pas.
- Pour mettre en évidence la présence
d’un gène donné, on va utiliser des
sondes moléculaires (molécules d’AN
dont on connaît la séquence marquées
avec un atome radioactif le 32P,
complémentaires d’une partie du gène
qu’on veut détecter, il faut que le gène
soit simple brin).
Sonde radioactive : sonde chaude.
Sonde non radioactive : sonde froide.
- Dans une cuve avec une sonde, on met
le filtre et on agite à environ 65 °C
pendant plusieurs heures. Ce qui
entraîne des collisions entre l’ADN et
les sondes. Quand le gène et la sonde
se rencontre, il va y avoir interaction.
- On espère qu’une sonde s’est fixée.
Lavage, agitation.
- On met le filtre au contact d’une radio
dans une boite. ON met le tout à –40°C
pendant plusieurs heures. L’atome * va
émettre des rayons β et marquer la
molécule.
- Sur la radio, on va observer une tache noire à l’emplacement du gène. Si il n’y a pas de
tache, soit le gène n’est pas présent, soit la manipulation n’a pas marchée.
Il existe 2 types de sonde :
- Sonde hétérologue : provenant d’une autre espèce d’où on a extrait l’ADN
La sonde n’est pas forcément complémentaire à 100% du gène, hybridation pas à
100%, présence de boucle entre la sonde et le gène.
- Sonde homologue : provenant de la même espèce
Hybridation totale, plus difficile à réaliser, du fait du nombre de liaison à établir. Pour
faciliter cette hybridation, on va augmenter la température ce qui augmente le nombre
de collision entre les 2 molécules et augmente les chances de rencontre et l’hybridation
pourra se faire.
Cette hybridation est beaucoup plus spécifique.