I. INTRODUCTION :
COMPARTIMENTS LIQUIDIENS
2 grands compartiments
intracellulaire : LIC (aussi bien liquide intracellulaire que compartiment intracellulaire)
extracellulaire, LEC divisé en plusieurs secteurs.
Le LEC enveloppe le LIC. Il est une zone d’échange entre le milieu extérieur et les cellules : rôle de
tampon et de protection du LEC vis à vis des variations de l’environnement.
LEC :
secteur vasculaire sanguin : rôle important d’échange entre les poumons et les cellules : apport
d’oxygène et rejet de CO2, apport de nutriments. Il est défini par son volume et par la pression
artérielle.
liquide interstitiel : en contact direct avec les cellules. C’est la zone d’échange entrer le milieu
environnant et les cellules.
liquides transcellulaires.
Le LEC assure la constance de la composition et du volume des cellules. Pour que le volume et la
composition du LIC ne varie pas, il faut dans l’idéal que le volume et la composition du LEC ne varie
pas. Les conditions pathologiques sont entraînées par les variations du LEC. Claude Bernard a été le
premier à envisager la notion d’homéostasie, en considérant le milieu intérieur qui correspond au LEC.
Concerne la pression partielle du sang en O2, CO2, natrémie.
Le rôle des reins est fondamental : maintien constant le volume plasmatique et la natrémie.
reins et poumons sont les principaux organes régulateurs de l’organisme, responsables de
l’homéostasie.
Liquide interstitiel : il s’agit plutôt d’un tissu interstitiel qui maintient l’ensemble des cellules.
Il correspond à la plus grande partie du LEC. En fait il présente une certaine homogénéité : teneur en
eau, Na. Il présente des variations importantes dans sa concentration en protéines : elle est
généralement assez faible, sauf au niveau du foie où elle est importante.
Le tissu interstitiel a une composition et un volume le plus constant possible. C’est une zone de transit
en constante évolution. Tout ce qui transite par le tissu interstitiel provient du sang : est issu du secteur
plasmatique.
Les échanges se font à travers la paroi du capillaire : échanges en fonction de gradients de pression ou
de concentration. passage de gaz ou de nutriments.
Système lymphatique
deuxième composante permettant l’homéostasie : le drainage lymphatique. Au contact du tissu
interstitiel : capillaires lymphatiques en doigts de gant qui récupèrent les protéines plasmatiques du
tissu interstitiel.
Le circuit lymphatique est un système circulatoire à sens unique : depuis la périphérie, dans des
vaisseaux lymphatiques de plus en plus gros.
point de départ : capillaires en doigts de gants, constitués de cellules endothéliales ménageant des
fenêtres. Présence de filaments contractiles : les capillaires sont capables par leur contraction d’attirer
du liquide par leurs pores. Le drainage de la partie inférieure du corps transite par le canal thoracique.
La partie supérieure du corps et le canal thoracique vont se jeter dans la veine sous clavière : la