
 
le PNCD malgré le Décret N99-136bis (voir ANNEXE I), le WCS et CARPE demande au gouvernement 
de sortir MFT du PNCD afin que la zone Intégralement Protégé devienne une zone continu et gérable.   
 
Des études approfondie mené par le WCS/ PNCD ensemble avec une concentration d’énergie du MEFE/ 
PNCD a contrôler les grumiers de MFT, ne pourront que démontré se qu’on sait déjà, notamment: que le 
nombre d’arbres a diamètre exploitable dans la zone MFT sont devenu rare, que les grumiers et véhicules 
utilisé par MFT jouent un rôle important dans le trafic commerciale de viande de brousse sur Pointe Noire, 
et que MFT ne payera pas les amendes.   
 
 
HISTOIRE DU PNCD 
Le Parc National de Conkouati comprend des populations  d’ethnie  «Vili» et «Loumbou».  Les Vili, un 
peuple de savanes côtières, se sont installé dans la zone de Conkouati le long de la cote au 11ième siècle.  
Les Loumbou qui sont un peuple des forets Mayombe se sont installe dans le Nord-est de Conkouati plus 
récemment, dans le 20ième siècle.  Sous la colonisation Française, plusieurs villages ont été forcés de se 
déplacer  pour  s’installer  le  long  des  routes  Nationales.    Apres  indépendance,  certains  villages  sont 
retourné dans leurs anciens location comme Cotovindou et Vandji, mais la guerre civile et la fermeture de 
certains  routes  d’accès  au  départs  des  exploitations  forestières  successive  comme  SFN,  COFORGA, 
SNEB, SOFIC, ECIK, COMETRAB, et COFIBOIS,  ont influencé une dépopulation et mouvement de 
certain villages, (Gami & Ngoma, 1998; Hecketsweiler & Mokoko, 1991).   
 
En 1999, la Réserve de Faune de Conkouati changea statut de protection en Parc National de Conkouati-
Douli  ou  PNCD.    Malgré  qu’une  Parc  National  signifie  une  zone  intégralement  protégé  au  niveau 
Internationale (UNESCO) le Parc National de Conkouati-Douli ne réponds pas a se statut a cause de sa 
zonage.  Par ailleurs, le Plan d’Aménagement de 1999 décrit un zonage qui n’est pas défini dans le Décret 
99-136bis  qui  créa  le  Parc  en  1999.    Dans  le  Plan  d'Aménagement,  le  PNCD  contient  10  zones 
spatialement  discontinue,  chacun  appartenant  a  1  de  4  statuts  de  protection  différant,  notamment: 
Intégralement  Protégé  (IP);  Temporairement  Protégé  (TP);  Utilisation Multiple  (UM);  ou, 
Ecodevelopement (ED).   
 
 
Seul les lois qui définissent les droits d’utilisation et accès des zones IP sont claires car ils excluent toute 
utilisation des ressources naturelles. Les législations et règlements qui définissent les autres zones sont par 
contre très vagues.  Le Décret N99-136bis impose via Articles 2 et 3 une liste de défenses, - pauvrement 
définie  et  libre  a  interprétation  -,  d’utilisation  abusif  des  ressources  naturelles.    Les  zones  ED  ne  se 
distinguent  des  zones  hors  Parc  que  par  l’interdiction  d’exploitation  commerciale  des  ressources,  car 
Article 4 du Décret dit que les zones ED peuvent faire une exception aux Articles 2 et 3, - sans indice de 
se que ses exceptions peuvent ou non représenté.  Ainsi, les gestionnaires du Parc ne peuvent qu’être des 
témoins  silencieux  des  activités  non-durable  qui  détruisent  les  zones  ED,  comme  la  destruction  des 
mangroves, l’implantation anarchique des camps de pêche et de chasse, ainsi que des maison de vacances 
expatriées, et le couper et brûler des forets ripicole en savane pour planter du manioc sans réglementations 
sur la superficie brûlé.  En absence de projets de reboisement, ses pratiqué portent de l’érosion grave, dé-
fertilisent le sol, affectent les réseaux hydraulique, et encouragent aussi des conflit avec les éléphants qui 
suivent ses forets ripicole pour se déplacé dans les zones savanicole trop exposé.   
 
Malgré que le Décret mentionne les zones d’exploitation commerciale, les termes UM et TP n’existe pas 
dans  le  Décret.    Dans  le  Plan  d’Aménagement,  les  zones  TP  représente  des  exploitations  forestières 
abandonnées et les zones  UM représente des champs d’exploitations forestières actives.   Les protocoles 
d’accords entre le Parc et les exploitations, prévu dans le Plan d’Aménagement, n’ont jamais été décrits ou