Même remarque k = 5+1 soit décomposition de 36 = 7+29 ; 13+23 ; 17+19, décomposition de
5*7 + 5 = 40, soit 11+29 ; 23+17.
Corollaire de l’algorithme P[6], et donc du TFA:
Chaque produit de Goldbach, 2p[6] = A*B + 5, ou A*B + 7, se décompose en somme de
deux premiers, extrait par l’algorithme P[6], et ayant décomposé K6 > A*B + 5, ou A*B + 7.
Tableau de Goldbach pour la famille (2*5)[6] ci-dessous, ligne jaune = ligne première de
Goldbach.
Inutile donc, de chercher deux P pour les décomposer, il s’agit de 5 + P[6] premier, extrait par
l’algorithme au fur et à mesure, que Goldbach et l’algorithme progressent. Il reste donc à
recouvrir les produits de Goldbach, équivalent à décomposer le modulo k[6] + 10 ou encore
(5*(7+k6)) + 5 ; 7*(5+k6)) + 5, pour cette deuxième suite.
On peut constater, que le premier produit de Goldbach = 35 = 5[6], serra aussi en 5ème
position : 11+29. On n’a pas besoins des premiers de la famille 1[6] et inversement, ce qui
de toutes les façons est impossible, car elles sont disjointes et congrues 1,4,7[9] ; ou,
2,5,8[9].
Un produit de Goldbach est donc un entier naturel impair et non premier + 5 pour la
famille 5[6], ou + 7 pour la famille 1[6].
(5*7) + 5 = produit de Goldbach, 5*13 +5 ; 7*11 +5….etc
Si 40 n’est pas décomposable, en somme de deux premiers, alors le crible d’Eratosthène
et l’algorithme P[6] sont faux… ! Il en va de même pour : 70 , 82 , 100 , 124…etc .
C’est à dire, que 11, 17, 23, 29 ne peuvent décomposer leur produit, dans l’algorithme ci-
dessus, série 5 modulo 6… !
Que devient alors le TFA… ?, le théorème de densité des premiers, mais surtout les
algorithmes, et par conséquent le crible d’Eratosthène…. ?
On en conclu, que la décomposition en facteurs premiers, d’un entier non premier est
unique, et il est tout aussi évident, qu’il en est de même pour un produit de Goldbach, mais
de plusieurs façon, c'est-à-dire non unique, ce qui ne pose aucun problème de densité, ou
de répartition de ces premiers, dans les deux familles.
La conjecture de Goldbach, agit comme une fonction qui indique le nombre de premiers
entre k6 et son double, ou entre k30 et son double, en utilisant une constante.
Alors que la décomposition de 2p[6], ou 2p[30], elle est oscillatoire ; avec bien sur :
k6 < 2p[6] < 2k6, ce qui permet de dire, que les décompositions de k6 et ou 2k6, permettent
de décomposer 2p[6] dans cet intervalle.
La conjecture de Goldbach, permet d’affirmer qu’en faisant ressortir le nombre de
premiers qui décomposent le modulo k6, et 2k6 permet d’estimer le nombre de premiers
compris dans cet intervalle, en utilisant une constante qui reste à affiner, autour de la
constante d’Euler, compris entre la constante de Brun : (B2 / 3,75) et la constante des
premiers jumeaux, voir la formule dans le dossier, pour les entiers modulo 30.