Les massifs du Roussillon:
Massif du Canigou : 2 784m
Massif du Carlit : 2 921m
Les Corbières : 1 231m
Les Albères : 1 256m
Habitat typique:
Le patrimoine bâti, qu’il soit d’origine civile (habitat, exploitations agricoles, moulins…), religieuse
(églises, chapelles, ermitages, monastères) ou militaire (maisons fortes, châteaux forts, citadelles),
nous parle sous une forme construite de l’adaptation progressive des hommes à leur milieu naturel
et à ses ressources, de leur culture, de leurs croyances et de l’organisation de la société au fil des
siècles. Dans la région l’habitat typique est les petites maisons en pierres notamment en montagne
avec des toits en llose. Les toits d’ardoises trouvent une utilisation indispensable du principalement
aux conditions géographiques. Elle se distingue par la qualité de son grain, très fin. Ces propriétés
font qu'on peut l'utiliser comme matériau de couverture.
Puis dans la plaine nous avons plutôt des maisons faites avec du granique rouge intercalé avec du
granita blanc de Baixas. Nous avons encore les petites maisons de pêcheur fait avec des rosseau au
bord de la mer principalement au Barcarès. Ayant une diversité de paysages très variés nous avons
donc des habitats différents pour s’adapter au climat et aux « ressources » à proximités.
Les animaux :
La marmotte : Le poil de la marmotte est brun, noir ou marron. Elle a un corps trapu, les oreilles
rondes. Ses membres sont courts et puissants avec une longue queue. Sa taille est de 46
à 66 cm pour un poids de 2 à 9 kg. Elle vit de 4 à 10 ans en captivité et de 4 à 8 ans en liberté. On
l'appelle « le siffleux » car quand il y a un danger, elle siffle pour donner l'alerte aux autres
marmottes, qui vont se réfugier dans leur terrier. La marmotte digère deux fois ses aliments en
ingérant certaines de ses propres crottes. Les marmottes des Alpes se nourrissent de végétaux
herbacés, de graines et de petits invertébrés (insectes, araignées, vers). Elles préfèrent les jeunes
pousses. La marmotte hiberne pendant 5 mois et demi. En automne elle mange énormément pour
constituer les réserves de graisse qui lui permettront de survivre. Pour ne pas brûler ses réserves
trop vite elle vit au ralenti. Sa température corporelle chute à 7 degrés et son cœur ralentit. Elle se
réveille environ toutes les quatre semaines pour faire ses besoins. S'il fait moins de 3 °C sous terre, la
marmotte doit se réveiller et bouger pour ne pas mourir de froid.
L’ours : Les ours sont principalement omnivores4, bien que certains aient un régime plus spécialisé,
comme les ours blancs, essentiellement carnivores. Ils mangent des lichens, des racines, des noix et
des baies. Ils peuvent également aller à un fleuve ou à toute autre eau de surface pour capturer des
poissons. Des animaux comme les brebis constituent également une source de nourriture.
Les ours sont des semi-hibernants. L'hivernation, contrairement à l'hibernation, n’entraîne pas une
interruption de toutes les activités physiologiques. La température de leur corps descend
relativement bas, mais ils peuvent se réveiller facilement. Les organes vitaux restent à une
température normale pour réagir en cas de danger et l’ourse donne naissance aux petits pendant
l’hiver. Malgré leur forte corpulence et une démarche maladroite, ils peuvent courir rapidement
(jusqu'à 50 km/h) et sont des grimpeurs habiles comme d'excellents nageurs.
L’aigle royal : L'aigle royal est un grand rapace marron foncé, aux larges ailes. Sa taille est variable :
il mesure de 66 à 100 cm de longueur. L'aigle royal est l'un des prédateurs les plus puissants dans le
monde aviaire. Bien qu'il montre localement de fortes préférences pour certaines proies, l'aigle royal
est avant tout un opportuniste qui chasse tout animal de petite ou de moyenne taille qu'il peut
rencontrer. L’aigle royal qui niche principalement en falaise (milieu rupestre) se rencontre dans les
montagnes d'Eurasie, comme les Alpes et les Pyrénées, en Asie de l'Est, au Maghreb et en Amérique
du Nord : victime de persécutions, il a fui les plaines et est devenu presque exclusivement
montagnard.
Le loup : L’isard :
Les fleurs :
Les pâquerettes : Leurs fruits s'envolent grâce au vent et dégagent des odeurs qui attirent les
insectes. Elles ont la particularité, comme certaines autres fleurs de plantes herbacées, de se fermer
la nuit et de s'ouvrir le matin pour s'épanouir au soleil ; elles peuvent aussi se fermer pendant les
averses, voire un peu avant, ce qui permettrait dans les campagnes de prédire la pluie légèrement à
l'avance.
Edelweiss : Cette plante vivace, herbacée, mesure de 3 à 20 cm de haut
Feuilles : feutrées de poils blancs laineux (tomenteuses) ;
Floraison : de juillet à septembre ;
Pollinisation : essentiellement (80 %) par des mouches. Le nectar d'edelweiss contient des acides
aminés nécessaires à leur métabolisme ;
Pharmacopée : utilisé en médecine populaire contre les douleurs abdominales, les angines, les
bronchites et les diarrhées.
Boutons d’or : Plantes herbacées à fleurs simples en forme de coupe, formées de cinq pétales
serrés et brillants, aux couleurs vives, jaunes ou blancs, très rarement rouges.
Leurs feuilles, s'accrochent à la base d'une longue tige qui porte, à son extrémité, une ou plusieurs
fleurs. Elles ont une saveur âpre due aux différents principes actifs toxiques qu'elles contiennent.
Plantes toxiques. Elles poussent dans les régions tempérées ou froides.
Chardon : Ancolie :
Les Risques d’avalange :
INDICE
DU
RISQUE
STABILITE DU
MANTEAU NEIGEUX
PROBABILITE DE DECLENCHEMENT
1 -
FAIBLE
Le manteau neigeux est
bien stabilisé dans la
plupart des pentes.
Les déclenchements d'avalanches ne sont en général
possibles que par forte surcharge sur de très rares pentes
raides. Seules des coulées ou petites avalanches peuvent
se produire spontanément.
2 -
LIMITÉ
Dans quelques
pentes2 suffisamment
raides, le manteau
neigeux n'est que
modérément stabilisé.
Ailleurs, il est bien
stabilisé.
Déclenchements d'avalanches possibles surtout par forte
surcharge et dans quelques pentes généralement décrites
dans le bulletin.
Des départs spontanés d'avalanches de grande ampleur
ne sont pas à attendre.
3 -
MARQUÉ
Dans de nombreuses
pentes suffisamment
raides, le
manteau neigeux n'est
que modérément à
faiblement stabilisé
Déclenchements d'avalanches possibles parfois même
par faible surcharge et dans de nombreuses pentes,
surtout celles généralement décrites dans le bulletin.
Dans certaines situations, quelques départs spontanés
d'avalanches de taille moyenne, et parfois assez grosse,
sont possibles.
4 - FORT
Le manteau neigeux est
faiblement stabilisé dans
la plupart des
pentes suffisamment
raides.
Déclenchements d'avalanches probables même par
faiblesurcharge dans de nombreuses pentes
suffisamment raides. Dans certaines situations, de
nombreux départs spontanés d`avalanches de taille
moyenne, et parfois grosse, sont à attendre.
5 -TRÈS
FORT
L'instabilité du manteau
neigeux est généralisée.
De nombreuses et grosses avalanches se
produisant spontanément sont à attendre y
compris en terrain peu raide.
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