SEQUENCE 3 : EPICURISME ET STOÏCISME, EXERCICES DE PHILOSOPHIE PRATIQUE Texte 1 : « Le stoïcien devant la mort », manuel p. 166 Corrigé proposé par Hélène 1- quelle est la nature de quam (6) ? adverbe interrogatif 2- quels sont tous les verbes au subjonctif ? à quel temps sont-ils ? pourquoi sont-ils au subjonctif ? audiret(11) : subjonctif imparfait car commandé par « ne » (pour que... ne pas) reduceretur(14) : subjonctif imparfait passif car commandé par « ne » (pour que... ne pas) possis(28) : subjonctif présent dépendant de « ut » + subjonctif 3- analyser stomachantem (12) ? participe présent de stomachare à l’accusatif singulier employé comme adjectif de dominum 4- quels sont le temps et le mode de effecturam (17) ? infinitif futur 5- quel est le cas de virtutem (17) ? pourquoi ? accusatif car sujet de la proposition infinitive 6- quel est le cas du groupe nimia formido (19) ? pourquoi ? nominatif singulier car sujet de efficit(18) 7- quel est le cas de nulli (21) ? datif 8- analyser producenda (23) adjectif verbal de producere ablatif féminin singulier dépendant de de 9- quel est le mode de meditare (27) ? impératif 10- quel est le cas du groupe aequo animo (30) ? pourquoi ? ablatif car complément circonstanciel de manière 11- analyser complectuntur (32) indicatif présent actif troisième personne du pluriel 12- analyser rapiuntur (34) indicatif présent passif troisième personne du pluriel 13- analyser fluctuantur (36) indicatif présent passif troisième personne du pluriel 14- analyser mori (40) infinitif présent (aspect passif car verbe déponent) 15- analyser deponendo (43) gérondif à l’ablatif Texte 2 : « L’épicurien devant la mort », manuel p. 167 Corrigé proposé par Aurélie G. 1- analyser rerum (2) c’est un nom au génitif pluriel féminin, il est donc complément du nom pour le nom « natura ». 2- quel est le mode de mittat (3) et increpet (4) ? pourquoi ? c’est du subjonctif (présent) car ce sont des potentiels 3- quel est le cas de mortalis (7) ? c’est du vocatif 4- analyser acta (11) c’est le participe passée du verbe « ago », il est employé comme un adjectif, il se décline comme les adjectifs de la première classe, il qualifie le nom « vita » et il est donc au même cas, genre et nombre soit au nominatif, féminin, singulier. 5- quel est le cas de grata (12) ? pourquoi ? il est au nominatif car c’est un adjectif attribut du nom « vita » 6- quel est le temps de perfluxere (14) et interiere (17) ? quelle est l’autre forme plus courante de ce temps ? c’est du parfait de l’indicatif, la forme la plus courante est perfluxerunt et interierunt 7- analyser ut (19) nous pouvons voir qu’il est employé avec le présent de l’indicatif donc ut + indicatif donne la proposition introduite par « comme » 8- quel est le cas de stulte (22) ? c’est du vocatif 9- analyser profusa (25) ; à quel mot est-il accordé ? c’est du nominatif neutre pluriel car il est le participe employé comme épithète du mot « ea » 10- à quel cas est vita (26) ? pourquoi ? c’est de l ‘ablatif car il est utilisé avec la préposition in (in+ablatif) 11- analyser amplius (27) c’est un adjectif au comparatif de supériorité, il qualifie l’antécédent de « quod » qui est sousentendue, il est à l’accusatif, neutre, singulier : il a donc valeur d’adverbe 12- quel est le mode de pereat (28) et occidat (29) ? pourquoi ? c’est du subjonctif ; ils sont employés avec un relatif au neutre (quod ; antécédent : aliquid sous-entendu) qui a une valeur de conséquence : « quelque chose de telle sorte que » ; dans ce cas-là la proposition relative est au subjonctif et non à l’indicatif comme en temps normal. 13- à quel cas est laboris (31) ? il est au génitif car il est complément du nom de « finem »