
Synthèse
L’imparfait
Il s’agit de :
- rappeler que l’imparfait est un temps du passé, il est utilisé pour décrire un personnage,
brosser le décor dans un récit ou expliquer des habitudes ; il s’emploie avec le passé
composé ou le passé simple ;
- mettre en évidence les terminaisons des verbes des premier et deuxième groupes et des
verbes être, avoir, aller, faire, prendre, voir, dire, venir, partir, pouvoir, vouloir à l’imparfait ;
- montrer que les terminaisons de l’imparfait sont les mêmes pour tous ces verbes : ais,
ais, ait, ions, iez, aient.
Relire le texte « Conseils à un futur journaliste » (période 2, semaine 6) à l’imparfait,
o en changeant le titre (« Souvenirs de journalistes » comme pour la seconde
transposition).
o Rappeler que l’imparfait est un temps du passé : commencer le texte par « Lorsque
tu étais journaliste ».
o Constater que, dans ce texte, l’imparfait exprime des habitudes : Tu exerçais ta
curiosité à chaque instant ; tu faisais un journal de classe ; tu consultais les
journaux tous les jours... .
Relire le texte « Le fils des loups » (période 1, semaine 6) qui est écrit au passé.
o Nommer les deux temps employés (imparfait et passé simple).
o Constater que, dans ce texte, l’imparfait est utilisé pour décrire l’enfant : Pélot
avait peur, il n’osait plus bouger ; l’enfant pleurait... , le louveteau : il jouait avec les
autres puis la louve : la louve qui passait et repassait sa langue sur les jeunes.
Relire le texte « Une première victoire » (période 1, semaine 4) au passé (imparfait et
passé simple).
o Constater que, dans ce texte, l’imparfait est utilisé pour brosser le décor : La tente
était maintenant visible, la lumière était si intense.
Donner aux élèves la liste des phrases contenant les verbes étudiés, collectées à la
page « Passé 2 » du cahier :
J’avais de quoi manger. Nous avions de quoi manger.
J’étais fatigué. Nous étions fatigués.
Il continuait à avancer sur moi. Il était toujours là.
Je ne bougeais pas. Nous ne bougions pas. On pouvait s’évader.
Pélot venait de sauver la vie d’un louveteau. Ce qu’elle disait.
Une grande louve le menaçait. Pélot avait peur.
Il voulait s’éloigner. Je somnolais.
Les deux amis regardaient un ballon de football. Celui-ci obéissait.
Ils avaient envie de posséder un oiseau. Ma mère criait.
Les voitures surgissaient. Ils allaient.
Les rats le faisaient.
Je ne pouvais rien faire. Tu ne pouvais rien faire. Vous ne pouviez rien faire.
Je faisais des promenades. Tu faisais des promenades. Vous faisiez des promenades.
Tu avais un maigre duvet. Vous aviez un maigre duvet.
Tu étais toujours seul. Vous étiez toujours seuls.