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essentiellement d’atomes qui se lient sous forme de molécules. Balances : spéctromètres (pour
peser le noyau). Certains : tellement de noyaux : instables : radioactifs. S’ils perdent électron,
l’atome prend une charge positive ; électron se pose sur un autre atome qui garde un électron
et prend donc une charge négative ex : Na+, Cl- forme molécule NaCl.
H2O (2H+, O2-)
Molécule d’eau forme un dipôle : toutes ses caractéristiques s’expliquent grâce à la
disposition des atomes d’H et d’O. pouvoir d’attirance d’autres molécules, atomes
beaucoup de substances sont solubles dans l’eau. Mobilisent énergies élevées pour passer
d’un état à l’autre. La molécule d’eau est très stable, alors qu’une molécule s’accroche à une
autre molécule de manière plus instable. Il faut des forces considérables pour dissocier H de
l’O (≈2500°C) eau ubiquiste dans l’univers : on la trouve partout. Fluidité de l’eau. Si
température suffisamment basse= toutes les molécules sont liées les unes aux autres glace.
Cette capacité à se grouper en qques molécules glissants : eau a des qualités exceptionnelles
et est à l’origine de la vie. La forte stabilité de la molécule d’eau et les liaisons hydrogène
qu’elle entretient avec d’autres molécules de proximité confèrent à l’eau des propriétés
exceptionnelles notamment le besoin de mobiliser des énergies extrêmement élevées pour
passer d’un état à l’autre : pour faire fondre 1g de glace à 0°/congeler 1g d’eau : quantité de
chaleur importante : 80 calories = chaleur latente de fusion/congélation de l’eau. Elle varie
avec la température. De même pour chaleur latente d’évaporation ou condensation d’1g
d’eau : liquide vapeur : énergie requise : 540 calories si l’eau est à 100°C, ou 585 si l’eau
est à 20°C. Passage liquide vapeur : rompre des liaisons. Il faut dépenser 1 calorie pour
augmenter d’1°C la température d’1g d’eau liquide. 0,20 calories pour qu’1g de roche voit sa
température augmenter d’1°C. (c’est pour ça que le sable est brûlant l’été )))
Changement climatique (réchauffement) : ne change pas le cycle de l’eau mais augmentation
des précipitations, répartition climats…). Il y a 6000 ans température supérieure de 1 à 2°C
qu’aujourd’hui et niveau mers supérieurs pas nouveau. Sahara était vert, au fur et à mesure
que niveau de l’eau est passé de -120 à + 2 m argile, naissance agriculture. Ensuite
aridification : Sahara, Afrique du nord : migrations autour des grands axes fluviaux fertiles
grandes civilisations.
DE RÉSERVOIRS EN RÉSERVOIRS : LE PÉRIPLE DE L'EAU
Eau ubiquiste, constamment en mouvement entre divers réservoirs et sous ses différentes
formes. A chaque étape de son périple, elle dissout les éléments chimiques contenus dans els
roches ou dans l’air, elle nourrit les végétaux, dépose des sels minéraux dans les mers, les
lacs, les océans, elle s’intègre dans les tissus et les cellules des êtres vivants, s’évapore ou
gèle au grès des variations de température. Toutes ces opérations ne sont pas instantanées et
peuvent requérir beaucoup de temps pour s’accomplir. Quelque soit son état : considérer le
temps de résidence de l’eau pendant une étape donnée, c’est ce qui définit la notion de
réservoir. En gros on compte 6 réservoirs : océans, l’atmosphère, les glaciers, les eaux
souterraines, les lacs et les rivières et la matière vivante. Les transferts d’eau entre les
réservoirs définissent le périple de l’eau. En considérant l’ensemble réservoir et transferts, on
définit ce que l’on appelle le cycle global de l’eau, c’est-à-dire que l’on considère le circuit
que l’eau fait en partant d’un réservoir donné jusqu’à son retour à ce réservoir de départ. Le
cycle de l’eau est initié à partir du réservoir le plus important c’est à dire mers et océans.
Temps résidence moyen d’une molécule d’eau à partir du moment où entre dans réservoir =