termes culturels (surtout ) grecs
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arabe( chérifUn : , plšarīf . , en arabe marocain), ouchorfa( šurafāʾ  , via l'un Fatimapar sa fille Mahomet») est un descendant de noble, respectable , «ašrāfʾ Hussaynt e Hassanfils, -de ses deux petits.
En arabe, la forme plurielle achrâf désigne en particulier les nobles des grandes
dynasties omeyyades, abbassides et alides[réf. nécessaire].
**Dans la plupart des cités grecques, les archontes (en grec ancien ἄρχοντες /
árkhontes, de ἄρχω / árkhô, « commander, être le chef ») sont des personnages
puissants.
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Obole (monnaie)
La drachme (en grec ancien δραχμή / drakhmế) est le nom de plusieurs monnaies grecques depuis
l’Antiquité.
Chaque cité frappait ses propres pièces, signe de son indépendance
http://fr.wikipedia.org/wiki/Droit_de_repr%C3%A9sailles
En Grèce antique, le droit de représailles (syla) permet à quiconque dispose d'un créance non
honorée vis-à-vis d'un particulier d'une autre cité de saisir tout ou partie de la cargaison d'un navire
abordant dans son port, si ce dernier relève de la même cité que son débiteur. Le créancier doit
apporter la preuve écrite, le plus souvent comptable, de cette dette1.
Le droit de représailles justifie que les emporoi et les nauclères évitent certaines cités où ils
risqueraient de subir un tel traitement. C'est d'ailleurs pour cette raison que les contrats de prêt à la
grosse aventure spécifient généralement l'itinéraire précis du voyage commercial qu'ils financent :
les cités où de telles saisies peuvent avoir lieu sont évitées.
Cette entrave importante au commerce peut être évitée dans la mesure où les deux cités ont conclu
un accord d'asylie garantissant réciproquement l'immunité de toutes représailles.
En Grèce antique, les démiurges étaient des travailleurs indépendants, juridiquement libres mais
n'appartenant à aucune communauté. Ils avaient une compétence particulière et recherchée
(notamment les artisans du métal) donc avaient un statut plus enviables à celui des banausos.
Banausos (grec ancien βάναυσος, pluriel βάναυσοι, banausoi) est le nom de la classe des
travailleurs manuels dans la Grèce antique. Le terme fut employé plus largement pour y inclure les
artisans.
Grèce antique
La Grèce antique est à l'origine de la citoyenneté moderne grâce à l'invention de la cité grecque ou
« polis ».
La politique alors se développe comme domaine autonome de la vie collective. La polis est fondée
sur l'égalité de tous les citoyens, mais seuls les hommes descendant de citoyens peuvent devenir
citoyens, la cité est fermée ethniquement.
Dans les cités-États grecques, les citoyens étaient ceux qui participaient aux décisions de la cité
(lois, guerres, justice, administration), aux débats à l'agora et étaient les seuls à pouvoir posséder la
terre par opposition aux métèques et aux esclaves
(les métèques et les esclaves étant des catégories qui n'existaient qu'à Athènes). Ces citoyens
devaient toutefois respecter certains critères, comme être de sexe masculin, avoir plus de dix-huit
ans, être libre, être né de père citoyen et aussi, sous Périclès, à partir de -451, être de mère fille de
citoyen.
Ils étaient également dans l'obligation de faire leur service militaire (l'éphébie), après quoi ils
devenaient citoyens.
La démocratie est alors directe, la hiérarchie entre les hommes est abolie (entre les citoyens
seulement et uniquement sur le plan politique - il n' y a pas d'égalité sociale, économique…) ;
l'activité politique reste réservée aux membres les plus favorisés de la cité.
Dans la Grèce antique, l’eisphora (en grec ancien εἰσφορά, littéralement « versement,
contribution ») est un impôt sur le capital exceptionnel levé par une cité pour faire face aux
dépenses liées à une guerre.
En grec ancien, le mot emporion (ἐμπόριον) désigne un port de commerce, par opposition à l’astu
(ἄστυ), la cité à proprement parler, située à l'intérieur des terres.
En Grèce antique, un emporos (en grec ancien ἔμπορος) est à l'origine, dans les poèmes
homériques, un individu voyageant sur le navire d'autrui1. Il prend, à l'époque classique, le sens
plus précis de négociant au long cours. Un emporos pratique le commerce international en achetant
à un endroit une marchandise qu'il n'a pas fabriquée pour la transporter sur un navire2 qui ne lui
appartient pas jusqu'à un autre port où il la vendra.
En Grèce antique, un eranos (en grec ancien ἔρανος) est un type de repas où chacun apporte sa
part ; le terme désigne également un prêt sans intérêt contracté auprès d'amis ou de parents.
ses φίλοι / philoi, terme généralement traduit par « amis », mais qui inclut également les parents,
voire les connaissances.
Antisthénès et Archestratos
La liturgie (du grec λειτουργία ou λῃτουργία / leitourgía, de λαός / laós, « le peuple » et de la
racine ἐργο / ergo, « faire, accomplir »1) est, en Grèce antique, un service public mis en place par la
cité et que les plus riches (citoyens ou métèques), avec plus ou moins de bonne volonté, financent et
gèrent avec leur fortune personnelle. Elle trouve sa légitimité dans l'idée que « la richesse
personnelle n'est possédée que par délégation de la cité2. »
Les trapézites sont les banquiers de la Grèce antique. Leur nom vient de la table (trapeza) installée
sur l’Agora ou sur les marchés et derrière laquelle ils se tenaient dans des boutiques parfois
affectées à un autre commerce, mais le plus souvent destinées aux transations bancaires (dépôts,
crédit, change, voire même création de monnaie scripturale à cette époque).
Les trapézites pouvaient être des sociétés privées, des temples, des cités, ou de simples particuliers
utilisant comme capital leurs fonds propres.
Dans la Grèce antique, le terme de métèque désigne l'étranger domicilié dans une cité autre que
celle dont il est originaire. Il ne comporte alors aucune connotation péjorative, au contraire de son
usage contemporain en français.
Le mot, attesté à partir du VIe siècle av. J.-C., vient du grec ancien μετοίκος / metoikos, de oἶκος /
oikos, « maison, habitation » et de μετά / meta, dont la signification reste sujette à débat : dans le
sens « avec », le mot signifierait « qui habite avec (s.e. les citoyens) ». L'interprétation de meta dans
un sens de changement est plus vraisemblable : le métèque est « celui qui a changé de résidence ».
Les Grecs différencient le métèque, étranger résident, de l'étranger de passage. Ce dernier ne
bénéficie d'aucun droit. En cas de problème, il doit s'adresser au proxène, citoyen protecteur des
citoyens d'une autre cité. Ainsi, Cimon est le proxène de Sparte à Athènes. En outre, un traité
bilatéral d'hospitalité (ξενία / xenía) peut être conclu entre deux cités. L'étranger de passage peut
devenir métèque au bout d'un mois de résidence. Si le métèque athénien peut rester à Athènes toute
sa vie, les métèques des autres cités sont moins bien lotis : les expulsions ne sont pas rares, Sparte
pratiquant régulièrement la xénélasie, expulsion générale des étrangers.
Le chorège (du grec ancien χορηγός / khorêgós) est, en Grèce antique, un citoyen (ou un métèque)
chargé d'organiser à ses frais un chœur et les figurants pour une représentation théâtrale dans le
cadre d'une liturgie.
Dans l'antiquité grecque, durant la démocratie athénienne, le metoikion (μετοίκιον) est une taxe
annuelle sur les métèques, attestée à partir du IVe siècle av. J.-C). Elle était à hauteur de 12
drachmes pour un homme et de 6 pour une veuve. Cette taxe fait partie des principales recettes
fiscales de l'état athénien avec le fermage (location de terrains appartenant à l'état athénien), la taxe
sur le commerce et les amendes. Les isotèles (ἰσοτελής) sont dispensés du paiement de toutes les
taxes pesant sur les métèques.
En Grèce antique, l’isotélie (du grec ancien ἰσοτέλεια / isoteleia) est un privilège accordé par décret
aux étrangers dans les cités grecques, les assimilant aux citoyens en matière d’impôt. Elle n'est bien
connue qu'à Athènes.
Dans la cité d'Athènes, en Grèce ancienne, le prostatès est un garant à qui fait appel l'étranger
métèque s'il est accusé dans un procès civil. Il est son patron. Quand un étranger veut prendre le
statut de métèque à Athènes, il doit se choisir un citoyen pour prostatès et se faire enregistrer avec
son aide dans son dème. Le métèque et le prostatès restent liés en permanence. C'est aussi l'ancien
maître de l'esclave affranchi. Après mamumission, tout esclave ainsi affranchi reçoit le statut de
métèque, avec son ancien maître pour prostatès.
L'aspect principal de ce culte se construisait autour de la culture du blé et le cycle vie entreposage
semisrenaissance des cultures. Tous les initiés préservaient les secrets de la religion et croyaient
fermement qu'ils connaîtraient eux aussi une vie après la mort à cause de leur initiation à ces
mystères. Comme la divulgation des rites était strictement défendue et qu’aucun auteur n’a trahi ce
secret, aucun écrit ne documente avec précision les cérémonies.
Un hiérophante est un prêtre qui explique les mystères du sacré. Dans l'Antiquité grecque, le mot
désignait plus particulièrement le prêtre qui présidait aux mystères d'Éleusis et instruisait les initiés.
Ce titre est aussi employé dans les rites maçonniques égyptiens, notamment dans les rituels de la
Grande Loge Française de Memphis & Misraïm, Ordre des Rites Unis restaurés par Garibaldi en
1881
Dadouque, (c-à-d. en grec porteur de flambeau), le principal ministre des mystères d'Éleusis,
représentait le Soleil. Il purifiait les adeptes avant l'initiation et marchait à la tête des
Lampadophores dans les courses de Demeter à la recherche de sa fille.
En Grèce antique, la triérarchie (τριηραρχία / triêrarkhía) est une liturgie militaire, correspondant
à l'équipement d'une trière et à l'entretien de son équipage pendant un an. On la connaît notamment
à Athènes : peut-être date-t-elle de la loi navale de Thémistocle en 483/482, mais son
fonctionnement ne nous est bien connu qu'au IVe siècle av. J.-C.1.
La cité fournit les agrès2 et la coque, à charge pour le triérarque de les entretenir pour les rendre en
parfait état un an après. Ce dernier doit également engager l'équipage à même de manœuvrer le
navire, et en assurer le commandement. P
Un stratège (du grec ancien στρατηγός / stratêgós) est un officier militaire supérieur.
Un stratège peut également être un membre du pouvoir exécutif d'une cité grecque, qu'il soit élu ou
coopté.
Un prêt à la grosse aventure, également appelé nautika ou simplement prêt maritime (en grec
ancien ργὐριον ναυτικός / argurion nautikos ou δανείσματα ναυτικά / daneismata nautika) est, en
Grèce antique à l'époque classique, un prêt consenti à un taux très élevé par un particulier pour
financer le voyage d'un négociant au long cours (emporos) ou d'un nauclère, sans établir entre eux
d'association à long terme. Il a essentiellement une fonction d'assurance.
grec ancien, le mot paedeia or paideia (παιδεία) signifie éducation ou élevage d'enfant.
Historiquement, il fait référence à un système d'instruction de l'ancienne Athènes dans lequel on
enseignait une culture vaste. Étaient enseignées la grammaire, la rhétorique, les mathématiques, la
musique, la philosophie, la géographie, l'histoire naturelle et la gymnastique. La paideia désignait
alors le processus d'éducation des hommes, une éducation comprise comme modelage ou élévation,
par laquelle les étudiants s'élevaient à leur « vraie » forme, celle de l'authentique nature humaine1 .
Larété est nécessaire au héros, tout comme elle l'est dans la guerre pour celui qui cherche à vaincre.
Elle consiste dans la capacité à « garder sa tête avec ses mains, contre les ennemis, les monstres et
les dangers de toute sorte, puis revenir victorieux »4.
Un horos (en grec ancien ὅρος / hóros, au pluriel ὅροι / hóroi) est une borne de pierre utilisée en
Grèce antique pour délimiter les propriétés. À partir du IVe siècle av. J.-C., les horoi sont également
employés comme bornes hypothécaires, marquant les terres engagées envers un créditeur.
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Kalos kagathos (en grec ancien : καλὸς κἀγαθός) est une expression idiomatique utilisée dans la
littérature grecque antique. Cette locution est la forme abrégée kalos kai agathos (καλὸς καὶ
ἀγαθός), qui signifie littéralement « beau et bon » : elle est composée de deux adjectifs, καλός
(kalos, « beau ») et (agathos, « bien »), dont le second est combiné par une crase avec l'aide du mot
καί (kai, « et ») pour former κἀγαθός (kagathos).
« l'idéal chevaleresque de la personnalité humaine complète, harmonieuse d'âme et de corps,
compétente au combat comme en paroles, dans la chanson comme dans l'action »1.
à la combinaison de plusieurs vertus (Platon parle à ce sujet d'un « essaim de vertus »2). Elle
pouvait alors se traduire par « beau et brave » ou « bon et en bonne forme »
L'aristocratie athénienne a repris l'expression pour se référer à elle-même. Chez les philosophes
réfléchissant à des enjeux moraux, qui étaient pour les premiers d'entre eux athéniens, le terme
désignait l'homme idéal ou parfait.
sa traduction latine dans le dicton mens sana in corpore sano un esprit sain dans un corps sain »).
Le terme aristocratie (en grec : gouvernement des meilleurs) désigne :
une forme de gouvernement dans laquelle le pouvoir est officiellement détenu par une élite
(parfois par une caste, une classe, une famille, ou bien une élite intellectuelle) ; à ne pas
confondre toutefois avec le système politique oligarchique ; La Démocratie représentative
est un exemple moderne d'Aristocratie.
les membres de cette classe que ce soit les nobles, les notables ou tout autre forme d'élite,
telle la nomenklatura ;
l'aristocratie n'est cependant pas à confondre avec la noblesse. L'aristocratie est, en principe,
fondée sur le mérite, l'éducation ; la noblesse et l'héritage de celui-ci (naissance) soit
l'aristocratie héréditaire.
Souvent issue de la féodalité, l'aristocratie a souvent évolué vers la monarchie ou l'autocratie. Elle
peut parfois se combiner avec une sorte de démocratie (exemple de la République de Venise avec un
doge élu et aux pouvoirs limités ou de la Pologne dont le Roi était élu par la Noblesse - 10 % de la
population - et dont les pouvoirs étaient dans la Diète).
Aristocratie, du grec aristokratia (aristos, excellent, le meilleur, le plus brave et kratos, pouvoir).
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ans la mythologie grecque, les Abantides sont les descendants d'Abas, roi d'Argos. Ce
lignage regroupe Danaé, Persée et tous ses descendants.
La dynastie des Argéades (en grec ancien οἱ Ἀργεάδαι / hoi Argeádai) est la famille qui
régna sur la Macédoine, nation du nord de la Grèce, de 700 av. J.-C. à 309 av. J.-C..
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