cette place; pour le reste, il est interdit!” N’est-ce pas ca une formule pour la paradoxie structurale
de toute législation? Nous avons bésoin de normes pour enforcer les prâtiques que nous considérons
d’être droit par leur essence, d’être raisonnable par leur et par notre nature et d’être les raisons
d’être de nos normes! Est n’est-ce pas ca une paradoxie qu’est même renforcé jusqu’à l’extrème par
le principe absolument vénérable depuis les temps de Platon et Aristote, le principe qu’ils sont les
lois mêmes qui doivent régner sur nous, le principe de rule of law? Il est le résultat de notre
expérience historique que la règime des lois est la meilleure protection de ceci que dans son essence
n’est pas une loi du tout mais la raison d’être de toutes les lois. Si on veut expliquer cette
constellation paradoxe, je pense qu’on viendra au résultat que la connection entre les lois et leur
revers inécrit est beaucoup plus qu’un aspect spéciale concernant quelques questions du droit
constitutionnel; au moins pour un système politique que se justifie par l’idée de rule of law il est
constitutif d’établir dans ses institutions juridiques un principe que dirige nos activités politiques et
juridiques vers le but de sécurer la plus grande concordance et convergence possible entre les deux
parties que sont, bien entendu, les parties constitutive de toute loi, la partie écrite et la partie
inécrite. Ainsi, ma réponse à la question qu’est-ce qu’est la fonction structurale du terme dignité
humaine est que ce terme signifie le principe que dirige nos activités politiques et juridiques vers le
but de sécurer la plus grande concordance et convergence possible entre les prétentions impliqués
par les droits fondamentaux de nous comme citoyens et les droits de l’homme que sont présupposés
dans les institutions de notre système politique comme les sources de quoi ce système et par
conséquent aussi notre status comme des citoyens sont dérivés.
Avant d’essayer de justifier cette thèse je voudrais maintenant indiquer la connection qu’est le
thème de mon discours. Je peux faire ca par une très simple mais très importante référence au
“Léviathan” de Thomas Hobbes. Dans ce livre que je considére la source philosophique la plus
importante et plus puissante de notre système politique jusqu’à aujourd’hui, Hobbes a donné une
definition absolument précise et absolument simple de la côté derrière, le revers inécrit des lois
civiles: il appele cette instance la loi de nature, la lex naturalis: “La loi de nature et la loi civile se
contiennent l’une l’autre, et sont d’égale étendue. En effet, dans l’état de pure nature, les lois de
nature, qui consistent dans l’équité, la justice, la gratitude, et les autres vertus morales qui
dependent de ces premières, ne sont pas proprement des lois…, mais des qualités qui disposent les
homes à la paix et à l’obéissance. C’est une fois qu’une République est établie (et pas avant) qu’elles
sont effectivement des lois, en tant qu’elles sont alors les commandements de la République, et
qu’en consequence elles sont aussi lois civiles…”
Le petit mot “aussi” est très important dans cette
passage decisive que pourrait être lu comme un document de positivisme sans ce mot “aussi”; en
fait, c’est une passage essentiellement anti-positiviste comme est evident dans son continuation: “La
loi civile et la loi naturelle ne sont pas des espèces de loi différentes, mais des parties différentes de
la loi: une partie de celle-ci, écrite est appelée loi civile; l’autre, non-écrite, est appelée loi naturelle.”
Toujours le positivisme [de droit? “Rechtspositivismus”] a accusé la notion de loi naturelle de référer
à une sorte de législation séparé de la loi civile, c’est-.a-dire à ce que Hobbes appele ici un espèce de
loi différente; pour le positiviste, le terme lex naturalis implique une loi d’autre facon que la loi civile,
une loi imaginaire que chacun pourrait evoquer pour relativer et ignorer les normes de sa societé. La
thèse de Hobbes, la définition de la loi naturelle comme la partie inécrite de la loi civile, est la
réponse classique à cette accusation. Hobbes référe à une source prioritaire, une instance qui
précède le status civilis, le contrât social, la loi civile; mais il ne réfère pas à cette instance comme
Thomas Hobbes: léviathan. Traité de la matière, de la forme et du pouvoir de la république ecclasiastique et
civile, traduit par F. Tricaud, Éditions Sirey 1971, chapitre XVI, 285.