q MAIGRIRE , MIEUX S‘ALIMENTER , MIEUX VIVRE C ‘ EST POSSIBLE !!! EN COOPERATION AVEC LES NUTRITIONNISTES Nutri - soin NOUVEAU CONCEPTE DANS L’ALIMENTATION FAITES NOUS CONFIANCE ! - conseil en consommation alimentaire - consultations et liens directe avec les nutritionnistes - développement d un service de livraison de régimes - innovation culinaire avec des produits frais - partenariat avec le commerce équitable - service de qualité Plan d’étude nutri - soin 1) 2) 3) 4) 5) 6) Analyse du produit Gammes du produit définis Définition du system Intégration du produit sur le marché Accord avec les nutritionnistes (partenariat) Plan financement du projet 1) analyse du produit a) le produit « salade » Espèces et variétés de salades cultivées a vendre « photo » - Histoire du produit : La laitue aurait pour ancêtre une petite salade aux feuilles dentelées et à la saveur amère. De son origine, elle aurait longtemps conservé cette caractéristique gustative. Selon les Saintes Ecritures, "la laitue figurait parmi les plantes dont Moïse avait prescrit aux Israélites d'entourer l'agneau pascal pour commémorer l'amertume de l'exil". Au fil des siècles et des améliorations culturales, la laitue troqua sa robe ébouriffée et son amertume pour une "opulente verdure de satin qui fait penser à la jupe bouffante d'une ballerine s'apprêtant à danser le menuet" et la douce saveur laiteuse que nous lui connaissons. Les Pythagoriciens l'appelaient "la plante des eunuques" en référence à l'action sédative qu'elle était sensée exercer sur l'appareil génital, propriété qui lui fut régulièrement reconnue au cours des siècles et qui fit d'elle un symbole de chasteté. Les Romains, grands amateurs de laitue (en dépit de ses propriétés anaphrodisiaques), la consommait pour "préparer l'estomac aux prouesses gastronomiques". - Mieux connaître le produit Dans la farandole des laitues se trouvent la populaire laitue beurre, à la classique pomme ronde et lisse, la romaine aux feuilles allongées et la batavia (dont l’iceberg est une représentante nacrée). Moins connues mais aussi dans la ronde : les laitues grasses (aux jolies appellations de sucrine, craquerelle du midi...) et à couper, telle la Feuille de chêne dont les longues feuilles sont récoltées par poignées. La sarabande des chicorées n’est pas moins variée : la Barbe de capucin, aux longues feuilles blanchies et échevelées, est la salade se rapprochant le plus de la chicorée indigène qui fleurit de bleu nos talus. Dans la catégorie des chicorées dites sauvages se classent l’oblongue et croquante Pain de sucre et les rouges chicorées de Vénétie de Trévise. Parmis les chicorées améliorées, la scarole (dont les amples feuilles se rejoignent en forme de cône) côtoie la frisée. Celle-ci, grâce à la technique de l’étiolement, offre un cœur doré entouré de larges feuilles frisées et vert foncé. - Connaissance nutritionnel Consommée crue et en salade, la laitue constitue un hors-d'oeuvre rafraîchissant et digeste, qu'il est intéressant de prévoir régulièrement dans les repas pour ses qualités nutritionnelles, et notamment sa haute densité minérale et vitaminique. Elle est particulièrement appréciée dans les régimes minceur, pour son faible apport énergétique (13 calories aux 100 g) et l'impression de satiété qu'elle procure. Elle peut bien entendu être aussi consommée en plat de légume cuit. Dans tous les cas, pour bénéficier au maximum de sa "discrétion" calorique, il est souhaitable de limiter les corps gras d'assaisonnement. On attribuait autrefois à la laitue une influence sédative et hypnotique. En fait, ces propriétés appartiennent à une variété spécifique de laitue, Lactuca virosa, très amère et de ce fait impropre à la consommation alimentaire. Le suc de cette laitue, inscrit au Codex sous l'appellation de lactucarium, est riche en lactones (des tri terpènes amers). Il renferme également du mannitol, des traces d'acides organiques (acide malique, acide oxalique), d'acides aminés (asparagine), de cires et de résines. Il peut être extrait et utilisé en thérapeutique interne ou externe, soit en sirop ou décoction, soit en lotion ou cataplasme. - Comment choisir Laitue ou chicorée, la salade doit, bien sûr, être de première fraîcheur ! La base de la salade, la plus blanche possible, en est un gage fiable. Comment conserver les salade que nous proposerons serons renouveler fréquemment afin que la consommation soit varier et équilibré . Pour les conserver au réfrigérateur (2 ou 3 jours), mieux vaut les garder, lavées et essorées dans un saladier recouvert d’un film alimentaire. Comment nous l’utiliserons La salade est notre support multiculturel et sans limite en terme de mélange. Elle fait référence a la base/support du produit que nous voulons commercialiser. Les aliments qui vont la composé seront frais et issus de distributeurs répondant a des critères qualitatifs très précis et issus de l’étranger afin de répondre aux besoin du hors saison . 2) gammes de produits - La composition de la salade ouvre une gamme infinie de produits mélangeant les cultures La salade diététique fait référence a une nouvelle catégorie de consommation en France . L idée de salade diététique a un lien directe avec le soucie d une alimentation seine et variée . le domaine de la diététique en en pleine expansion en France du a ses vertus alimentaire et médicale . Le concept même développe une multitude de gammes : - S régime(femmes tt age principe de base sur la diététique) - S beauté ( segment senior « idée de salade au minéraux actif » ) - S exotique (fruits /légumes , dessert , enfants, AV multiculturel / compos libre) - S gastronomique ( actifs H F « travailleur » , généralisation du produit - S junior( salade exclusivement enfant bas ages jusqu a 10 ans a dissocier du repas adulte) - Vive la variété ! En les mariant avec d'autres aliments, poissons, viandes, oeufs, légumineuses, les salades prennent la place du plat principal. Facile à préparer, elles se plient à tous les mélanges et expriment la personnalité des terroirs : salades niçoise, landaise, fermière, parisienne ou suédoise. Adeptes de la sobriété et du dénuement zen, composez vos salades en monochromie : rougetomates, vert-laitue, blanc-endive...3 salades sur le pouce .Ce system de formule de salade lié le bien être et la gourmandise . En effet le produit frais associé comme il faut peut mettre en avant des vertus . 1)La salade minceur Ingrédients : 150 g de laitue 150 g de roquette 150 g de poulet grillé coupé en morceaux Préparation : Pour l'assaisonnement préparez un jus de légumes, en passant tomates, carottes et céleri au blender, ajoutez une pointe de moutarde et une cuillère de vinaigre. Les plus : Une salade deux fois moins grasse et deux fois plus riche en vitamines grâce à sa vinaigrette et aux légumes. Cette formule fait référence a une gamme de produit ouverte au grand publique et également a un programme prédéfinie et varier avec l aide de nutritionniste répertorier sur le site Des feuilles contre les kilos !!!!! Bien que peu caloriques, les salades jouent un rôle central sur le rassasiement. Une récente étude américaine* vient d'en apporter la preuve. En ajoutant une salade au repas, les scientifiques américains ont eu l'incroyable surprise de constater que la valeur calorique de celui-ci diminuait. L'explication est simple : la salade rassasie grâce à sa teneur en fibre tout en apportant un minimum de calories. Conséquence, une fois l'entrée avalée et la faim calmée, on fait moins honneur au reste du repas. En effet, dans l'étude, plus la portion de salade est importante, plus les apports caloriques du repas diminuent : avec 3 bols de salades en entrée, les apports caloriques chutaient de 12 % alors qu'en consommant un bol et demi de salade, l'addition calorique du repas ne diminuait plus que de 7 %. Pour adapter l'étude américaine à la maison : évitez de noyer la salade sous la vinaigrette, la charcuterie ou le fromage ! 3) Définition du système de livraison fonctionnant sur deux modules : Nous avons comme objectif de mettre en application un system de livraison totalement informatisé via le « management de yield » ( logiciel de gestion de stock et livraison ) Ce system fonctionne de la manière suivante : Un pc centrale va nous permettre de stocker les fichiers clients , soit personnaliser et lié avec un programme de régime définie par un nutritionniste en contrat avec nous , soit personnaliser dans le cadre d’une consommation public qui va donner un maximum de choix a celui qui composera librement sa salade sur le cite Internet. Ainsi nous allons pouvoir diviser le site en deux partie : - Partie consommation grand public : consommation de produit frais issus du commerce équitable ( produit de qualité, bio , hors saison) . Libre consommation de repas ayant comme support la salade composable avec une multitude de produits sur le site Internet . - commande = site Internet - programme de production = cuisine - k, l x = client a livrai après commande Ce dessin illustre notre system informatisé de commande et de livraison .Comme nous pouvons le voir nous parlons de commande anticipée plus adapter a la catégorie « régime » cependant la partie grand public livre une salade de qualité et libre dans sa composition avec une multitude de produit de qualité directement composable sur le site Internet et instantanément livré . Ce system s approvisionne sur les stock régime afin de na pas avoir de perte ( il est d anticipé une demande face au grand public ce qui n est pas le cas de la partie régime ou la demande est parfaitement définie). Cependant rien n’exclu un bon développent de la partie G public et un approvisionnement en conséquence . Partie consommation régime : livraison de repas diététique sur une période déterminer par une consultation préalable par un nutritionniste sous contrat avec nous définissant les apports nécessaire afin de suivre la prescription sans écart (assurance sur les objectif) . schéma de distribution de la section régime : - client = modèle 0, 1, 2, 3 - validation = nutri - soin - expert vente = = nutritionnistes Cette deuxième partie du système complètement étanche à la première en terme de consommation passe en premier lieu par une consultation préalable par un nutritionniste en partenariat avec nous et le site Internet . Cette consultation va pouvoir nous renseigner sur vos besoins nutritionnels et de vous classifier dans nos formules régimes personnalisées . Ces formules basées sur un duré prédéfinit nécessite un payement adapter a votre consommation et antérieur au début du projet de santé . Cela va vous permettre de suivre votre prescription a la lettre sans écart et avec du plaisir essayer nous !!!!! Nous pouvons traiter en terme nutritionnel n importe quel demande ou besoin avec la coopération de nos nutritionnistes et l informatisation de notre system illustrer si dessus : Nutrition, surpoids et obésité : où en est-t-on en France ? FRANCE, 06 février (Toute la diététique !) - La nutrition est l'un des facteurs majeurs contribuant à la survenue de diverses pathologies. Elle n'est pas l'unique cause de ces pathologies, mais en constitue un facteur favorisant, essentiel parmi d'autres facteurs d'environnement ou génétique. C'est un facteur pour lequel il est possible d'intervenir. Reconnue par l'OMS comme une maladie grave à l'origine de complications sévères parfois mortelles, l'obésité est également un enjeu majeur de santé publique à l'échelon mondial. La santé et la nutrition Si la nutrition représente un facteur de risque, elle peut aussi être un facteur de protection. Les grandes carences alimentaires, qui persistent dans de très nombreux pays en développement, conduisent à des malnutritions. Ces tableaux cliniques sévères, dont les images ont été largement médiatisées, ont, hors cas très particuliers, disparu en France et dans les pays industrialisés. La relation entre nutrition et santé est maintenant, dans nos sociétés industrialisées, d'une nature différente. Il s'agit le plus souvent d'excès, les carences ne concernant que des groupes particuliers (personnes âgées en institution, populations en situation de grande précarité, par exemple). L'alimentation et l'état nutritionnel qui en résulte participent de façon majeure à la survenue des maladies les plus répandues. De nombreux facteurs influencent l'apparition des principales pathologies qui touchent les Français (maladies cardiovasculaires, cancers, obésité, diabète, ostéoporose...). Ils sont en partie liés à l'environnement et au mode de vie : tabagisme, alcoolisme, insuffisance d'exercice physique... Parmi ces facteurs, il est aujourd'hui bien établi que l'alimentation joue un rôle essentiel. Ce point est d'autant plus important que l'alimentation est un facteur sur lequel les possibilités d'intervention existent tant à niveau individuel qu'en termes de santé publique et de prévention (information sur la composition d'un régime alimentaire quotidien équilibré, renforcement de la formation des professionnels de santé, amélioration de la restauration scolaire...). Les principaux chiffres relatifs à la nutrition en France Il est aujourd'hui parfaitement établi que l'alimentation et l'état nutritionnel participent de façon essentielle au développement et à l'expression clinique des maladies qui sont aujourd'hui les plus répandues en France, comme dans l'ensemble des pays industrialisés : Près d'un adulte sur 5 présente une cholestérolémie supérieure à 2,50 g/l. Les maladies cardiovasculaires (infarctus du myocarde, accidents vasculaires cérébraux...) sont aujourd'hui la première cause de mortalité en France (32 % des décès), à l'origine de près de 170 000 décès chaque année. Les tumeurs malignes représentent 29 % de l'ensemble des décès chez l'homme et 23 % chez la femme. Le nombre de nouveaux cas est estimé 280 000 par an. La nutrition intervient sur certains types de cancers (notamment oropharyngés et digestifs) L'ostéoporose, qui entraîne une fragilité osseuse exposant les patients à un risque de fractures (en particulier du col du fémur) concernerait 10 % des femmes à 50 ans, 20 % à 60 ans et 40 % à 75 ans. La prévalence du diabète, tous âges confondus, est estimée entre 2 % et 2,5 % de la population générale (plus de 80 % des diabètes sont liés à des surcharges et à des déséquilibres nutritionnels). L'hypercholestérolémie concerne près d'un adulte sur cinq (supérieure à 2,50 g/1). La surcharge pondérale et l'obésité L'obésité correspond à une augmentation excessive de la masse grasse de l'organisme dans une proportion telle, qu'elle peut avoir une influence sur l'état de santé (IOTF, 1998). La mesure de référence internationale actuelle est l'indice de masse corporelle (IMC) [ou indice de Quételet ou Body Mass Index (BMI)], égal au rapport du poids (en kg) sur le carré de la taille (en mètres) (IMC = P/T² en kg/m²). Ce choix repose principalement sur les associations entre, d'une part IMC et pourcentage de graisse corporelle, et d'autre part IMC et taux de mortalité. Chez l'adulte, on considère actuellement que : l'intervalle de l'IMC associé au moindre risque pour la santé est situé entre 18,5 et 24,9 kg/m² ; le « surpoids » correspond à l'intervalle d'IMC entre 25 et 29,9 kg/m² ; « l'obésité » est définie par un IMC > ou = 30 kg/m² quels que soient l'âge et le sexe; « l'obésité sévère » par un IMC supérieur à 35 kg/m² et inférieur à 40 kg/m² et « l'obésité massive » par un IMC supérieur à 40 kg/m². Certaines limitations de l'utilisation de l'IMC sont à mentionner. Sur de larges échantillons, il existe en général une bonne corrélation entre l'IMC et le pourcentage de graisse corporelle. Cependant, lors de comparaisons entre populations très différentes, l'IMC qui est avant tout une mesure de corpulence ne renseigne qu'imparfaitement sur la composition corporelle (masse grasse, masse maigre). D'autre part, l'IMC ne mesure pas la répartition du tissu adipeux dont dépend, en partie, le risque de complications associées à l'obésité. C'est notamment le cas de l'adiposité abdominale, mesurée par le tour de taille ou par le rapport tour de taille/tour de hanches, qui est associée à une augmentation de la mortalité cardiovasculaire. Chez l'enfant, l'obésité peut se définir par des valeurs supérieures au 97e centile de la distribution de l'IMC pour une classe d'âge donnée (WHO, 2000) ; par exemple, à l'âge de 10 ans, l'obésité est définie, en France, par une valeur de l'IMC supérieure ou égale à 20 kg/m2 (valeur correspondant, à cet âge, au 97e centile de la population de référence française). Les pathologies liées à l'obésité Reconnue par l'OMS comme une maladie grave à l'origine de complications sévères parfois mortelles, l'obésité est un enjeu majeur de santé publique à l'échelon mondial. Plus la quantité de graisses dans le corps est importante, plus l'organisme a besoin d'insuline. Au-delà d'un seuil, la production d'insuline est dépassée, c'est le développement du diabète : Une personne obèse a trois fois plus de risque d'être diabétique qu'une personne non obèse. Plus de 80% des diabètes de type 2 peuvent être attribués à l'obésité. L'excès de sucre expose alors à l'hypertension artérielle (HTA), aux infarctus cardiaques, aux accidents vasculaires cérébraux (AVC), à des problèmes d'ophtalmologie et des risques de plaies cutanées notamment des pieds. Les problèmes respiratoires concernent les apnées du sommeil (pauses respiratoires de 5 ou 10 secondes avec 20 à 30% des sujets obèses (1/4) qui souffrent d'apnées du sommeil. Les problèmes rhumatologiques peuvent être très handicapants, avec des douleurs fréquentes et des lésions d'arthrose sur les hanches, genoux et vertèbres. L'excès de graisses dans le sang, avec hypercholestérolémie, souvent associée à l'obésité renforce les risques cardiovasculaires. L'excès de graisses dans les veines est à l'origine de jambes lourdes, de varices et de phlébites altérant la qualité de vie. Différentes études montrent une relation entre excès de poids et tous les types de cancer chez l'homme, en particulier de l'estomac, et de la prostate ou du rein chez l'homme ou du sein et de l'utérus chez la femme. Le risque opératoire est majoré par l'existence d'une obésité et de ses complications. Evolution du surpoids et de l'obésité en France Les résultats de deux études, l'enquête nationale nutrition santé - ENNS - réalisée par l'Institut de veille sanitaire - INVS - et une autre de l'Institut national du cancer - INCA - réalisées en 20062007 montrent : une prévalence de l'obésité adulte (IMC [1] > 30 kg/m²) de 16,9% et de surpoids (25,0 kg/m² ≤ IMC ≤ 29,9 kg/m2, obésité non incluse) de 32,4% ; un pourcentage d'obèses semblable chez les hommes et les femmes mais une prévalence de surpoids plus élevée chez les hommes ; une prévalence de l'obésité chez les enfants [2] de 3 à 17 ans de 3,5% et celle de surpoids de 14,3%, identique chez les garçons et les filles ; une prévalence de l'obésité qui augmente avec l'âge pour atteindre 24% chez les 55-74 ans chez les hommes et les femmes ; une prévalence de l'obésité sévère (indice de masse corporelle > 35 et < 40) à 3,4%. Il n'existe pas de chiffres antérieurs obtenus dans les mêmes conditions et permettant une comparaison directe. Les études OBEPI (enquête INSERM/SOFRES/ROCHE ) menées tous les 3 ans depuis 1997 sur un échantillon national d'adultes (par déclaration téléphonique) donnent en 2006 une prévalence de l'obésité de 12,4%, avec, entre 2003 et 2006, une tendance au ralentissement de la courbe de prévalence d'obésité. Cette tendance est confirmée par une analyse dans les centres d'examen de santé du Centre Ouest depuis 1995 (plus de 330 000 sujets au total).Les études montrent que le ralentissement observé concerne essentiellement les catégories aisées de la population .Une étude menée avec l'Education nationale chez les enfants de CE1-CE2 âgés de 7 à 9 ans montre une prévalence stable du surpoids à 18,1% et de l'obésité à 4%. Comme pour les adultes, il existe une différence entre les enfants issus de catégories aisées pour lesquels la tendance est à la diminution et ceux issus de catégories défavorisées dont la fréquence d'obésité continue à croître légèrement. A noter enfin que cette stabilisation mise en évidence chez les enfants est réalisée à un niveau de prévalence qui comparée à celle existant dans les autres pays européens demeure moins élevée. 1. IMC = poids (en kg) / taille au carré (en m²) 2. Chez l'enfant, l'obésité est définie selon des courbes, en fonction de valeurs de l'indice de masse corporelle - IMC - qui varient selon l'âge et le sexe. Le rapport de la DREES « L'état de santé de la population en France » de 2007 note que les évolutions des années 2000 ne montrent pas d'infléchissement mais plutôt une augmentation de l'obésité en particulier chez les femmes .Il est donc prématurité d'affirmer la stabilisation de l'obésité infantile : il ne s'agit pour l'instant que de tendances statistiques affirmées sur deux mesures successives dans le temps. Une troisième mesure a minima est impérative pour affirmer une stabilisation .Derrière cette stabilisation apparente globale se cache un creusement des inégalités socio-économiques particulièrement préoccupantes .Les nouveaux objectifs du PNNS qui vont prochainement être redéfinis tiendront compte de ces résultats. Quelques chiffres concernant l'Union Européenne La France, les Pays-Bas et la Suède sont les pays où la prévalence de l'obésité infantile est la moins importante. Pour les adultes, en Allemagne, 20 % des adultes souffrent d'obésité, avec 66 % des hommes et 51 % des femmes en surpoids (étude 2005 - 2007). 75 millions d'enfants vivent dans l'Union européenne : 22 millions sont en surpoids, soit 29 % d'entre eux et 5,1 millions sont obèses, soit 6,8 % d'entre eux. Il y aurait 300 000 enfants obèses supplémentaires en Europe tous les ans (données de l'organisation internationale pour l'étude de l'obésité - OIEO), En Suède, 17,6 % des garçons et 27,4 % des filles de 6 à 11 ans sont en surpoids (étude - IASO International Association for the Study of Obesity), les filles de 4 ans ont 6 fois plus de risque d'être obèses aujourd'hui qu'il y a 20 ans. Au Royaume-Uni, une des nations les plus touchées en Europe, 29 % soit 1 enfant ou adolescent sur 3 est en surpoids ou obèse. Objectif général en commun avec l’état Le Programme National Nutrition-Santé (PNNS) a comme objectif général d’améliorer l’état de santé de l’ensemble de la population en agissant sur l’un de ses déterminants majeurs qu’est la nutrition. Neuf objectifs nutritionnels prioritaires en terme de Santé Publique Augmenter la consommation de fruits et légumes. Réduire de 25% le nombre de petits consommateurs de fruits et légumes. Augmenter la consommation de calcium . Réduire de 25% le nombre des personnes ayant des apports calciques en dessous des Apports Nutritionnels Conseillés , tout en réduisant de 25% de la prévalence des déficiences en vitamine D. Réduire les apports lipidiques à moins de 35% de l’apport énergétique journalier. Augmenter l’apport glucidique à plus de 50% de l’apport énergétique journalier, en particulier l’apport en fibres de 50% Réduire de 25% l’apport en sucres simples Réduire la consommation d’alcool à moins de 20g par jour dans la population générale. Cet objectif se situe dans le contexte nutritionnel (contribution excessive à l'apport énergétique); il n'est pas orienté sur la population des sujets présentant un problème d'alcoolisme chronique, redevable d'une prise en charge spécifique. Réduire de 5 % la cholestérolémie moyenne des adultes Réduire de 10 mm de Hg la pression artérielle systolique des adultes Réduire de 20 % la prévalence du surpoids et de l'obésité (Indice de Masse Corporelle (IMC) > 25 kg/m²) chez les adultes. Interrompre l’augmentation de la prévalence de l’obésité chez les enfants Augmenter l'activité physique journalière de l’équivalent d’une demi-heure de marche rapide supplémentaire par jour. La sédentarité étant un facteur de risque de maladies chroniques, doit être combattue chez l’enfant. Neuf objectifs nutritionnels spécifiques réduire la carence en fer pendant la grossesse, améliorer le statut en folates des femmes en âge de procréer, notamment en cas de désir de grossesse, promouvoir l’allaitement maternel, améliorer le statut en fer, en calcium et en vitamine D des enfants et des adolescents améliorer le statut en calcium et en vitamine D des personnes âgées, prévenir la dénutrition des personnes âgées, lutter contre les déficiences vitaminiques et minérales et les dénutritions chez les personnes en situation de précarité, lutter contre les déficiences vitaminiques et minérales chez les personnes suivant des régimes restrictifs, et les problèmes nutritionnels des sujets présentant des troubles du comportement alimentaire prendre en compte les problèmes d’allergies alimentaires. Principes généraux La population doit pouvoir bénéficier d’actions concrètes et visibles permettant, en améliorant l’état nutritionnel, de réduire le risque de maladies et d'optimiser l'état de santé et la qualité de vie, à tous les âges de la vie. Les mesures et actions développées dans le cadre du PNNS s’appuient sur certaines règles : Le choix alimentaire individuel est un acte libre. Outre sa vocation biologique, l’acte alimentaire a une forte charge culturelle, sociale, affective ; c’est, en France, un moment de plaisir revendiqué. Le PNNS, prend en compte la triple dimension biologique, symbolique et sociale de l’acte alimentaire. Le choix d’aliments et de plats comme le comportement alimentaire global doivent être éclairés par une information scientifiquement valide, compréhensible, et indépendante. Les actions mises en œuvre par le PNNS ont comme finalité de promouvoir, dans l’alimentation, les facteurs de protection et de réduire l’expositionaux facteurs de risque vis-à-vis des maladies chroniques et, aux niveaux des groupes à risque, de diminuer l’exposition aux problèmes spécifiques. Le PNNS prend en compte tant la composante apports nutritionnels que la composante dépenses, en particulier la dépense énergétique liée à l’activité physique, afin de maintenir un équilibre entre les deux. 2)La salade forme Ingrédients : 250 g de mâche 1 tranche de saumon fumé 1 tranche de truite fumée citron Préparation : Pour la vinaigrette hachez un quart d'échalote et mélangez-le avec 2 cuillères à soupe d'huile d'olive et 1 cuillère à soupe de jus de citron. Les plus : Une salade qui allie la teneur en oméga 3 de la mâche à celle du poisson et qui procure de bons apports en vitamines. Le plein de vitamines !!!! Ingrédient indispensable, bien que parfois négligé les salades vertes offrent une richesse nutritionnelle incomparable. Elles sont une source incontournable d'acide folique (vitamine B9). Cette substance, qui joue un rôle clé dans le renouvellement de toutes les cellules de l'organisme, est particulièrement nécessaire aux futures mamans. En effet, sa carence peut provoquer des malformations chez le foetus. Le pissenlit, le cresson, la mâche ainsi que la frisée figurent parmi les salades les plus riches en vitamine B9. Comme tous les aliments du règne végétal, les salades fournissent de précieux nutriments. Feuilles de chênes, laitue, roquette, endive, trévise, scarole, batavia regorgent de bétacarotène, le pissenlit détenant sans conteste la palme de la plus forte teneur. Leurs feuilles recèlent également de la vitamine C, des vitamines du groupe B et des petites doses de calcium. Pour optimiser vos apports, sachez que ces vitamines se nichent de préférence dans la partie la plus verte de la feuille. 3) La salade beauté Ingrédients : 150 g de feuilles de chênes 150 g de frisée 1/4 poivron rouge 60 g de maïs 2 tomates 1 oeuf dur Préparation : Préparez une vinaigrette en utilisant de l'huile de colza et parsemez votre salade de germes de blé, allié de la beauté des ongles, des cheveux et de la peau. Les plus : Riche en antioxydants, notamment en bétacarotène et vitamine E, cette salade protège la souplesse de la peau tout en sublimant le teint. Cette gamme de salade a un objectif commun avec les régimes minceurs mais fait référence a une composition de minéraux actifs ayant certaine influence médicale et reconnus . Ces deux concepts de salades son toutes deux complémentaires dans le but de manger varier et simple jour après jour , livrai et frais .Cette gamme touche produit de régime alliant la «S» Aliments enrichis : effet de mode ou réels bénéfices ? Jus d’orange enrichi en calcium, céréales avec plus de fer… Après les vitamines, les minéraux et les oligo-éléments sont mis à toutes les sauces ! On peut s'interroger sur l'intérêt de ces aliments enrichis. Leur multiplication est non seulement une source de confusion mais elle n’améliore pas forcément la qualité de l'alimentation…Après les vitamines, les minéraux et les oligo-éléments ont maintenant la cote. D’un côté, on trouve les aliments qui vantent leur teneur en différents éléments, de l’autre, une nouvelle gamme de produits enrichis fait son apparition. Effet de mode ou réel bénéfice ? - Quand l’eau raconte des histoires… De plus en plus d’eaux en bouteille soulignent leur teneur en minéraux et oligo-éléments. Logique, semble-t-il, pour les eaux minérales. Mais c’est paradoxal pour certaines marques, dont la qualité principale est d’être "oligo-minérales", c'est-à-dire... pauvres en minéraux ! Petites dernières dans ce secteur : des eaux additionnées de sels de calcium et magnésium (Eau Taillefine) ou de calcium (Eau Active'). Il ne s'agit plus d'eaux minérales proprement dites, mais de "boissons à base d'eau minérale". Une nuance appréciable, qui permet à ces nouveaux produits d'échapper à la réglementation très contraignante des eaux minérales naturelles ! - jus d orange enrichie Dans le rayon céréales pour petit déjeuner, on a du mal à trouver un produit qui ne soit pas enrichi non seulement en vitamines, mais aussi en fer. Et la contagion gagne les biscuits et les barres. Même remarque pour le lait, qui est maintenant proposé additionné de fer, de zinc ou de magnésium ; ou pour le jus d'orange qu'on trouve désormais enrichi en calcium. - Réel argument nutritionnel ? Ces produits mettent généralement en avant leur vocation nutritionnelle : ils ont pour ambition de nous éviter les inconvénients de carences éventuelles. Comme les besoins en fer des enfants et des adolescents sont élevés, on enrichit avec ce minéral les céréales et les biscuits qu'ils consomment volontiers. Les jeunes femmes qui font régulièrement des régimes manquent souvent de fer et de magnésium... Pour y remédier, c'est dans leur lait écrémé préféré que l'on va rajouter ces minéraux. Vous prenez souvent du jus d'orange le matin ou au goûter plutôt que du lait... On va additionner ce jus de fruits en calcium. Qu'importe alors si certains produits sont écartés de l'alimentation, les enrichissement permettent d'avoir bonne conscience ! - Halte à la confusion ! nous nous y opposons gardons la fresh attitude !!!! La justification nutritionnelle semble sans faille, et le marketing comme la publicité ne manquent pas de mettre en avant ces apports ciblés. Mais en même temps, la confusion grandit chez le consommateur. Pour ne pas manquer de fer, vaut-il mieux manger de la viande... ou tout simplement opter pour du lait enrichi ou des céréales au petit déjeuner ? De plus, personne n'a réellement étudié le devenir dans l'organisme des sels de fer ajouté aux aliments, alors qu'on sait que le fer de la viande est celui qui est le mieux assimilé. Le jus d'orange additionné de calcium peut-il remplacer le lait ? Comme source de calcium, sans doute. Mais on se prive alors des protéines provenant du lait (le jus d'orange est pratiquement dépourvu de ces éléments importants pour la croissance). Bref, à ajouter n'importe quel élément dans n'importe quelle denrée, on finit par tout mélanger, et le consommateur ne sait plus à quel aliment se vouer... - Un risque d'excès ? manger du frais c’est une valeur sur !!!!!!Sans compter qu'on peut craindre (comme c'est le cas avec tout enrichissement) un apport trop élevé en certains minéraux. Des limites supérieures d'apport ont été établies pour le calcium* (2000 mg par jour), le magnésium (350 mg) et le zinc (15 mg). Pour le fer, la dose limite de sécurité à été fixée par la CEDAP (Commission d'étude des produits destinés à une alimentation particulière) à 28 mg par jour*. On sait qu'un excès de fer n'est pas anodin : il augmente la production des radicaux libres, ceux-là même que l'on cherche à combattre grâce aux anti-oxydants. Or, des enfants ou des adolescents consomment parfois beaucoup de céréales ou de biscuits : s'ils sont enrichis en fer, cela peut aboutir à des doses (trop ?) élevées. Pour éviter une déficience en fer (retrouvée, il est vrai, chez 10 à 15 % des adolescents et des jeunes femmes), les nutritionnistes recommandent avant tout la consommation quotidienne d'une portion de viande, de poisson, de fruits de mer ou de jambon*.Pour lutter contre les carences en minéraux et oligo-éléments, inutile donc de courir après les aliments enrichis ! La prévention passe davantage par une réorganisation des repas, afin d’avoir des apports équilibrés naturellement ! 4) salade luxe / prestige - Salade de gambas mandarine 38.45 € - Salade de gambas aneth 66.60 € - Salade de fruit de mer -40.40 € salade de melon au poisson fumé Quand la chaleur est pesante, l'idée même de cuisiner peut en décourager plus d'un. Ouvrir son four préchauffé à 240° ou manger un plat chaud n'est pas très tentant. Ce n'est pas vraiment le cas en ce moment mais mieux vaut être prêt ! Voici de quoi préparer les beaux jours avec une salade rafraîchissante, mélangeant le sucré et le salé. Melon/poisson fumé, une association qui nous ferait presque oublier le traditionnel melon/jambon . : - salade aux truffes : - Salade de caviar : - Salade de homard Ces exemples de salades font référence a une catégories de clientèle aisées . Ayant pour objectif de goûter a des produits hautes gammes comme les photos si dessus l’illustrent. Nous ferons alors face a la gestion de ce type de produits frais . - Résumons l’idée de base « la salade = support » et son concept de gammes varier, diététique de produit de qualité , en ligne pour vous toute au long de la journée en coopération avec les nutritionnistes La salade diététique fait référence a une nouvelle catégorie de consommation en France . L idée de salade diététique a un lien directe avec le soucie d une alimentation seine et variée .le domaine de la diététique en en pleine expansion en France du a ses vertus alimentaire et médicale .Le concept même développe une multitude de gammes . - S régime(femmes sportive, active et enceinte tt age principe de base sur la diététique) - S beauté ( segment esthétique « idée de salade au minéraux actif » ) - S exotique (fruits /légumes , dessert , enfants, AV multiculturel / compos libre) - S gastronomique ( actifs H F « travailleur » , généralisation du produit dans la consommation ) -S junior( produits exclusivement enfant bas ages jusqu a 10 ans a dissocier du repas adulte a partir de 16 ans ) L idée bien entendue est de crée des lien entre ce différent segment afin de touche toutes les personnes pouvant ce cible entre ces même segment appelé segmentation intermédiaire . La cible du produit ainsi que de ses gammes - salade régime : ce concept de salade fait référence a l’évolution du marché de la femme ;en pleine expansion en 2008 ayant pour bute d bénéficier d une meilleur alimentation contrôler en terme de calories . Ce produit vise essentiellement les femmes ,de tt ages, améliorant leur quotidiens (en terme d alimentation et en terme de gain de temps). Ce produit touche a la fois les femmes qui travail ainsi que c elle qui ne travail pas (soit active / inactive ) . De plus les femme entre 12 et 20 seront cible non négligeable car elle devienne femme de plus en plus vite et prennent soin d’elle de plus en plus tôt au même titre que la cosmétique. Cette formule peut être adaptable a une consultation préalable avec un nutritionniste - salade beauté : la salade beauté, a base de minéraux/protéine met en avant des avantages nutritif .Ces avantage permettent au corps d’avoir des apports qualitatif(produit bio) et nutritionnel qu une alimentation commune(alimentions de base restaurant, fastfood ,Hypermarché) n’aurai pas. Cela passera par u composition de produit bio et ainsi + chères . Cette formule peut être adaptable a une consultation préalable avec un nutritionniste. - Salade junior : programme nutritionnel destine aux enfants - entre 3 et 6ans : - entre 6 et 9ans : - entre 9 et 12ans : L objectif de ce programme est de lutter contre les aliment gras et ainsi de créer une Icône de qualité aussi bien chez les grand comme sur les petits . Par ce biais les Médecine alimentaire prendrai tous son sens . « manger mieux et vivez mieux » - salade luxe : consommation de produit de luxe ex : caviar , homard , langouste ect.. - salade senior : personne âgé programme nutritionnel . cde programme ferai référence a un service de qualité nutritionnel ayant la possibilité et les ressources pour vous livrer chez vous . Ce system peut aider les personnes ne pouvant plus déplacer (ex : maladie grave) et adaptable a une prescription médicale précis - L'importance du repas : Vieillissement physique, sensoriel, physiologique, dépression… autant de raisons qui peuvent pousser une personne âgée à mal se nourrir . Or, le repas est un moment particulièrement important de la journée : il la rythme. Encore faut-il inciter la personne âgée à se nourrir et surtout à se nourrir comme il faut. En effet, contrairement à ce que l'on peut croire, les besoins énergétiques d'une personne âgée ne diminuent pas. Il est donc nécessaire décompenser les manques tout en gardant des repas attrayants .Les personnes âgées désirent avant tout conserver leurs habitudes alimentaires, avec des repas traditionnels, et des aliments faciles à mâcher et surtout riches en goûts. En effet, avec l'âge, nous perdons les sensations gustatives et il est alors important de bien relever les plats .Manger doit avant toute chose être un plaisir : le plaisir de goûter, de sentir, de regarder et de partager. c) C ‘est important !!!!!!!! fruits et légumes :adoptez la fresh’ attitude !!!!!!! Où sont passés les fruits et légumes ? C’est la question que l’on peut se poser en regardant l’assiette des Français ! Pourtant, ils sont des alliés indispensables de la forme et du bien-être. Et surtout, ils sont la garantie des saveurs et du goût des petits plats, s’ils viennent directement du marché. Découvrez tous les secrets des fruits et légumes frais ! - les légumes frais toute l’année ! (est ce possible ?) Vous aimeriez manger des fruits et légumes frais toute l’année. Mais vous n’avez pas le temps de faire votre marché, et encore moins le temps de cuisiner ? Et surtout, vous les trouvez un peu trop cher… Ne baissez pas les bras trop vite ! Il est possible de manger frais sans se ruiner… notamment en achetant des produits de saisons ! Quelques conseils simples permettent de s’organiser pour se régaler toute l’année ! - Les bienfaits des légumes frais Tous les nutritionnistes recommandent les fruits et légumes. Même le gouvernement préconise d’en manger cinq par jour minimum. Mais quels sont les atouts de ces carottes, salades, tomates et autres pommes ou fraises ? Comment être sûr de faire le plein de vitamines, minéraux et fibres ? Découvrez pourquoi fruits et légumes sont les alliés de la forme et de la santé. - Pensez salades et crudités ! Nous avons tendance à avoir des repas de plus en plus déstructurés. Et c’est souvent l’entrée qui en fait les frais, puisqu’elle est de plus en plus souvent "zappée". Pourtant, crudités et salades sont les alliés de la forme et de la minceur. Et en été, fruits et légumes crus peuvent devenir des repas à part entière ! Car bien manger, ce n’est pas du tout cuit ! - guide des fruits et légumes Les fruits et légumes n’ont pas de petite étiquette avec leurs qualités nutritionnelles et des suggestions de préparation ! Pourtant, ils ont toutes les qualités : santé, saveur… 4) intégration du produit sur le marché 1) Les légumes qu’il vous faut ! (calendrier des ventes /consommation face a la concurrences) .Vert foncé : hors saison .Vert claire : saison Pour savoir quels légumes acheter et quand, il suffit de connaître les périodes de récolte. En sachant que les semis alternés et les dispositifs tels que les serres ont permis "d’allonger" la période durant laquelle certains légumes sont disponibles. Printemps Eté Automne Hiver Artichaut Asperges Aubergine Betterave Brocolis Carotte Chou de Bruxelles Chou-fleur Concombre Courgette Endive Epinard Haricots verts Mâche Petits pois Poireau Poivron Pomme de terre primeur Potiron Radis Salade Salsifis Tomate Le principe est de pouvoir alimenter un réseau de distribution de salades en saison et hors saison : Les marges et les parts de marché seront accentuées sur le hors saison dit approvisionné par le commerce équitable ( ce system fait directement référence a un approvisionnement exclusif a l étranger afin de développer les pays du tiers monde et des marges non négligeable en France).Il est vitale de vendre un produit parfait ( frais et consommable) car le hors saison a subis de virulente critique en terme et qualité comme l illustre l ‘exemple l échec de la fraise d Espagne. La validation de l’ordres des nutritionniste élément indispensable au bon déroulent et a la validité du projet . 2) Les fruits qu il vs faut ! (calendrier des ventes/consommation face a la concurrence ) .Vert : hors saison .Orange : saison Non, les fruits ne sont pas disponibles uniquement au printemps et en été ! Néanmoins, la plupart ont une période assez limitée de récolte, et il faut savoir en profiter ! Printemps Eté Automne Hiver Abricot Avocat Cerise Châtaigne Citron Clémentine Figue Fraise Framboise Kiwi Mangue Melon Nectarine Noix fraîche Orange Pastèque Pêche Poire Pomme Prune Raisin Rhubarbe Rendez-vous au marché… et chez le producteur ! Bien sûr, le meilleur moyen de découvrir les fruits de saison est d’aller au marché le plus proche de chez vous (problème de proximité des marché ). Avantage par rapport aux grandes surfaces : vous pouvez demander des conseils au vendeur et goûter les produits. Sans compter que ce n’est souvent pas plus cher, et qu’au moins vous avez le choix entre différents producteurs provenant de ce fabuleux system du commerce équitable « la salade équitable » . Mais dans les grandes villes, les fruits et légumes des étals sont souvent achetés en gros dans les marchés internationaux de type Rungis. Alors regardez toujours la provenance : une poire achetée au marché près de chez vous peut tout de même venir de Nouvelle-Zélande ! mieux approvisionné , meilleurs prix , meilleur qualité , découverte des agrumes / légume regroupe un phénomène d acculturation culinaire au de « X » 5) contrat avec le nutritionniste