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Sortie au muséum de Rouen
Mis en place en 1828, le musée était initialement destiné aux étudiants en médecine pour illustrer les cours de
zoologie, de botanique et de pharmacie. Ouvert au public depuis 1834, c'est le 2ème muséum de France après Paris
pour la richesse de ses collections.
Consignes: Le musée est un endroit où le calme doit être respecté. Les collections sont uniques et fragiles. Il est
INTERDIT d'y toucher.
Problème: Qu'est-ce que la biodiversité?
Au cours de la visite, repérez-vous sur le plan. Notez votre trajet.
2. Salle des dioramas: Diorama des marais de bord de Seine (un diorama est une vitrine
reconstituant la faune et la flore d'un environnement).
Un écosystème est un ensemble constitué par un milieu et les êtres vivants qui l'habitent.
1. Quelles sont les caractéristiques de l'écosystème marais des bords de Seine?
Milieu aquatique, vase, sol meuble, végétation particulière.
2. Choisir 3 animaux dans ce diorama et expliquer en quoi ils sont adaptés à leur environnement.
Bec fouisseur, longues pattes, palmes, plumes imperméables.
Rq sur le colvert. Uniquement le mâle. Dimorphisme sexuel la femelle a été définie comme une autre espèce par
Linné.
3. Quelles autres espèces non présentes ici vivent également dans cet environnement?
Diorama sur les loups.
Quel est le nom scientifique des loups. Quand cette espèce a-t-elle disparu? Propose une hypothèse pour expliquer
cette disparition.
Canis lupus. Disparition en 1877 du fait de l’Homme.
3. La galerie des oiseaux.
Dans cette galerie sont présentés des petites expositions. Choisissez-en une et expliquez le message qu'on a voulu
transmettre.
L’Homme est responsable de la diminution de la biodiversité par exploitation trop importante (chasse)
4. La galerie des « mammifères »
1. Retrouvez les animaux suivants et placez-les dans la classification phylogénétique fournie.
6. Gorille
7. Éléphant d'Asie Rq sur les objets en ivoire (scène de crime)
8. Crocodile à museau étroit
9. Tortue géante d'Alabra
10. Kangourou roux
Rq sur la défense de Narval. Jusque vers le début du XVIIIe siècle, on pensait que les exemplaires connus de cette
« corne » appartenaient à la légendaire licorne. La rareté du narval et son habitat réduit ont contribué à la
persistance de la légende. Au XVIe siècle, Élisabeth Ire d'Angleterre aurait payé plus de 10 000 livres pour une
seule corne, soit le prix d'un château en entier. Les gens attribuaient des vertus à ces cornes, telle la faculté de
neutraliser les poisons, et se faisaient donc faire des gobelets dans cet ivoire. La tradition autrichienne dit que
Charles Quint remboursa une grande dette nationale avec deux défenses. A Vienne, les Habsbourg en ont