Je connais un homme qui ne connaissait pas la paix dans son cœur à cause de sa vie
pécheresse du passé. Il semblait que ses regards fuyaient toujours à cause de son sentiment
d’être poursuivi par quelque chose. En raison de sentiment de culpabilité, il devint un
noctambule et un demi-ivrogne. Mais son âme s’écria au secours pour chercher un salut. Il
alla d’abord au Bouddha. Puis il alla ensuite aux philosophes humanistes, en lisant tous
leurs livres. Mais toutes ses recherches étaient en vain. Finalement, Dieu lui envoya un
enseignant de la Bible. Il ne voulut pas étudier, car il était un oriental et moins âgé que lui.
Mais à la parole de sa femme d’essayer une fois, il a essayé d’étudier une fois, et cette une
fois devint plusieurs fois et ces plusieurs fois devinrent toutes les fois. Mais pendant assez
long laps de temps, son état de sans repos continua, malgré l’étude biblique. Mais il ne
relâcha pas son apprentissage d’obéissance à la loi, jusqu’à ce qu’enfin, à son temps, Dieu
envoya son Esprit et le fit naître de nouveau et le fit goûter de la paix de Dieu délicieuse.
Vu le cas de cet homme, si jamais quelqu’un parmi nous ne voit pas encore l’issue
d’un salut, ce n’est pas la peine de se désespérer. Tant qu’on a ce débattement pour une
délivrance, on est considéré comme étant dans le processus de la nouvelle naissance.
Biologiquement, la naissance est un événement d’une fois pour toutes par le sein de la
mère, mais au sens spirituel, il peut être une durée plus ou moins longue. Tauler que je cite
souvent ces jours-ci dit, « Vous suivez votre petit train-train pendant vingt et trente ans,
tout le temps pendant lequel vous avez eu l’apparence d’une vie religieuse, et vous n’êtes ni
plus loin, ni plus près que le premier jour. C’est assurément une misère. » Mais je crois que
malgré tout, ce n’est pas la peine de trop nous désespérer et être pessimiste. Quand on est
jeune, il faut avoir le temps de réfléchir sur le sens de vie, jusqu’à avoir une angoisse
profonde. Quand on est jeune, on peut souvent passer la nuit blanche pour philosopher sa
vie et discuter entre les amis à ce sujet. Quand je vois mes enfants discuter les sujets de
religion avec leurs amis, j’ai pu être inspiré de l’espoir de ce pays. Jésus le considère
comme un débattement pour une nouvelle naissance, comme le débattement de la chenille
pour pousser les ailes pour voler. Un jour elle se transformera en un beau papillon.
Deutéronome 4 :29 dit, « C’est de là aussi que tu rechercheras l’Eternel, ton Dieu ; tu le
trouveras, si tu le cherches de tout ton cœur et de toute ton âme. » La Bible dit que si on
cherche avec le cœur assoiffée, on finit par trouver la vérité. Selon mon expérience, ce n’est
que dans la Bible que la vérité se trouve, car la Bible seule dit, « Je suis la vérité et la vie,
nul ne peut venir au Père que par moi. » Bien que le monde soit ignorant de la parole, il faut
l’apprendre et la retenir continuellement, alors naîtra au temps de Dieu un monde de grâce,
où se taira toute la conscience de culpabilité qui nous a affligés.
Quand Nicodème ne comprenait pas l’enseignement de Jésus, Seigneur lui cita un
épisode de l’ancien testament. C’est merveilleux de voir Jésus citer un texte si opportun et
si adéquat pour sauver une brebis imbue de sa propre pensée. En effet, Nicodème était un
type légaliste, versé à la parole du pentateuque, 5 premiers livres de la Bible écrits par
Moïse. Jésus cite un événement qui se produisit dans le désert de Sin, lors de l’Exode. Le
peuple errant dans le désert murmura contre Moïse et contre Dieu, à cause du manque
d’eau. Chaque fois qu’ils furent confrontés aux difficultés, ils n’arrêtaient pas de sortir de
leur bouche les mots plaintifs et décevants. Une fois, ils furent amenés à même lapider
Moïse, leur libérateur, en raison du manque d’eau. Dieu n’était pas heureux de voir son
peuple si plaintif. Donc, il envoya le serpent brûlant, ce qui causa beaucoup de morts. Alors
le peuple se repentit et vint à Moïse pour lui demander la prière d’intercession en leur
faveur, car dirent-ils, nous avons péché. L’envoie des serpents brûlants était un acte
salutaire, car Dieu leur donna une conscience de culpabilité par cet événement et le peuple