Chap 10 : Le triedre des savoirs
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L’homme dans l’episteme de XIX siécle esta a la fois le fondement de
toutes les positivités et a la vois objet de celles ci.
Les sciences humaines cherchent a definir l’homme, mais puisqu’il est
le fondement de toutes le positivités, elles cherchent a se fonder elle
meme, fondement que semble apartenir au domaine de la philosophie.
Le champ epistemologique avant le XIX siecle était homogéne
(l’homme pouvait connaitre en etablissant un clasification de
particuliers, comme le fait comte. A partir du moment ou on remet en
question l’homme on remet en question toute sa connaissance).
Le champ epistemologique nouveau se morcelle il eclate dans tout les
sens.
L’episteme moderne peut etre comparee a un espace a trois
dimentions, l’une d’elle etant definie par les sciences comme les
matematiques et la physique (propositions lineaires deductives et
verifiables), une autre par les sciencies dont leur objet apartient au
domaine du cuantifiable, meme s’il est discontinu (economie,
biologie). La troisieme dimention correspond o doamaine de la
pensee, de la philosophie (qui se croise avec les mats dans le domaine
de la formalisation de la pensee).
Ce qui rend difficile la definition, et la precarité des frontieres des
sciences humaines, c’est qu’elles se trouvent dans le croisement des
trois dimensions, dans le volume entier de cet espace.
Ca les rend dangereuses dans la mesure ou elle risquent d’empiéter sur
les autres sciences (psicologismes, historicismes, sociologismes etc),
et ca les met en peril dans la mesure ou elles sont constament en
danger d’etre remplacees en partie ou entierement par d’autres
sciences humaines.
La forme des sciencies humaines
L’analise normalement utilisee, est celle du raprochement de la
science humaine dont on parle le plus possible des matematiques, en
la definisant par ce qu’elle a de matematisable. La deuxieme forme est
celle de tracer clairment la limite de ce qui est matematisable de ce qui
apartient au domaine des interpretations.
Elle peuvent sans doute s’aider de l’outil matematique, et une partie
de ces methodes est formalisable (Condorcet qui aplique le calcul de
probabilité a la politique), mais c’est pas ce qui peu le definir le
mieux. D’ailleurs bien d’autres sciences, comme la bilogie on un
rapport au matematisable, mais c’est en tout cas pas ce qui les definit.