6. Arbitrage :
C’est une procédure facultative de règlement d’un conflit collectif de travail consistant pour
les parties à confier à un tiers choisi par elles, la solution du conflit.
7. Corporate social responsability
Ce concept se développe essentiellement au cours des décennies 1960 et 1970 et stipule qu’il
existe une sorte de contrat implicite entre l’entreprise et la Société selon lequel l’entreprise a
des obligations envers la Société qui a le droit de la contrôler.
8. Corporate social responsiveness
Ce concept représente la reconnaissance de l’attention à accorder aux demandes sociales.
L’entreprise doit suivre les problèmes sociaux qui peuvent l’affecter et y répondre avant qu’ils
ne se déclanchent.
9. GRI : Global reporting initiative
Le GRI a pour objectif de faciliter et d’améliorer l’élaboration et la diffusion de rapport de
développement durable par les entreprises. Pour cela elle élabore et diffuse des lignes
directrices qui servent ensuite de guide à ces rapports. Elle réunit plusieurs partenaires du
programme des Nations Unis pour le développement : Entreprises, ONG, fédérations
professionnelles, etc. Crée en 1997, la GRI a publié sa première version en 1999. LE respect
de ce texte par les entreprises est totalement volontaire. Il n’existe pas de procédure de
vérification de leur application.
10. Global compact
Il fut lancé en juillet 2000 par Kofi Annan, le Global Compact visait une prévention des
risques de dérive de la mondialisation. Le projet s’articule autour de 9 principes issus de la
déclaration universelle des droits de l’homme, des déclarations de l’OIT, et enfin du sommet
de Rio de 1992 sur l’environnement et le développement.
11. LE WBCSB : World Business Council for Sustainable Development
C’est une association regroupant 165 compagnies. Elle publie notamment un rapport sur
l’éco-efficacité, le « changing Course » ou « changement de cap » et met davantage l’accent
sur l’intérêt économique plutot que sur l’impact environnemental des pratiques industriel d’il
y a quelques années.
12. Eco efficience.
Après le sommet de Rio, les entreprises se sont attachées à concilier l’efficience et
l’excellence environnementale afin d’assurer une croissance économique à la fois soutenue et
respectueuse des besoins des générations futures en terme de consommation des ressources de
la planète ou de protection de l’environnement. Ainsi est né le concept d’éco efficience qui
consiste à conjuguer les performances environnementales et économiques pour créer de la
valeur au niveau des entreprises et également au niveau de la collectivité.
13. Triple Bottom line
La commission européenne a officiellement lancée en Avril 2000, l’outil Triple Bottom Line
afin de mesurer la valeur des entreprises. Leur performance est alors analysée sur 3 angles :
Environnemental : quel est l’impact des activités de l’entrepris (des sites et des
produits) sur l’environnement au sens large (consommation des ressources, rejet de
toutes natures, occupation du territoire) ?