1
Valeurs et système de valeurs
Valeur, notion à usages multiples
La notion de valeur a, traditionnellement, suscité des controverses et des interprétations
multiples et différentes. D’une part, parce que son champ d’application est vaste, La valeur est
un concept qui appartient, à la fois, à la philosophie, à l’économie, à la sociologie, à la
religion, à l’anthropologie, à la psychologie, à la psychosociologie… etc. Ces usages
multiples de la notion de valeur en ont fait un terme galvaudé. D’autre part le concept de
valeur porte en lui une signification subjective et il n’a jamais pu atteindre totalement la
qualité la rigueur d’un concept objectif et scientifique. Son emploi est resté, à la fois, objet de
la culture populaire et de la culture savante : « Au sens traditionnel du mot, la «valeur» d’une
chose désigne tout simplement son prix ; et la théorie de la valeur était justement la théorie de
ce qu’on appelait l’«économie politique». Cet emploi du terme continue, certes, d’avoir cours
dans le langage habituel et dans celui des économistes».
1
Malgré la multiplicité des définitions, nous pouvons appuyer l’acception générale citée par les
auteurs de l’article de l’Encyclopédie Universalis selon lequel, la théorie générale de la valeur
«doit se préoccuper de tout ce qui peut revêtir une importance quelconque pour n’importe qui,
de quelque point de vue qu’il se place et dans quelque contexte qu’il soit situé. Aujourd’hui,
en effet, on se réfère aux «valeurs», entendues selon cette conception très générale, dans
presque tous les domaines, dans les sciences sociales, dans le langage de la critique littéraire
et esthétique, dans le discours ordinaire».
2
Mais cette conception générale de la notion de valeur n’esquive pas les différences des
définitions consacrées à cette notion par les différentes disciplines. Dans ce sens, Jean Dewy,
avance que les opinions sur le thème des valeurs, oscillent entre deux grandes tendances. La
première, tend à voir dans les valeurs un ensemble de signes et des expressions phonétiques.
Par contre, la deuxième, insiste sur le fait que les critères et les normes a-priori ou rationnels
sont nécessaires et c’est sur la base de ces derniers que se cristallisent l’art, la science et la
morale.
3
Guy Avanzini, en essayant d’éclaircir une question essentielle de la problématique de valeurs
et qui celle de la relativité ou de l’universalité de ces dernières, constate une certaine diversité,
des variations, voir me des divergences et des désaccords radicaux entre les différentes
interprétations et usages de la notion. Selon cet auteur, dès que l’on pose le problème de
l’origine des valeurs trois conceptions surgissent :
Des valeurs d’ordre moral, ayant une existence en dehors de l’espace et du temps.
Leur universalité découle de leur caractère ontologique. Cette conception
transcendantale tend à présenter les valeurs en tant qu’attributs de Dieu ou en tant
qu’idées ou principes qui préexistent à notre monde concret et réel. Leur
application n’affecte en rien leur universalité. Elles doivent être honorées et
respectées en tant que références se situant au-delà de tout contexte social, culturel,
politique ou civisationnel.
1
«Valeurs (philosophie)», Encyclopaedia Universalis, France, 1997. P.2
2
Ibid., p. 2
3
Ismaïl, M., Ibrahim, N.I., Mansour, R., Comment éduquer nos enfants : la socialisation de l’enfant dans la
famille arabe, (en arabe), Dar Annahda Al Myssria, Le Caire, 1974, p.223.
2
Deuxième conception d’ordre sociologique qui prône la relativité des valeurs ;
celle-ci ne sont que des productions sociales, élaborées par les individus au sein
des institutions. Ainsi, «le normal,(...), c’est ce qui est le plus courant, le plus
fréquent, majoritaire, et la morale est assimilable aux mœurs en vigueur».
4
Troisième conception d'ordre individualiste, La logique de l’acteur produisant ses
propres valeurs est mise en exergue. Ce n’est pas la valeur en soi qui importe, mais
c’est la qualité d’adéquation de la valeur avec la conduite du sujet compte. Il n’y a
plus de morale universelle mais chacun a sa propre éthique. Ce qu’il est nécessaire
de défendre par rapport à cette conception c’est la liberté du choix, c’est le fait de
refuser tout dogmatisme et tout statut de valeurs ayant son origine à l’extérieur de
la personne.
5
Ces désaccords et divergences proviennent du fait que le thème des valeurs a fait l’objet des
études appartenant à plusieurs disciplines.
En économie, la valeur possède deux sens : d’abord, c’est toute chose qui satisfait un besoin,
c’est la valeur de l’intérêt. Autrement dit, c’est l’évaluation par l’individu de ce bien. Ensuite,
la valeur c’est tout ce qui vaut à un bien que l’on échange par un autre dans le marché. C’est
la valeur échangeable, c’est aussi, l’évaluation que donne une communauté à un bien. «En
théorie économique, la valeur apparaît comme un concept central».
6
En philosophie, la notion de valeur a fait couler beaucoup d’encre sans toutes fois, se mettre
d’accord sur une définition ou une seule acception de cette notion. Les divergences autour du
concept découlent des principes et des idées maîtresses de chaque tendance philosophique. En
général, deux grandes tendances s’opposent quant à l’interprétation de la notion de valeur :
Une première tendance qui regroupe les philosophies idéalistes et rationnelles et là, on peut
citer comme exemple, Platon qui pense que les personnes, quoi qui l’en soit et souvent
inconsciemment, perçoivent des idéaux transcendantaux, parlent de la justice, de la beauté, et
cela ne peut se faire qu’en supposant qu’il existe des sources qui alimentent ce genre de
croyances, de pensée et de comportement. Platon ne peut accepter le fait que la vie
sensorielle, soit la seule qui sous-tend ces croyances et ces idées transcendantales. Selon lui, il
existe un autre monde où les idées du bien, de la justice, de l’engagement moral, de la
beauté… etc., ont une existence en soi. Ce monde est extérieur à nous, il a une existence
objective et notre monde n’est que son reflet. Kant, le philosophe de la raison par excellence,
ramène la source de nos valeurs à la raison humaine. Celle-ci est la base de toute science, de
toute beauté et de toute la morale. Ce philosophe insiste sur le fait que la raison est avant les
sens et que ceux-ci découlent de la première et non l’inverse. C’est la raison qui donne la
forme à nos expériences sensorielles. Enfin, et d’une façon générale, les philosophies
idéalistes croient à une existence autonome et indépendante des valeurs, par rapport à
l’expérience humaine.
La deuxième tendance quant à elle, regroupe les philosophies dites naturelles. Celles-ci,
amènent les valeurs à la réalité objective de la vie, à l’expérience humaine. Les valeurs ne
peuvent être à la transcendance, elles sont le résultat de notre rapport avec elles, de la
dynamique que nous entretenons avec elles, de nos besoins et de nos orientations. Les choses
ne peuvent être bonnes en soi, ni vrais en soi, ni belles en soi. La beauté, le bon et la vérité
4
Xypas, C., (sous la direction de), Education et valeurs, (postface de Guy Avanzini), Paris, Anthropos, 1996,
187.
5
Cf. ibid. p. 188.
6
«Valeurs (économie)», Encyclopaedia Universalis, France, 1997.
3
sont la résultante de l’expérience humaine. C’est l’être humain ou la communauté humaine
qui valorise ou dévalorise une chose.
En philosophie, le problème de l’origine des valeurs comme celui de la relation des jugements
de valeurs avec les constatations de fait, est posé avec acuité. Est-ce que l’homme choisit ses
valeurs ou bien, ce dernier ne les choisit pas mais seulement il les reconnaît ? A. C. Maclntyre
essaie de répondre avec finesse comme suit : «D’un côté, écrit-il, on maintient que des
jugements de valeur ne peuvent jamais être déduits à partir de constatations de fait, que
l’enquête philosophique est neutre par rapport à tout jugement de valeur et que la seule
autorité que possèdent les opinions morales est celle que nous leur prêtons en tant
qu’individus agissants. Ceci constitue la conceptualisation ultime de l’individualisme (…) ;
l’individu devient sa propre autorité ultime dans le sens le plus extrême. Selon l’autre point de
vue, comprendre nos concepts centraux de la valeur et de la morale, c’est accepter qu’il existe
certains critères que nous sommes obligés de reconnaître. Nous sommes obligés de
reconnaître l’autorité de ces principes, dont nous ne sommes, cependant, aucunement les
créateurs. L’enquête philosophique qui révèle cet état de choses n’est dons pas moralement
neutre. Nous devons également admettre que certains jugements peuvent être déduits à partir
de constatations de fait…».
7
En sociologie, l’évaluation se cristallise à partir de critères répondant aux intérêts de
l’individu et aux moyens et disponibilités que permet la société en vue de la réalisation de ces
intérêts. Dans le domaine des valeurs, le choix ou la sélection est conditionné par les
circonstances sociales possibles. Les valeurs sont donc «un niveau ou un critère qui permet de
choisir entre des alternatives ou entre des possibilités sociales offertes à la personne sociale
dans une situation sociale».
8
Les critères sur lesquelles se base l’individu pour choisir entre
plusieurs alternatives découlent du rôle et du statut de ce dernier dans la structure sociale.
L’individu, consciemment ou inconsciemment, opère une sélection entre plusieurs choix en
vue de aliser ses intérêts qui à leur tour sont conditionnés par sa position sociale, son
appartenance de classe ou catégorielle.
Pour Emile Durkheim, les «valeurs sont extérieures à l’individu, ce dernier les avalise et les
approprie comme si elles étaient innées».
9
Le sociologue de la raison et de la science, propose
une science de la morale. De même, c’est l’Etat, par le biais de l’école laïque, doit «maintenir
des croyances collectives».
10
Les crises de valeurs peuvent être surmonter, à condition que les
familles, l’école et l’Etat prennent en charge l’éducation de la jeunesse, une éducation laïque
qui vise à la fois la solidarité du groupe et l’autonomie de la personne : «L’éducation favorise
l’épanouissement de l’individu tout en cana lisant l’égoïsme de celui-ci et ses désirs
infinis.
11
La socialisation ou l’éducation morale doit se faire d’une manière scientifique et à
l’intérieur des institutions. Ce que réfute Durkheim, en particulier, c’est l’égoïsme et non
l’individualisme. Les sous-systèmes sociaux, doivent favoriser la conscience, à la fois,
individuelle et sociale ; une telle conscience engendrera une solidarité sociale. «Certes ce
concept d’individualisme ne se confond pas avec l’égoïsme, source d’anomie et de
désagrégation d’une société, il fait au contraire appel à la raison et à la conscience collective,
basé sur un intérêt objectivé, qui dépasse l’homme».
12
7
Ibid., p. 6.
8
Abdelmooti, A., M., «quelques aspects de conflit de valeurs chez une famille rurale égyptienne», (En arabe) Le
Caire Al Majalat Al Ijtimaïa Al Kaoumïa, Le Caire, n°1, 1971, pp. 81-86.
9
Xypas, C., (sous la direction de), Education et valeurs, Approches plurielles, Paris, Anthropos, 1996, p.93.
10
Ibid., p. 97.
11
Ibid. p. 99.
12
Ibid. p. 103.
4
Quant à Max Weber, la notion de valeur est au centre de sa pensée sociologique : «La vie
humaine est faite d’une série de choix par lesquels les hommes édifient un système de valeurs.
La sociologie de Max Weber concourt à la compréhension et à la reconstruction de ces choix.
Pour lui, l’existence historique est par essence création et affirmation de valeurs».
13
Weber
souligne le caractère polythéiste des valeurs, d’où la nécessité du sociologue d’entreprendre
trois opérations essentielles pour l’analyse des valeurs : Comprendre pour saisir et dégager les
significations, interpréter en vue d’organiser en concepts les sens subjectifs et expliquer en
mettant au jour les régularités des conduites. De même, pour le philosophe d’outre-Rhin, les
valeurs sont extérieures à la personne du sociologue. Celui-ci ne doit ni juger, ni hiérarchiser
en une échelle scientifique et rationnelle. Weber, dans sa conception des valeurs comme de la
science, est un philosophe de la négation, plutôt d’une double négation. D’abord, la science ne
peut pas suggérer aux hommes, comment ils doivent vivre et aux éducateurs comment ils
doivent éduquer. Ensuite, la science ne peut présager l’avenir de l’humanité. Une autre
logique surgit, c’est celle de l’acteur. Ce dernier est défini par son engagement car il «doué de
volonté : c’est lui seul qui délibère et qui choisit entre les valeurs en cause, en conscience et
selon sa propre conception du monde».
14
Il est porteur de sens et il a une conscience qui lui
permet de choisir parmi des éventualités multiples. Ce qui compte dans son choix, c’est
l’efficacité mes moyens mis en œuvre. C’est l’éthique de responsabilité ; elle ordonne,
anticipe et oriente l’acteur vers les décisions possibles. Elle est liée au concret.
Weber, Prône l’engagement. Que vous écoutez Dieu ou diable, l’essentiel c’est de s’impliquer
en faisant abstraction de toute influence extérieure. C’est l’éthique de conviction. Elle découle
de notre intérieure. Ce n’est pas la valeur en soi qui compte mais l’adéquation de celle-ci avec
le comportement ou les conduites. La sociologie doit mettre à jour l’antagonisme des valeurs.
Cité par Bertrand Bergier,
15
Weber se prononce clairement sur cette contradiction : «Il s’agit
en fin de compte, partout et toujours, à propos de l’opposition entre valeurs, non seulement
d’alternatives, mais encore d’une lutte mortelle et insurmontable, comparable à celle qui
oppose «Dieu et le diable». Ces deux extrêmes refusent tout relativisme et tout compromis».
Contrairement à DurKheim, Weber fait la distinction entre l’ordre de la science et celui des
valeurs. Ce dernier ne se soumet pas aux faits. Il se caractérise par le libre choix et la libre
affirmation. Mais cela dit, Weber note que l’éthique de la responsabilité rend cet ordre plus
rationnel, moins spontané. L’ordre de la science quant à lui, est lié aux faits.
Enfin, la sociologie positionne, en général, la problématique des valeurs dans le cadre d’une
conscience collective l’individu, son épanouissement n’est pas exclu. L’intériorité que
propose Weber ou l’individualisme au service de la communauté selon Durkheim, attestent
que les valeurs sont, à la fois, une création collective et individuelle. Leur source découle de
la personne sociale et des institutions.
En psychologie, la notion de valeur n’a pris son importance que tardivement. Car, l’univers
des valeurs a fait prioritérement l’objet des contemplations philosophiques. C’était l’objet par
excellence de l’éthique. La religion, la sociologie l’économie, et l’anthropologie en ont fait un
objet de taille. Mais les psychologues pensaient que cette notion ne pouvait faire l’objet des
études empiriques. Et qu’il était impensable de la mesurer et de définir ses différentes
dimensions, ni de l’étudier en rapport avec d’autres variables.
Ce n’est que vers les années trente et quarante du siècle dernier que les psychologues vont
commencer par s’y intéresser. Le mérite, sans aucun doute, revient à Spranger et Thurstone.
Le premier en publiant son étude sur la personnalité, est arrivé au fait qu’il existe six types de
13
Ibid. p. 109.
14
Ibid. p. 113.
15
Ibid. p. 116.
5
personnalité. Chaque type est défini par la dominance d’une des valeurs suivantes : la valeur
théorique, la valeur politique, la valeur sociale, la valeur économique, la valeur esthétique, et
la valeur religieuse.
16
De telles valeurs feront l’objet d’une échelle élaborée opérationellement
par Allport et Vernon. Ainsi, les études sur les valeurs vont devenir de plus en plus
nombreuse, surtout en psychologie sociale et cela pour répondre à de nouvelles questions
telles que : Quelles sont les valeurs qui signifient le plus les conduites humaines et par
conséquent, elles méritent d’être étudier ? Est- ce que les valeurs nous permettent de définir la
philosophie ou l’idéologie qui structure une société ? Les valeurs ne seraient-elles pas la
meilleure méthode pour comprendre comment pensent les personnes en un contexte spacio-
temporel et culturel défini ? De même les valeurs ne seraient-elles pas la source des conduites
humaines, des jugements et des attitudes quant à ce qui désirable dans un groupe donné ?
En France, ce n’est qu’au début des années quatre- vingt - dix, que «l’éducation morale
suscite,(...) un regain d’intérêt comme en témoignent les livres de Jean Houssaye, de Louis
Legrand, de Paul Moreau, d’Olivier Reboul et de Philippe Meirieu, ainsi que les numéros que
la Revue Française de Pédagogie et le Bulletin de l’association Binet et Simon lui ont
consacrés».
17
Constantin Xypas, trouve qu’il est malheureux que les chercheurs
Francophones, aient laissés tomber les cours de Durkheim à la Sorbonne sur l’éducation
morale qui datent des années 1902 1903. L’auteur ajoute que «c’est surtout dans l’entre-
deux-guerres que l’autonomie, tant intellectuelle que morale, devint un objectif prioritaire de
l’Education nouvelle, sous l’impulsion de laquelle les Bovet, Ferrière, Claparède et autres
protagonistes de ce mouvement publièrent de nombreuses études. Et si les écrits de Ferrière
revêtent un aspect militant, Bovet et plus encore Piaget mènent des recherches originales
visant la compréhension du mécanisme par lequel l’éducation est à l’origine de la moralité du
sujet».
18
Au niveau des études sur les valeurs dans le monde arabe, la situation est beaucoup moins
optimiste. Selon, Abdellatif mohamed Khalifa, il n’existe aucun travail sur l’évolution des
valeurs à travers les trois étapes de la vie. Et le peu de recherches effectuées sur les valeurs est
resté centré sur l’étude de ces derniers en rapport avec un ensemble de variables telles que,
l’étude de la relation entre les valeurs et le niveau d’aspiration,
19
l’étude de la relation entre les
styles de socialisation et les systèmes de valeurs,
20
La relation entre les valeurs morales et la
névrose, ou relation entre valeurs et adaptation psychologique.
21
Nous n’avons pas évoqué
parmi ces recherches, les ouvrages qui portent sur les valeurs islamiques ou la culture et
l’Islam. Leur nombre est assez important mais ils ne relèvent pas d’un registre empirique et
scientifique.
Au Maroc, les travaux sur la jeunesse sont nombreux. Mais, ils abordent le problème des
valeurs d’une façon très timide. Cela dit, nous ne pouvons omettre les enquêtes réalisées par,
André Adam, Paul Pascon et Bentahar, Mohamed Tozy, Mohamed Aït Mouha et Abdellatif
16
Houssein, M., E., Les valeurs spécifiques aux créateurs, (en arabe) Le Caire, Dar Al Maârif, 1981, p. 3.
17
Moreau, P., L’éducation morale chez Kant, Paris, Editions du Cerf, 1988 ; J., Houssaye, Les valeurs à l’école :
L’éducation au temps de la sécularisation, Paris, PUF, 1992 ; L. Legrand, Enseigner la morale aujourd’hui ?
Paris, PUF, 1991 ; P., Meirieu, Le choix d’éduquer. Ethique et pédagogie, Paris, Editions sociales Françaises,
1991 ; O., Reboul, Les valeurs de l’éducation, Paris, PUF, 1992 ; Revue Française de Pédagogie, n° 97 / 1991 et
n° 102 / 1993 ; Bulletin de l’association Binet et Simon n° 636 / 637 de 1993.
18
Xypas, C., (sous la direction de), Education et valeurs Approches plurielles, Paris, Anthropos, 1996, p. 5.
19
Abdelmouti, A., M., la dynamique de la relation entre les valeurs et le niveau d’aspiration, Thèse de Doctorat,
Faculté de lettres, Université Aïn chams, Le Caire, 1976.
20
Abdelmajid, F., Y., socialisation des enfants et sa relation avec quelques traits personnels et leurs systèmes de
valeurs, Thèse de Doctorat, faculté de lettres, Université Aïn Chams, Le Caire, 1980.
21
Sultan, I., Ad., «conflit de valeurs entre parents et enfants et sa relation avec l’adaptation psychologique des
enfants», Le centre National des Etudes Sociales et Criminologistes, Le Caire, Tome I, 1977, pp. 109 122.
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