Gymnázium Matyáše Lercha
Žižkova 55, 616 00 Brno
telefon: +420 549 122 011, fax: +420 549 122 010, www.gml.cz
III Constante de temps
1) On rajoute un résistor de 10 dans le circuit. Sur le
générateur, on règle une tension rectangulaire de fréquence
200 Hz. Après le déclenchement de la mesure, l’ordinateur
trace deux graphes.
2) Dans le graphe du courant en fonction du temps, on désigne,
par la souri, la région d’installation du courant. Dans le menu
Analyse→Régression... on choisit l’exponentielle
inverse et on coche l’item
. Puis on clique sur Essai rég, et si la
régression copie bien la courbe, on valide. La
constante C dans la régression représentel’inverse de
la constante de temps du circuit , .
3) La résistance totale du circuit R (résistance de la
bobine + résistor en série + résistance interne du générateur)
peut être calculée à partir de la loi d’Ohm en tant que rapprot
du courant en régime permanent et de la f.é.m. du
générateur . Pour la détermination graphique, utiliser
l’icône Examiner . La f.é.m. est la tension du générateur
qund le courant dans le circuit est nul (c.-à-d. valeur
maximale de la tension dans le graphe).
IV Oscillations électriques
1) On réalise le montage d’après le schéma en utilisant un
condensateur de capacité C = 1 F. On débranche
l’ampèremètre de LabQuest. Le réglage du générateur ne
change pas. A chaque variation de la tension rectangulaire, on
observe des oscillations libres dans le circuit. Elles sont
amorties à cause de la résistance interne ri, mais si
l’amortissement n’est pas très important, la pseudopériode T
de ces oscillations est voisine de la période propre
d’un circuit LC.
2) On monte la fréquence d’échangtillonnage à 100 kHz, on réduit la durée à 0,005 s.
Déclencher la mesure et après qu’il s’arrête, désigner par la souri, dans le graphe uL = f(t),
la région correspondant à 1 période. Noter le temps t dans la fiche de réponses.