GAGNÉ, Antoine
GERARDI, Savannah
LABERGE GOUPIL, Mathieu
L’antimatière
Le sujet de notre recherche scientifique, dans le cadre du cours de physique NYC,
n’est certainement pas un phénomène que tous reconnaissent. L’antimatière suscite beaucoup
d’intérêt au sein des sociétés scientifiques.
Sur la planète Terre, nous sommes entourés et constitués de matière. Cette dernière
porte une charge. Le terme « antimatière » a été choisi pour ce phénomène pour indiquer
qu’elle est entre autres l’opposé de la matière. Ceci signifie que l’antimatière porte une
charge de signe contraire de la charge de la matière. Il est important de mentionner que la
matière est sur terre et que l’antimatière est dans l’Univers, à l’au-delà de notre « visibilité ».
Par contre, de nombreuses théories affirment que l’Univers est constitué de plus de matière
que d’antimatière. Une explication qui puisse soutenir ce fait n’a pas encore fait surface dans
le domaine des sciences physiques, mais plusieurs croient que ce problème soit originaire du
Big Bang. Lors de cette « explosion », la matière et l’antimatière étaient présentes à quantité
égales. Pour une raison encore ignorée, la quantité de matière aurait pris le dessus sur celle de
l’antimatière.
La matière, étant caractérisée par des particules positives (les protons) et des particules
négatives (les électrons), est l’opposé de l’antimatière (comme mentionné ci-haut). Ceci nous
indique donc que les protons (+) de la matière deviennent négatifs (les antiprotons) dans
l’antimatière et que les électrons (-) de la matière deviennent positifs (les positrons) dans
l’antimatière. La réaction matière-antimatière occasionne un très grand dégagement d’énergie
suivant E=mc2. La matière et l’antimatière, une fois en contact, s’annihilent. Cette
transformation de l’énergie a lieu lorsqu’une particule de la matière rencontre son opposé de
l’antimatière (exemple : positron + électron = ÉNERGIE). Cette réaction devrait égaliser les
quantités de matière et d’antimatière existantes dans l’Univers, mais ce n’est tout de même
pas le cas.
Résumé de l’article 1
Des chercheurs ont découvert que le centre de la voie lactée émet 511 KeV d’énergie
sous forme de photons gamma. Cela correspond exactement à l’énergie émise par
l’annihilation d’un électron par son antiparticule : le positron. Des chercheurs ont donc tenté
de découvrir l’origine de la quantité immense d’antimatière nécessaire pour que ce
phénomène ait lieu. Ils ont tout d’abord posé l’hypothèse de la matière noire. Pour quelle soit
confirmée, le centre de la galaxie devait être symétrique au niveau énergétique. Ces les
positrons pouvaient provenir de l’annihilation de particules exotiques de matière noire dans le
halo central symétrique de la galaxie. Il pouvait s'agir de neutralinos, ou de particules
massives de Kaluza-Klein, de mini trous noirs ou de supernovas. Or, le satellite a révélé un
flux deux fois plus intense d’un coté du centre galactique que de l’autre. Des astres de la
classe binaire X seraient donc les sources plus probables de l’antimatière. Ils sont composés
d’un soleil équivalent au notre et d’un trou noir ou une étoile à neutrons.