DUVAL Ellie
MARREC Louise
14/09/2010
Pharmacologie, pharmacocinétique quantitative, M-C Verdier.
Pharmacocinétique quantitative :
Perfusion et administration répétée
Précision sur le cours précédent :
Concernant le cytochrome P450 : c’est le schéma qui est bon et non les explications données par la prof.
I. Pharmacocinétique
La pharmacocinétique sert à étudier le devenir des médicaments en fonction des variations
interindividuelles et intra-individuelles telles que l’âge, la grossesse, l’apparition de pathologies qui
nécessitent une adaptation de la posologie (dose et rythme d’administration).
La pharmacocinétique permet ainsi de mettre en place un schéma thérapeutique adapté au mode
d’administration, à la forme pharmaceutique et à l’individu.
Ses objectifs sont à la fois qualitatifs (le soulagement du patient) et quantitatifs (dose adaptée).
On définit une zone thérapeutique efficace ou intervalle thérapeutique. Cette zone est comprise entre la
concentration minimale (Cmin) du médicament en dessous de laquelle il y a un risque d’inefficacité, et la
concentration maximale (Cmax) au-delà de laquelle il y a un risque de toxicité.
La zone thérapeutique est plus ou moins étroite selon le médicament.
On définit des zones thérapeutiques larges, c’est le cas pour les béta-lactamines et le paracétamol. Et des
zones étroites comme pour la digoxine, les anticoagulants et la phénytoïne.
Après l’administration du médicament, l’évolution des concentrations sanguines dépend des modalités
d’administration et des paramètres pharmacocinétiques c'est-à-dire la description quantitative du devenir
du médicament dans l’organisme.